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Une dette d'honneur chèrement payée – Chapitre 3




Chris

Antoine était reparti le lendemain matin particulièrment satisfait de la nuit que nous lui avions fait passer, tant Sophie que moi-même.

J’ai repris mon rythme d’hétéro avec ma petite femme chérie.

Sophie avait changé ! Ses dernières "expériences" semblaient lui avoir donné goût à plus d’exotisme, de fantaisie, un besoin palpable de se donner à fond quelqu’en soit la méthode ou le résultat.

Inutile de dire que j’en profitais en premier et loin de moi l’idée de m’en plaindre !

Dans la semaine, elle m’a demandé de l’accompagner, prétextant qu’elle se voyait mal faire le choix de ce qu’elle souhaitait acheter en demamdant l’avis du vendeur. J’ai naturellement imaginé qu’elle voulait enrichir sa collection de sous-vêtement sexy pourtant déjà bien fournie.

J’avais tout faux ! C’est dans un sexe shop de la capital qu’elle m’a conduit sans la moindre hésitation. A croire qu’elle avait cherché l’itinéraire sur internet !

— Qu’est-ce qu’on fout là-dedans ?

— Je veux des trucs qui nous changent de la routine, tu vois de quoi je parle ?

— Non ! Pas vraiment.

— Mon chéri ! Je t’aime comme tu es mais hélas tu n’as qu’une seule bite et moi, j’en veux plusieures, des grosses, des longues, des qui vibrent, qui sont étudiées spécialement pour donner du plaisir selon l’endroit où on les enfoncent. Pour toi aussi j’en veux ! Ce ne sont pas les mêmes pour les filles et pour les garçons. T’es d’accord ?

— Après tout, pourquoi pas !

Le type du magasin devait se frotter les mains quand nous sommes ressortis de son échoppe portant chacun un sac plein de joujoux plus coquins les uns que les autres.

La première chose qu’on a faite en arrivant à la maison c’est de les étaler tous sur le lit, les siens à gauche, ceux qui m’étaient "réservés", à droite.

Sophie n’avait pas regardé à la dépense ! Elle avait choisi en majorité des godes de taille allant du format que j’appelerais "standard" au gros machin plus impressionant encore que la pine de Greg déjàconséquente, je peux en attester ! Il y en avait aussi un "double", rose flashy, pour une DP en solitaire et d’autres encore dont l’usage immédiat ne me venait pas à l’esprit.

Enfin, elle a ouvert une boîte. Je n’avais aucune idée de ce qu’elle pouvait contenir, certains de ses achats s’étant effectués pendant que, de mon côté de me rencardais sur l’utilisation précise qu’on pouvait faire de tel ou tel autre article.

Même sans être particulièrement aux faits de tout cela, je n’ai pas douter un instant de l’usage que Sophie comptait faire du gode-ceinture qu’elle brandissait fièrement sur mon nez.

— Ça, c’est pour toi enfin pour moi mais pour toi ! Tu vois ce que c’est ?

— Très bien ! Et le machin qui est dessus, c’est interchangeable ?

— Oui, bien entendu mais je n’en ai pris qu’un. Je crois que celui-ci te conviendra fort bien !

— Si tu le dis !!!

La fausse bite en latex, à l’apparence aussi rélle qu’une vraie, mesurait à vue de nez entre 25 et 30 cm de long quant à son diamètre, ça devait tourner autour des 5 voir 6 cm !

— Tu n’as pas peur de m’estropier avec ton truc ?

— Mais non, mon chéri ! Tout est dans la manière de procéder ! Tu vas voir ! Ça va devenir ton jouet préféré !

Tout ce que j’allais gagner à mon humble avis avec son jouet c’est une entrée des artistes grande comme une porte de grange !

Plus sage, j’avais craqué pour un gode stimulant la prostate particulièrement efficace aux dires du vendeur. J’avais aussi acheté, toujours guidé par les conseils du mec, un anneau pénien ainsi qu’une sorte de gaine en latex à enfiler sur ma queue, hérissée de piquants souples destinés à augmenter considérablement les sensations de ma partenaire (ou de mon partenaire(!)) Ce machin m’avait bien plû. Je me l’imaginais dans le cul ! Oh misère ! Ça doit ramoner un max !

Je regrettais un peu de ne pas avoir pris ce simutateur qui vous fait une pipe mieux que la meilleure des putes ! Hélas, mon crédit était épuisé et puis Sophie est là pour palier à ce manque !

Sophie était justement prête à en essayer un quand le téléphone a sonné.

— S’il te plaît,Chéri, range tout cela dans le dernier tiroir. On fera mumuse avec ce soir. Je vais répondre.

Ce fameux tiroir d’où elle avait extrait tous les collants qui avaient permis à mes potes de m’attacher au pied du lit ! Je me suis à nouveau imaginé dans la position où il m’avaient mis ! j’en avais des frissons mais je ne savais pas s’ils étaient d’angoise ou de plaisir !(Voir l’épisode précédent )

— C’était qui ?

— Chris ! Il va venir samedi en début d’après-midi. Il m’a dit qu’il ne sera certainement pas seul mais n’a pas voulu m’en dire plus !

— Tu n’as pas une idée ?

— Non ! Tu sais, avec lui

— Je le vois bien se pointer avec une gonzesse.

— Pourquoi pas ! Ça ne m’étonnerai qu’à moitié.

— Si c’est bien le cas, tu crois que la fille est au courant ?

— Au courant qu’on baise à tout va ?

— Quelque chose comme ça, oui !

— Heu Je dirais plutôt non ! C’est bien son genre de réserver des surprises et cela en serait une bonne.

— Ça ne te déplairait pas, hein ?

— Qu’il m’apporte une nana pour que je la saute ? Sûr que non ! Et à toi ?

— A moi non plus ! Ça serait nouveau et ça me changera un peu de vos bites, messieurs. Et puis maintenant j’ai ce qu’il faut pour la satisfaire !

Il est l’heure de se mettre à table. Sophie et moi dégustons la nouvelle recette qu’elle a entendue à la radio et qu’elle s’est empressée de faire. Elle cuisine vachement bien ma petite femme.

Comme presque tous les jours le programme TV est nul.

— Tu viens, ma chérie ? Je crois qu’on a plein de découvertes à faire ce soir.

— Je mets tout dans le lave-vaiselle et j’arrive. Ne commence pas sans moi !

Elle est en forme et très inventive ce soir. Nous avons inversé les rôles.

Redoutable le gode-ceinture ! Elle n’avait pas tord en disant qu’il deviendrait certainement mon joujou favori ! J’avais hâte de remettre ça !

Ce samedi est probablement la journée la plus chaude que nous ayons eu depuis longtemps. Nous n’avons pas osé ettendre Chris à poil ne sachant pas avec qui il allait venir. Pour autant, Sophie avait opté pour la solution minimum, à savoir deux triangles minuscules noirs maintenus par une lanière transparente censés lui couvrir les seins (?) ainsi qu’un autre triangle tellement étroit qu’il disparaissait dans sa fente intime au moindre de ses gestes. De mon côté, ce n’était pas mieux. C’est à se demander comment mon paquet parvenait à se loger dans si peu de tissu. Interdiction d’avoir ne serait-ce qu’un début d’érection sans risquer l’outrage aux bonnes moeurs !

Une main au-dessus de la clôture agita la vieille cloche que j’avais laissée en place par nostagie du passé.

La porte en fer grinça comme à son habitude et Chris apparu, souriant, nous faisant bonjour de la main.

Je devinais aussitôt derrière lui une présence qui se matérialisa quand il avança de quelques pas.

La "présence" n’était pas de résultat d’un excès de boisson et pourtant c’étaient bien deux filles qui suivaient mon camarade.

— Salut les amoureux ! Je vous présente Lydia et Virginie, deux copines rencontrées le week-end dernier à Versailles. Je visitais le château, elles aussi. Devinez où elles crêchent ? Dans la rue Michelet à quoi  cent ciquante mètres à peine de chez moi ! C’est pas marant la vie ? Je me suis dit que vous seriez contents de les connaître. Elles sont vachement sympa, vous verrez !

Sophie s’est levée. Ses nichons ont bien failli prendre la poudre d’escampette si peu maintenus qu’ils l’étaient par ce soutif d’operette !

Elle a embrassé les trois arrivant sans la moindre gêne en rapport à sa tenue ce qui, m’a-t-il semblé, n’a pas été le cas des deux filles. Chris, lui, s’est même payé le luxe de lui caresser un sein du dos de sa main sans que les nanas s’en aperçoivent.

Je ne pouvais faire moins que d’en faire autant. Lydia et Virginie m’ont tendu la joue en me souriant. J’avais, dirait-on, un peu plus la côte que Sophie !

— J’espère, vu le temps qu’il fait, que vous avez pensé à prendre une tenue légère ! Ai-je dis en espérant une seconde qu’elles n’auraient rien d’autre que ce qu’elles avaient sur elles.

— Ben non ! Chris ne nous a pas dit qu’on pourrait prendre un bain de soleil. Vous en avez de la chance ! Vous pouvez faire comme vous voulez. Personne ne peut vous voir ! Remarquat Virginie en tournant sur elle-même, constatant qu’aucune fenêtre ne donnait sur le jardin.

Sophie, toujours là quand il faut, fit la proposition que j’espérais.

— C’est pas un problème, les amies. Venez avec moi. Vous trouverez votre bonheur dans ma collection de maillots.

Les filles entrèrent dans la maison. Je me retrouvais seul avec Chris.

— Tu les baises ?

— Non ! Pas encore ! Mais je compte bien sur vous pour y parvenir ! Quand j’ai vu le temps, j’ai tout de suite imaginé une partouze à 5 sur la pelouse chez toi ! Qu’est-ce que tu en dis ?

Je dis que t’as eu une excellente idée, mec !

(Dans notre chambre, Sophie, Lydia et Virginie.)

— Tenez, les filles ! Fouillez là-dedans. Vous allez bien trouver votre bonheur !

— Tu en as des maillots ! As-tu vu Virginie ? Moi, j’en ai juste deux mais pas aussidénudés !

— Tu n’as que ce genre là s’inquiète la blonde Virginie.

— Oui ! Que des deux pièces .. et les plus petits possible !

— Je vois cela ! Tu peux mettre un truc comme ça, toi, Lydia ?

— Euh Ça dépend ! Peut être, mais pas n’importe où en tout cas !

— Et pourquoi donc ? demande Sophie, surprise. Vous êtes belles, bien faites. Tu as des choses horribles à cacher, des cicatrices, un tatouage ultra coquin ? Non ! Alors, pourquoi ne pas être le moins habillée possible pour aller au soleil. La morale est sauve ! Tu ne montres rien !

— C’est que j’ai pas l’habitude, c’est tout !

— On est pas à la piscine municipale ! T’as vu ? Personne ne peut te voir dans le jardin.

— Ça, c’est vrai ! Acquissa Lydia.

— Et Chris ? Et ton mari ?

— Penses-tu que tu vas les choquer ? Ils vous plaît Chris ? Laquelle sort avec lui ? Les deux ?

— Oh !! Comment tu y vas ! Rétorque Virginie, devenue toute rouge.

— Ne me dites pas que ce beau jeune homme vous laisse indifférentes ? Ah ! Lydia ! Je crois deviner que tu le trouves bien à ton goût, pas vrai ?

— Je le connais à peine ! Sinon, entre nous, oui, il est plutôt mignon !

— Et toi Virginie ?

— Ouais ! Pas mal ! Un peu macho mais joli garçon !

— Oh ! Tiens ! Regarde celui-ci ! Il n’est pas trop

— Tu trouves ?

— Oui ! C’est le plus couvrant de tous.

— Il ne couvre quand même pas grand chose !

— Tu préfère un imperméable pour aller bronzer, Virginie ? Se moque Sophie.

— Bon ! OK ! Va pour celui-là.

— Et moi, Je me lance ! Je choisi le rouge.

— Choix judicieux, Lydya ! Il t’ira parfaitement au teint !

— Heureusement que je n’ai pas une grosse poitrine sinon, j’aurais un sein toujours en vadrouille sinon les deux !

Les filles se mirent à rire tout en enfilant les bikinis.

Sophie, un peu en retrait essayait de se faire une idée sur les deux jeunes filles en vue de ce que les garçons allaient vouloir faire d’elles. Ils devaient être en train de paufiner leur tactique pour croquer ces deux petites poulettes.

Lydia, de toute évidence l’exemple à suivre pour Virginie, se montrait plutôt à l’aise avec son corps. Soigneuse, méticuleuse même, elle avait plié ses affaires et les avaient posées sur la chaise près d’elle. Elle n’avait pas hésité à se mettre entièrement nue avant d’enfiler de minuscule maillot rouge corail qu’elle avait finalement choisi.

Pas mal foutue, la môme ! se dit Sophie en admirant la jeune poitrine pas très volumineuse mais ferme aux tétons fièrement dressés. L’ensemble était musclé, svelte, nerveux, la fesse longue, la taille fine.

Ils vont se régaler les lascards avec un petit lot comme ça ! pensa-t-elle en souriant discrètement.

Virginie lui parue être à l’opposé de sa camarade. Pas physiquement, non ! Elle aussi avait un corps harmonieux, les seins un peu plus généreux, les fesses aussi sans être lourdes ou disgracieuses. La différence se remarquait principalement dans son attitude.

Hésitante, timide, faisant sa mijorée pour se déshabiller comme si elle se sentait scrutée par cent paires yeux libidineux.

A l’inverse de Lydia, Sophie n’a pas pu la voir nue une seconde. Pourtant, une fois revêtue du deux pièces que les filles lui avaient quasiment imposé, elle parut se détendre, flattée par les compliments de son amie.

— Mais tu es ravissante ! Il te va parfaitement. Tu es très jolie, tu sais.

Sophie en remis une couche.

— Il te va mieux qu’à moi ! Tourne-toi ! Oui ! Superbe ! Tu sais quoi ? Je te le donne.

Virginie,  faisant face à nouveau était rouge de bonheur ou de confusion, sans que Sophie perçoive lequel des deux sentiments était celui qui la touchait autant.

Venez vous montrer à ces messieurs. Ils vont tomber de leur chaise, c’est moi qui vous le dit !

( pendant ce temps là, sur la terrasse, au soleil.)

— Tu ne vas pas rester comme ça !

— Bien sûr que non !

— T’avais prévu ?

— Un peu, mon’veux ! Tiens, mate ! Qu’est-ce que t’en dis ?

Chris laisse tomber son froc pour me montrer son string minimaliste couleur chair.

-Wouaaah ! Super !

— Hein ! Pas mal ! Et t’as pas tout vu ! Le textile est vachement souple. C’est fait pour ! Quand tu bandes, ta queue reste en place. C’est juste le slip qui suit le mouvement. C’est très confortable. Ça te moule la bite au plus près comme une capote, t’as pas idée de l’effet !

— Si ! J’imagine très bien ! D’un peu loin, c’est comme si t’avais rien !

— C’est exactement ça ! J’ai testé la semaine dernière. Les deux gonzesses qui étaient proches de ma serviette se sont barrées à toute berzingue quand elles ont vu ma queue en fête !

— T’as pas peur qu’elles fassent la même chose ? Dis-je en évoquant de la tête la présence des deux nanas dans la maison.

— Je ne crois pas. Virginie seule, certainement mais avec Lydia, ça devrait aller. Je la sens chaude, cette nana et Virginie, elle, je pense qu’elle est prête à faire tout ce que sa copine fera.

— Donc, je chauffe Lydia et, selon toi, Virginie suivra.

— Ouis, j’en suis persuadé !

— On vera bien ! et tu l’as acheté où ?

— Par correspondance sur un site spécialisé en godes et canards vibrants

— Faudra que tu me donnes l’adresse, je n’ai rien vu de semblable dans le magasin la dernière fois que nous sommes allés faire des amplettes de ce genre là !

— Vous avez du matos !

— T’as pas idée !!!

C’est à cet instant précis que les filles parurent, Lydia en tête suivie de Virginie dans son ombre.Sophie fermait la marche, observatrice.

Comme elle l’avait prévu, les garçons en restèrent un moment pétrifiés.

— Oh, là, là ! Lydia ! Magnifique ! Et toi, Virginie, Montre-toi !

Elle fît un pas de côté, poussée discrètement par Sophie.

— Splendide ! Merci Sophie ! Je pense que c’est à toi qu’on doit ces merveilleuses apparitions. Approchez un peu qu’on vous voit mieux !

Lydia, en toute décontraction, affichant un grand sourire, attrapa Virginie par la main et s’avança, façon "défilé de mode", se déhanchant juste assez pour faire jouer ses jolies fesses nues, suivie sans conviction par Virginie.

Sophie, restée dans l’embrasure de la porte-fenêtre, suit la scène du regard, particulièrement satisfaite du résultat obtenu à force de persuasion.

Lydia parodiant "Alerte à Malibu" retenait particulièrement mon l’attention. Chris, même s’il ne pouvait resté indifférent aux charmes si mal cachés par le minuscule maillot rouge lorgnait nettement sur Virginie, attiré probablement par son côté juvénile et son manque d’assurance

Je me suis levé, abandonnant un instant la présentation  (je dois reconnaître très réussie) de nos deux invitées-surprises pour aller chercher les bains-de-soleil pliés et entassée en bout de la terrasse.

— Venez vous installer, mesdemoiselles ! Sophie ! Tu nous sers quelque chose ?

C’est prêt ! Je vous apporte ça !

La sangria qu’elle avait préparée, sans savoir qu’il y aurait deux invitées de plus, reçu rapidement une surdose copieuse de téquila. Elle goûta, en ajouta encore une bonne rassade et apporta la coupe à ses convives.

— Servez-vous ! Les verres sont dans le logement sous la table.

Cinq minutes plus tard, les jeunes gens étaient tous allongés au soleil, sirotant leur sangria, évoquant les derniers évènement de l’actualité.

Il faisait chaud ! Il faisait soif ! Un verre, deux verres La mixture de Sophie fît vite son l’effet sur Lydia mais encore plus sur Virginie, devenue soudainement rieuse, enjouée, taquine, elle qui, jusqu’à présent, s’était contentée d’écouter les autres parler.

Contrairement à toute attente, c’est elle qui s’intéressa à la tenue ultra légère et quasi invisible de Chris. Elle le taquina.

— Super, ton maillot ! Y-a les mêmes pour filles ?

Chris saisi la balle au bond, l’occasion était trop belle !

— Je n’en vois pas l’intêret ! Vous ne bandez pas, que je sache !

Virginie aurait pu ne pas insister mais la téquila lui avait mis le diable dans la tête.

— Pourquoi ? Je ne comprend pas ! Ça fait comment quand tu bandes ?

— Tu veux vraiment voir ?

— Un peu oui que je veux voir !

— Et bien, viens me caresser et tu veras par toi-même !

Aussi surprenant qu’inattendu de sa part, Virginie se redressa et de dirigea à genoux vers Chris.

Lydia ouvrait des yeux comme des soucoupes, ne reconnaissant plus sa camarade. Elle se permis un : "T’es bien sûre de ce que tu fais, Chérie ?" qui ne reçu aucun échos.

Mon pote ouvrit largement ses cuisses pour que Virginie vienne au plus près et leva les bras comme pour dire :" Open bar, ma jolie !"

Grisée pour ne pas dire saoule, la jeune fille posa sa main à plat sur le sexe de Chris et commença une caresse lente en remontant jusqu’à son nombril puis redescendant aussi doucement jusqu’à effleurer ses testicules. Quelques allers et retours suffirent pour réveiller "la bête".

Sophie me regarda. D’un signe discret de la main elle me fît comprendre que notre "petite affaire" se présentait bien !

— C’est pas du jeu ! C’est quoi ce slip ! On dirait un préservatif ! Rouspéra Virginie.

(Chris,  à mon attention.)

— Tu vois ce que je t’avais dit ! Le tissus moule ma queue, quelqu’en soit sa taille. C’est pas génial !

Virginie ne l’entendait pas de cette oreille. Elle passa sa main dans l’entrejambe et fît jaillir l’objet de sa convoitise.

— Ah mais ! Je savais bien que j’y arriverai !

— Tricheuse ! Protesta Chris.

Tricheuse ou pas, la jeune fille, totalement inconsciente, se saisi du membre libéré de sa gangue élastique et l’emboucha sans la moindre hésitation.

Tous trois, autant étonnés que ravis du spectacle que nous offrait Virginie, l’avons entourée. Chris, aux anges, la tête renversée en arrière, se laissait pomper en soupirant par moment histoire de bien encourager la demoiselle à poursuivre assidûment ce qu’elle avait entreprit.

Sophie, sans se cacher, glissa une main dans mon slip et trouva ma queue déjà bien raidie. Elle me souriat tout en me désignant l’autre fille du menton. Dans ses yeux je pouvais lire : "C’est bon ! Tu vas te la faire !"

Comme Lydia était penchée sur moi pour mieux voir sa copine à l’oeuvre et qu’elle me balançais ses seins sous mon nez, je n’ai pas pu résister à les prendre à pleine main. Pas le réaction, pas de protestation, rien !

Le minuscule soutif les laissa rapidement s’échapper. Ils étaient ronds et fermes. Je m’apprêtais à en sucer un quand Lydia se tourna vers moi, un sourire aux lèvres mais son regard cachait mal le trouble qui s’était emparé d’elle.

— Sophie te laisse faire sans rien dire ?

— Bien sûr ! On est comme ça ! Pas de jalousie. Rien que du plaisir !

— C’est bien vrai, ça, Sophie ?

— Absolument. Tu peux baiser avec Serge si tu en as envie. Tu as ma bénédiction !

— Ah bon ! Alors, viens ! J’en mourais d’envie !

Lydia, me tenant par la main, m’a fait rejoindre le bain-de-soleil sur lequel je m’étais allongé précédemment et m’invita à m’y installer de nouveau.

Je la voyais en silhouette, placée entre le soleil et moi. La vision était enchanteresse d’autant plus qu’elle se débarrassait négligemment de son soutien-gorge qui ne servait plus à rien et faisait lentement glisser le long de ses jambes magnifiques le sting qui, lui non plus, n’avait plus aucune raison de rester en place. Creusant mes reins et me soulevant un peu, je me suis mis à l’unison en retirant mon string.

Avant que mon attention soit entièrement dévouée à Lydia, j’ai jeté un petit coup d’oeil vers Chris.

Virginie n’en avait pas fini de sa pipe. Ou bien elle ne savait pas si prendre ou alors, s’était tout le contraire. Allez savoir avec cette nana qui nous cachait peut être bien sa vraie nature ! Sophie ne restait pas passive. Le contraire m’eut étonné ! Les jambes écartées, debout au-dessus du visage de Chris, une main écartant son slip, elle se faisait lécher la chatte en se caressant les seins.

Chaud là-bas ! Et chaud également ici ! Avec Lydia, je n’avais aucun doute sur son expérience et son savoir faire. Bonté divine ! Comme elle s’y prenait la coquine ! J’allais devoir me concentrer sérieusement si je ne voulais pas lui balancer la purée dans les deux minutes à venir !

J’ai tenu plus de deux minutes mais pas tellement plus à vrai dire ! La vache ! Une trailleuse automatique ça doit faire à peu près le même effet !

Pas bégueule, elle a tout avalé sans en perdre une goutte et m’a gratifier de son sourire incendiaire.

— Humm ! Quel régal ! J’espère que j’aurai encore le droit d’en ravoir tout à l’heure ! Me dit elle en venant se mettre au-dessus de moi comme Sophie l’était au-dessus de Chris.

— A mon tour jeune homme et sois mignon ! Fais durer le plaisir autant que tu peux. J’adore me faire lécher la moule !

J’étais tout à mon affaire quand Virginie se mit à brailler.

— Salaud ! C’est dégueulasse, Pouahhh!

Le spectacle était croquignolesque ! Remise sur ses jambes, penchée en avant, elle laissait s’écouler de sa bouche le petit cadeau dont Chris l’avait généreusement gratifié.

Lydia, tout en riant de bon coeur, s’adressa à son amie.

— Tu t’attendais à quoi, godiche ! C’est pas ça que tu t’acharnes à obtenir depuis un bon quart d’heure ?

— Mais c’est abjecte, c’est proprement infecte ! criait-elle en faisant d’horribles grimaces qui la rendait encore plus amusante à regarder.

J’avais la réponse à la question que je m’étais posée, de savoir si Virginie suçait pour la première fois ou non.

C’était bien la première fois, à n’en pas douter !

— Tu n’y connais rien, ma chérie ! La prochaine fois, au lieu de gâcher la marchandise, appelle-moi que je vienne recueillir ce qui te semble aussi mauvais ! Moi, j’adore ça ! Tiens ! Tu n’as qu’à demander à Serge !

Virginie est rentrée en courant dans la maison, probablement pour se rincer la bouche, sous nos rires collectifs.

— Quelle idiote ! Ajouta Lydia ! Je ne l’ai jamais vue comme ça. Il faut dire qu’elle en a un sacré coup dans le nez pour oser faire ce qu’elle fait.

— Je suis pour qu’on la fasse boire tant et plus si ça doit lui donner des idées comme celle-ci ! Je me suis bien régalé, c’est moi qui vous le dit. Elle est peut être novice. Cela ne l’empêche pas d’être douée, la garce ! Conclua Chris en otant définitivement son "extra-slip" comme il se plaisait à l’appeler.

L’après midi ne faisait que commencer et nous nous étions déjà tous bien amusés, Virginie aussi quoi qu’elle puisse en dire !

Lydia m’a abandonnée pour aller voir mon camarade. Elle avait tout compris ! Personne n’appartenait à personne et c’était bien comme ça.

Il avait fallu en passer par où ils m’avaient tous fait passer pour que j’évolue au point où il m’était agréable de voir ma femme se faire sauter par mes potes. L’avantage que j’y trouvais en prime était que ma petite femme n’avait plus aucun complexe et acceptait tout ce qui me plaisait de lui faire ce qui n’était pas le cas avant cette journée que j’appellerai "Le Big bang" pour faire référence à notre sexualité qui, ce jour là, a explosé !

Et moi donc ! Qui aurait dit qu’il m’était devenu comme évident de profiter de tous ce que mon corps pouvait offrir à des hommes pour en tirer un maximum de plaisir ? 

Pas moi en tout cas !

Je suis allé me servir un petit verre de remontant pendant que Sophie rentrait dans la maison, probablement inquiète de ne pas voir revenir Virginie.

Je sirotais tranquillement mon Whisky. Chris sodomisait Lydia qui lui disait haut et fort combien elle appréciait ce traitement.

Sophie et Virginie firent leur apparition. Nues toutes les deux, elles se sont approchées.

Tu es tout seul mon pauvre vieux. Attends ! On va s’occuper de toi ! Virginie, tu as une préférence ?

Sans lui répondre, elle est venue se mettre à califourchon au-dessus de moi jusqu’à ce que sa petite chatte soit en contact avec ma bouche.

— Bouffe-moi ! M’a-t-elle dit avec passion.

Je ne sais pas ce qu’avait pu lui dire Sophie mais Virginie semblait transcendée.

Je m’exécutais avec grand plaisir tandis que Sophie entama une pipe comme elle-seule sait me les faire.

Le temps passait. Les trois filles s’employaient généreusement à nous procurer, à Chris et à moi, des moments inoubliables.

Nouvauté en ce qui concernait Sophie. Je ne l’avais pas encore vue faire l’amour avec une de ses semblables. Elle avait l’air d’aimer ça autant avec des mecs.

Du coup, Chris s’est retrouvé avec la queue au chomage. J’étais sur Lydia, elle me suçant la bite, moi lui dévorant la chatte.

Chris regardait Sophie et Virginie, elles aussi en 69. J’ai cru un moment qu’il allait se joindre à elles et profiter du postérieur que lui tendait Sophie pour s’inviter et participer à leurs ébats.

Mais il les a laissées s’amuser toutes seules et s’est dirigé vers nous. Une double pénétration n’était pas pour me déplaire et Lydia, j’en suis bien certain, allait aimer cela aussi.

Seulement, il s’est trouvé que Chris n’avait pas la même idée en tête que moi.

Quand je l’ai perdu de vue, j’ai immédiatement compris qu’elle allait être la prochaine figure du Kama Sutra, version trio et bi-sexuelle que nous allions réaliser, Lydia, Chris et moi !

J’ai fermé les yeux pour mieux profiter des voluptueuses attentions de mon camarade.

Des mains qui écartent mes fesses, de la salive qui tombe dans le creux de mes reins et qui s’écoule doucement dans ma raie, un doigt qui intercepte le liquide devenu froid, ce même doigt qui cherche délicatement à forcer l’entrée de mon trou, qui y parvient, qui va et qui vient, qui ressort, re-rentre, ressort encore puis rentre à nouveau, mais pas tout seul ! Deux doigts trois doigts, des pouces qui cherchent à agrandir l’entrée et qui semble y parvenir très bien.

J’exulte ! Je geins ! Je soupire ! J’encourage !

Juste en dessous, ma queue, qui coulisse entre des lèvres trempées, une langue qui affole mon gland, d’autres doigts qui pianotent sur mes couilles.

Trop bon ! J’exulte ! Je soupire, je gémis dans la chatte de Lydia.

Je m’acharne sur le clitoris que je tète avec délectation en attendant de sentir la présence imminente de la bite de Chris.

La voilà ! Elle vient de se poser sur l’orifice patiemment préparé pour la recevoir. Elle entre, timidement, hésitante. Elle s’arrête. Je la veux, je l’appelle de tous mes voeux.

— Vas-y, Chris ! Encule-moi !

J’ai dit cela très fort en abandonnant un instant le petit bouton rose. Lydia m’en fait le reproche en me faisant sentir ses dents.

Le membre s’anime, s’avance, m’envahi, me pourfend, s’immobilise. Il est en moi, au plus profond de mon ventre. Je l’emprisonne, je veux le retenir. Il me fait sentir sa présence en palpitant. J’ai l’impression d’un fauve qui respire doucement en moi avant de bondir. Il se retire ! Non, il revient puis repart et me laisse soudain sans la moindre sensation. Il est parti !  Je le sens tout prêt ! Le voilà qui revient. Cette fois, pas d’hésitation, pas de douceur, pas de manière !

Les mains se sont criptées sur le haut de mes fesses. Elles me projettent en arrière et je bute violemment sur le bas de son ventre. Ses couilles fouettent les miennes. S’instaure alors un rythme que je subis avec une émotion intense.

Le piston navigue en moi, puissant, violent et je l’accompagne par des gémissements qui se muent en cris quand il heurte le fond de mes entrailles.

Lydia participe activement à mon extase. Je donnerai cher pour être à sa place sans pour autant céder la mienne ! Quel spectacle fabuleux doit-elle avoir !

Je sens monter en moi le plaisir ultime. Je vais jouir dans sa bouche, il ne peut pas en être autrement !

Chris aussi montre à quel point me sodomiser lui donne du plaisir. Je pense même qu’à son tour il ne devrait pas tarder à se répandre en moi. Si seulement nous pouvions jouir ensemble !

C’est lui qui a donné le signal du départ ! A la première giclée que j’ai senti jaillir en moi j’ai ouvert les vannes en grand ! A nous deux, nous avons fait un sacré concert de grognements et de cris de jouissance !

Incapable de faire le moindre geste, je suis resté prostré sur le ventre de Lydia.

Elle était à la fête ! Non contente de m’avoir recueilli en totalité, je l’imaginais, bouche grande ouverte, langue tendue pour ne pas perdre une goutte de la semence de Chris qui refoulait par vagues successives de mon anus complètement éclaté.

Chris devait être quelque part, assis dans l’herbe, en train de chercher de l’air ou d’attendre que son palpitant daigne se calmer un peu.

Ma chérie se régalait de l’abricot de sa partenaire mais Virginie, la tête tournée vers nous n’en revenait pas de ce à quoi elle venait d’assister. Probable que c’était la première fois qu’elle voyait des mecs s’enculer.

J’ai jeté un coup d’oeil distrait à ma montre. Par bonheur, il n’était que 16 h ! Il nous restait encore bien du temps pour goûter aux joies que nos jeunes invitées semblaient toutes disposées à nous prodiguer sans compter !

(à suivre avec Greg et des connaissances à lui ! )

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