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Rencontre imprévue en manifestation hippique – Chapitre 2




Suite à l’agréable rencontre que j’ai faite avec cette jeune fille nommée Magalie au concours hippique du 24 février 2019, nous nous sommes échangé nos numéros de téléphone dans le seul but de nous revoir.

En effet, c’est ce que nous avons fait. Nous nous sommes revues le 8 mars 2019.

Tout est bien organisé. Ce vendredi 8 mars, Magalie est libre toute la journée, et moi je suis de repos. Nous nous retrouvons dans une zone commerciale des alentours de la ville de Périgueux. Magalie laisse sa voiture à l’endroit de notre point de rencontre, nous prenons la mienne.

Elle est radieuse, bien maquillée, sa jupe fendue qui lui arrive au-dessus des genoux lui va à ravir, son top décolleté rose pâle laisse deviner une poitrine généreuse et un ventre plat.

Pour ma part, à l’occasion de nos retrouvailles, je me suis permis des bas autofixants noirs, une minijupe beige qui s’arrête à mi-cuisses, un haut couleur crème avec un col rond, mais moulant exagérément ma poitrine aussi provocante que ferme.

Salut Nathalie. Whaouuuuu, que tu es belle !

Je peux dire la même chose de toi.

Merci. Bon, chiche, on fait comme nous l’avons prévu hein ?

Oui, de toute façon, nous n’avons plus le choix, j’ai réservé. Ce serait dommage d’avoir payé et de se dégonfler maintenant.

Oui, tu as raison. Puis on ne va pas se dégonfler, nous n’avons pas organisé tout ça pour ne pas aller plus loin.

Non, tu as raison.

Magalie et moi avons décidé d’aller dans un hôtel de la banlieue de Périgueux. Pour cela, j’ai fait le nécessaire pour réserver et payer en ligne. Le plus difficile reste à faire, puisque nous sommes obligées de nous présenter à l’accueil pour valider le paiement en carte bancaire et obtenir le numéro de la chambre.

Cet hôtel est un plein pied de 15 chambres. Je ne le connais pas, mais je me suis renseignée sur Internet et je suis allée voir des photos. Il est dans une zone artisanale, au milieu d’entreprises. Le parking donne sur la route nationale 89, mais il faut vraiment faire attention pour voir les voitures garées.

Nous nous garons sur le parking de l’hôtel, au fond, pour plus de discrétion par rapport à la voiture, même si je sais que ma voiture est commune. Nous restons un peu à l’intérieur.

On fait comment ? J’y vais toute seule ou on y va toutes les deux ?

heu… Je ne sais pas. Tu en penses quoi ?

Je crois que je vais y aller toute seule, je lui donne ma carte bleue, il me donne le numéro de chambre, je reviens à la voiture, te donne le numéro de chambre, et tu me rejoins dans un peu après quand je suis à l’intérieur.

Oui, je crois que c’est une bonne idée.

Je le pense aussi.

Je prends mon sac à main, descends du véhicule et me dirige sans trop réfléchir vers l’accueil. J’entre dans le hall, personne n’est au comptoir pour me réceptionner, mais je vois une sonnette électrique. J’actionne cette sonnette, un monsieur, qui doit être le patron de l’hôtel, arrive en me souriant. Je suis très gênée.

Cet homme doit avoir une cinquantaine d’années, pas grand, des moustaches épaisses, des lunettes à verres teintés qui m’empêchent de bien distinguer ses yeux.

Bonjour Madame.

Bonjour Monsieur. J’ai fait une réservation à partir d’aujourd’hui jusqu’à demain matin. La réservation est au nom de XXX.

Le patron tape sur son ordinateur, retrouve mon nom. Le temps qu’il recherche, je regarde autour de moi, mais je n’ose pas le regarder dans les yeux. Je suis vraiment très gênée. Surtout que c’est pour aller dans une chambre en après-midi, mais avec une femme ! C’est bien la première fois que cela m’arrive de me rancarder avec une femme pour se laisser aller aux jeux saphiques.

Une nuit pour deux personnes et pas de petits-déjeuners pour demain matin.

Non, pas de petits-déjeuners demain matin, nous partons très tôt.

Vous savez que nous commençons à servir les déjeuners à partir de 6H00 la semaine ?

Oui, je le sais, mais nous serons déjà parties.

D’accord, alors vous avez la chambre 12 qui se trouve au bout du bâtiment. Vous sortez du hall, à gauche au fond. Le numéro est inscrit sur la porte, vous ne pouvez pas vous tromper. Puisque vous partez de bonne heure, vous laisserez la clé sur le bureau, la porte se ferme automatiquement quand on la claque.

D’accord, je vous remercie. Bonne fin de journée Monsieur.

Bonne fin de journée Madame.

Sans attendre plus longtemps, je sors du hall avec la clé en main, et, d’un pas rapide, je retourne à la voiture. J’ouvre le coffre, prends mon sac et ouvre la portière du côté de Magalie pour lui communiquer le numéro de la chambre.

Nous sommes dans la chambre numéro 12. Elle est juste au bout de bâtiment.

D’accord, je reste un peu dans ta voiture ?

Oui, laisse-moi aller dans la chambre, attends quelques minutes et tu viens me rejoindre. Les clés sont sur le contact.

très bien. A tout à l’heure.

Quand je m’éloigne du véhicule, mon cur bat fort sans être rapide. J’ai une sorte de petite angoisse mélangée à une honte dans le cas où nous sommes remarquées. Il faut dire qu’il est 15H00, et qu’il est facile d’être remarquées, surtout deux femmes dans un hôtel.

J’ouvre la porte 12. Une chambre, simple, un lit à deux places, un petit bureau en angle de la pièce, et au fond, une porte donnant sur la salle de bain. Tout est simple, mais propre.

Je pose mon sac sur ce petit bureau, m’assois sur le bord du lit, on frappe à la porte. Je me précipite à ouvrir, et fais tout de suite entrer Magalie pour rapidement fermer la porte à clé.

Je me retourne, elle m’enlace dans ses bras et m’embrasse passionnément.

J’en avais envie depuis que je suis montée dans ta voiture.

Oui, moi aussi, mais nous avons intérêt de ne pas le faire en public.

Ne t’inquiète pas, je ne suis pas stupide. Je ne ferai rien en public. Mais maintenant, nous sommes que toutes les deux. Je vais aller prendre une douche, je préfère, j’ai quand même fait une heure et demie de route, je veux me sentir toute fraiche pour toi.

Oui, d’accord. Va prendre ta douche, je t’attends.

Je ne me rhabille pas après, je reste nue.

Coquine. Oui, si tu le veux. Ce sera plus simple pour la suite. Je prendrai une douche après toi. Je vais à l’extérieur pour fumer une cigarette. Prends ton temps ma belle Magalie.

Magalie part dans la salle de bain. Je profite de cette occasion pour aller dehors en prenant bien soin de ne pas claquer la porte si je ne veux pas me retrouver à l’extérieur, enfermée.

Une fois dehors, je remarque que nous sommes les seules personnes dans l’hôtel. A cette heure-ci, c’est tout à fait normal. J’allume ma cigarette, je suis stressée, voire nerveuse.

Je rentre dans la chambre, prends une documentation pour la lire, surtout pour m’occuper l’esprit. L’eau de la douche coule toujours. Elle prend son temps.

J’arrive !

Non, mais prends ton temps. Nous ne sommes pas pressées.

Quelques minutes se passent, la porte de la salle de bain s’ouvre et je découvre un corps dénudé d’une femme de vingt ans. Un corps parfait ! Un ventre plat, des seins ovales, avec des petits tétons, des jambes musclées et, en levant les yeux vers son visage, un sourire d’ange qui me fait craquer depuis le début que je l’ai remarquée à la manifestation hippique.

Je me dirige vers elle d’un pas lent, en essayant de dissimuler mon état d’étonnement de voir ce jeune corps aussi beau qu’attirant.

Voilà, je suis toute propre pour toi ma belle.

Je vais aller prendre ma douche à mon tour. (En déposant un doux baiser sur ses lèvres.)

Une fois dans la salle de bain, je me déshabille, prends ma douche, et retourne dans la chambre. Je la découvre assise à califourchon sur le lit, en face de la télévision.

Puisqu’elle est restée nue après sa toilette, je fais de même.

Je le savais depuis le début que tu avais un corps de rêve ! Tu es vraiment une belle femme !

Merci Magalie. Je te retourne le compliment.

En rampant, pareille à une chatte, je m’approche d’elle et nos lèvres se touchent pour un échange de quelques baisers avant de laisser nos langues s’enrouler, sensuellement et lentement.

Je m’assois en face d’elle, sur ses cuisses, tout en l’embrassant. Ses mains prennent possession de mes seins, mes tétons sont pincés par ses doigts qui semblent experts en la matière. Mes tétons durcissent aussitôt sous l’action de ses doigts. Je suis sensible des seins, j’aime que l’on s’occupe d’eux.

Tu as des seins comme je les aime Nathalie. Gros, fermes, excitants, je vais les manger tes gros seins.

Hum… Fais-toi plaisir, excite-toi sur eux, ils ne demandent que ça.

De ses deux mains, elle malaxe mes seins d’une façon que mon bas-ventre s’humidifie. Je me redresse un peu, tout en restant assise sur ses cuisses, et fais de même avec sa jeune poitrine qui semble aussi sensible que la mienne. Nos langues tournoient l’une autour de l’autre. Nos baisers sont fougueux.

Je me place maintenant à côté d’elle. Nous parlons peu.

Allonge-toi sur le dos Magalie, je vais m’occuper de cette jolie petite chatte épilée.

Hum… Avec plaisir oui, tu vas voir comme tu me fais mouiller.

Elle s’allonge sur le dos, écarte les jambes, mes doigts de la main droite glissent sur sa fente juvénile. De mon pouce et l’index, j’écarte délicatement ses lèvres vaginales. Un filet de mouille se forme entre mes doigts. Elle est tout excitée… Elle est pleine de désirs. J’adore !

Je dépose un dernier baiser fougueux sur la bouche. Je descends ensuite lentement sur ses seins que je lèche, sans oublier les tétons que je prends plaisir à faire durcir, passe ma langue sur son ventre plat, et, toujours avec ses lèvres vaginales écartées, ma langue se pose sur son clitoris.

Son clitoris ressemble à un pépin d’orange. Tout petit, tout rose, luisant de sa mouille. Du bout de la langue, je le titille. Elle sursaute !

Hum… Nathalie, ouiiiiii, j’aime ta langue sur mon clito ! Elle est tellement douce !

Attends ma belle, tu n’as pas encore tout vu.

Motivée par ses mots, je me mets à genoux entre ses cuisses, me baisse, et enfin, sa chatte se présente devant ma bouche gourmande pour lécher, doigter, embrasser. Je m’applique, prends mon temps, elle jouit à plusieurs reprises sous l’effet de ma langue.

C’est au moment où j’ai trois de mes doigts en elle que j’entends sortir de sa bouche un cri, loin d’être discret.

Ohhhhhh ! Encore ! ! ! ! Baise-moi avec tes doigts à fond ! ! Je suis au septième ciel ! ! ! C’est trop fort, arrête s’il te plaît ! !

Je m’arrête, sors mes doigts mouillés, m’allonge sur elle, l’embrasse à pleine bouche, faisant glisser mes seins sur les siens. Notre corps à corps dure plusieurs minutes, quand je me retrouve de fil en aiguille sur le dos à mon tour, jambes écartées et Magalie, entre celles-ci, à commencer son doux cunnilingus.

Sa bouche est douce, tendre, je comprends que ce n’est pas la première fois qu’elle lèche une chatte. Je doute même qu’elle soit lesbienne, mais je lui poserai la question plus tard, je suis en train de prendre un plaisir intense sous sa bouche.

Ahhhh, Magalie, tu es une bonne lécheuse. Tu sais que tu me donnes beaucoup de plaisir, là ? !

C’est ce que je veux ma chérie. J’ai trop envie de t’entendre gémir. Ça m’excite !

Je suis sur ce lit, à me faire lécher par une jeune coquine de vingt ans. Sa langue experte me procure un tel plaisir que je m’entends crier à mon tour. Je jouis plusieurs fois que je lui demande une pause.

Elle est à mon écoute, me sourit, et s’allonge à mes côtés.

J’adore te lécher. Ta chatte est bonne Nathalie. J’ai amené quelque chose pour qu’on puisse se faire plaisir toutes les deux. Tu vas voir, tu vas kiffer.

Qu’est-ce que tu as amené ?

Tu vois mon sac sur le bureau ? Attends, le mieux est que j’aille directement les chercher.

Elle se lève, mes yeux se posent sur ses fesses. Elle a un cul d’enfer ! Elle prend son sac, revient sur le lit avec.

Regarde, on ne va pas s’ennuyer toutes les deux.

Elle a plusieurs godemichets de différentes tailles, de toutes les couleurs.

Mais je vois que tu as tout prévu coquine que tu es !

Oui, j’ai trop envie de passer un super moment avec toi. Un moment inoubliable.

Je crois bien que c’est bien parti en effet.

Elle est fière de faire les « présentations » avec ses godemichets.

Alors, le bleu, il n’est pas vibrant, mais comme tu peux le voir, il est dans une matière qui est très ressemblante à une queue d’homme. Le rose, plus petit, est vibrant, quand tu le prends au fond de la chatte, normalement, c’est un orgasme assuré, mais il va très bien dans le cul aussi, et enfin, celui-là, il est très proche de la queue d’un homme, mais en plus, il est vibrant.

Je vois que tu es équipée.

Oui, un peu. La couleur chair donne beaucoup de plaisir. Celui-là, il est spécialement anal.

Hum…

Au fait, tu aimes l’anal ?

Oui, j’aime me faire prendre derrière.

Alors tu vas adorer ce gode. Et mon petit dernier, celui-là.

Elle me le montre. C’est un double-godemichet. Il est long (environ 30 centimètres, une jolie imitation de gland aux deux extrémités.

Je m’aperçois que cette jeune fille est très dévergondée avec les femmes.)

Tu es lesbienne Magalie ?

Non, je ne suis pas lesbienne, j’aime bien les hommes, mais je dois avouer que les femmes ne me laissent pas indifférente. Et cela depuis très longtemps déjà.

Je te pose la question parce que tu es très expérimentée avec les femmes. J’en ai eu la preuve tout à l’heure.

Pour te dire la vérité, j’ai eu une relation suivie avec une fille de mon âge pendant deux ans. Nous avons arrêté juste parce qu’elle est tombée sur le bon garçon, et donc elle préfère lui être fidèle. Mais quand je t’ai vue, je me suis tout de suite dit que tu étais celle que j’ai envie depuis longtemps.

Nos lèvres se touchent, nous sommes reparties dans un échange de baisers interminables, nos mains parcourent nos corps respectifs. Nous nous donnons de la douceur qui est tout à fait différente de celle des hommes.

Elle saisit un premier gode. Le bleu., celui qui est proche du sexe d’un homme. Elle le promène sur mon corps pour en arriver entre mes cuisses. Je comprends ses intentions, j’écarte les jambes.

Fais attention Magalie, si tu commences à jouer comme ça, je risque de me déchaîner.

C’est bien ce que je veux. Oui, laisse-toi aller. J’adore !

Elle présente ce gode bleu devant ma bouche.

Montre-moi comment tu suces un homme, mets-y de la salive pour le lubrifier.

J’embouche le gode, referme mes lèvres dessus, et les fais glisser le long de cette queue artificielle. Je m’imagine en train de sucer un homme en fermant les yeux.

Whaouuuuu, que tu es sensuelle. Je suis sûre que les mecs aiment quand tu les prends dans ta bouche. Non ?

Ils ne se plaignent pas, et je dois dire que moi non plus, j’adore leur faire ça.

Rhooo, coquine ! Mets de la salive dessus, je vais te le mettre ailleurs et je pense que tu vas apprécier.

Je dépose de la salive sur ma langue et, devant les yeux de ma partenaire du moment, je lubrifie ce sexe artificiel. Une fois bien humecté de ma salive, elle le dirige vers mon entrecuisse, je prends bien soin d’écarter pour faciliter le passage.

Hum… Si tu joues aussi bien avec ta langue qu’avec le gode, tu vas me faire faire monter au septième ciel !

Alors je dis oui tout de suite, je me débrouille très bien et tu vas le voir rapidement.

Elle le passe sur mes lèvres vaginales, puis peu à peu, l’introduit pour le faire disparaître au plus profond de moi. Elle impose à ce godemichet des mouvements de va-et-vient si réguliers que j’ai presque l’impression que c’est un homme qui me prend doucement et profondément.

Hum… Magalie, que tu me fais du bien là !

Tu prends ton pied ? Alors, lâche-toi ! j’aime t’entendre gémir comme tu le fais.

Cette jeune femme de vingt ans me fait jouir comme jamais avec un godemichet, elle me met dans un état second que je ne réussis pas à retenir mes cris.

Essaie de ne pas crier trop fort, on va nous entendre et nous allons entendre qu’on frappe à la porte.

Hum… Je te l’ai dit, je suis vite excitée avec un gode ! Et puis tu l’utilises tellement bien ! Qu’ils viennent, nous allons leur faire la fête !

Tu aimerais qu’un ou plusieurs hommes viennent nous rejoindre ?

A cet instant précis, je ne dirai pas non !

Que tu es coquine Nathalie ! J’adore ! Je dois t’avouer que je suis un peu dans le même état que toi en ce moment.

Hum… Je vais encore jouir ! Tu es aussi salope que moi !

Oui ma chérie.

Je demande à Magalie de sortir ce qu’elle a mis dans mon vagin que je puisse, à mon tour, m’occuper d’elle et lui donner du plaisir.

Je prends le jouet, le nettoie avec une lingette pour bébé, et l’entre sans aucune difficulté dans sa chatte très humide. Je le regarde, elle ferme les yeux, entrouvre sa bouche pour laisser s’échapper quelques petits cris.

La façon que j’ai de faire bouger le jouet dans sa chatte doit lui plaire à entendre ses cris et de voir son corps pris de spasmes.

Je te propose un 69. Tu veux Nathalie ?

Oui, un bon 69 qu’on se bouffe nos chattes mutuellement.

Oh oui ! Mettons-nous en position alors.

Magalie s’écarte de moi, me chevauche, qu’elle est sur moi. J’écarte les jambes, sa langue se met à me lécher aussitôt sans me prévenir. Sa chatte est juste au-dessus de mon visage, je n’ai juste qu’à lever légèrement ma tête et à la lécher.

Sa chatte a un bon goût de mélange de cyprine et de gel douche. C’est la première fois, en ce qui me concerne, que je fais la position 69 avec une femme.

C’est bon de se lécher mutuellement ! Tu en dis quoi ?

Ah oui alors.

Magalie met un doigt devant mon petit trou, et, sans rien demander, l’introduit avec douceur. Sa langue sur ma chatte, son doigt dans l’anus, je suis en train de jouir une nouvelle fois !

Je décide de lui faire la même chose. Je glisse mon index dans ma bouche pour bien le lubrifier de ma salive, le présente devant son petit trou rosé, pour la sodomiser avec mon doigt.

J’imagine dans ma tête l’image de deux femmes tête-bêche, en train de se fouiller avec leurs langues, chacune avec un doigt dans le cul.

Magalie se retire de sur moi, prend le double godemichet, regarde dans son sac et sort un tube de lubrifiant.

Je vois que tu as vraiment tout prévu toi ! Tu n’as pas froid aux yeux pour vingt ans ! (En lui souriant.)

J’avais envie de faire la totale avec toi.

Elle se met en face de moi, nous entrelaçons nos jambes de façon à avoir nos deux chattes face à face. Je la laisse faire, elle est bien plus douée que moi. Encore une chose que je n’ai jamais faite avec une femme. Décidément ! Je découvre plus de choses que je ne peux le croire avec cette jolie jeune fille.

Elle commence par introduire une des deux extrémités en moi, joue quelques instants avec des mouvements de va-et-vient lents, puis introduit elle-même l’autre extrémité.

Nous nous rapprochons au mieux que nous le pouvons pour gagner en profondeur la pénétration. Une fois que nous sommes bien en place, nous sommes en face à face, jambes écartées comme deux belles salopes en train de se pénétrer ensemble et en même temps, en se fixant dans les yeux.

Alors Nathalie, tu en dis quoi de ce joujou ?

Je l’adore ton joujou ! Puis le fait que nous nous donnons du plaisir en même temps est très excitant !

Nous sommes dans cette position un long moment quand Magalie a une idée de génie.

Attends, on va changer de position. Nous allons nous mettre toutes les deux à quatre pattes, cul contre cul avec le double gode. Tu vas voir, c’est carrément le pied !

Ah oui, j’ai hâte de découvrir cette position.

Je me mets à quatre pattes, pareil à une chienne en chaleur que je suis à cet instant. Magalie enfonce le gode en moi, et, à son tour, l’enfonce elle-même tellement bien que nos fesses se touchent.

Nous bougeons toutes les deux dans un rythme commun.

Alors Nathalie, elle n’est pas mieux cette position ?

Hum … Ahhhh ! Ouiiiiii ! Elle est encore mieux celle-là !

Comme deux chiennes que nous sommes à ce moment précis, nos fesses rebondies se touchent, se tapent, nous nous empalons mutuellement sur ce gode qui nous fait jouir ensemble plusieurs fois.

Nous nous dégageons de ce sex-toy pour nous embrasser à en perdre haleine. Nos baisers nous calment, nous avons envie d’une pause.

Le moment de la pause terminé, Magalie, très gourmande ou peut-être en manque de sexe, saisit le plug anal, l’enduit de lubrifiant, et me demande de me mettre en position.

Tu vas voir comme celui-là est terrible. Quand je vais te l’avoir mis dans le cul, je vais l’actionner et tu vas sentir les vibrations dans ton anus. Ça m’étonnerait que ça ne te plaise pas.

Je suis sûre que ça va me plaire, surtout que j’arrive à jouir du cul.

Ah oui ? ! Tu as de la chance, je n’ai jamais joui du cul.

Tu pratiques souvent la sodomie ?

Non, pas spécialement, mais il m’est arrivé de me faire enculer. Et toi Nathalie, tu te fais souvent prendre le cul ?

Je ne peux pas dire souvent, mais mon mari aime mon cul et il me le demande quelques fois.

Alors tu vas voir, ce n’est pas la bite de ton mari, mais je suis certaine que tu vas apprécier.

Vas-y, ne me fais pas plus attendre, j’ai envie de sentir les sensations que cela peut me procurer.

Magalie, après avoir pris soin d’enduire avec son doigt mon anus, puis le plug, pousse délicatement à l’entrée. Il entre aisément puisque je suis détendue et cambrée.

Hum… Je commence à l’aimer.

Attends, ça va être meilleur quand je vais mettre le vibro en route.

Hum… Je ne demande qu’à voir.

Après plusieurs allées et venues dans mon cul, elle actionne le vibro en appuyant sur le bouton situé à la base.

Ah ! ! ! Ouiiiiii ! Là c’est bon ! Vas-y ! prends-moi le cul !

Tu vois que tu aimes !

Je ne peux pas dire le contraire, non.

Attends, je vais jouer un peu plus avec ton corps. Ne bouge surtout pas.

Je ne bouge pas, je reste sur le dos, jambes écartées, le plug à l’intérieur de mon cul qui continue à vibrer. Je vois Magalie reprendre le godemichet et le diriger vers mon vagin.

Je vais le mettre dans ta chatte, et tu vas voir que c’est bon d’avoir deux godes vibrants.

Vas-y doucement au début, mais je ne doute pas que ça va être bon.

Magalie est experte en la matière. Elle n’est pas à sa première fois de jouer avec des jouets sexuels avec une femme. Les deux godes en moi me mettent une fois de plus dans un état second, que j’arrive à avoir des étoiles dans les yeux. Je jouis encore et encore que je pense que mes cris doivent s’entendre si jamais quelqu’un passe devant notre porte de chambre.

Mais je suis arrivée à un stade où je m’en fiche complètement si une personne entend mes cris de jouissance. Magalie me bourre ainsi durant plusieurs minutes.

Je suis toute décoiffée, je dois avoir les joues rouges, les lèvres sèches.

Nous inversons les rôles, c’est à mon tour de lui procurer du plaisir. Je joue avec ses sens, avec un, puis les deux godes en elle. Elle est belle, jambes écartées, à gémir, à fermer les yeux.

Ce jeu de rôle dure longtemps. Une fois. c’est elle qui joue avec moi, l’autre fois. c’est moi qui joue avec elle. Entre temps, nous nous embrassons fougueusement, nous nous léchons et reprenons les joujoux qu’elle a bien fait de prendre.

Nous voilà allongées toutes les deux sur le lit, nues.

Tu sais Magalie, quand je suis venue ici avec toi, j’étais loin de penser que j’allais prendre autant de plaisir. Mais franchement, j’ai eu plusieurs jouissances, toutes aussi fortes les unes que les autres.

Je vais te dire que moi aussi, j’ai aimé ce moment et j’ai pris beaucoup de plaisir. Je ne regrette rien.

Moi non plus je ne regrette rien. Bien au contraire d’ailleurs. Mais je sais depuis le début que tu es une bombe au lit, même avec les femmes.

Et pourtant je n’ai pas beaucoup d’expérience avec une fille. Mais quand je fais l’amour, je le fais à fond.

Moi aussi. Tu préfères quand même les hommes par rapport aux filles ?

J’aime bien les hommes. Un bon coup de queue ne fait pas de mal non plus. (En rigolant.)

Oui, tu as raison une bonne bite vaillante ne fait pas du tout de mal. Tu aimerais qu’on s’occupe d’une bonne bite toutes les deux ?

Oh ! Magalie ! Tu es en train de me dire que tu aimerais qu’on s’occupe toutes les deux d’un mec ?

Oui, pourquoi pas. Faire un trio. Ça ne te dit pas ?

Je ne sais pas. Pourquoi pas ? Mais coquines comme nous le sommes toutes les deux, le pauvre quoi !

Ça peut être amusant.

Je comprends que Magalie a envie de me revoir, mais aussi de partager un homme. Je réfléchis et repense à mon petit stagiaire.

Je vais te dire un secret.

Oui, Nathalie, tu peux tout me dire.

Il n’y a pas longtemps, un stagiaire est venu dans mon service trois semaines. J’ai été vilaine.

Pourquoi vilaine ?

Il m’a un peu draguée, j’ai mordu, et j’ai couché avec lui. A la base, je voulais juste lui faire des pipes, mais je suis allée plus loin.

Il est mignon ?

Oui, il est pas mal. Et je me dis que peut-être avec lui, on pourrait faire un truc à trois ?

Je te fais confiance, si tu dis qu’il est pas mal, alors, je te laisse le contacter et tu me tiens au courant. C’est une bonne idée non ?

Nous nous sommes quittées aux alentours de 18H00. Mon mari était déjà à la maison, mais j’ai prétexté que j’avais passé l’après-midi avec une copine.

J’ai attendu deux ou trois jours, puis je me suis décidée d’envoyer un SMS à mon ancien stagiaire.

Coucou toi ! Voilà un petit moment que je n’ai pas de tes nouvelles. Comment vas-tu ? Comment se passent tes études ? As-tu une petite amie actuellement ? Serais-tu intéressé par un moment à trois avec une copine ? Elle a 20 ans.

Réponse dans le prochain chapitre ?

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