Cette histoire remonte à l’époque de mes 18 ans quand on ne parlait pas encore du sida, les m?urs étaient encore très libres. J’habitais au deuxième étage d’un petit immeuble et sur le même palier que moi vivait une superbe jeune femme, d’environ 30 ans, brune aux yeux verts avec un corps de rêve, des seins lourds et fermes, des hanches larges et un cul que l’on devinait rond et ferme sous ses jeans ajustés. Elle vivait seule mais recevait beaucoup, surtout des hommes seuls. Ce qui faisait jaser, mais aussi beaucoup fantasmer les hommes vivant dans le quartier.
Toutes les nuits je rêvais de cette femme en me masturbant frénétiquement, je rêvais de me frotter sur ses seins, de les lécher à n’en plus finir, de me glisser entre ses jambes, de la pénétrer avec mon sexe raide de désir, de la faire crier de plaisir. J’étais encore puceau et cet état commençait à me peser.
Je ne ratais pas une occasion de monter derrière elle, dans l’escalier pour mater ses fesses se balançant devant mes yeux, quand elle portait une jupe courte je ralentissais ma progression afin d’espérer apercevoir sa petite culotte, je pense qu’elle n’était pas dupe car dans ces moments là elle s’arrangeait pour que ma curiosité soit récompensée, alors je rentrais chez moi, filais dans ma chambre pour me masturber comme un fou au souvenir de ces quelques centimètres carrés de soie aperçus. Par timidité je n’osais lui adresser la parole, mais je sentais qu’elle n’était pas inaccessible.
Un après-midi, alors que je rentrais en avance, je me retrouvais dans la cage d’escalier avec elle. Elle était surchargée de sacs à provision, elle me demanda si je ne pouvais pas l’aider à monter ses courses dans son appartement. Rougissant j’acceptais bien volontiers ravie de lui rendre service. Arrivés devant sa porte elle me proposa de rentrer boire un soda afin de me remercier, je ne me fit pas prier et la suivie jusque dans son living. Il faisait une chaleur lourde et humide en ce début de mois de juin. Elle me demanda de patienter le temps d’aller passer des habits plus confortables. Je m’installais dans son canapé large et profond, j’avais du mal à imaginer que je me trouvais dans cet appartement en sa compagnie comme je l’avais si souvent rêvé, je n’osais penser à la suite des événements.
A ce moment elle apparut, de retour de sa chambre, vêtue d’une mini jupe dévoilant ses longues jambes et bien plus au moindre mouvement ainsi-que d’un chemisier presque transparent sous lequel j’apercevais ses seins libérés de toutes entraves. Ils étaient comme je les avais imaginés, lourds, fermes les pointes dressées. Les deux premier boutons de son chemisier étaient défait et quand elle se pencha face à moi pour me servir un rafraîchissement j’aperçus ses seins libres, ma queue se dressa à l’intérieur de mon pantalon prête à faire exploser ma braguette, ce qu’elle ne put ignorer tant le devant de mon pantalon était déformé. Elle s’installa à coté de moi sur le canapé, dans le mouvement sa mini jupe remonta très haut sur ses cuisses. Elle entama la discussion en me questionnant sur l’école, mes goûts, j’avais le plus grand mal à lui répondre tant le spectacle qu’elle me montrait me faisait bander. Je fixais ses seins dressés tel des obus et bredouillais les réponses a ces questions, bien vite elle s’aperçut de mon trouble et la discussion dériva sur mes amours, elle me demanda si j’avais une petite amie, je lui répondis que non pour l’instant, elle insistait voulant savoir si j’avais déjà fait l’amour avec une personne plus âgée que moi, timidement je lui avouais que j’étais encore puceau!
— Puceau a ton age ! Me dit-elle, c’est bien dommage. Voudrais-tu que je m’occupe de toi ?
A ces mots je me sentis fondre mes rêves les plus fous prenaient forme, j’étais à deux doigts d’éjaculer dans mon slip.
Elle se leva, me pris la main pour m’emmener dans sa chambre, je la suivis tout tremblant de désir mais quelque peu inquiet de la suite des évènements. Arrivés auprès de son lit elle me jeta sur celui-ci, ce mis à califourchon sur moi et me roula une pelle d’enfer, elle ne pouvait plus ignorer l’état dans lequel je me trouvais tant ma queue battait contre son ventre.
— Mais dit-donc c’est que je te fais de l’effet, tu bande comme un jeune taureau ! Montre moi ce que tu cache dans ton pantalon avant que tu n’explose !
Je me déshabillais fébrilement, exhibant fièrement ma queue dressée prête à explosée.
Quelle queue ! Ce serait dommage de la laisser dans cet état tu ne pense pas ?
Elle souleva ses fesses afin de se débarrasser de sa culotte qu’elle me donna à humer. Celle-ci était toute trempée preuve que je ne lui étais pas indifférent. Ensuite elle se planta d’un seul coup sur mon dard, m’arrachant un cri tant de surprise que d’extase. Elle commença à monter et descendre sur ma bite, dansant une sarabande effrénée. J’étais au septième ciel, j’avais toutes les peines du monde à retenir le jus qui montait de mes couilles. Je malaxais fébrilement ses gros seins au travers de son chemisier et dans un ultime cri de plaisir je giclais au fond de son ventre de femme en chaleur. Je me suis bien rendu compte qu’elle n’avait pas pris son pied mais pour la première fois que je faisais l’amour seul mon plaisir comptait.
Elle se déshabilla complètement me laissant admirer son corps parfait tel que je l’avais imaginé puis se blottie contre moi apparemment satisfaite de cette étreinte sauvage.
— C’était très bon, tu as une super queue pour ton age me dit-elle. Repose-toi avant de passer aux choses sérieuses, j’espère que tu va bien me faire jouir maintenant car nous allons prendre tout notre temps, je vais te faire découvrir les secrets du corps d’une femme et t’apprendre à jouer avec.
A ces mots je sentis monter dans mon sexe une nouvelle vague de désir, aidée-je dois le dire par les légers mouvements de sa main posée délicatement à la base de ma bite. Voyant les dispositions dans lesquelles je me trouvais, elle me demanda de venir lui sucer les seins, maladroitement je m’exécutais lui tirant des soupirs de plus en plus forts, elle me prit la main et la guida entre ses cuisses vers son sexe ruisselant, j’introduisis un doigt dans sa chatte et commença un léger mouvement de va et vient ce qui la fit couler encore plus. Elle me prit la main pour la poser un peu plus haut sur sa fente me demandant de chercher son petit bouton, je trouvais celui-ci tout de suite et commençais le massage de son clitoris, elle se mit à pousser des soupirs de plus en plus forts, son bassin ondulait de bas en haut cherchant un contact plus précis avec mes doigts. Au bout de quelques minutes, elle fut prise d’un violent tremblement et cria son plaisir a plein poumon.
— Quel pied ! Tu m’as fait jouir si fort !
Après quelques instants de repos, elle vit que ma bite n’avait pas débandée, elle rampa aux pieds du lit s’agenouillant entre mes jambes, sa bouche se posa sur mon ventre puis elle titilla mon nombril avec sa langue, enfin sa bouche glissa jusqu’à ma queue qu’elle embrassa sur toute la longueur, puis elle coiffa mon gland de ses douces lèvres m’arrachant un cri de plaisir, sa langue jouait avec la tête de ma bite comme elle le ferait avec une glace à la vanille. J’étais au bord de la jouissance, elle ralentit le mouvement afin de ne pas me faire jouir trop vite, puis elle repris sa fellation me faisant rentrer au fond de sa gorge, elle alternait léchage sur la hampe et sucions profondes afin de me procurer le maximum de plaisir, plusieurs fois j’ais cru que j’allais éjaculer mais avec une grande expérience elle s’arrêtait toujours à temps. Au bout d’une demi-heure de ce traitement elle décida que le moment de me faire éclater était venu, elle m’enfourna jusqu’aux couilles et aspira mon foutre jusqu’à la dernière goutte, je poussais un rugissement en me vidant au fond de cette bouche chaude et experte, rugissement qui me laissa sans forces un long moment.
Après une heure de repos, j’étais en pleine forme et bien décidé à profiter de ce magnifique corps, je commençais par caresser et lécher ses seins puis descendis lentement vers son sexe. Ses jambes s’ouvrire dévoilant sa fente gluante de mon sperme, entre-ouverte, n’attendant que ma bouche. Je collais mes lèvres à cette source et commençais à sucer son clito. Son bassin ne tarda pas à s’animer, ma verge se mit à grossir, elle posa ses mains sur ma tête, pressant ma bouche sur sa chatte. Elle me dit:
— J’ais envie de ta grosse pine, j’ais envie que tu me baise à fond comme une chienne !
Je remontais sur son corps, elle prit ma queue dans sa main pour la guider au fond d’elle, je l’empalais d’un seul coup jusqu’à la garde. Elle montait frénétiquement son bassin à la rencontre de ma bite, mes couilles butaient contre ses fesses à chaque coup de rein, elle remonta ses jambes sur ses épaules afin que je puisse la prendre plus profondément, à chaque coup de rein je sentais mon gland buter au fond de son vagin, elle m’encourageait avec des mots très crus à la bourrer plus fort, la sensation était délicieuse. Après quelques minutes de ce traitement, elle se mit à quatre pattes pour que je la prenne en levrette, je me plaçais derrière son magnifique cul et enfournais ma queue au fond de son trou, j’entamais un va et vient lent et puissant qui faisait ballotter ses gros seins. J’avais une vue imprenable sur son petit trou, je risquais un doigt, celui-ci rentra sans aucun problème déclenchant chez mon adorable partenaire un gémissement de contentement. C’est alors qu’elle me demanda si je voulais l’enculer me disant qu’elle adorait cette possession, je ne me fis pas prier et présentais mon dard contre son anneau. Je poussais délicatement ma verge contre son anus et celui-ci s’ouvrit doucement, montrant qu’elle n’en étais pas à sa première enculade, elle m’encouragea à aller plus loin et surtout plus fort, je poussais donc ma bite d’un violent coup de rein au fond de son rectum, la sensation était très intense, son anus enserrait ma verge comme si elle voulait me garder au fond une éternité. J’étais comme fou pour mon dépucelage j’enculais ma partenaire !
Son bassin s’agitait de plus en plus autour de ma queue, elle criait comme une folle, sa jouissance était très forte, tant et si bien qu’après quelques minutes, qui me parure bien courtes, j’explosais au fond de son cul en rugissant, lui déchargeant une énorme quantité de foutre dans les boyaux. Je débandais lentement au fond de son cul qui en se resserrant m’expulsa. Je tombais à la renverse sur le lit épuisé par tant de bonheur.
Elle me dit qu’elle avait prit plusieurs fois un pied d’enfer, et que pour un puceau je ne me débrouillais pas mal du tout, je répondis qu’avec un bon professeur tout est plus facile.
Nous nous sommes promis de nous revoir souvent afin d’approfondir les leçons, et c’est ainsi que pendant plusieurs années nous avons baisé régulièrement ensemble.
Je me souviendrais toujours de mon dépucelage !!!