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Une occasion à ne pas rater – Chapitre 1




L’occasion se présenta sous la forme d’un week-end où, prétextant de devoirs à terminer, je restai seul tandis que toute ma famille, parents et grands-parents compris, se rendait à un mariage.

On m’avait évidemment laissé la garde du chien. Mon plan était prêt : j’avais élaboré de longue date un scénario qui, je l’espérais, me permettrait d’obtenir les faveurs de Tom, le magnifique labrador noir de 5 ans qui veillait sur le domicile de mes grands-parents.

Voici comment je m’y pris.

Je décidai dans un premier temps de tester ses réactions en me livrant devant lui à l’une de ces séances de sodomie que j’appréciais de plus en plus.

Je roulai l’un des tapis du salon sur toute sa longueur et le maintins dans cette position à laide dune ceinture enroulée autour. J’attachai le godemiché à la ceinture, déroulai dessus un préservatif et l’enduisis de gel lubrifiant. Je posai le tout sur le sol, à proximité de l’endroit où Tom, allongé, se reposait. Le cur battant, j’enlevai mon bas de survêtement et me mis à califourchon sur le tapis comme je l’aurais fait pour chevaucher un amant. Je commençai, comme à mon habitude, à m’introduire doucement le godemiché, puis m’allongeai sur le ventre, confortablement étendu sur le boudin formé par le tapis roulé. Mes reins se mirent à onduler doucement ; je sentais mon anus aller et venir sur le manche en bois de plus en plus facilement. J’augmentais par étapes la profondeur de sa pénétration. Le chien avait levé la tête et m’observait avec curiosité tandis que me gagnaient l’excitation et le plaisir diffus que me procure la sodomie.

Je l’appelai doucement sans cesser mon manège : il se dressa sur ses pattes et vint me lécher le visage. Je l’incitai, en le tirant gentiment par le collier et en tapant doucement sur mes fesses, à s’intéresser davantage à ce qui se passait au bas de ma personne. Je continuais pendant ce temps à m’empaler sur le godemiché qui allait et venait en moi avec de plus en plus de facilité.

Alors arriva ce moment que je n’oublierai jamais, ce moment qui fut vraiment le prélude de mon aventure zoophile.

Tom pointa son museau vers mon cul, renifla un instant le godemiché et se mit à me lécher les fesses, puis la raie du cul que je maintenais écartée d’une main, pour en venir enfin à mon anus dilaté par le manche en bois. La sensation de sa langue, de sa truffe fraîche, couplée à celle de la sodomie était fantastique, d’autant plus qu’il me prodiguait cette caresse sans donner l’apparence de se lasser ! Sa salive, que je sentais couler entre mes fesses, devait sans doute se mêler au gel recouvrant le godemiché, qui, de ce fait, son chemin parfaitement lubrifié, pénétrait en moi aussi facilement que dans une motte de beurre ramollie par la chaleur. Et cela aurait pu durer longtemps si, au comble de l’excitation, je n’avais pas décidé de passer à autre chose, c’est à dire à une relation plus complète comme vous l’aurez compris.

Je me dégageai de mon godemiché et me mis à quatre pattes sur le sol. Tom chercha immédiatement à me monter. Rétrospectivement, je pense avoir eu de la chance car vraiment je n’eus pas beaucoup d’efforts à faire pour qu’il comprenne ce que j’attendais de lui (en lisant parfois les témoignages d’autres zoophiles, cela ne semble pas être forcément la règle).

Mon brave labrador entreprit donc immédiatement de me monter, mais cela ne marcha pourtant pas du premier coup ! S’ensuivirent en effet de longs moments frustrants de tentatives avortées pendant lesquelles, hissé sur mon dos, il commençait un simulacre de saillie et retombait irrémédiablement à quatre pattes sur le sol sans que j’aie eu le temps de sentir autre chose que le bout durci de son sexe pointu buter fugitivement contre mes fesses. Son sexe me semblait encore bien éloigné de mon anus encore dilaté par les récents va-et-vient de du godemiché. Je me souviens parfaitement des sentiments de découragement et d’excitation que j’éprouvais alors.

Je décidai de changer ma stratégie d’approche : chaque fois qu’il redescendait de mon dos pour sauter autour de moi comme un cabri, je me redressais sur mes genoux, m’asseyais sur le canapé en le tirant vers moi et tentais de calmer sa fébrilité par des caresses sur le sommet de son échine tout en prononçant doucement son nom. Je crois même que je lui ai répété plusieurs fois dans un langage assez cru à quel point je le désirais, que je voulais me donner à lui, que je ne voulais surtout pas lui échapper et que nous avions toute la nuit devant nous. Et parfois ma main s’égarait sous son ventre pour tâter son sexe qui durcissait dans son fourreau de chair. Lorsqu’enfin calmé, sa belle tête noire sur mes genoux, il semblait m’écouter, je repris ma position à quatre pattes, espérant chaque fois que ses coups de reins trouveraient enfin leur cible. Je l’aidais comme je pouvais en glissant ma main entre mes fesses et son ventre, essayant de saisir son membre pour le diriger là où je l’espérais de tous mes vux. Je dus faire ainsi l’aller et le retour de la position à quatre pattes sur le sol jusqu’au canapé un certain nombre de fois, et enfin…

De nouveau, il me monta ; mais cette fois, les pattes avant fermement agrippées autour de ma taille, les pattes arrière solidement campées sur le sol, il trouva presque sans mon aide l’entrée de mes reins, et je sentis s’insinuer en moi son sexe qui me sembla fin mais incroyablement dur. Tom, mon brave chien, dut me trouver à son goût car il ne chercha pas à se retirer immédiatement, mais accentua au contraire la vigueur de ses mouvements. Je sentais contre mes fesses la chaleur de son ventre et devinai Tom, haletant au-dessus de moi, le corps tendu comme un arc, essayant de projeter son sexe comme une flèche au plus profond de sa cible.

Comme je vous l’ai déjà dit, j’avais l’expérience de la sodomie ; mais pas de celle des chiens, et ce qui suivit me prit de court et m’effraya quelque peu, même si j’y pris un énorme plaisir.

Son membre, que je trouvais fin au début de la pénétration, se mit à enfler, dilatant mon anus et emplissant mes entrailles ; ses mouvements se firent saccadés et plus pressants, comme s’il essayait de s’enfoncer davantage… et je le sentis grossir en moi encore et encore… Plus tard, j’apprendrais qu’il venait de prendre complètement possession de moi en me pénétrant du renflement puissant qui se trouve à la base de son membre : ce que vous appelez tous dans ce forum le nud canin. Je n’avais d’ailleurs pas l’impression que Tom avait réussi à faire entrer son nud en moi, mais plutôt que son nud avait grossi en moi ! Je devais me faire l’effet d’une poule prête à pondre son uf. Je ne perçus pas tout de suite les conséquences que cela pouvait, avoir mais je m’abandonnai au contraire au plaisir de me sentir possédé par un animal vigoureux doté d’un membre qui me semblait de dimensions fort respectables. J’entrepris de me masturber en essayant de bouger le moins possible afin de ne pas déséquilibrer Tom, agrippé à mon dos, son sexe profondément enfoncé entre mes fesses. Ses mouvements s’étaient calmés et il pesait de tout son poids sur mon corps. Il devait alors, cela aussi je l’apprendrais plus tard, être en train d’éjaculer abondamment et inonder mon ventre de sperme. Je finis moi aussi par jouir violemment.

Je compris alors la situation fâcheuse dans laquelle je me trouvais lorsque j’entrepris de me dégager de l’étreinte de Tom : impossible ! Son sexe était coincé ! J’insistai cependant et y parvins, non sans ressentir une vive douleur dans l’anus, douleur qui devait perdurer pendant toute la semaine qui suivit. Je vis alors dans son entier, et pour la première fois, le sexe turgescent de mon amant canin : sa longueur, son épaisseur, sa surface parcourue de petites veines et surtout la nodosité calleuse qui en ornait la base et était la cause de ma douleur.

Après cette première expérience, je restai un long moment sans rien tenter de nouveau, essayant d’en apprendre davantage sur la zoophilie et la façon de s’y livrer avec un chien.

Aujourd’hui, j’ai 20 ans ; je suis hétéro, mais je ne suis jamais contre un petite aventure avec un chien !

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