Une semaine déjà quils ont fait lamour la première fois.

Mathilde a imposé à Thomas les règles de leurs jeux amoureux : Attitude irréprochable en présence de qui que ce soit et initiative sexe laissée à Mathilde et à elle seule. Cest ainsi que tous les après-midi, en lieu et place dune quelconque sieste, ils font lamour dans la chambre de Thomas.

Ce jour-là, ils viennent de faire lamour (position dite du missionnaire) et Thomas, toujours en place sur sa mère, lui caresse les cheveux tout en la bécotant.

« Que tu es belle ! Je ne me lasse pas de te regarder ainsi ! On a à peine fini et jai encore envie de toi ! Tu sens comme je bande !

— Faudrait être totalement insensible pour ne pas la sentir ! » plaisante Mathilde.

Avant que sa mère nait pu réagir, Thomas se penche de manière vive sur sa droite entraînant Mathilde dans sa toupie jusquà ce quelle se retrouve sur lui.

Ils continuent de séchanger des mots damour alors que la main droite de Thomas vient de se poser sur la fesse gauche de sa maman et lentement gagne le sillon central jusquà positionner lindex à lentrée de son anus.

il entreprend une caresse lente circulaire autour de lorifice et ose :

« Tu as déjà fait lamour par là ?

— Non, ton père a dit que cétait sale et digne des bêtes et non pas des hommes !

— Pourtant, tant de gens le font Moi, ça me tente ! Dis, tu veux pas quon essaie !

— Je ne sais pas Je tai dit hier que je crois bien que je pourrais faire tout ce que tu me demandes, que je serais prête à tout accepter de toi ! Alors, pourquoi pas mais si ça fait mal, tu arrêtes !

— Promis mon amour !

— Attends mon chéri, je vais chercher le tube ! »

Et Mathilde se lève, gagne la salle de bain où elle déniche dans un tiroir le tube de vaseline.

Sitôt revenue, elle reprend sa place sur son fils, en profitant de loccasion pour frotter son con contre la bite de Thomas.

Thomas saisit le tube, enduit les doigts de sa main droite de vaseline et reprend la caresse là où il en était.

Il tourne ses doigts autour du trou le temps dun long baiser baveux avec sa mère puis, alors quils sont les yeux dans les yeux, glisse le majeur dans le cul qui souvre à lui.

« Cest bon ! lui dit-elle, continue, mon amour ! »

Thomas ne se fait pas prier et associe lindex à ce prélude amoureux. Mathilde fronce un peu les sourcils sentant une petite gêne à laisser pénétrer les deux doigts mais bien vite, son cul absorbe les intrus et accepte leur va-et-vient.

Thomas ressort ses doigts et reprend sa caresse autour de lorifice anal et interpelle sa mère :

« Mais, à quoi, il te sert ce tube de vaseline ? »

Mathilde rougit et hésite à répondre. Thomas repose sa question :

« A quoi il te sert ce tube ?

— Bah ! jai voulu voir ce que ça faisait davoir quelque chose dans le cul. Alors, jai essayé de mettre un doigt puis deux !

— Donc, tu sais ce que cest que davoir quelque chose dans le cul ! Tu as aimé ?

— Oui, jai aimé cette découverte et  !

— Tu voudrais que je tencule ?

— Oui !

— Dis-le, jaime bien tentendre dire des gros mots !

— Oui, je voudrais que tu mencules, que tu me défonces amoureusement le cul mais je nosais ten parler. Javais peur que tu réagisses comme ton père ! Et puis, jai peur davoir mal !

— Pas de danger ! Alors, tu as beurré tes doigts de vaseline pour faciliter le passage ?

— Bah non, pour ça, je nai eu besoin que dun peu de salive et cest rentré tout seul !

— Et la vaseline alors ? Tu as essayé autre chose ?

— Tes bien curieux ! Mais à toi, je peux le dire ! Jai commencé par mes doigts, jai joui avec mes mains, deux doigts plantés dans ma chatte ou branlant mon bouton et un doigt bien enfoncé dans mon cul Puis, jai été plus gourmande. Jai pris le « Ptit Paul », et jai encore joui et plus fort comme ça !

— Cest qui le « Ptit Paul » ?

— Cest un gode que ton père ma acheté il y a déjà bien longtemps pour pimenter nos nuits damour ! Mais ça na pas duré bien longtemps avec ton père ! Alors, cest devenu mon compagnon de jeu, en solitaire !

Et, un jour, jai commencé à le frotter contre mon petit trou, jai aimé les sensations, jai eu peur davoir mal si je lenfonçais, alors, jai cherché ce que je pouvais mettre pour maider et jai pensé à la vaseline pour préparer mon petit trou Ya le lavement aussi. Jai essayé également et jai bien aimé aussi.

Tu vois, je suis une cochonne en fait !

— Mais non, ou alors une adorable cochonne ! Ça me fait drôle de timaginer un gode dans le cul !

— Bah ! Pourquoi pas ? Je suis une femme comme les autres Quest-ce que tu crois ! Jaime jouir et ton père, enfin, ton père cest pas ça ! Puisquil me refusait ce que je voulais connaître comme sensation, jai pensé à mon Ptit Paul qui ma ouvert le cul et fait jouir très fort. Comme je sais que tu vas être très doux avec moi, mon amour, je te dis, oui, vas-y, encule-moi ; encule-moi jusquà ce que tes couilles viennent se coller contre mes fesses !

Alors que Mathilde sarrête de parler, son fils a, depuis un moment repris avec ses deux doigts, les va-et-vient entrepris un peu plus tôt.

« Tu es très doué pour les caresses mon fils ; vas-y maintenant, encule-moi. »

Mathilde sécarte de Thomas et se met à quatre pattes sur le lit, se cambrant au maximum pour faire ressortir son cul. Son fils sourit à lobscénité de la position et vient se placer derrière elle.

« Enduis-toi la queue de vaseline pour que ça rentre plus facilement ! Et, sil te plaît, tu vas doucement, très doucement. Quand ton gland sera entré, tu ne bouges plus pour que je mhabitue à ta bite dans mon cul ! »

Thomas suit les recommandations de sa mère, place sa bite à lentrée du cul de Mathilde puis à laide de sa main gauche frotte le bout de sa queue de manière circulaire autour du trou qui va bientôt labsorber toute entière.

« Hummmmm ! Que cest bon ! Encore ! Oui, caresse-moi encore le cul comme ça ! Je sens une chaleur qui monte, qui monte ! Enfonce-toi en moi ou sinon je suis capable de jouir, rien que par le frottement de ta bite ! »

Son fils stoppe et place sa bite à lentrée du trou noir. Il pousse légèrement, voit le bout de son sexe disparaître entre les fesses de sa mère, retire sa queue avant de recommencer. A chaque fois, il va un peu plus loin jusquau moment où il a la sensation davoir franchi un nouvel espace : Le gland est entré. Sa mère a poussé un cri de surprise mais sans faire le moindre reproche.

Thomas est immobile. Sa mère vient de poser sa tête à même le drap de façon à permettre à ses deux mains de se placer sur ses fesses pour les écarter au maximum et faciliter lintromission de la bite de son fils.

« Vas-y, maintenant ! Hummmmh ! Cest bon ! Enfonce bien ta bite dans mon cul ! Je veux sentir tes couilles contre mes fesses ! Ça y est ! Je tai à plein dans mon cul ! Tu mencules à fond, mon amour ! Tu vas me faire jouir du cul !

— Je voudrais voir ton visage quand tu vas jouir ! On change de position ? Je vais me mettre sur toi !

— Mais si tu sors de mon cul, ça va faire mal quand tu vas rentrer à nouveau !

— Mais non, je ferai doucement et puis, ton cul, je peux te dire quil est bien ouvert ! Il pourrait accueillir une autre bite !

— Tes dégueulasse de dire ça !

— Mais si, jen suis sûr ! Ce que tu peux être chaude, quand même !»

Sans plus attendre Thomas sort sa queue du cul de sa mère, lequel se signale par quelques sons qui les font sourire.

Mathilde sallonge sur le dos et de ses bras, invite son fils à la prendre. Il se couche sur elle, en profite pour lui plonger la langue dans sa bouche, de manière volontairement exagérée pour rendre ce baiser quelque peu bestial. Il sent sa mère se saisir de sa bite et la placer à lapproche de son cul. Elle lève ses jambes pour faciliter lentrée du membre

Ca y est. Il est en elle. (Le gland na rencontré aucun obstacle, le cul de Mathilde sétant suffisamment dilaté.)

Lentement, sa queue replonge au fond de son cul.

Ils sont maintenant les yeux dans les yeux et cest Mathilde qui interrompt le silence :

« Vas-y maintenant, éclate-toi mon salaud, fais jouir ta salope de mère qui veut du foutre dans son cul !

Accélère et défonce-moi le cul, je vais bientôt jouir, tu sais ! »

Thomas se déchaîne dans le cul de sa mère et arrive, ce qui est plutôt rare quand on baise, la jouissance quasi simultanée des deux amoureux. Pour un peu, ils hurleraient à lamour, tellement leurs sensations sont fortes !

« Que tu étais belle quand tu as joui, encore plus belle que dhabitude ! Tes yeux qui se troublent, ton visage qui se crispe ! Cest une image que je noublierai jamais ! »

Et leurs lèvres se joignent une nouvelle fois !

« Tu sais mon amour, tu mas fait jouir comme jamais ! Mon cul est à toi, mon corps est à toi ! Tu peux tout faire de moi !

— Attention, mon amour, je pourrais te prendre au mot, faire de toi ma petite pute damour !

— Ta pute damour ?

— Oui, te faire faire plein de cochonneries que tu ne soupçonnes peut-être pas !

— De toi, je veux bien tout à condition de navoir que du plaisir !

— Promis ! Jai déjà mon premier petit jeu pour ma pute damour !

— Et cest quoi ?

— Surprise pour demain !

— Tu me fais un peu peur !

— Tu as dit que je pouvais faire ce que je voulais de toi et jaimerais bien

— Quoi ?

— Non, je ne te le dis pas mais je te promets que tu vas jouir encore comme jamais !

— Alors, dans ce cas !»

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