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Laura passe un casting – Chapitre 1




Une fois arrivée à mon rendez-vous, je sonne à la porte. Peu après, un jeune homme m’accueille.

-Bonjour ! lui dis-je. C’est Laura Demottes pour le casting.

-On vous attendait ! dit-il.

Le lieu est inhabituel pour un casting : c’est un centre de congrès. D’habitude, c’est plutôt dans le bureau d’un producteur. L’homme me guide vers le vestiaire. Je vais devoir tout enlever sauf ma culotte et mon soutien-gorge.

Ça aussi c’est étonnant. Même pour des rôles un peu dévêtus, on reste généralement habillé pendant les essais. Un instant, je pense renoncer. Mais j’approche de la trentaine et les rôles se font plus rares. Je ne peut plus les sélectionner comme à l’époque où j’avais de nombreux seconds rôles dans des comédies à succès.

Une fois en sous-vêtements, j’entre dans une salle de conférence. Une estrade, des pupitres et … surprise, au lieu de trouver un responsable de casting et un assistant, je vois cinquante hommes assis sur des chaises disposées en rangs.

L’organisateur de ce faux casting me donne les explications qui s’imposent :

-Je m’appelle Alain et je suis là pour vous aider. D’abord merci d’être venue : on n’était pas sûrs que vous acceptiez. Vous avez devant vous les membres d’un club privé. Ils vous ont choisie parmi plusieurs actrices ! Ils veulent juste vous regarder, ne vous inquiétez pas !

Sur un geste d’Alain, je descends dans la salle et j’arpente les travées. Ces hommes sont tous bien habillés et ils me scrutent du regard. Je regrette de n’avoir pas mis des sous-vêtements plus colorés ; mon soutien-gorge est tellement transparent que mes tétons sont visibles, et mon slip en laisse trop voir.

Je suis très gênée d’être exposée devant eux ; pourtant, j’ai déjà joué pour une scène de douche dans un film. Mais ce n’était pas pareil : il n’y avait que deux assistants.

A l’écran, on voyait mes seins de profil. C’est peut-être pour cela qu’ils m’ont choisie pour ce "rôle". Ils veulent les voir de près, peut-être les toucher…

Alain me demande de retirer mon soutien-gorge ! Je n’en ai pas l’intention et il le sait. Alors il me dit :

-Certains de ces hommes sont des personnalités. Il y a des magistrats et des élus. Si vous refusez d’obéir, vous pouvez dire adieu à votre brillante carrière.

Je réalise que je ne peux plus reculer. Le risque est trop grand pour ma carrière. Alors je dégrafe les sangles, dévoilant ma poitrine devant cinquante hommes que je ne connais pas. J’ai bien pensé à croiser les bras pour cacher mes seins, mais je suis sûre qu’on va m’en empêcher.

J’ai des seins de taille moyenne et de forme ronde. Mes tétons sont saillants sur des aréoles larges. Ils doivent se rincer l’il, les salauds ! Je continue à marcher entre les rangs. Les regards sont braqués sur ma poitrine.

Secrètement, j’espère que ça va bientôt se terminer. Je n’en mène pas large. Ma peau n’est recouverte que de quelques centimètres carrés de tissu que je ne vais sans doute pas garder très longtemps.

Je n’ai plus aucune notion du temps qui passe. Ça fait peut-être cinq minutes que je suis là, peut-être dix. Soudain, Alain vient dans mon dos et me baisse le slip ! Je l’ôte entièrement et je le lui donne.

Je continue à marcher dans les travées, complètement nue cette fois. Mes fesses et mon pubis épilé sont maintenant les objets de tous les regards. Je déambule le plus naturellement possible, pour ne pas montrer ma gêne. Ça leur ferait trop plaisir !

Étrangement, à mesure que le temps passe, je me sens moins gênée. Ça doit faire maintenant quelques minutes que je suis nue et mon corps réagit : mes tétons pointent de plus en plus, et je mouille… Et je suis certaine que mes lèvres intimes se sont ouvertes et que mon clito est apparu.

Je ne pensais pas être exhibitionniste mais je suis obligée d’accepter la réalité de ce qui m’arrive. Je suis sexuellement excitée d’avoir autant d’yeux braqués sur moi ; j’espère juste que mon excitation n’est pas trop visible.

Je pense que ça fait partie de leur plan : ils veulent me voir dans cet état !

J’en viens à me demander s’ils vont essayer de me toucher. Car alors, je serais capable de répliquer : une gifle est si vite partie !

Je continue ma déambulation : il est de plus en difficile pour moi de marcher normalement. A chaque pas, je frotte mes cuisses l’une contre l’autre et ça m’excite encore plus.  Je pense à me masturber discrètement : c’est ce qu’ils attendent peut-être…

Mais je ne veux pas leur faire ce petit cadeau : je dois arriver à me retenir encore, coûte que coûte !

A cet instant, Alain me demande de revenir sur le devant de la scène :

-Venez me voir ! Vous avez bien joué le jeu jusqu’ici. Vous avez mérité un petit cadeau. Le voici !

Alors un jeune homme entre par une porte, face à moi. C’est un beau blond aux visage fin, aux cheveux courts : un Apollon ! Il est musclé, il a de larges épaules, le torse imberbe, les biceps apparents. De ses mains, il cache ce que certains appellent les parties honteuses. D’un geste, je lui demande d’écarter les mains. Son chibre au repos est déjà très appétissant !

On s’observe sans rien dire : il commence à bander tout doucement.

Que peut-il ressentir à cet instant ? Est-il terriblement gêné de bander en public ? Ou est-il simplement fier de ses attributs virils ? Rien dans son allure ne trahit la moindre gêne.

Je continue à le regarder : son érection est impressionnante maintenant ! Je ne peux plus me retenir ! Alors je demande à mon Apollon de s’allonger sur l’estrade. Je fais totalement abstraction des regards des autres hommes qui nous scrutent. Je ne pense plus qu’à nous. Je m’allonge à ses côtés et je le caresse en lui faisant des tas de petits bisous sur la peau. Langoureusement, je passe la langue tout autour de son colosse. Puis je lui taille une bonne pipe en guise de hors d’uvre, sans m’attarder car j’ai hâte de passer au plat de résistance.

Sans transition, je m’empale sur sa poutre ! Je suis déjà très excitée et je suis sûre que je vais jouir très vite. Je monte et je descends sur lui, à mon rythme.

A cet instant, Je n’ai même pas conscience que cinquante hommes voient mon corps comme ils n’auraient jamais dû le voir ! Je continue à aller et venir de plus en plus vite : l’orgasme est imminent. Je donne un dernier coup de rein et … c’est parti ! Mon corps se convulse et je savoure le moment… Le temps est aboli… Ma jouissance semble sans fin !

Je dois faire un effort pour me relever. Les cinquante hommes nous applaudissent à tout rompre ! Nous saluons comme au théâtre, puis nous retournons en coulisse.

Je m’allonge sur un banc, en essayant de faire le point sur ce qui s’est passé. Je suis passée par toute une palette d’émotions : la honte d’abord, l’excitation ensuite, le plaisir enfin.

Mais que voulaient-ils vraiment ? Me voir nue peut-être, me voir faire l’amour sans doute. Et s’ils avaient filmé toute la scène ? En diffusant la vidéo sur le net, ils peuvent ruiner ma réputation et ma carrière.

C’est alors que je me rends compte que je suis piégée. Ils peuvent faire de moi ce qu’ils veulent. A partir de cet instant, je ne suis plus que leur jouet..

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