Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick
Pour son anniversaire, Xavier offre un étalon à sa femme.
Je me prénomme Xavier et je suis le mari de Murielle.
Je ne reconnais plus ma femme depuis notre dernier séjour chez ses parents, elle est devenue une amante insatiable et j’en suis le premier heureux.
Elle me demande de lui faire des choses qu’elle me refusait toujours auparavant et nos rapports sexuels sont devenus torrides. Mais je ne suis pas dupe, je me rends bien compte que tout ceci a débuté après sa rencontre avec Patrick, son futur beau-frère.
Je suis sûr qu’il l’a sauté mais comme il a réussit à réveiller sa libido, je ne m’en offusque pas car depuis notre couple va beaucoup mieux. Je suis d’ailleurs entré en contact avec lui et nous avons eu une longue conversation et je lui ai fait une proposition.
— Patrick, je sais que Murielle et toi avez fait l’amour et vu le résultat, même si ça ne fait jamais plaisir, je n’ai pas à me plaindre.
Mais comme je ne veux pas que cette situation perdure, je te propose si tu es d’accord de nous rencontrer tous ensemble et faire une expérience à trois pour qu’elle ne continue pas dans le mensonge au détriment de notre couple et je veux lui faire vivre une expérience nouvelle. – Je ne veux que vous voir heureux. Je ferai comme tu décideras. Me répond Patrick, tiens-moi au courant de la suite.
Comme presque tous les soirs maintenant avec Murielle, nous faisons l’amour.
J’ai découvert ainsi, de mieux en mieux, ce qu’elle aimait. Sous ses tendres baisers qui me picorent le cou, je sens d’infinis frissons de bien-être me parcourir l’échine.
Mais lorsque la main de cette dernière vient se poser sur ma cuisse, ma respiration s’accélère. D’un geste rapide, elle remonte ses doigts jusqu’à la saillie extrêmement dure qui déforme le devant du pyjama, qu’elle empoigne avec ivresse.
Avec énormément de tendresse, elle entreprend de masser à l’aide de ses doigts l’excroissance virile. Elle glisse sa main droite à l’intérieur du pyjama avec laquelle elle se saisit de ma verge tendue à l’extrême, elle referme ses doigts autour de la tige de chair dressée.
Follement excitée à sentir ce sexe bandé contre sa paume, Murielle branle mon membre viril, fait voluptueusement coulisser le prépuce le long de mon gland dilaté.
Elle a envie de sentir ce bourgeon de chair vibrer dans sa bouche, avant d’éjecter sa semence.
Or présentement, la vue du gland rose et gonflé la décide à aspirer ce bonbon de chair entre ses lèvres pour le pomper jusqu’à l’éjaculation libératoire.
Elle a trop envie de sentir mon sperme lui maculer la langue avant de lui emplir le gosier, tandis qu’entre ses cuisses sa vulve s’humidifie un peu plus. Me fixant avec amour pendant que je lui masse consciencieusement les seins, son regard glisse à nouveau jusqu’à mon bas-ventre ou tel un glaive menaçant se dresse mon membre viril, largement décalotté.
Je suis excité et je la veux sans plus de formalité. Elle se déshabille langoureusement pour que j’admire son corps, elle sait que j’aime ça, je bande comme un fou.
Elle prend ma verge et la suce avec une telle fougue que je jouis presque immédiatement.
Elle mène la danse et je ne reconnais plus la femme timorée d’avant ou nos ébats se cantonnaient à un coït classique. L’épouse passive et sans initiative attendant ma jouissance ne la satisfait plus. Je ne peux plus maintenant éteindre le feu qui couve en elle. Elle m’a même avoué que le regard des hommes sur elle l’excite et qu’elle a comme fantasme de faire l’amour avec plusieurs hommes, n’importe lesquels du moment qu’ils puissent lui donner du plaisir.
À mon tour, j’ai envie de me livrer et lui raconte un épisode de ma jeunesse que j’avais oublié. D’un copain qui avait un sexe disproportionné. Dans les douches, quand il se mettait à poil, je voyais son impressionnant machin. Cette queue m’a vraiment marquée et j’imagine la scène avec ma femme, lui s’engouffrant dans sa chatte pendant que je la prends par derrière.
Ce soir-là, je la regarde dans les yeux et lui suggère. – Pourquoi pas une partie à trois pour ton anniversaire?
Elle met un temps pour réaliser ma proposition.
– Oh oui, j’en ai tant envie! Me répond-elle toute joyeuse, tu ferais ça pour moi ?
Je viens de découvrir que ma femme est une vraie " petite salope ". Même pas une hésitation.
Comme je ne supporterais pas qu’elle le fasse sans moi, qu’elle me laisse pour satisfaire ses désirs propres, autant en profiter.
Elle est méconnaissable, on dirait une furie. Elle est sur moi, mon pieu au chaud dans sa grotte, elle monte, descend, tourne son popotin comme une danseuse orientale. On dirait une pro en action. Elle m’avoue quand même :
– C’est toi que j’aime, mais je voudrais tant réaliser ce fantasme. Excuse-moi ! Baise-moi encore. C’était trop bien !
Sur ces paroles, nous reprenons nos ébats et ça se termine quand j’éjacule dans son cul, dans une extase inégalée. La nuit c’est terminé très tard ce soir là avec ma petite salope et on a fait l’amour plusieurs fois.
Quelques jours plus tard, le jour de l’anniversaire de Murielle, j’invite Patrick à la maison sans la prévenir, et quand elle rentre elle est surprise de le voir là et me regarde avec interrogation et envie. Je la rassure :
— Je sais déjà pour vous deux, je te pardonne et je crois que c’est la personne que tu souhaites pour cette partie à trois, n’est-ce pas ? Elle me saute au cou et m’embrasse toute confuse en me glissant un « merci » dans le creux de l’oreille. Puis elle va vers Patrick assis sur le divan, se penche et l’embrasse fougueusement.
Murielle est toute excitée, elle me sourit avec un regard très gourmand, pose sa main discrètement sur la bosse du pantalon de Patrick qui lui répond en caressant les cuisses de Murielle, ils s’embrassent comme des ados avec fougue et gourmandise, comme si je n’étais pas là.
Il glisse la main entre les cuisses de ma femme pour lui caresser la chatte à travers le string. Murielle a un sexe bombé. Le spectacle est torride. Cela commence à me faire bander.
La fine dentelle épouse la bosse, bien fendue en son milieu, et s’incruste dans son pubis quand Patrick glisse un doigt entre les lèvres charnues. Elles sont d’un marron nacré et rose à l’intérieur.
Je suis sûr que son clitoris est gonflé sous les caresses. Elle se redresse pour enlever sa jupe et son bustier puis déshabille Patrick.
Quand il est en slip, elle caresse sa verge à travers le tissu et je devine son chibre en train de s’allonger à vitesse grand V. La longueur de sa verge devient si imposante qu’elle écarte l’élastique de son ventre plat et continue sa croissance. Murielle lui retire ce dernier rempart de tissu mais reste en string et escarpins.
Putain de merde!! Je vois enfin son engin en entier, une vraie barre-à-mine!!!! Son sexe est vraiment très long (et tient la comparaison avec le souvenir de celle de mon copain), sa verge est aussi longue, mais d’une épaisseur phénoménale. J’en ferais des complexes avec mes treize centimètres tout en finesse.
Murielle le chevauche et se colle à son dard, elle se frotte contre la colonne de chair, ondulant des fesses comme pour se l’incruster dans la fente, ils en profitent pour se rouler un patin d’enfer pendant de longues minutes.
Je suis à deux mètres d’eux, je n’y tiens plus, je me défroque aussi pour un plaisir solitaire.
La scène est hard et très belle. Murielle se met à genoux pour le sucer, elle doit ouvrir sa bouche au maximum pour gober ce gourdin, une vraie bite de cheval, ma femme pompe une bite de cheval!!!
Tel que je la connais, elle doit avoir le con complètement noyé. Patrick doit penser la même chose. Il lui enlève habillement son string trempé de sa mouille.
Je vois ma femme complètement nue, s’échinant à pomper ce putain d’étalon !
Mais Patrick ne veux pas rester inactif, il allonge délicatement Murielle pour goûter à son abricot, écartant ses cuisses pour découvrir les lèvres de ma petite salope qu’il admire un petit moment avant de lui brouter le minou.
J’entends le clapotis de la langue de Patrick dans l’abondante liqueur de femme infidèle qui coule entre les lèvres de ma princesse. Il doit savoir s’y prendre car elle miaule, elle glousse, le souffle court. Un orgasme violent l’envahit dans une tourmente qui la fait geindre et crier: – Oh ouuuiii ! Encore ! Continue ! Aaarrrggghhh !
Ses yeux roulent dans leurs orbites. Son plaisir est décuplé encore par le plaisir de s’offrir devant moi à un homme doté d’une véritable poutre. Je n’ai jamais bandé aussi dur.
Il hume son sexe, soulevant un peu sa croupe pour voir son anus et commence à la laper consciencieusement, puis plus rapidement et profondément.
Elle ne couine pas, elle hurle de plaisir. La salope ! Je constate avec aigreur que je n’ai jamais atteins un tel résultat uniquement avec ma langue.
Elle pousse son pubis au devant du visage de Patrick pour que sa langue la pénètre et la fouille dans les moindres recoins. Cette salope s’abandonne totalement à ses talents buccaux. Et je reste là à admirer la technique de Patrick en me branlant le manche. Elle a tapé dans le haut de gamme comme amant !
Entre les cuisses de Patrick, une barre toujours aussi grosse tressaute, dont le gland essaie de s’échapper du prépuce. Je comprends qu’elle apprécie mon cadeau d’anniversaire ! Aux réactions de ma vicieuse de femme en « déballant le cadeau », je comprends qu’elle en attend un énorme plaisir.
Je me rapproche pour profiter du spectacle car il va enfoncer son Pieu phénoménal dans le tout petit con de ma femme. Je veux la voir se faire pénétrer par ce piston de forge, je me mets derrière elle en tailleur et pose sa tête sur mes cuisses. J’attrape ses jambes qu’elle a relevées par les chevilles et les passent sous mes bras, relevant ainsi son bassin au maximum pour bien profiter du spectacle
Elle n’a pas besoin d’être lubrifiée tellement elle est mouillée.
Avec une infinie douceur, prenant tout son temps, il enfonce calmement le gland mafflu en elle. Je m’attends à des cris de douleurs et des gestes instinctifs de refus devant un tel obusier. Mais je n’en reviens pas de voir ce gourdin entrer en elle comme dans une du beurre. Je suis un peu déçu. Je n’entends qu’un râle de plaisir et des « encore », « plus fort », « plus loin ».
Sa chatte est déformée par cet énorme chibre et elle en redemande !
Je suis le mari cocu et passif en extase devant un engin monstrueux qui déflore et dépucelle des zones de la chatte de ma femme que je n’ai jamais pu atteindre. Je suis jaloux et en même temps fier des plaisirs que j’offre à mon épouse, j’admire ce mâle qui plonge au plus profond de Murielle son fier étendard qui réclame son dû.
Elle gémit et crie à chaque butée dans le fond de son vagin. Comment une femme peut jouir de la douleur de ces coups de boutoir et les réclamer par des mouvements de bassin ? Patrick en profite pleinement, le sexe couvert de mouille blanche à chaque sortie, en plongeant profondément au rythme de ses poussées puissantes. Je la sens envoûtée par cette chevauchée magistrale, les yeux révulsés, la bouche ouverte et gémissante, le corps couvert de frissons de plaisir et de douleur.
J’ai sciemment demandé à mon futur beau frère de se glisser entre les cuisses de ma femme et de la piner avec son prodigieux bélier. Je dois être cinglé ! Pris de colère, je demande à Murielle :
— Tu sens comme il a envie ? Tu aimes ça, salope ? Etre bourrée par une grosse bite ! Ca me fait bander de le regarder te baiser ! Qu’il prenne du plaisir juste à te bourrer pour se vider les couilles !
Sans se dégonfler, elle me rétorque :
— Oh oui et j’espère que ça t’excites! Il a envie de moi et toi aussi, j’aime sentir sa grosse queue, être sa salope, sa pute !
Il recule lentement, sortant presque son sexe pour me laisser voir le début de son gland, couvert de mouille, puis le rentre entièrement dans son fourreau.
Elle est totalement ouverte et l’entrée de son vagin bée, rouge du frottement du membre dans ses chairs qui épousent tellement son soc qu’à chaque fois qu’il se retire, un anneau se forme autour de sa hampe disproportionnée tellement elle est épaisse.
Ma nouvelle lubie est de le voir s’introduire de derrière ! Je suis là, accroupi entre les jambes du cocufieur et je vois entre ses fesses musclées son membre s’enfonçant et écartelant la chatte de ma dulcinée.
Ce qui m’excite le plus ce sont ses boules. Elles ressemblent à des balles de tennis et je veux les caresser, les masser, les soupeser pour sentir ce qu’il va lui déverser dans le fond de son vagin. Après de longues hésitations, je prends ses couilles dans ma main droite. Elles sont chaudes, dures et pleines. Il ne dit rien. Je m’enhardis et attrape son pieu. Il me laisse faire, et signe qu’il apprécie, il reste même un moment avant de le ré-enfoncer. Il aime le contact de ma main et les caresses masculines, ce cochon ! Je tiens sa queue et l’accompagne à chaque pénétration, la sentant dure et vibrante de désir.
Du coup, il accélère, se met à grogner, se raidit et pousse un cri de jouissance et de libération. Il s’affale sur ma pauvre petite femme. Je reste là, tenant sa bite qui reste incroyablement dure et qui n’arrête pas de se vider, sentant sourdre sous mes doigts le flot de sperme qui remplit la chatte de ma femme et déborde sur ses fesses.
A suivre