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Evolutions – Chapitre 62




ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 62 : Une invitation imaginaire.

Le lendemain soir, lorsque je réponds au téléphone, toujours allongé nu sur mon lit, je dis à Alice :

Ici l’homme qui va mettre des coups de cravache à sa femme, pas parce qu’il est sadique, mais parce qu’elle pense qu’elle va aimer ça !

Elle éclate aussitôt de rire, avant de répliquer :

Si tu veux bien, on va commencer par le martinet. Parce que comme dans mes fantasmes je ne ressens aucune douleur, il m’est par conséquent facile de m’imaginer dans n’importe quelle situation. Mais puisque tu en parles, tu les as reçus ?

Non, pas encore.

C’est étrange, parce que le colis contenant mes tenues exhibitionnistes est arrivé aujourd’hui, et ils doivent logiquement venir tous les deux du même endroit…

Hum… tu les as essayées ?

Quel genre de femme pourrait résister à l’envie de le faire, d’autant plus que si tu les as fait livrer chez moi, c’était dans ce but. Pas vrai ?

C’est pas faux. Et elles sont confortables ?

Ce n’est pas le mot que j’emploierais, étant donné quelles sont faites dans des matières synthétiques. Mais ce n’est pas non plus désagréable de les porter, et étant donné qu’avec je ressemble à une cochonne, je me suis par conséquent sentie très cochonne, lorsque je me suis regardée dans le miroir après les avoir enfilées.

Hum… et tes filles les ont vues ?

Non. Je me suis dit qu’après ce qui s’est passé dimanche, ce n’était pas vraiment une bonne idée de remuer le couteau dans la plaie. Même si Léa semble avoir oublié que sa maman n’est qu’une sale perverse, qui aime recevoir des fessées et pisser à quatre pattes.

Je ne peux pas donner tort à mon petit bout de femme, même si j’aurais bien aimé savoir de quelle manière les jumelles réagiraient, en découvrant ces tenues transparentes. Pour ma part, il me faudra attendre le week-end prochain avant de voir Alice les porter devant moi, car je suis convaincu que non seulement elle va les amener ici, mais qu’en plus elle voudra me montrer ce qu’elles donnent sur elle.

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Cependant nous n’allons pas parler de ça toute la soirée, et Alice qui doit penser comme moi me demande :

Tu veux la suite de mon histoire, mon Nounours ?

Évidemment ma petite Poupée, et j’ai attendu ce moment toute la journée.

Hum, alors rappelle-toi. Je vous laisse en compagnie d’Olympe de Villeneuve, pour aller jusqu’au tabouret de cirque sur lequel Max m’aide gentiment à monter. Comme à chaque fois que j’entre en scène il y a un murmure parmi le public, et bien qu’il me fasse plaisir parce que je sais qu’il est appréciateur, cela me fait tout de même rougir. Parce que bien que j’ai fait d’énormes progrès pour ce qui est de ma timidité ; comme tout le monde le sait, il suffit de chasser le naturel pour qu’il revienne au galop. Ensuite, Monsieur Loyal fait son annonce, et contrairement à celle qui a conclu l’exhibition de la femme qui m’a précédée, que nous n’avons même pas remarquée parce que La Marquise et Léa nous donnaient un show privé, cette fois il a toute notre attention.

Alice :

Il s’adresse au public : « Elle nous revient ce soir avec un ventre un peu plus rond que samedi dernier ! Mais nous nous sommes tellement habitués à elle depuis trois mois, que nous remarquons à peine la différence !! Notre petite Dolly est en gestation depuis 26 semaines… Si son vétérinaire ne s’est pas planté dans les dates !! » À ce moment-là, il y a quelques rires dans l’assistance, ce qui est le but recherché par le comique de service, et il continue après une courte pause : « Nous ne savons pas combien de temps encore, notre star locale va pouvoir nous faire bénéficier de sa présence, mais nous espérons tous que ce sera le plus longtemps possible… » Il y a quelques applaudissements, et il poursuit : « Et peut-être qu’elle restera assez longtemps ! Pour mettre bas devant nous sur son tabouret !! »

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Alice continue son histoire :

Il y a de nouveaux rires, et max reprend une fois qu’ils se sont calmés : « Mais ce soir, certains d’entre vous vont avoir la chance ! D’aller donner directement le biberon au petit chiot qui grandit dans son ventre !! Et nous espérons tous qu’il s’agit d’une petite femelle, qui dans une vingtaine d’années viendra à son tour, vous vider les couilles !!! » Cette fois il y a carrément des exclamations, et le crieur conclut : « Je vais maintenant venir parmi vous, pour sélectionner ceux qui vont pouvoir emmancher notre superbe Madone ! ». Étant donné qu’il a fini son discours, il me laisse seule à quatre pattes sur mon tabouret, et alors que comme à chaque fois je me suis placée face à toi, je remarque avec tristesse que tu ne fais pas attention à moi, parce que tu es en train de discuter avec la belle Marquise.

Alice :

Cependant je n’ai pas trop le temps de m’apitoyer sur mon sort, puisque deux hommes viennent jusqu’à moi, et lorsque celui qui s’est placé devant et que je n’ai jamais vu avant descend son pantalon, je constate que sa bite déjà en érection est très grosse, puisqu’elle doit mesurer pas loin de vingt-cinq centimètres de long. Cependant cela ne m’inquiète pas, parce que grâce au gode-ceinture de Dorine, je sais que je peux sans problèmes engloutir ce calibre. Mais lui doit avoir des doutes à ce sujet, puisqu’il me demande gentiment : « Ça va le faire, Madone ? ». Je hoche la tête tout en ouvrant la bouche en grand, pour lui faire comprendre que oui, et tandis que je sens une autre queue s’enfoncer dans mon trou du cul, ce qui ne me provoque plus aucune douleur à moins que je me contracte, le type me fourre son pieu qui passe dans ma gorge, comme une lettre à la poste.

Alice :

Une fois qu’il a constaté que son membre hors norme ne me cause aucune gêne, parce qu’il voit alors que j’ai levé les yeux que mon regard est toujours aussi clair, il prend confiance en lui. C’est pourquoi il place ses mains sur mes tempes avec ses doigts à l’arrière de mon crâne, pour me tenir fermement, et il commence à faire coulisser sa colonne de chair dans mon gosier, comme s’il s’agissait de mon con ou de mon cul.

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À ce moment-là, je me dis qu’il s’agit peut-être encore d’une indication que me donne Alice, au sujet de l’entraînement qu’elle a reçu de la part de notre amie Dorine, et sur ce qu’elle aimerait que je lui fasse. Cependant, je décide de ne pas l’interrompre, et elle poursuit :

Tandis que l’homme me baise la bouche en poussant des grognements de plaisir, je remarque du coin de l’il que vous êtes en train de vous approcher, Olympe de Villeneuve et toi. Que tu t’intéresses à ce que je suis en train de faire me rend heureuse, et je mouille comme une chienne en chaleurs. Une fois que vous vous êtes placés sur mon côté, ce qui est normalement interdit pour ne pas gâcher le spectacle aux voyeurs, la belle Marquise te dit : « Non seulement elle arrive à avaler les gros gabarits, mais en plus elle salive à peine, ce qui est assez rare ». Tu lui réponds : « C’est une amie à nous, qui est masseuse professionnelle option nuru, qui s’est chargée de son apprentissage » « Seriez-vous par hasard, en train de me parler de Dorine Blanchet ? » « Exactement » « Décidément le monde libertin est très petit, car je connais également cette jeune personne, qui a le talent incroyable de prendre plaisir à procurer de la jouissance à tous, sans distinctions d’âges d’origines ou de genres ».

Alice :

Tandis que les deux queues sont toujours en train d’aller et venir en moi, je mouille de plus en plus, et la Marquise pose ensuite sa main sous mon gros ventre, ce qui lui est facile étant donné que je reste passive en me laissant empaler. Je sens son doux contact sur ma peau tendue, qui se met à se déplacer lentement en direction de mes cuisses, jusqu’à ce que ses doigts viennent caresser mon abricot bien juteux. C’est alors qu’elle s’exclame : « Bonté Divine !! Sa vulve est trempée de cyprine, ce qui indique qu’elle produit plus de fluides corporels avec son vagin, qu’avec sa bouche ! ». Puis elle te demande, alors que tu es resté silencieux : « A-t-elle déjà été pénétrée par trois membres virils simultanément ? » « Oui, cela lui arrive régulièrement, mais seulement dans un cadre privé. La première fois ç’a été par mon meilleur ami, mon fils, et moi bien entendu ».

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Alors que je me pose la question de savoir si c’est une autre des envies d’Alice, elle continue sa narration :

Les deux hommes se vident les couilles en moi en exprimant leur plaisir, et celui de derrière me provoque mon premier orgasme de la soirée. Ensuite ils se retirent et ils sen vont après avoir remis leurs pantalons, alors que deux autres types viennent dans l’intention de les remplacer. Seulement étant donné qu’Olympe de Villeneuve et toi n’avez pas bougé, ils sont hésitants sur la conduite à tenir. D’autant plus qu’elle est habillée, ce qui est très inhabituel pour une femme dans ce club. Cela semble les impressionner, c’est pourquoi la Marquise leur dit sur un ton très mondain, comme si elle se trouvait sur le parvis d’une église : « Je vous en prie messieurs, prenez place sans attendre. Je suis venue pour voir cette admirable personne faire acte de charité, et je suis convaincue qu’elle acceptera avec joie votre modeste obole ».

Alice :

Je ne suis pas convaincue qu’ils aient saisi son humour teinté d’ironie, cependant ils ont compris qu’ils étaient les bienvenus, c’est pourquoi tandis que l’un d’entre eux va se placer derrière, le second baisse son pantalon devant moi, pour découvrir une queue dressée qui est de taille beaucoup plus modeste, que celle qui l’a précédée. Cela ne l’empêche pas de suivre le même processus que le premier homme, puisqu’il m’attrape la tête tandis que j’ouvre la bouche en grand, et il s’enfonce lui aussi dans ma gorge pour me la décalaminer, tandis que son compère fait la même chose avec mes boyaux. Les deux types me baisent sans trop de ménagements, étant donné que ma gynécologue nous a affirmé qu’après les premiers mois de grossesse, je ne risquais pas de faire de fausse couche, sauf en cas de choc brutal.

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Alice poursuit son récit :

La Marquise te dit, tandis que vous êtes toujours à côté de moi : « Il faudra que vous me présentiez votre fils et vos amis, Laurent. Ainsi que la bessonne de Léa, qui à ce qu’on m’en a dit est très différente de sa sur, tant sur le plan physique que mental ». Ta réponse me fait énormément plaisir : « C’est à Alice qu’il vous faudra faire cette dernière proposition, car malgré notre petit jeu de domination, il y a certains domaines dans lesquels elle détient le pouvoir de décision » « Dans ce cas, je le ferai dès qu’elle aura terminé, la tâche qu’elle s’est elle-même imposée ». Tu répliques avec humour : « Je ne pense pas que nous puissions parler de tâche, à partir du moment où elle éprouve un plaisir qui va jusqu’à la jouissance ». Ce que tu viens de lui affirmer lui provoque un rire cristallin, et elle réplique tandis que je vous vois vous éloigner avec regrets : « Vous avez tout à fait raison, et nous la consulterons dès que son divertissement sera terminé ».

Alice :

Les paires de couilles se succèdent, les orgasmes aussi, et mon show est fini lorsque trente types se sont vidés, soit dans mon cul soit dans ma gorge. Francis a décidé afin que le record de Kitty ne soit pas battu, qu’il ne doit pas y en avoir plus ni pour moi ni pour Duchesse, et ce uniquement pour des raisons publicitaires, comme il le dit lui-même. Ma nouvelle amie fulmine, parce qu’elle voudrait bien être considérée comme étant la reine incontestée des videuses de couilles, et régner sans partage. Mais en ce qui me concerne, cette limite me convient tout à fait. Car même si je reste passive, jouir à répétition finit à la longue par me fatiguer, et c’est pourquoi à présent que mon exhibition est terminée, je reste à quatre pattes et pantelante sur mon tabouret de cirque. Même les applaudissements de mon public, dont certains ont également été acteurs, n’arrivent pas à me donner le courage de bouger, et c’est avec une joie immense, que je te vois revenir vers moi et cette fois seulement.

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Alice continue son histoire :

Tu m’aides à descendre de mon piédestal, avec une prudence et une sollicitude qui me met au comble du bonheur, puis tu m’emmènes en me soutenant par la taille jusqu’à la salle de bain, dans laquelle tu me retires délicatement mon body. Ensuite, tu te déshabilles alors que tu m’as fait asseoir sur le bidet, et que je me vide de tout ce foutre étranger, qui après m’avoir fait jouir comme une folle est devenu indésirable. Nous sommes passés par les toilettes des dames pour arriver jusque-là, et seuls les hommes qui accompagnent leurs femmes comme tu l’as toi-même fait en ont le droit. Lorsque tu es aussi nu que moi, tu m’aides à me relever, et nous allons sous la douche sous laquelle tu me laves avec douceur, après que nous nous soyons bien évidemment mouillés. Ensuite tu nous sèches, tu nous rhabilles et nous retournons à notre table, où Olympe de Villeneuve se trouve toujours, mais seule avec Léa.

Alice :

La Marquise se lève à notre arrivée, ce qui je pense est une marque de respect qu’elle me montre, après avoir assisté à ma performance. Une fois que nous sommes tous assis et que tu m’as tendu une coupe de champagne, tu touches ton entrejambe en regardant Câline, et notre fille qui a parfaitement saisi le message, après t’avoir souri vient immédiatement se mettre à genoux entre tes jambes. Elle dégrafe sans attendre ton pantalon, qu’elle fait glisser sur tes cuisses tandis que tu soulèves tes fesses, puis elle entreprend de lécher ta bite, jusqu’à ce que tu bandes comme un âne. Lorsque c’est le cas, elle prend ton gland en bouche, et elle commence à le téter, tandis qu’Olympe et moi la regardons faire avec attendrissement.

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Mais ce n’est pas fini :

Tandis que Câline se décide à avaler ta bite en entier, et que son petit nez vient s’enfoncer dans les poils de ton pubis, la Belle Marquise me dit : « Je pense ma chère, que bien que vous ayez été fort occupée, vous avez saisi l’essentiel de la conversation que nous avons eue, votre compagnon et moi ? » « Oui Madame » « Mais je vous en prie, appelez-moi Olympe, puisque nous sommes entre personnes de qualité » « Eh bien oui Olympe. J’ai compris que vous nous avez lancé une seconde invitation, qui en fait va précéder la première. Et si pour ma part je suis d’accord pour y répondre, je ne me sens pas le droit de décider à la place de mes filles. Par exemple, la sur de Léa après nous avoir accompagnés ici une fois, n’a plus souhaité y revenir, et nous ne l’avons jamais forcée à le faire » « Ce qui est tout à votre honneur. Mais qu’en pense notre petite Ange Blond, ici présente ? » Léa qui a compris que cette question s’adresse à elle nous donne son avis tandis qu’elle a avalé ta queue pour la troisième fois :

Gnui gnagnord gnagname.

C’est à ce moment-là que j’éjacule dans mon mouchoir en papier, et je réprime un petit grognement de plaisir, pour ne pas perturber la narration de mon petit bout de femme :

Nous éclatons tous le trois de rire, et nous avons bien évidemment compris que notre fille vient d’accepter l’invitation qui lui a été faite. En ce qui concerne Léo je ne suis pas trop inquiète, car je suis convaincue que lorsque nous lui aurons expliqué que nous devrons nous rendre chez une véritable Marquise, qui habite dans un manoir, elle sera elle aussi d’accord. D’autant plus que depuis que tu l’as dépucelée du con du cul et de la bouche, elle n’est jamais en reste pour se faire prendre comme une petite chienne en chaleur, même si elle n’a pas aimé venir dans le club de Francis.

C’est au tour de mon amante d’avoir un orgasme, qu’elle ne tente pas de dissimuler, puisqu’elle émet un gémissement mélodieux.

₪₪₪

Après quelques instants de récupération, Alice me demande :

Tu as aimé mon Nounours ?

Comme les autres fois énormément, et il me tarde de connaître la suite, qui va, je pense, se dérouler dans le fameux manoir.

Je suis en train de réfléchir à ça, mais en attendant, les jours prochains nous resterons au même endroit. Et pour ton information, même si je ne suis pas encore allée sur le site dont tu m’as parlé, j’ai commencé à écrire cette histoire. Non pas que j’espère atteindre une quelconque notoriété, mais j’ai eu une pensée compatissante pour ces pauvres célibataires, comme nous l’étions encore toi et moi il n’y a pas si longtemps que ça. Et je me suis dit que si je pouvais leur apporter un peu de plaisir anonyme, leur vie n’en serait que plus agréable.

Cette idée me fait sourire, car même si je n’avais pas envisagé les choses de cette manière, je trouve l’intention de mon petit bout de femme très charitable. C’est pourquoi je ne manque pas de l’encourager :

Je suis fier de toi, ma petite Poupée. Mais dis-moi, tu as déjà pensé au pseudonyme que tu vas prendre ?

Pas vraiment. Pourquoi pas Dolly ?

Étant donné la noblesse de tes intentions, je trouve que Duchesse t’irait mieux, et si c’était à refaire, c’est à ce nom-là que je ferais graver la plaque de ton collier.

Mes paroles la font éclater de rire, puis elle me fait :

Peut-être qu’un bon cordonnier serait en mesure de changer la plaque. Car si dans mon histoire je resterai Dolly, je t’avoue que moi aussi je préfère Duchesse.

Je vais me renseigner à ce sujet, car je ne sais même pas si ce métier existe encore, vu que nous vivons dans une société de consommation, et que par conséquent il nous est plus facile de remplacer les objets, que de les réparer.

Cette discussion étant terminée, nous papotons pendant un petit moment sur des sujets qui n’ont plus rien à voir avec le sexe, puis nous raccrochons, après nous être souhaité de passer une bonne nuit.

À suivre…

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