Mes parents venaient de prendre la gérance dune supérette. Ce qui leur impliquait de partir tôt le matin, pour recevoir les livraisons, et de rentrer tard, le soir, après la fermeture, la comptabilité de la caisse et le passage des convoyeurs de fonds.
Je venais davoir dix ans et pour ne pas que je reste seul à la maison, ils avaient engagé une jeune fille au pair : Lucie, qui avait tout juste seize ans et ne voulait plus aller en classe. Lucie logeait chez nous et avait pour tâche de soccuper de moi et deffectuer quelque ménage. Cétait une fille agréable, avec qui je me suis tout de suite bien entendu.
Le matin, elle se levait en même temps que mes parents, déjeunait avec eux, puis venait me réveiller pour me faire déjeuner à mon tour et me débarbouillait la frimousse avant de mhabiller et de me conduire à lécole. Le midi, elle venait me chercher pour manger avec elle et me reconduisait. Puis le soir, elle revenait me prendre à la sortie de lécole. A la maison, elle me douchait avant de me mettre ma chemise de nuit et maidait à mes devoirs. Elle aimait bien car cela la faisait réviser en même temps que moi, disait-elle. Dans la journée, elle soccupait de différentes tâches ménagère. Le soir, après mavoir mis au lit, elle attendait mes parents pour manger avec eux avant de se mettre, elle aussi, au lit.
Lucie semblait maimer vraiment beaucoup et je le lui rendais bien également. Nous nous entendions à merveille et je reconnais quelle soccupait de moi avec enthousiasme. Dès le premier jour, une grande complicité sinstaura dailleurs entre nous. Le premier soir, en rentrant de lécole, Lucie me donna mon bain. Elle me déshabilla, puis minstalla dans la baignoire. Après un moment, elle me demanda de me mettre debout pour me savonner. Ce quelle fit à main nue, à linverse de maman qui utilisait un gant pour le faire. Cétait donc différent et, ma foi, très agréable de sentir sa main aller et venir en menduisant partout de savon. Lorsquelle en arriva à me laver le sexe, elle me massa tout dabord mes petites boules. Puis ce fut mon pénis, quelle savonna délicatement. Elle me retroussa le prépuce en disant quil fallait bien laver le petit bout, pour que ce soit très propre, afin de ne pas attraper de maladie. Maman, elle, ne me faisait pas ça et le geste de Lucie était bien agréable, me procurant de délicieuses chatouilles, à cet endroit sensible. Malgré mon jeune âge, je goûtais un véritable plaisir à être ainsi touché par les doigts de Lucie, qui manipulait le bout de mon sexe et jai eu une érection. Evidemment, jignorais, à cette époque, pourquoi mon zizi se raidissait, mais les manipulations de Lucie me procuraient des sensations bien agréables et je ne posais pas de question, me laissant faire avec un plaisir jusque-là inconnu. Puis il y eu le moment du coucher. Lucie vint me mettre au lit. Mais avant de me laisser me coucher, elle me demanda si javais envie de faire pipi. Elle me dit quelle allait regarder si javais envie. Elle passa la main sous ma chemise de nuit et toucha mon sexe, puis me dit daller faire. Maman, elle ne me touchait jamais ainsi, me disant simplement que javais envie et menvoyant aux toilettes. Pourquoi donc Lucie avait-elle dû toucher pour sen rendre compte ? Innocemment, je me fit la réflexion quelle navait pas lhabitude, comme maman, et que cétait pour ça quelle avait eu besoin de vérifier.
Les jours suivant, Lucie continua de me faire ma toilette du soir, me savonnant partout, y compris le sexe, me retroussant et me massant délicatement. Elle ne faisait aucune réflexion en constatant mes érections et je ne me posais pas plus de question quau premier jour. Cétait devenu un rituel, auquel je mhabituais dautant plus facilement que jen ressentais toujours un évident plaisir. A maman, qui lui avait demandé si tout se passait bien, Lucie avait répondu quil ny avait aucun problème, que jétais un petit garçon très gentil. Elle expliqua que le soir, en rentrant de lécole, elle me donnait mon bain, me faisait goûter et maidais du mieux quelle pouvait à mes devoir, avant de me faire dîner et me mettre au lit. Maman semblait satisfaite et félicita Lucie pour la bonne entente qui sétait installée entre elle et moi.
Les choses ont donc continué ainsi. Mais bien sûr, je ne suis pas resté petit garçon. Lorsque, à lapproche de mes treize ans, les premiers poils ont commencé à garnir la naissance de mon sexe, Lucie ne sembla pas en prendre ombrage et continua de me faire ma toilette, sans même faire allusion à mon début de puberté. Mais dès cette période, elle porta davantage attention à laver bien comme il faut cette partie de mon anatomie. Pour mon plus grand plaisir, ses doigts, manipulaient, retroussaient,, savonnaient plus longtemps. De sorte que jen arrivais à avoir un semblant dorgasme, sans bien sûr , obtenir encore une éjaculation.
Le phénomène ne se produisit que quelques mois plus tard. Un soir, alors que Lucie, comme elle en avait pris lhabitude, sattardait à me savonner copieusement, et que ses doigts me trituraient doucement le pénis, jai senti un tressaillement de ma verge et jai eu ma première éjaculation. Trois ou quatre gouttes seulement, mais qui me surprirent. Lucie, quant à elle, ne parut pas surprise. Tandis que ça sortait, elle me maintenait le prépuce retroussé. Puis, souriante, elle me dit que jétais devenu un grand garçon, maintenant. Lorsquelle me fit sortir de la baignoire pour me sécher, elle me demanda si ça mavait du bien quand sétait sorti. Encore sous le coup de la surprise, je répondis quand même affirmativement.
Ce fut après un peu plus dune année plus tard, que maman sinquiéta de savoir si ça ne gênait pas Lucie de continuer à me donner mon bain, alors que je nétais sans doute plus un petit garçon. Jai su quil y avait eu entre elle un petite discussion à ce sujet, Maman voulait savoir si ce moment privilégié de la toilette, à mon âge, ne donnait pas sujet à une situation qui ne devait pas avoir lieu. Lucie répliquant quelle ne se permettrait pas des choses incorrectes à mon égard, quelle ne prêtait pas attention plus spécialement à mes fesses quà mon visage et que de toute façon, je semblais ne pas me plaindre de ses services. Maman insistant, Lucie finit par lui dire que, si elle trouvait quelle nétait pas sérieuse, elle navait quà lui donner son congé. Comme, effectivement, je ne me plaignais pas des services de Lucie, disant que ça ne mennuyait pas quelle me « surveillait » dans mon bain, maman finit par lui dire queffectivement, sa surveillance, au contraire la rassurait sur le fait que je ne me fasse pas des « choses malsaines » dans mon bain, comme certains garçons de mon âge.
Cest ainsi que pendant encore quelques année, jusquà ce que jai dix-sept ans, Lucie demeura à la maison et continua à me faire ma toilette, pour mon plus grand plaisir, mais aussi, sans doute, pour le sien également.