Salut c’est votre folle de lycra.

Dans les chapitres précédents, je vous racontais comment ma copine Sophie et moi nous venions de La Roche-sur-Yon et étions venues poursuivre nos études en vallée de Chevreuse chez notre logeuse prénommée Muriel. Nous nous connaissions depuis très longtemps mais le fait d’être locataire chez la même personne, nous avait permis de faire connaissance de façon plus intime. Voilà comment très rapidement nous avions commencé à découvrir les plaisirs saphiques, au début de cela avait commencé dans la salle de bain puis avait dégénéré dans nos chambres. Muriel s’était rendue compte de la chose assez rapidement et à l’occasion de notre retour après les vacances de Noël, elle nous avait offert un sextoy télécommandé à chacune. Ce jour-là pour l’occasion, Muriel, Sophie et moi avions fait une partie à trois mémorable, mais surtout qui nous a donné confiance en nous. Bien évidemment à l’occasion de notre première journée de reprise, nous étions parties avec nos joujoux en cours.

Vous vous doutez bien qu’avant midi nos culottes étaient trempées de cyprine. Je peux vous garantir qu’il nous a été dur de rester concentrées malgré les vibrations dans nos intimités. Quand nous sommes rentrées le soir après les cours, Muriel nous attendait et nous avons débattu sur le thème: est-il possible de rester concentrées en cours avec un vibro dans le vagin. Au bout de près d’une heure de débat nous avons pris congé d’elle, car il fallait que nous travaillions. La coutume était en train de s’installer entre nous trois, à savoir nous rouler une belle pelle bien gourmande quand nous nous croisions, c’est vrai que ce n’était pas désagréable, même avec une femme qui avait largement l’âge de notre mère. Ce que nous craignions toutes les deux a fini par se confirmer, à savoir que les piles n’ont pas tenu la semaine du coup nous avons dû attendre le weekend pour investir.

À notre grande surprise quand nous sommes revenues de la grande surface le samedi midi, sur nos lits se trouvaient soutien-gorge et petite culotte assorties. Le geste nous a fait très plaisir et nous sommes redescendues remercier Muriel pour cette attention. Là elle nous a expliqué que ça l’excitait un peu que de savoir que toutes les trois portions les mêmes dessous. En joignant le geste à la parole, elle nous montrai qu’elle portait exactement les mêmes. Sophie et moi avons quand même pu constater que sa culotte était déjà bien humide, je ne sais pas ce qui m’a retenu de ne pas venir m’agenouiller entre ses jambes pour lui donner un petit coup de langue. À chaque fois que je regardais notre logeuse, je me disais qu’elle ne devait pas être que lesbienne; Sophie et moi étions persuadées qu’elle était à voile et à vapeur. Une aussi jolie femme ne pouvait pas se contenter que de femmes.

Puis une semaine après, Muriel nous a convoquées pour un repas où elle nous a présenté un nouveau locataire prénommé Franck, ce dernier travaillait avec elle. Jusqu’à maintenant il allait à l’hôtel tous les soirs pour rentrer à son domicile en province le weekend. Le nouveau venu était de notre taille, d’un naturel timide, un tout petit peu plus âgé que nous; quatre ou cinq ans pas plus. Cela nous embêtait un peu car nous n’allions pu avoir notre intimité à l’étage entre filles, nous en voulions un peu à Muriel pour cela. Il s’est rapidement installé dans la chambre du milieu et il était d’une discrétion impressionnante, nous ne le voyions et ne l’entendions jamais. Par contre au bout d’une semaine nous avons constaté que le petit vicelard récupérait nos culottes dans le bac à linge sale. Manifestement avec le temps il prenait de l’assurance car, maintenant les culottes il les ramenait toutes souillées de sa semence. Le soir, nous imaginions ce jeune homme, Franck en train de se palucher dans nos petites culottes.

Le plus impressionnant, c’est que quand nous le croisions il ne payait pas de mine et jamais on n’aurait cru qu’il était obsédé à ce point par nos dessous usagés. C’est vrai que pour nous il y avait quand même un petit côté excitant à savoir que nos culottes poisseuses avaient une deuxième vie avant de passer à la lessive. Au bout de quelques semaines nous faisions maintenant attention à ce que nos culottes sentent le plus fort possible mais surtout soient les plus humides possible. Avec le temps nous avions trouvé son manège, à savoir qu’il faisait ça le soir vers 23h et remettait les culottes pleines de sperme une heure et demi après dans le bac. C’est ainsi que maintenant dans la salle de bain nous ne nous embêtions plus à déposer dans petite culotte dans le bac, mais nous les laissions sur le lavabo ou le sèche-serviette. Je peux vous garantir que quand sa serviette était déposée par-dessus, quand il la prenait il y avait un petit fumet féminin.

Un soir nous avons décidé de le prendre en flagrant délit, nous ne voulions pas le surprendre dans la salle de bain mais dans son lit en train de se palucher. Cette nuit-là il a totalement perdu la face, il avait ma petite culotte sur le visage et celle de Sophie qui enroulait son sexe, il était en train de tirer sur l’élastique dans cette position. Il était comme tétanisé, il ne savait plus quoi faire, il ne savait plus quoi dire, mais par contre il avait un sexe de belle taille.

— Alors comme ça on se paluche dans nos petites culottes.

— Alors comme ça tu déposes plein de sperme sur nos petites culottes.

— Il va falloir que nous racontions ça à notre logeuse.

Il nous a répondu que depuis son plus jeune âge il était fétichiste des dessous féminins et qu’il adorait en porter et se faire des petits plaisirs dedans.

— Je vous en supplie ne dites pas ça à Muriel, c’est une collègue de travail 

— Vous n’imaginez pas dans quelle situation vous me mettriez.

Nous nous sommes assises de chaque côté de lui pour lui expliquer que:

— Maintenant il allait falloir être gentil avec nous.

— Il va falloir que nous trouvions un moyen pour que tu te fasses pardonner.

— – – J’ai trouvé tous les soirs quand il va rentrer du boulot, il va venir nous voir et nous faire notre toilette intime.

— Toi qui aimes les odeurs intimes de femmes, tu vas être gâté.

— – – Ne t’inquiète pas nous allons trouver des petites choses supplémentaires pour te punir.

Franck ne savait pas quoi dire, il avait écouter avec attention tout ce que l’on venait de lui dire, il paraissait résigné. J’étais étonnée par l’assurance que Sophie et moi avions face à cet homme un peu dévergondé. Le fait qu’il renifle nos culottes ne nous dérangeait pas, ce qui nous gênait c’est qu’il fasse ça en cachette. Je peux vous garantir que c’était vraiment désagréable que de récupérer nos culottes dans le bac à linge sale encore poisseuses du sperme de Franck avant de les laver.

J’ai aussi été un peu étonné par la fermeté des propos de Sophie, d’autant qu’elle venait de décider que Franck allait commencer dès maintenant le nettoyage quotidien de nos minous. Nous l’avons fait lever et se mettre face à nous, puis s’agenouiller devant nous, je ne sais pas si c’était un hasard; mais ce soir-là ni Sophie ni moi n’avions de culotte. Il a commencé par s’occuper de Sophie en plongeant sa tête sous sa longue jupe, pour m’y être glissée bien souvent, je savais que cela sentait la marée. À travers le tissu de la jupe, ma chérie lui tenait la tête et notre victime commençait à donner des coups de langue car je voyais Sophie qui commençait à soupirer. Franck était très obéissant, il faisait tout ce qu’on lui disait et vu comment Sophie ondulait du corps, manifestement il était efficace. Ma partenaire a commencé à pousser de petits cris puis elle l’a fait sortir d’entre ses jambes, je l’ai regardé un instant il avait le visage recouvert de la cyprine de mon amie. Bien qu’il fasse un peu pitié dans son regard, on avait quand même l’impression qu’il appréciait beaucoup ce qu’il était en train de vivre. Je l’ai saisi par les cheveux pour le faire plonger sous ma jupe à moi maintenant.

J’étais étonné de voir combien ce collègue de Muriel était soumis à nos délires sexuels, je n’ai pas été bien longue à constater combien il était efficace avec sa langue. Ce jeune homme était un gros vicelard mais il était monstrueusement efficace à donner du plaisir à une femme. Sophie venait de reprendre ses esprits et elle est venue débarrasser, mon brouteur de minou, de sa culotte pour jouer avec son sexe. Pendant que je me faisais butiner la friandise, je constatai oh combien l’aménagement de sa chambre était rustique, pas une seule photo, pas un seul grigri; il avait l’air vraiment triste dans la vie. De notre côté nous avions décoré nos chambres, nous avions amené de belles parures de lit, et nous avions affiché des photos de ceux qui nous étaient proches. Maintenant, Sophie était carrément en train de le masturber, le bougre n’avait pas l’air de s’en plaindre; cela nous rappelait l’époque où nous étions à La Roche-sur-Yon, que nous voyions le loup régulièrement et surtout que nous jouions avec.

Un moment j’étais en train de me demander si Muriel ne nous entendait pas, mais en même temps il était tard, au fond de moi j’espérais qu’elle était en train de dormir. Je ne sais pas si c’est le fait qu’il y avait longtemps qu’un homme ne m’avait pas brouter mon minou, mais Franck me faisait un bien fou et la jouissance était en train de rapidement venir. Maintenant Sophie avait cessé de le branler, elle fouillait dans ses affaires elle était sans retenue et surtout sans scrupule. C’est en fourrageant dans son sac qu’elle a découvert que Franck avait aussi des body et des collants à disposition, mais ce n’était pas les nôtres. En plus d’être fétichiste des petites culottes Franck était en fait fétichiste des sous-vêtements féminins en tout genre. Sophie nous a quitté quelques instants pour revenir avec une longue douce et fine robe, à un moment elle a estimé que Franck s’était suffisamment occupé de moi.

Il était toujours à genoux devant moi, quand il m’a regardé j’étais impressionnée par la quantité de nectar intime qu’il y avait déposé sur son visage. Sophie lui a tendu sa robe.

— Vu que tu aimes bien t’habiller en femme, ce soir tu vas dormir dans une de nos robes

— Je suis en train de me demander si dorénavant tu ne dormiras pas tous les soirs dans une robe.

J’étais en train de découvrir mon amie, qui avait l’air vraiment très excitée par cette aventure que nous lui faisions vivre.

Elle l’a fait relever et Franck a docilement enfilé la robe qui lui était tendu. Sophie avait l’air amusée d’avoir soumis un homme à ses caprices, au fond de moi j’étais en train de me demander jusqu’où elle serait capable d’aller. En fait je préférais ne pas savoir, car je sais que quand une femme est excitée, elle est capable d’aller très loin dans les délires sexuels. Notre petit manège à facilement durer une bonne heure, en toute discrétion et nous avons fini par aller nous recoucher.

Franck était maintenant au courant que Sophie et moi étions des petites étudiantes gougnottes, mais surtout il savait que l’on ne l’y reprendrait plus à aller respirez nos culottes souillées.., sans notre accord. Pendant que j’étais en train de m’endormir, je me disais que Sophie était peut-être une dominatrice qui s’ignorait. J’avais été impressionnée en la voyant prendre plaisir à humilier ce jeune homme qui était quand même notre aîné, mais qui avait l’air un peu paumé. Nous sommes endormies avec notre minou fraîchement et écologiquement nettoyé, nous avons fait de beaux rêves, érotiques cela va de soi. Au petit matin quand nous sommes sorties de notre chambre, Franck est venu nous faire la bise. Là encore, c’est Sophie qui a décidé que si il voulait nous faire la bise il fallait qu’il nous donne un petit coup de langue sur le minou. Bien évidemment ce dernier ne s’est pas fait prier et voilà comment il a pris l’habitude de nous donner un petit coup de langue avant de nous embrasser sur les joues.

Le soir même, nous sommes venues demander notre cunnilingus à Franck avant d’aller nous coucher, Sophie a veillé à ce que cela ne deviennent pas un plaisir pour lui mais surtout une corvée. Que ce soit quand il s’occupait de moi ou d’elle, Sophie veillait à le malmener. Elle lui tirait sur le sexe, elle lui écartait les fesses, elle lui tirait la pointe des tétons, elle lui serrait la tête entre les cuisses; même avec un tel traitement on avait l’impression que son souffre-douleur prenait du plaisir. Maintenant, tous les soirs il se couchait avec une de nos robes longues et il avait l’air d’y prendre goût. C’était devenu un automatisme pour le collègue de Muriel, tous les soirs nous avions droit de nous faire butiner, puis Sophie est passée un stade au-dessus en lui glissant son sextoy dans le fondement. Il n’osait pas crier, ni rouspéter, pour ne pas attirer l’attention de notre logeuse, Sophie pouvait en faire ce qu’elle voulait en toute discrétion.

Maintenant, Sophie portait plusieurs jours ses bodys et une fois qu’ils sentaient bon la femme, elle lui donnait à porter ensuite. Moi je ne faisais que suivre les initiatives de mon amie, mais semaine après semaine, mois après mois, nous étions en train de faire de Franck une petite pédale. Il y a des soirs où je me posais la question, est-ce que c’était Sophie qui l’avait transformé ou juste aidé à mettre en avant son côté féminin qui ne faisait que sommeiller légèrement en lui. Avec le temps, Franck avait même pris goût au sextoy et il lui arrivait même d’en jouir juste avec les vibrations dans son intimité. Maintenant Franck s’habillait toujours en homme pour aller travailler, mais en dessous nous l’habillions en véritable petite allumeuse. De temps à autre, nous lui mettions un parfum féminin et il trouvait comme excuse au boulot qu’il avait comme colocataires des filles. Muriel sa collègue était là pour confirmer ses dires, avec le temps je me demandais si Muriel n’était pas complice de ce qui arrivait à Franck.

Notre colocataire avec le droit maintenant, en plus de nous brouter le minou le soir, de nous sucer la pointe des seins en nous lui demandions, je peux vous garantir qu’avec le temps qu’il commençait à acquérir une certaine expérience dans ce domaine. Le plus dur pour nous c’est que nous étions étudiantes et lui après le boulot il avait du temps libre, beaucoup de temps libre. Il en voulait toujours plus et Sophie gérait la chose très très bien avec fermeté, il fallait accorder un peu de temps au plaisir mais surtout du temps pour étudier. Je repensais à la façon dont Muriel avait découvert que nous étions devenues gougnottes, je me disais qu’il devait lui être très facile de constater que dans la chambre de Franck il n’y avait plus de sous vêtements masculin. À vrai dire quand on rentrait dans sa chambre, au premier regard c’était devenu une chambre de fille, j’étais étonné que notre logeuse ne l’ai pas constaté.

La fin de l’année scolaire était en train de poindre son nez et nous avions fait de Frank une véritable de petite soumise obéissante et docile, rien que pour nous. Manifestement il n’avait pas de famille car le weekend il ne bougeait pas, c’est vrai que nous non plus mais nous avions l’argument comme quoi nous habitions assez loin, ce qui n’était manifestement pas son cas. Je ne sais pas si c’était pour attirer l’attention du Muriel, mais Sophie avait décidé que maintenant nous allions nous promener avec Franck; que ce soit dans les bois, au cinéma, ou au resto, nous faisions tout, tout les trois. C’est à l’occasion des festivités du 14 juillet, alors que nous étions entre filles, que Muriel a fini par nous révéler quelle avait bien constaté que son collègue qui avait déjà des petites manières féminines, était en train de fortement les développer et cela se voyait de plus en plus au boulot. Elle a juste fait comme commentaire comme quoi de toute façon il n’avait pas de virilité.

Voilà comment notre logeuse nous révéla qu’elle était au courant de notre manège machiavélique avec son collègue. J’étais un peu gênée par le manque de compassion de la part de Muriel et le côté un peu amusé de Sophie. Je me sentais coupable pour avoir participé à ce travail de longue haleine. Plus les mois passaient et plus Sophie intensifiait ses jeux avec Franck, j’en arrivais à me demander où elle allait s’arrêter, tout en sachant que de mon côté j’en profitais quand même.

Bisous à vous.

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