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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 26




Vendredi arrive vite. Il est 15 h 00 quand je rejoins Pierrot. Anxieux, moi, pas Pierrot, car c’est le jour d’examen pour Mélissa. Je me ronge les sangs, fais les cent pas, bref, je stresse.

Elle a été première à ses examens blancs, non ?

Oui, mais là, c’est du sérieux.

Pourquoi, elle t’a montré qu’elle était volage, peut-être ?

Non, non, mais tu sais que cet examen va lui ouvrir plein d’opportunités ?

La porte du club s’ouvre. C’est Mélissa. Elle arbore un sourire qui lui remonte jusqu’aux oreilles. Je vacille et m’assois dans un divan. Elle s’avance vers moi et nous annonce :

Vous avez devant vous le major de promotion… TAN-TAN.

Elle me saute dessus, on se baise la bouche plus que l’on s’embrasse. Pierrot vient derrière Mél et lui tend un paquet.

De la part de ton Pierrot… Va vite l’essayer.

Elle se relève tout en m’embrassant et me dit qu’elle revient très vite. Elle disparaît derrière la grosse tenture qui sépare la salle et l’entrée. On entend rire la petite Li et Gégé. La porte s’ouvre, c’est le reste de l’équipe qui arrive. Ce n’est qu’éclats de rire et de gloussement, je reconnais les voix de Laétitia, maîtresse Annie. Titi rentre en tenue de scène. Pierrot est sous le charme, moi également. Elle a fait fort. Elle porte une robe noire courte en cuir très fin avec une fermeture Éclair sur le devant. Sa poitrine est coincée derrière un voile de fine dentelle, décoré de lanière en cuir qui rejoint une bride au niveau du cou et des bas autofixants. Elle est splendide. Elle s’approche et nous saisit par la nuque.

Alors, les garçons ?

Tu es magnifique, répond Pierrot, vraiment superbe.

Je me rassois et admire cette étrange créature. Rien ne permet de dire que c’est un mec. Elle fait vraiment femme. Comme un zombie, je me lève et vais chercher son contrat.

Elle le signe sans même le lire en me disant que la confiance est très importante pour elle. Pierrot lui répond qu’elle peut s’abandonner à mes bons soins, que j’étais le meilleur des patrons, que j’étais réglo et droit. Je le stoppe et propose à toute l’équipe de venir boire une coupette.

J’en avais presque oublié Mélissa et Aïcha qui font leur entrée. Mélissa est dans une tenue d’infirmière en latex. Le blanc lui va à ravir. Le serre-tête et la petite croix rouge sur son sein gauche soulignent parfaitement le côté coquin de sa tenue. Le bas de sa blouse est des plus provocateurs. Je remercie Pierrot pour y avoir pensé. Aïcha porte le string officiel, elle part en salle.

22 h 00, les premiers clients arrivent. Li, en grande professionnelle, les accueille, les dirige vers le bar. Les attractions du jour sont Mél et Titi. Elles sont toutes les deux assises sur des tabourets du bar, croupe à l’air. Des mains s’égarent sur leurs fesses sublimes, mais totalement différentes. On leur caresse leur joli cul.

Un mec est sorti manu militari de l’établissement par Pierrot, il venait de manquer de respect envers sa Gégé.

Valérie et Aurélie arrivent. Devinez qui tient l’autre en laisse. Aurélie vient vers moi en laissant Valérie seule. Elle m’embrasse plus qu’affectueusement.

Bonjour Jean. Merci pour ce que tu as fait pour notre couple, on vit une expérience unique. Merci encore.

De rien, ma grande, amuse-toi bien.

Bob me surprend, car il est seul, pas de Coco en vue. Il me dit qu’elle se prépare dans le vestiaire, je vais être étonné. Il est nu et sa bite est coincée dans une cage de chasteté. Pour avoir déjà testé avec une de mes anciennes amantes, je sais que cela peut devenir vite inconfortable. L’arrivée de sa fille ne se fait pas attendre et je comprends qu’elle ait attendu d’être arrivée pour se changer. Elle porte une tenue, une combinaison en latex rouge, lui soulignant ses formes. Ses petits seins sont nus et son ras du cou et des plus ravissants. Coco est chaussée de chaussures à talons interminables. Elle est très sexe, pas du tout vulgaire.

Bonsoir, Maître Jean, j’ai soif.

Elle n’a même pas calculé son papa, elle s’assoit au bar et m’attend. Je lui dis qu’elle est ravissante, elle me sourit en portant sa flûte à ses lèvres légèrement maquillées. Je n’avais pas remarqué qu’elle s’était fait percer les seins de deux petits anneaux.

J’en ai trois autres… me dit-elle.

Mélissa et Laétitia nous rejoignent. Elles embrassent Coco, elles tapent sur la queue de Bob qui grimace. Pierrot est occupé à apprendre les coups de fouet à Annie. Elle apprend vite. On entend claquer les coups qui cinglent le dos de "Mignon". Mélissa m’invite à danser, Laétitia nous suit. Comme je m’y attendais, Laétitia prend ma chérie dans ses bras et danse lascivement, frottant son sexe sur la cuisse de Mél. Moi, je me colle dans le dos de Mél et lui palpe sa grosse poitrine. Je suis fière de ma petite infirmière.

Aurélie et Valérie sont à quelques mètres de nous et se bouffent la langue. Elles vont bien ensemble, chacune d’entre elles ayant accepté sa position.

Les clients affluent, Li se démène comme une cheffe à l’accueil. Elle enchaîne abonnement sur abonnement.

Gégé, Julie et Sébastine enchaînent bouteille sur bouteille. Je décide d’aller jouer au serveur et de m’inquiéter du bon accueil qui leur est fait. Mél, Laétitia et Aïcha me volent mon idée et c’est une jolie infirmière, une dominatrice sexy et une jolie Magrébine qui servent les bouteilles et autres cocktails. Je rejoins Pierrot au bout du zinc.

Alors mon grand, dis-je, heureux ?

Oui, pfffttt, il fait chaud ici. Va falloir revoir la clim.

Tu es fou. C’est la température idéale pour que les clients consomment et se dénudent. Regarde là-bas…

Je lui montre une table où une nana est en train de se faire un Gang-Bang. Huit mecs sont autour d’elle et pas un orifice, pas une main, pas un sein n’est libre. Elle a même l’air d’aimer sa position.

Oui, pas con. Je vais faire un tour dans les salles voir si tout se passe bien.

À peine est-il parti, je sens une main sur mon entrejambe. C’est Sophie, ma banquière. Je la regarde, elle baisse les yeux. J’apprends qu’elle est venue seule, son mari étant parti à l’étranger pour affaire.

Viens, suis-moi, j’ai des personnes à te présenter. Je lui présente Coco et son père. Bob est ravi, Coco aussi. Elle les prend par la main et l’entraîne vers une des croix et les attache face à face. Elle les fait s’embrasser pendant qu’elle leur donne des coups de martinet non retenus. Les couilles de son papa et l’entrejambe de Sophie n’en sont pas épargnés. Ils semblent se délecter de ce traitement. Je les laisse et je suis accaparé par Pierrot.

Petit cachotier, tu t’es fait mettre par le trans ? Et tu ne m’as rien dit ? Tu la veux pour toi tout seul ? Allez, c’est normal. Si je n’avais pas Gégé, Li et la petite Cendrine, je me la serai bien accaparée. Tu sais, je ne suis pas jaloux, alors profites-en, vieux frère.

Euh, tu sais, elle n’est pas qu’à moi… Tu…

HOP, HOP, HOP… Vu comment Mél et Titi te dévorent des yeux, cela ne m’étonnerait pas que tu repasses à la casserole dans peu de temps. HAHAHA, dit-il en s’éloignant.

Au fait Pierrot, à propos de Cendrine ?

Je l’ai mise avec Li. C’est une vraie mère poule.

Il s’en va rejoindre les deux jumelles. Je cherche du regard ma future femme et je l’aperçois vautrée dans un divan et entourée de deux vieux, la soixantaine bien tassée. Ils ont l’air d’être intéressés par la volumineuse poitrine de ma jolie blackette.

Aïcha sert les bouteilles, Laétitia est occupée par un couple que je ne connais pas. Je la laisse, je vais voir comment s’en sort la petite Li et la jeune Cendrine. Derrière la tenture, il y a foule. Les clients veulent tous des abonnements ou des forfaits. Intelligente, Li a doublé le prix de ces derniers, au profit des abonnements.

Coquine, je lui souffle, tu te défends bien. Où est Cendrine ?

A sa place, me répond-elle en montrant le dessous du comptoir.

La petite est en train de lécher les doigts de pieds de sa mère adoptive. Je caresse le cul de Li. Elle en frissonne.

Pierrot ne t’en fait pas trop baver.

Non, depuis qu’il a un autre souffre-douleur, ça va, on dort même ensemble.

Ah, et ça va, tu es bien, heureuse ?

Hum, oui, et grâce à toi.

Je l’embrasse dans le cou, elle en frissonne. Je lui souris et je caresse la petite tête de Cendrine.

Je te laisse… Je vais…

Rejoindre Laétitia ? Hihihihi…

Je pars comme un mec à la recherche de quelque chose, mais quoi ? Mélissa a abandonné ses deux mecs, pas pour bien longtemps, elle réapparait, seins dénudés et portant une énième bouteille de champagne. Elle me voit et me fait un clin d’il. Sitôt assise, les bouches gourmandes s’emparent de ses tétons. De la tête, elle me montre Laétitia et me sourit. Puisque j’ai l’aval de ma Mélissa, je pars en direction de la belle trans. J’arrive dans son dos et la prends par les hanches. Elle pousse ses fesses sur le tabouret et vient en contact avec ma bite toujours cachée dans mon futal.

Hum, Monsieur Jean veut remettre le couvert ?

Non, juste te payer un verre ?

Désolé, mais j’attends un couple, charmant par ailleurs. Ils sont partis visiter les salles.

Cela ne t’empêche pas de prendre un verre avec moi.

Si vous insistez.

Je fais signe à Pierrot qui nous sort une bouteille millésimée. Il prend trois verres et nous rejoint. Il a la queue sortie de son pantalon. Elle est tout humide.

Je teste le personnel. Je confirme, ce sont de vraies jumelles… HAHAHAHAHA…

T’es qu’une bite sur pattes…

J’en profite, c’est pas quand je serais en fauteuil…

Je serais là mon papounet d’amour, vient de lui dire Gégé.

Tu dis que des conneries… Quand tu auras trouvé…

Elle le stoppe avec un baiser passionné. On les regarde avec tendresse.

Putain, qu’ils sont beaux… dit Laétitia. Mais c’est vraiment sa fille.

Pierrot, qui a l’ouïe fine, lui raconte succinctement son lien qui l’unit à Gégé. Elle comprend et on trinque tous les quatre. Laétitia trépigne sur sa chaise. Je lui demande de s’arrêter avant que n’éjacule dans mon pantalon. Elle me dit qu’elle serait désolée de gâcher un si précieux nectar, elle s’avance sur son siège. Ouf, j’étais vraiment à deux doigts.

Les deux jeunes, 25-30 ans environ, reviennent et chuchotent à l’oreille de Titi.

Allez, action, dit-elle en se levant, à tout à l’heure, à moins que tu veuilles venir avec nous ?

Non, je ne voudrais pas déranger…

Je regarde Mél, toujours occupée à servir les deux vieux. Ils ont sorti ses seins et chacun s’occupe à les sucer. Elle me voit et me fait un large sourire, accompagné d’un clin d’il. Je suis fier d’elle… Major de promo… Merde alors. Je me retourne vers le bar. Je vois Pierrot discuter avec une vieille que je ne connais pas. Elle est habillée très sexe. Il me fait signe d’approcher et j’apprends bien vite qu’elle est une riche fortune de la région et qu’elle a été invitée par Sophie, ma banquière. Elle se prénomme Geneviéve.

D’ailleurs, je l’ai perdue de vue, nous dit-elle.

Je lui montre la croix de Saint-André et lui dis qu’elle est entre de bonnes mains. Elle me sourit en sirotant un cocktail. Je la détaille. Elle est petite, fluette. Elle a des seins que je devine être petit, des fesses pas très appétissantes. Bref, rien de bandant mis à part son visage de poupée, mais combien de couches de mascara pour cacher ses rides ? Certainement une vieille couguar sur le retour. Je demande à Pierrot ce qu’il fait avec elle, il me répond qu’elle veut organiser une soirée à thème, mais qu’il m’expliquera plus tard, Titi vient vers nous.

Pas intéressants les p’tits jeunes. Pas assez endurant. Je n’ai même pas pris mon pied.

Tu les as laissés où ?

Dans les douches…

Je rigole en voyant son air déçu. Elle me fait peine. Je l’embrasse sur la joue. Elle commande une bouteille de champagne et veux payer. Pierrot la regarde d’un il assassin en ouvrant la bouteille.

Tu n’as pas encore compris que l’on est ici en famille ? ??

Je sens une main me prendre la nuque, c’est Geneviéve qui m’attire vers elle pour me glisser à l’oreille :

Elle est plutôt charmante votre amie.

Si elle vous plaît, je vous en prie.

Je me retire pour laisser ma place à côté de Titi. Elle papote toutes les deux. Je regarde Geneviève qui ne se doute de rien. Titi passe sa main dans son dos. Geneviéve palpe la poitrine de Laétitia. Elles s’embrassent sauvagement, la vieille sait y faire. Je regarde ce couple, la belle trans en train de se pencher sur Geneviéve qui est sur la pointe des pieds. Elles partent danser.

Tu crois que la vioque sait pour Laétitia ? me demande Pierrot.

Je ne pense pas.

Oh, putain. Il ne faut pas louper ça.

Il s’appuie sur le zinc et ne loupe pas une seconde de la scène qui se déroule devant nos yeux.

La différence de taille est risible. La petite vieille a sa bouche à la hauteur de la poitrine de Titi et elle lui bouffe les tétons. Laétitia lui caresse sa chevelure. Discrètement, Titi remonte sa minijupe. On peut voir son sexe à demi-bandé pendre entre ses jambes. Geneviéve ne s’aperçoit de rien, trop occupée avec la poitrine de sa partenaire. Titi a une main sous la jupe de la vieille et on peut deviner qu’elle la branle. Puis d’un coup, d’un seul, elle la saisit par-dessous les bras et vient planter son chibre dans le con de son amante du moment. Vu la tête que fait Geneviéve, elle ne s’y attendait pas. Elle fixe Titi qui l’embrasse comme une folle. Après un petit moment de flottement, Geneviéve entame des mouvements de bassin. Le baiser dure tout le long de leur accouplement, elle a remonté ses jambes autour du bassin de Laétitia. Après cet acte, Titi repose la petite vielle et lui appuie sur les épaules. Message reçu, elle lui pompe le sexe en gorge profonde.

Sacrée mamie, me dit Pierrot, elle a dû en voir passer des kilomètres…

Je me retourne et m’enfile un énième verre. Pierrot s’en retourne avec les deux jumelles, qu’il pelote sans retenue.

La soirée touche à sa fin. Il est quatre heures. Le temps de faire le tour des salles pour n’y enfermer personne, on se réunit tous pour le dernier verre, auquel participe "mignon", sa Maîtresse et amante étant fière de lui.

J’invite Bob et Coco demain soir pour le souper. Ils acceptent. Mél est partie se changer, tout comme Aïcha, Coco et Titi. Pierrot invite les deux jumelles à poursuivre la soirée chez lui. Li repart avec Cendrine. Je suis avec Titi qui me propose de prendre un dernier verre chez elle avec Mél et la petite kabyle. J’accepte, en tout bien tout honneur.

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