Entre fantasme et réalité !!
Technicien dans un service après-vente dans les moteurs électriques, je parcourais le 1/4 de la France pour mes déplacements professionnels.
Je vivais maritalement avec une femme de mon âge et tout se passait dans la logique des choses.
Cependant, j’avais souvent envie de me trouver un jour, à genoux devant un type à qui je taillerai une pipe.
Lors des longs parcours en voiture, j’y pensais souvent en imaginant me trouver plus ou moins obligé à réaliser mon fantasme. J’en bandais et je m’arrêtais souvent pour me branler dans un WC sur les aires d’autoroute où je lisais ces annonces évocatrices écrites sur les murs ou les portes.
Une nuit, je rentrais de Lorraine par l’autoroute. Je pensais à ça et bandais depuis plus d’une demi-heure en me caressant de temps en temps. Je n’en pouvais plus, il fallait que je m’arrête !
Première aire d’autoroute, je m’y engage et dirige mon auto vers les sanitaires. Personne d’autre de garé. Je sors de ma voiture et je ne sais pas pourquoi, j’ai eu brusquement envie de baisser ma braguette et sortir ma bite. Je me dirigeais ainsi vers les WC, la bite à l’air en me masturbant.
L’excitation étant à son comble, pour un peu j’allais décharger tout de suite ! J’essayais de me calmer.
Je rentre dans les toilettes et me dirige vers un WC. Je rentre, pas de verrou, j’essaye le second : idem.
Tant pis, je suis seul ; Je baisse mon pantalon et slip et commence à me masturber en lisant les invitations pornos de tous genres.
Dans mon délire, je n’ai pas entendu la porte s’entrouvrir. Un homme d’une cinquantaine d’année, genre costaud était là devant moi.
Je tentais de remonter mon pantalon.
— Alors, on s’excite sur la littérature ? Ne te rhabille pas continue ton affaire, ça m’excite aussi!
Sur ces bonnes paroles il baisse sa braguette, descend pantalon et slip, affichant une bite plutôt imposante, en pleine érection, gland décalotté.
— Çà donne quoi en vrai ? Cest pas mieux que de lire ? Regarde ! Jai une belle bite ? Hein ? Allez, assied-toi sur le siège tu vas me la sucer.
Toujours plus ou moins débraillé, mal à l’aise, en pleine panique, le voyant, le gars me pousse en arrière et je me trouve sur la cuvette des WC.
Il s’approche et me frotte sa bite contre mon visage.
— Allez mon minet tu vas aimer ça, ouvre bien ta bouche que je te la baise.
J’en avais très envie, depuis le temps que j’en rêve, mais je n’ose pas !
— Monsieur fait le timide ? Un peu de courage, une bite comme ça, avec les couilles bien pleines, on ne trouve pas ça tous les jours.
J’hésitais toujours ! Le gars me tire une claque.
— Bon, il faut que je m’énerve !! Allez, assez discuté ! Tu vas me sucer comme une nana, et jusqu’au bout, je veux te voir tout avaler!! Compris ? Commence par me lécher les couilles et la queue !
Je sortis la langue et commençais à me délecter de cette grosse bite ; Je la léchais de bas en haut, en lui caressant les couilles avec mes deux mains ; C’était hyper génial, mais j’essayais quand même de cacher mes émotions.
Je retardais le plaisir de poser mes lèvres sur son gland et d’avaler sa queue ! Visiblement il aimait ce que j’étais en train de lui faire ; Je bandais comme un dingue pensant que j’allais décharger dans mon slip, sans même me toucher.
Enfin je pris sa bite dans ma bouche et entrepris un va-et vient lentement. C’était encore meilleur que dans mes fantasmes, pourvu qu’il se retienne pour que j’en profite le plus longtemps possible.
Au bout d’un quart d’heure, il me dit :
— Je vais me vider les couilles dans ta bouche et tu vas aimer mon sperme, alors je veux te voir tout avaler !
— O.K. j’en ai envie, elle est si bonne ta bite, vite, décharge tout ton sperme !
Il se contracta et je reçus d’énormes giclées dans la bouche et il sortit sa queue pour m’en mettre sur le visage.
J’ai tout avalé en rabattant même le sperme qui était sur mes joues.
En même temps, j’avais joui dans mon slip.
— Donne-moi ton téléphone me dit-il, tu as eu l’air d’aimer çà la bite, alors je passe toutes les semaines ! Je me réserverai pour ta bouche. La semaine prochaine je passe mercredi, et je suis même avec un copain, alors si tu vois ce que je veux dire ! On te baisera à deux !
Ciao coquin !
Je me suis masturbé à nouveau, en pensant que j’avais hâte d’être à la semaine suivante.