Cette histoire est réelle ; elle s’est déroulée par une douce soirée d’un mois de juillet.

Jacqueline m’a invité à passer chez elle après le repas que j’avais avec des amis à la veille de mon départ pour l’Afrique.

Jacqueline habite au centre d’une grande ville, dans un petit appartement en duplex, sous les toits, au dernier étage d’un immeuble ancien.

Il n’y a pas d’ascenseur ; alors je monte les étages quatre à quatre, pressé de voir Jacqueline. Son invitation de ce soir fait suite à un baiser langoureux qu’elle m’a donné après une promenade au bord de la mer avec des amis.

En montant l’escalier, je me doute des raisons intimes de son invitation.

Je sonne à sa porte ; elle s’ouvre sur une belle femme vêtue d’une robe longue, légère et transparente. Cette robe la moule et j’aperçois un soutien-gorge et un string blanc qui font ressortir ses formes.

Elle m’invite à m’asseoir à la table sur laquelle trône une bouteille de vin et deux verres. Elle s’assoit à côté de moi, si près que son genou s’appuie contre le mien. Nous discutons de l’Afrique et de la vie que je vais mener là-bas. Elle me questionne sur tous les sujets possibles, abordant même des sujets plus personnels et intimes.

Elle nous sert régulièrement à boire ; et à chaque fois, nous trinquons à nos avenirs réciproques.

Son genou contre le mien est plus pressant, il bouge imperceptiblement et je ressens comme une caresse

Elle se lève et se penche en avant pour prendre un document. Elle écrase un de ses seins sur le dos de ma main et elle le frotte ; malgré le tissu, je sens le téton de son sein durcir. Est-ce volontaire ou involontaire ?

Mais quand elle se rassoit, elle relève sa robe longue au-dessus de ses genoux et pose un pied sur le barreau de ma chaise, écartant ses cuisses ; sa robe glisse et laisse entrevoir sa petite culotte blanche.

Alors, elle prend l’une de mes mains posée sur la table et la place sur son genou découvert. Elle garde ma main dans sa main. Puis elle fait glisser lentement ma main le long de sa cuisse. Sa peau satinée est lisse et douce.

Jacqueline se relève et se penche de nouveau sur la table afin de s’emparer de la bouteille de vin.

Elle se rassoit et je remarque que, maintenant, sa robe est relevée jusqu’en haut de ses cuisses. Pour me servir, elle me fait face et écarte volontairement ses cuisses. Je vois une nouvelle fois sa petite culotte blanche. Ses deux mains s’appuient sur mes genoux.

Nous continuons à discuter ainsi pendant de longs instants. Elle est intéressée par mes propos.

Brusquement, elle se lève, quitte sa chaise. Elle se dirige vers sa salle de bain ; elle ne ferme pas la porte mais elle reste cachée car je ne peux pas la voir. J’entends des bruits d’eau qui coule.

Elle revient et reprend sa chaise et la place face à moi. Elle s’assoit en posant ses deux pieds nus sur les barreaux de ma chaise.

Ses cuisses sont largement ouvertes ; mon regard descend entre ses jambes. À ma grande surprise, je ne vois plus sa petite culotte blanche : à la place, mes yeux découvrent une toison drue, noire et brillante.

Je place mes mains sur ses genoux ; je les caresse doucement. Mon visage s’approche du sien. Elle place ses mains sur mes cuisses et elle les laisse remonter doucement. Lorsquelles arrivent à mon entrejambe, elles se réunissent et leurs paumes enserrent mes couilles à travers mon pantalon.

Après ses genoux, mes mains caressent l’intérieur de ses douces cuisses ; je les fais descendre doucement et langoureusement.

Nos deux visages sont si proches que je sens son souffle saccadé et que j’entends de petits gémissements.

Nos lèvres se rejoignent : elles s’effleurent, puis s’ouvrent et s’écrasent l’une contre l’autre dans un long baiser fougueux.

Pendant ces instants, mes mains arrivent à la toison soyeuse et humide, puis elles remontent le long du pubis. Elles glissent sur le ventre qui vibre doucement et redescendent vers la chatte dégoulinante. Elle est velue à souhait ; j’adore les sexes velus

Les doigts de Jacqueline se sont glissés dans mon pantalon. Mais ils tombent sur mon slip humide.

Jacqueline s’arc-boute sur ses jambes en mettant son pubis en avant ; ma paume appuie plus fort sur son sexe. Son souffle s’accélère et devient même saccadé.

Brusquement, elle s’agrippe à mon cou et passe une jambe, puis l’autre, par-dessus les miennes et elle vient s’asseoir sur mes genoux. Elle me fait face et elle remonte sa robe ; elle dénude sa poitrine volumineuse mais ô combien ferme.

Elle continue de faire remonter sa robe, qui passe au-dessus de sa tête : elle se retrouve partiellement nue. Elle fait tomber sa robe sur le sol et je dégrafe son soutien-gorge. Elle est nue, complètement nue.

En continuant de m’embrasser goulûment, ses mains déboutonnent ma chemise ; elle attaque la ceinture de mon pantalon, puis passe à ma braguette.

Ouverte, elle accède facilement à ma verge raide et gonflée. D’une main experte, elle sort mes couilles du slip.

À suivre…

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