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Elle s'offre aux autres, pour moi – Chapitre 3




Nous avons une charmante petite maison située au pied d’une colline. Le salon donne sur un balcon, et si on se tient sur celui-ci, on peut apercevoir la mer décorer l’horizon. Le son des vagues nous parvient la nuit, quand le bruit des voitures se fait plus rare.

Quand je passe la porte d’entrée, je me dirige vers la cuisine où je prends un verre de vin. Chloé me rejoint. Elle m’embrasse. Je lui serre un verre et elle le boit d’une traite. Philippe referme la porte et s’installe sur le canapé. Chloé enlève ses talons et son jeans qu’elle laisse par terre. Elle garde son pull et son string noir. Philippe baisse son pantalon et son boxer. Ils finissent ce qu’ils ont commencé dans la voiture pendant que je regarde, appuyé contre le cadre de la porte, verre à la main. Je finis de boire ce dernier et je le dépose vide sur la table basse. Je m’installe à côté de Chloé, cette dernière pose sa main sur mon genou, pendant qu’elle suce le gland de Philippe. Le bruit qu’elle fait en poussant sa queue jusqu’au fond de sa gorge me fait frémir. Chloé la fait ressortir et lèche les couilles en battant des cils. Ses yeux bleus me parlent, me demandent si j’aime voir ma femme prendre une queue devant moi. Comme réponse, j’attire son visage vers moi et l’embrasse.

Philippe place Chloé sur ses genoux et tire sur le fil enterré entre ses fesses. Elle gémit dans ma bouche pendant que Philippe suce son cou et ses seins en faisant glisser son pull sur ses épaules, elle finit par le faire descendre jusqu’à la taille, formant comme une ceinture qui surplombe ses fesses. Philippe finit par tirer son string de côté pour permettre à son gland d’entrer en contact avec sa chatte mouillée.

— J’ai une capote dans mon jeans Philippe, lâche Chloé en passant sur mes genoux.

Pendant que Philippe va chercher la capote, Chloé reste assise sur mes jambes. Je sens la chaleur qui émane de sa chatte me réchauffer les cuisses. Je passe ma main entre ses jambes qu’elle écarte sans attente. Elle entrouvre les lèvres et soupire quand je plonge un doigt en elle. Nos regards liés baignent dans une passion dévorante.

— Tu vas le laisser me baiser ? gémit-elle en remuant son bassin sur mon doigt.

— Il veut te baiser.

— Une fois, j’ai écarté les jambes au bureau, et il m’a vu faire.

— Il a aimé ?

— Il a bandé.

Elle gémit encore plus, elle bouge plus fort sur mes doigts trempés par sa chatte.

— Tu es mauvaise chérie.

— Toi aussi tu bandes fort, je la sens contre mes fesses. Oh !

Philippe revient après avoir mis la capote. Chloé s’allonge à l’autre bout du canapé. Elle relève doucement une de ses jambes, sans pudeur et avec une gracieuse souplesse, Philippe la pose sur son épaule et frotte sa queue le long de sa chatte, appuyant sur son bouton et ses lèvres gorgées de plaisir. De là où je me tiens, je vois Philippe de dos, remuant son bassin doucement sur ma femme qui a les jambes largement écartées, l’une sur son épaule et l’autre sur son genou. Philippe finit par rentrer dans sa chatte mouillée, lentement.

— Putain, souffle-t-elle. Plus fort, je t’en prie.

Je me lève et me place sur la table basse, je les vois de profil. Philippe met un doigt dans la bouche de ma femme, celle-ci le suçote en me regardant avec des yeux entrouverts. Philippe commence à donner des coups de bassin plus forts. Ma femme se laisse aller, écartant davantage les jambes pour son patron, le tirant par la nuque pour qu’il lui mange les seins aux tétons qui pointent délicieusement. Plus il va au fond d’elle, plus elle crie, se débat de plaisir, sans me regarder. Elle prend son pied, elle en demande plus et je veux qu’on lui donne davantage.

— N’arrête pas ! crie-t-elle en griffant le torse de Philippe. Ahh ! N’arrête pas !

Les va-et-vient de Philippe se font plus intenses, les jambes de Chloé ne tiennent plus en place pendant qu’il la fourre, plus profondément, plus vite. Chloé ferme les yeux, se mord les lèvres, gémit et râle, plongeant la pièce dans une cacophonie follement érotique.

Philippe sort de Chloé et la pousse à se mettre à quatre pattes. Elle obéit, en me regardant, essoufflée. Je me mets face à elle. Elle remet une mèche en place et le bleu de ses yeux me paralyse pendant que Philippe la pénètre en la tenant pas la taille.

— Mon cur, sa queue me remplit. Je la sens toute entière.

— Cambre-toi encore plus, lui ordonné-je en caressant sa joue.

— Mhmm, donne-moi ta queue Wofgang…

Elle est vulgaire, sale et ça me fait bander à me faire mal, mais je ne sors toujours pas mon sexe, je veux continuer à profiter du spectacle, continuer de voir ma chérie se faire ramoner avant de jouir.

Philippe lui presse le cul en accélérant le rythme, sans ménagement, Chloé arrive à me parler avec seulement quelques mots presque inaudibles. Mais je comprends ce qu’elle veut me dire, je sens son plaisir monter, j’imagine sa chatter brûler autour de la queue de son patron, je la vois dans ses yeux perdre peu à peu toute notion du réel, je tiens l’une de ses mains suintante dans la mienne, pendant que l’autre bouge frénétiquement sur son bouton d’amour, et je la vois jouir, glousser, trembler et jurer à tue-tête avant que Philippe ne se crispe au plus profond d’elle.

Philippe se retire, reprend son souffle et se dirige vers la salle de bain après avoir claqué le cul de ma femme. Cette dernière couine et s’allonge sur le dos. Ma chérie me regarde en mordillant son index, et de son autre main, elle écarte les lèvres de son intimité pour me montrer l’étendue des dégâts causés par son patron. Quand celui-ci sort de la salle de bain, après que sa douche se soit éternisée, il nous trouve allongés sur le canapé, nus, dans les bras l’un de l’autre.

Épuisée, Chloé s’est assoupie.

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