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La laverie – Chapitre 1




Durant l’été, le collège étant fermé, nous cherchions toutes les occasions de nous voir et d’assouvir notre passion pour le sexe. Pour la première quinzaine, j’avais réservé un appart en village vacance au bord de la mer. Pauline, soi-disant en vacances avec une vieille copine, complice pour l’occasion, y était avec moi. Son mari travaillait et avait l’habitude qu’elle parte ainsi sans lui pendant ses longs congés d’été. Nos journées se partageaient entre un peu de tourisme, des séances de plages où nous repérions d’autres coquins et coquines, de nombreuses séances de sexe et se terminaient dans un lit, pas forcement le nôtre ou dans un club libertin, très prisé en été Malgré ce délicieux programme, certaines taches ménagères se rappelaient à nous. Ce matin, c’était la lessive et c’était pour ma pomme. Initialement, c’était son tour, mais avec force argumentation et surtout une très agréable fellation, elle m’avait convaincu de lui assurer ce service Il faut dire qu’elle sait me sucer comme personne, et lorsque sa langue joue avec mon gland, je lui suis soumis. Et le fait qu’elle me pompe jusqu’à la dernière goutte, avalant tout mon nectar sans en perdre une seule goutte me laisse cruellement à sa merci !

Ce matin-là, je me rendais donc à la laverie du village avec mon sac de linge pendant que Pauline se prélassait au lit après sa pipe de négociation. J’étais impatient de rentrer pour pouvoir m’occuper de son abricot délicieux. Je la savais totalement mouillée, comme à chaque fois qu’elle suçait une queue (la mienne ou celle d’un autre), et je m’imaginais déjà glissant avec délice en elle. Dans mon sac, outre ma dosette de lessive, il y avait essentiellement nos sous-vêtements vu que nous en changions plusieurs fois par jour étant donné le rythme de nos ébats estivaux.

Arrivé au local, j’ai l’embarras du choix pour la machine, aucune n’étant utilisée encore. Je prends la plus centrale, simplement parce qu’une chaise est à proximité, lit le mode d’emploi et commence à mettre mon linge dans la machine quand je suis salué par un bonjour suave. Pas besoin de me retourner, je reconnais cette voix : c’est Marité, notre voisine de village.

Nos maisons sont mitoyennes de dos, mais nos cours partagent une barrière commune. Nous la voyons souvent elle et son mari puisque nous prenons nos repas sur la terrasse aux mêmes horaires.

Lui est un grand black antillais assez taciturne qui part souvent à la pêche tôt le matin et rentre tard l’après-midi. Marité est assez petite, moins de25 ans je pense, black aussi, avec un cul à faire bander un mort et des seins énormes. Elle a accouché il y a 6 mois et continue d’allaiter. J’ai eu l’occasion d’admirer le charmant tableau l’autre jour dans la cour quelques minutes. Elle me voyait et j’ai eu l’impression qu’elle prenait plaisir à exhiber ses seins devant moi. Au bout d’un moment son mec est arrivé et alors elle est rentrée dans son salon. Nous en sommes restés là, mais j’avoue que depuis cette poitrine m’obsède. Pauline dit que je devrais la brancher, mais l’occasion ne s’est pas encore présentée Jusqu’à maintenant.

Je me redresse donc et j’ai le plaisir de la contempler en robe de nuit, une sorte de long t-shirt en coton qui lui descend juste sous les fesses et à travers lequel ses seins se découpent nettement. Ses tétons sont tendus et marquent franchement le tissu. Je bande immédiatement. Je m’approche pour lui faire une bise, enfin trois chez elle, et j’en profite pour me serrer contre elle. Je sens ses seins contre moi. Je suis tellement excité que j’ai l’impression qu’elle aussi pousse contre moi

« On vous a encore entendu hier soir (j’avoue que la nuit a été torride)

Oups, désolé, je pensais que c’était mieux isolé, nous on n’entend rien.

Depuis la naissance, Titouan ne me touche plus Confesse-t-elle en baissant la tête.

Oh, mince. »

Je reste comme un con, considérant comme un crime de délaisser une si belle femme.

Elle a ouvert sa machine et commence à y mettre son linge. À chaque fois qu’elle se penche vers sa corbeille, son court t-shirt remonte et dévoile un peu plus son cul. Elle ne semble pas y faire attention. Moi, je n’en perds pas une miette et aperçois bien vite une légère toison qui ne cache pas une chatte délicieuse et surtout dégoulinante. Elle mouille comme une folle. Je viens à côté d’elle et pose une main sur son cul que je caresse doucement. Elle ne bouge plus, pétrifiée. « Je crois que tu as vraiment besoin qu’on s’occupe de toi » elle ne répond pas, mais je sens son souffle s’accélérer Ma main descend jusqu’à son abricot et à peine ai-je touché ses grandes lèvres qu’elle se met à onduler. Elle dégouline sur ma main tellement elle est excitée. Je porte mes doigts à ma bouche et goûte son jus. Sa cyprine est presque sucrée, c’est la première fois que j’en trouve une aussi douce. Je ne résiste pas à l’envie de la boire et je viens coller ma bouche sur ce sexe liquéfié. Elle pousse un petit cri d’encouragement et se colle contre moi. Je tends ma langue dans sa vulve et goutte son délicieux nectar. Elle mouille vraiment beaucoup et je lape son jus. Je fais ensuite glisser ma langue de son périnée à son clito et je la sens frémir sous ma caresse. Je prends le chemin inverse et sa vulve s’ouvre à mon passage. Sa chatte est béante, suite à son accouchement je pense. Je pousse ma langue loin dedans, mon visage s’enfonce presque en elle, c’est jouissif. Je sens qu’elle réagit particulièrement bien et j’entreprends de la pilonner avec ma bouche. Ma langue glisse dans sa vulve, mon menton et mon nez viennent buter contre ses petites lèvres Elle se cramponne à la machine et commence à gémir de plus en plus fort. Je me retire avant d’attirer tout le voisinage et viens l’embrasser avant de lui proposer de continuer chez nous. À ce moment je remarque de larges auréoles autour de ses seins

Elle voit mon regard intrigué et m’explique que quand elle est excitée, son lait coule tout seul. La simple évocation de ce phénomène me met dans un état second. J’ai toujours eu envie de téter une femme, mais sans jamais en avoir l’occasion. Autant dire que là, je ne vais pas me faire prier. Je relève totalement sa robe de nuit pour découvrir ses seins lourds et ronds. Elle a de grandes aréoles marron et des tétons superbes, au bout desquels perlent des gouttes blanches. Je ne peux résister et viens en téter un avec délicatesse. Je prends sa pointe entre mes lèvres et aspire quelques gouttes de son lait coulent sur ma langue. Son jus est plutôt amer, je m’attendais à quelque chose de plus sucré. Il est tiède. Je presse légèrement mes lèvres et cela coule franchement de son sein : j’adore ! Je relâche ma pression, mais le lait s’échappe encore par un petit jet. Je viens goûter son deuxième sein. Cette fois, j’ouvre grand la bouche et avale le plus possible son mamelon. A peine ai-je fermé la bouche que des petits jets touchent le fond de ma gorge. J’adore cette sensation. Le goût est particulier, mais pas désagréable.

Je bande comme un fou et du sperme sort légèrement de mon gland tellement je suis excité. Je baisse mon short et mon caleçon en même temps que je presse ma langue contre le téton et je sens avec plaisir le débit augmenter. Je guide sa main sur ma queue qu’elle enserre délicatement. Elle passe son pouce sur mon gland et marque une pause au contact du sperme. Elle relâche son étreinte, porte ses doigts à sa bouche et les lèches puis reviens prendre ma queue et la branle doucement. Pendant ce temps, je pompe goulûment son lait, en malaxant son sein avec ma bouche. Je retire ma bouche mais la garde ouverte devant elle pour accueillir encore son lait qui fuse de son téton. Je redescends sa robe, remets mes vêtements et l’entraîne chez nous

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