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Ma féminisation progressive – Chapitre 5




Lorsque j’arrivai chez moi, mon premier réflexe fut de prendre une douche.

Autant être travestis par une femme ne me dérangeais pas, et autant j’étais arriver à faire abstraction de ma tenue dans la rue, mais je dégoûtais moi même en pensant que j’avais laissé un homme me branler.

Comment avais-je pu y trouver du plaisir? Et puis, où avait-il lui, trouver du plaisir à m’infliger ça?

Par pur domination? Était-ce un gay qui prend du plaisir à branler d’autres mecs?

Je ne le comprenais pas….

Je lança une machine à laver, pour nettoyer les affaires que Catherine m’avait prêter car elles étaient pleine de sperme et m’allongea sur le lit et me changea les idées en regardant la télévision pour le reste de la soirée.

Lorsque je me réveilla le lendemain matin, les images de la veille me revinrent.

D’abord l’écoeurement de l’épisode du métro mais ensuite, lexcitation et le plaisir ressentis des moments passé avec Catherine.

C’était le genre de femme qu’il me fallait. Je voulais la revoir qu’importe les règles de son prochains jeu.

Son texto arriva vers quatre heures de l’après midi.

Elle me demandait si elle pouvait passer chez moi et bien sûr je lui répondis qu’elle était la bienvenue.

Elle arriva une demi heure plus tard dans une longue robe noire et chaussé d’escarpins assortis à sa robe.

Ses longs cheveux détachés retombaient sur ses épaules.

Elle me demanda d’abord, avec un ton malicieux si je m’étais remis de mes émotions de la veille et si j’avais aimer ce qu’elle m’avait fait subir.

Évidemment, je ne lui parla pas de l épisode du métro, mais je lui fit comprendre que j’avais apprécié le temps passer avec elle.

Elle me demanda alors si j’étais partant pour aller au cinéma avec elle.

Jacceptais volontiers son invitation et elle me dit alors:

-"Va te doucher alors, je te prépare tes affaires!"

Je lui souris en pensant qu’elle allait sans doute en profiter pour jouer à un nouveau jeu dont je serais la proie.

Je partis dans la douche me laver et je revins dix minutes plus tard, en peignoir dans la chambre.

Comme je m’y attendais, elle avait déposer une tenue, sur mon lit, qui m’était destinée.

Il y avait une large culotte de coton assortis à un soutiens-gorge. Une chemise en soie noire avec une ensemble veste et pantalon de tailleur noir. Elle avait rajouter des chaussures de ville à petit talon.

A vue dil, j’aurais dit que le talon faisait à peine un ou deux centimètres.

Elle avait également mis à ma disposition une petite paire de bas qui me remontait jusqu’à mi mollet.

J’enfilais le tout avec une certaine excitation et me dirigea vers la cuisine où je l’entendais travailler.

En effet, elle nous préparais un jus de fruit maison.

En entrant je lui demandais:

-" Ça ne fait pas un peu trop féminin quant même tout ça?"

-"Non, me dit elle, ça reste un tailleur et qui veux tu que ça gène? Tu as le droit de t’habiller comme tu veux! Pour le peu de personnes qui vont le voir en plus… Et puis moi, je te trouve très belle ainsi…"

Ainsi donc, son jeu de ce soir consistait encore à me faire sortir en tenue légèrement féminine mais par petite touche.

En effet, quant je me regardais dans la glace, on notait une touche de féminité dans ma tenue mais ça n’était pas exagérer.

Certains gays s’habille de manière plus féminine et on leur dit rien pensais je.

Et puis elle avait raison, on allait nous rendre au cinéma et en revenir en voiture, et lors du film, la salle serait plonger dans le noir. Peu de monde ferait attention à moi et mon accoutrement.

-"Par contre, avant d’y aller j’ai une surprise pour toi!! mannonça t’ elle toute souriante.

-"Comme j’ai vu que tu appréciais mes caresses d’hier, je t’ai ramené ceci! me dit elle en me tendant une petite boite rectangulaire.

Lorsque j’ouvris cette dernière, je découvris à l’intérieur un petit cylindre d’environ six centimètre de long pour un centimètre de diamètre.

-"C’est quoi?" lui demandais-je

-’Tu ne le sais pas? Laisse moi alors le mettre en place."

Elle se rapprocha de moi, saisit ma ceinture, la défit de même que les boutons de mon pantalon.

Je commençais à comprendre où cet objet pouvait terminer sa course.

Cela dû se voir sur mon visage car elle me sourit en baissant ma culotte de coton.

-"Ceci, me dit elle en passant derrière moi, est un petit objet qui peux faire beaucoup de bien."

Elle mouilla l’un de ses doigts et l’appuya sur mon anus puis elle m’ordonna.

-"Penche toi en avant et écarte les jambes.

Je fis ce qu’elle me demanda sans réfléchir, elle caressa alors mon cul et m’y enfonça l’un de ses doigts.

Elle recommença ses va et viens puis retira son doigt.

Je sentis alors le contact avec l’objet froid se poser au seuil de mes fesses.

Elle le poussa légèrement à l’intérieur…

Puis encore un peu…

Et encore un peu plus…

Progressivement cet objet prenait sa place.

Je contracta mes fesses et sentis mes joues avaler cet objet.

Je contracta encore une fois ou deux mes muscles fessiers et je le sentis s’enfoncer encore un peu pour bien se caler dans mon cul.

Avec ses mains, maintenant libre, Catherine me saisit le sexe et me dit:

-"J’adore l’effet que mes attouchements sur ton petit cul te font!".

Puis elle remonta mon pantalon et boucla la ceinture.

Je bandais fort comme un taureau et voulu protester et lui dire que j’avais envie d’elle là, maintenant, mais elle sembla lire mes pensées et me tendit le jus de fruit qu’elle avait préparer.

-"Trinquons à cette nouvelle soirée qui ne fait que commencer."

Je bus le verre d’un trait puis nous sommes partis pour le cinéma.

Nous sommes arrivés, un peu avant la séance et notre attente au milieu d’autres personnes fut moins pire que ce que je pensais.

Au bout de quelques minutes, j’avais oublié la tenue que je portais et je me sentais à l’aise même si je sentais encore ce cylindre en moi à chaque pas.

Catherine avait choisi un film d’horreur qui était sortit depuis plus d’une semaine.

La salle n’était pas très grande , et nous étions une dizaine maximum quand le film commença.

Lorsque les lumières s’éteignirent, je sentis mon siège commencer à vibrer légèrement presque imperceptiblement.

Je me demanda depuis les sièges de cinéma étaient équipés de ce dispositif jusqu’à ce que ces vibrations s’amplifie.

J’avais tort. Ça n’était pas le siège qui vibrait, mais le cylindre que j’avais en moi.

J’avais en moi un mini-gode vibrant! C’était pour moi, ma première expérience avec ce type d’objet.

Je me tourna vers Catherine. Elle me regardait en souriant, contente d’elle.

C’est elle qui avait la télécommande et qui gérait les vibrations à distance.

-"Détends toi ma belle, et profite" me dit elle.

Petit à petit, elle augmentait l’intensité des vibrations et se plaisait à me voir me tortiller sur mon siège.

Puis, quelques minutes plus tard, tout redevins calme.

Je souffla pour me calmer, car ma température corporel venait de grimper de 10 degrés en 5 minutes.

Quant je me sentis redevenu calme, je me retourna vers elle.

Je la vis remonté sa robe tout doucement jusqu’à ses hanches.

Elle ne portait aucun dessous. Elle écarta très largement ses cuisses afin que je puisse voir toute son anatomie.

Je me pencha sur son siège pour aller embrasser son joli minou tout lisse mais elle me retins avec un de ses bras.

-"Pas comme ça, je te veux a genou devant moi."

Alors je pris position, à ses pied, face à elle, entre ses jambes.

A peine avais-je commencé à avancer ma tête vers son sexe que ses mains me prirent par les cheveux et me propulsèrent vers ses lèvres déjà humide de plaisir.

Je lapais ses lèvres et tentais d’aller le plus profondément possible en elle avec ma langue. A son tour, elle se tortillais de plaisir. Sa jambe droite se releva et se posa sur mon épaule gauche et sa jambe gauche fit de même avec mon épaule droite.

Je jouais le rôle d’une sangsue.

Mes lèvres étaient collées à son sexe et léchaient tout son jus qui coulait.

De mon majeur, je la pénétra en continuant mon travail buccal et je l’entendais commencer à gémir.

Elle aimait ce que je lui faisait, et j’aimais le lui faire.

Elle me saisit les mains et les fis remonter jusqu’à sa poitrine.

J’empoignais ses seins déjà ferme et me mis à les caresser, les malaxer.

Alors que je commençais à lui pincer ses tétons, je sentis mon fessiers recommencer à vibrer.

De plus en plus fort. Elle, de son coté, poussait des petits cris de plaisirs.

Je compris enfin pourquoi elle avait choisit un film d’horreur.

Ça n’était pas pour pouvoir se blottir dans mes bras lorsqu’elle aurait peur.

C’était pour pouvoir gémir en faisant croie aux autres spectateurs que ses cris étaient des cris de peur ou de surprises.

Le cylindre s’activait à fond dans mon cul, de même que ma bouche sur sa chatte ou mes mains sur ses seins.

Catherine donnait des coups de bassin, je suppose qu’à ce moment là, elle aurait aimer sentir en elle une bonne grosse bite mais elle appuyait pourtant encore fort avec ses cuisses sur mes épaules m’empêchant de me relever.

Elle coulait de partout, ce qui me poussa à redoubler d’effort pour la combler.

Enfin, je la sentis trembler et avoir des spasmes incontrôlables.

Elle jouissait…

Silencieusement.

Lorsque je releva la tête vers elle, elle se mordait encore la langue, les yeux fermées.

Elle me caressa les cheveux quelques instants avant de rouvrir les yeux en me souriant.

Elle retira ses jambes de mes épaules, stoppa les vibrations de mon cul et me demanda de me rasseoir à ses cotés.

Elle réajusta sa robe, changea de siège pour venir à ma droite car son siège était trempé.

Puis elle posa sa tête sur mon épaule.

Nous avons ensuite regarder la fin du film, sans dire un mot, comme ça sans bouger.

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