Histoires de baise Histoires érotiques

Le fol anniversaire d'Antonia – Chapitre 9




Perdu dans mes pensées, je n’entends pas Antonia revenir. Ce sont ses talons qui claquent sur les dalles de pierre qui attire mon attention. Je lève les yeux. Ultra moulée dans une robe plus longue, Antonia s’approche fièrement de moi. Elle a attaché ses cheveux. Je me redresse :

— Tu es tu es

Je ne trouve pas mes mots, je bafouille. Elle rit.

— époustouflante !

Elle rougit, me remercie et se tourne. Je sous au bord de l’apoplexie. Antonia n’avait pas menti, la robe lui fait des fesses fabuleuses. Je me lève d’un bon et la rejoins pour la prendre dans mes bras. Elle éclate de rire, un rire enfantin et joyeux. Je l’embrasse avec fougue. Elle me repousse dans le canapé le plus proche et se met à danser langoureusement devant moi. C’est excitant au possible. Antonia joue de ses formes et me rend fou. Elle s’approche en écartant un pan du haut de sa robe et me donne son sein droit à goûter.

— Déshabille-toi

J’obéis sans attendre. Antonia danse encore. Elle remonte sa robe au-dessus de ses fesses nues avant de la redescendre. S’agenouillant devant moi, elle redresse mon sexe et le lèche très lentement des bourses au gland en me regardant droit dans les yeux. Je suis scié. Elle me prend ensuite en bouche et me suce énergiquement.

Elle monte ensuite à califourchon sur moi, remonte sa robe et glisse sur mon sexe. Plus tendre, plus douce, elle ondule délicatement et nous nous embrassons longuement, tandis que je fais sortir ses seins du décolleté. Après avoir joui, Antonia se lève et s’agenouille dans un autre canapé. A quatre pattes, en appui sur l’accoudoir, cambrée, la robe relevée au-dessus des fesses, ses gros seins pendants, elle m’offre une vision de rêve. Je viens derrière elle et l’enfile sans peine. Allers-retours en douceur puis plus énergiques. Je veux faire durer car Antonia prend son pied. D’un moment plus calme, je reprends mes va-et-vient en accélérant lentement, mais toujours plus. Je résiste autant que je peux alors que j’astique vigoureusement la belle.

— C’est comme ça que vous nettoyez le parc ?!?

Je suis coupé dans mon élan. Antonia crie :

— Encore, encore ! Ne t’arrête pas !

Juste le temps d’apercevoir Samuela et je relance mes coups de rein désormais plus rapides et énergiques que jamais. Antonia halète et gémit. Je jouis alors que Samuela est à côté de nous, hilare. Nous nous effondrons dans le canapé.

— Heureusement que je suis venue seule ! T’imagines si j’avais débarqué avec Maman ?

Antonia rit.

— Je t’ai écrit que tu n’avais pas besoin de venir.

— J’étais déjà en route, je n’allais pas faire demi-tour. Vous êtes arrivés à quelle heure ?

— Heu On a dormi là à vrai dire, dehors, sur le canapé.

— Mais non ?! C’est super romantique ça !

— L’anniversaire était un complément parfait à cette nuit.

Nous éclatons de rire. Antonia enlève sa robe et plonge une nouvelle fois à l’eau. Je dis à Samuela :

— Tu venais pour nettoyer ? Ce n’est pas vraiment une tenue adaptée !

Elle rit :

— C’était juste pour se promener dans le parc, non ?

— Tourne-toi un peu ?

Samuela s’exécute. Montée sur des talons vertigineux, elle porte un short rouge moulant et un débardeur blanc qui laisse transparaitre un soutien-gorge jaune.

— Tu es très belle et sexy, Sam’.

Je l’appelais ainsi lorsque nous étions sortis ensemble. Jamais depuis. Elle sourit, visiblement émue. Je me lève :

— Quand est-ce que je peux t’inviter à dîner ?

Elle rougit. Déstabilisée, elle bafouille :

— Je ne sais pas Un soir ou à midi ? Pfff C’est compliqué Je dois regarder

— Je te le redemanderai bientôt.

Elle rigole. Je change de sujet :

— Tu piques une tête ?

— Je n’ai pas mon bikini.

— Parce que ta sur et moi en avons un peut-être ?

Sans attendre sa réponse, je soulève doucement son débardeur. Vaincue, elle lance son sac à main sur le canapé le plus proche. Le sac est vite rejoint par le top.

— Je suis toujours aussi ému devant ta poitrine.

Elle est aux anges. Je déboutonne son short qui tombe à terre. String jaune assorti au soutien-gorge. Mes mains tombent sur son postérieur.

— Et tes fesses sont sincèrement plus excitantes aujourd’hui qu’à 20 ans.

— Si tu ne venais pas de te taper ma sur, je te sauterais dessus.

Nous rions. Je dégrafe le soutien-gorge, libérant sa très généreuse poitrine. Je descends ensuite son string tandis qu’elle retire ses sandales à talons.

Alors, je l’attire contre moi, la fais pivoter et la prend dans mes bras. Samuela s’accroche à mon cou en riant :

— Tu es fou !

— Et toi, tu es prête ?

Je saute à l’eau. Tandis que je fais deux allers-retours de crawl, Samuela rejoins Antonia aux escaliers, de l’autre côté du bassin. Cette dernière a eu la délicatesse de s’éloigner de nous lorsque nous discutions et que je déshabillais sa sur.

Je finis ma traversée et viens me glisser entre les deux plantureuses surs. Allongé sur l’escalier, une femme nue sur chaque bras, je suis au paradis. Antonia me roule une pelle avant que Samuela ne fasse de même. Idyllique. Antonia me dit :

— On se demandait si tu avais quelque chose de prévu cet après-midi.

— Non, rien.

Samuela prend la parole :

— En fait, il y a près de deux ans, j’ai reçu un bon pour une nuit dans un hôtel avec le repas du soir et le petit-déjeuner, une suite avec jacuzzi. Il va être échu prochainement. Je l’ai proposé à Antonia pour que vous y alliez tous les deux aujourd’hui. Ça te dit ?

— Oh ! Mais tu es sûre que tu ne veux pas le garder pour y aller avec elle ?

Antonia me coupe :

— J’ai tout essayé, même le donner à nos parents. Elle ne veut pas y aller et elle veut nous l’offrir.

— J’en serais ravi.

Samuela sourit et se lève en disant :

— Le bon est à la maison mais je vais appeler l’hôtel pour voir si c’est possible aujourd’hui.

Elle sort de l’eau et téléphone. Toute nue.

Je me tourne vers Antonia et l’embrasse. Je dis :

— J’espère que la chambre sera libre.

— Si c’est le cas, je repasse chez moi en vitesse pour me changer et prendre de vêtements pour aller travailler lundi.

— Oui, moi aussi. Je regrette tout de même que Samuela ne puisse pas profiter de ce bon.

Antonia réfléchit :

— J’ai une idée. Elle nous attend dehors et une fois qu’on est dans la chambre, on n’a qu’à l’appeler pour qu’elle noue rejoigne.

Au même moment, Samuela plonge de l’autre côté du bassin. Arrivée vers nous, tout sourire, elle dit :

— La chambre est disponible dès 11h. Pour midi, je vous offre le repas, mais il faudra le prendre dans la chambre car le restaurant est overbooké. Pour ce soir, un table est réservée pour 19h30.

Antonia répond :

— C’est adorable de ta part, mais nous n’y allons pas sans toi.

— Mais c’est pour deux et ce soir, tu sais que mon fils et mon mari reviennent.

— Oui, je sais. Mais tu viens passer l’après-midi avec nous.

Samuela nous regarde, Antonia puis moi.

— C’est pour vous deux, je ne veux pas vous Enfin, vous voyez ce que je veux dire !

Je m’approche d’elle et l’embrasse en caressant sa fesse droite. Antonia est hilare. Je la rassure :

— J’ai très envie que tu viennes et j’ai très envie de faire l’amour avec toi.

Ainsi, après avoir remis les clefs à la société de nettoyage, chacun d’entre nous est repassé par son domicile et nous nous sommes retrouvés dans au bar de l’hôtel à 11h30.

Related posts

fantasme – Chapitre 15

historiesexe

La douce masturbation – Chapitre 1

historiesexe

Les hommes du métro – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .