Kévin n’en croyait pas ses oreilles. Il était à genoux devant cet homme qui avait descendu son pantalon et qui exhibait sa queue à moins de 30 centimètres du visage de Kévin. Il ne croyait déjà pas ce qui lui était arrivé jusque-là mais cette fois, c’était surréaliste. Ils lui avaient dit qu’ils voulaient une boniche dans la maison et il avait compris qu’ils voulaient qu’il obéisse à tous leurs ordres. Il ne s’attendait cependant pas à ce qu’il y ait une connotation sexuelle dans leurs exigences. Déjà qu’il s’était abaissé à lécher leurs pieds, ce n’était déjà pas mal. Il n’était pas gay et ne le serait jamais. Kévin était un homme, un vrai qui aimait les femmes et les jolies poitrines. Il préfèrerait mourir que de s’abaisser à cela !
Dès lors, il regarda cette queue qui était très jolie et de belle dimension en se disant qu’il aurait aimé avoir la même. Sa première pensée était de foncer tête première sur l’entre-jambe de son agresseur pour lui donner un grand coup de tête et lui faire comprendre qu’ils n’obtiendraient rien de lui. Cependant, il savait que ce dernier tiendrait parole et lui couperait ses couilles à vif. Il s’abstint donc et se contenta d’un:
Allez vous faire
Il ne put terminer sa phrase puisqu’une main vint s’écraser à pleine vitesse sur sa joue, l’envoyant sur le côté un mètre plus loin. Ses mains toujours attachées dans le dos, il s’étala sur le sol sans pouvoir se rattraper. Alors que son épaule heurta violemment le béton, il resta allongé là le souffle coupé.
Je préfère t’interrompre de suite avant que tu puisses terminer ta phrase. Je peux te garantir que tu le regretterais. Je pensais que tu avais compris et que ce serait donnant-donnant. Je vois que je me suis trompé. La prochaine fois que je te donnerai un ordre, tu l’exécuteras en disant « oui Maître ». Sans cela, la gifle que tu viens de recevoir te semblera être une caresse. Comme je te l’ai dit en arrivant, je reviendrai demain matin avec la même proposition. Si tu fais ce que je te demande, tu auras à boire et à manger. Sinon, je reviendrai 24 heures plus tard et ainsi de suite. Cependant, je ne pense pas qu’au-delà des prochaines 24 heures tu sois encore en état de m’obéir. Dès lors, tu ne me seras plus d’aucune utilité et je me débarrasserai définitivement de toi. A toi de voir. Passes tes prochaines 24 heures à y réfléchir.
Il était tellement sonné qu’il essaya de parler mais aucun son ne sortit de sa bouche. De toute façon, ce qu’il avait à dire n’aurait fait qu’aggraver les choses.
L’homme sortit avec le sachet en plastique qu’il avait apporté en fermant la porte derrière lui. Kévin était toujours au milieu de la pièce, couché sur le côté, incapable de bouger. Il ne sut pas combien de temps il resta dans cette position. D’une part, il était sonné par la gifle et la chute qui en suivit. D’autre part, il commença à se rendre compte qu’il devrait sucer la queue de son geôlier ou mourir de soif et de faim. Il n’y avait aucune solution facile. Cependant, mourir de soif lui permettrait d’en finir une fois pour toute sans perdre le peu d’amour propre qu’il lui restait.
Il se redressa difficilement pour se remettre debout mais il sentait ses forces diminuer et ses jambes trembler. Il atterrit à genoux sur le sol froid puis à nouveau sur le côté. Il rampa ainsi jusqu’à sa couverture telle une limace. Il resta dans un état de demi conscience durant une période qui lui sembla durer des heures. Les crampes d’estomac et la brulure de sa gorge l’empêchaient de dormir. Il savait que cela pourrait durer plusieurs jours s’il ne se soumettait pas aux ordres de son tortionnaire. Il sentait que la décision qu’il prendrait lors de sa prochaine confrontation serait sans retour. Il avait donc le choix entre sucer un homme ou souffrir pendant plusieurs jours. Il sentit sa volonté s’effriter avec le temps.
Après une période qui parut durer une éternité, il entendit la porte s’ouvrir à nouveau. Il vit le même homme entrer avec le même sachet en plastique que la veille. Il était toujours vêtu d’un pyjama de soie mais différent de celui de la veille.
Kévin était au bout du rouleau et savait qu’il ne pourrait en endurer beaucoup plus. Avec ses dernières forces, il essaya de se relever et d’avancer tant bien que mal jusqu’à l’homme. Il s’écrasa devant ses pieds sur lesquels il s’efforça de poser trois baisers.
Bien, tu sembles être dans un piètre état mais je vois que tu sembles mieux disposé qu’hier. Je vais te rappeler ma proposition. Tu embrasses ma queue et tu passes ta langue dessus avec gourmandise et je te donne à manger et à boire. Dans le cas contraire, je reviendrai dans 24h. à toi de voir.
Il baissa à nouveau son pantalon jusqu’à ses genoux, laissant à nouveau apparaitre une queue de belles dimensions au repos.
Kévin releva la tête avec le restant de force qui lui restait. Son visage était à 20 centimètres de la queue. Son calvaire était trop difficile à endurer. Il ne pouvait supporter cela plus longtemps. Il sortit dans un murmure presque inaudible :
Oui Maître
Il approcha ses lèvres de la queue et les pressa sur le côté pour faire un premier baiser.
C’est bien, continue comme ça.
Il imposa un second puis un troisième baiser sur le côté de la queue et le sentit grossir légèrement.
Vas-y, sort ta langue et promène là des couilles jusqu’au gland.
Kévin exécuta les ordres. Il sortit sa langue en partant des couilles et remonta lentement jusqu’au gland. Une fois arrivé au gland, il fit de petit cercles avec sa langue et sentit la queue durcir et le gland se décalotter au fur et à mesure du passage de sa langue. La taille de cette dernière était impressionnante. Elle devait bien faire 20 ou 25 centimètres maintenant qu’elle était bien raide. Il était dans un état second et ne réfléchissait plus, il agissait comme un automate pour recevoir sa récompense. Maintenant, il faisait le tour du gland avec sa langue, lentement puis de petits passages rapides au niveau du frein. Il sentait l’homme soupirer à chaque coup de langue. Sans s’en rendre compte, il goba le gland en passant sa langue sur chaque endroit sensible. Il entendit l’homme gémir de plus en plus fort et sentit deux mains se poser sur ses tempes. L’homme commença à donner des coups de bassins dans la bouche de Kévin. Ce dernier ferma sa bouche par réflexe alors qu’il sentait la queue titiller le fond de sa gorge. Les mouvements de bassins de l’homme allèrent de plus en plus vite.
Je vais te donner ton premier repas, n’en perds aucune goutte surtout !!!
L’homme serra la tête de Kévin très fortement et gémir un grand coup. A ce moment, Kévin sentit une grande quantité de liquide s’écouler dans sa bouche. Il n’en perdit aucune goutte tellement il avait soif.
Kévin finit par trouver cela agréable jusqu’à ce qu’il sente une douleur à son entre-jambe. Sa propre queue était tellement dure qu’il en avait mal. Finalement, il avait éprouvé beaucoup de plaisir à réaliser cette fellation. Contrairement à ce qu’il avait pensé cela avait été un moment de plaisir dès qu’il avait perdu le contrôle et mis sa fierté de côté. Il se surprit même à lécher la queue une fois sortie pour bien la nettoyer et ne laisser aucune goutte.
Tu vois quand tu veux, tu peux y arriver. En plus, à voir ta queue, cela n’a pas été un supplice. Si tu m’écoutes et que tu m’obéis en tout point, tu éprouveras du plaisir. Dans le cas contraire, chaque étape de ton dressage sera un calvaire. Je suis un homme de parole et vais te donner à boire et quelque chose de plus consistant à manger.
L’homme se dirigea vers l’écuelle avec le sachet plastique à la main. Il vida une petite bouteille dans la première écuelle et sortit un petit paquet carré en aluminium du sachet. Il tira sur une languette pour ouvrir le petit paquet et le transféra dans la seconde écuelle. Le contenu tomba en faisant un grand bruit humide. Kévin n’avait aucune idée du contenu mais il savait que c’était à manger et c’est tout ce qui comptait. Un mur dans son esprit s’ébranla alors et il se dit qu’il ne voulait pas subir à nouveau le même calvaire que ces derniers jours. Il se dit intérieurement qu’il se soumettrait aux prochains ordres et qu’il éprouverait encore du plaisir comme à l’instant. Même s’il était honteux, il savait qu’il était en train de découvrir des plaisirs qu’il n’aurait jamais imaginés. Il se sentait tellement inférieur et heureux en même temps.
J’espère que tu vas te régaler. Tu as été un bon chien et donc, voici une récompense appropriée. Je ne te détache pas encore pour manger mais ce sera ta prochaine étape si tu continues à m’obéir. Bon appétit !
Merci Maître.
Il rampa jusqu’à l’écuelle et commença à boire sans même se préoccuper de ce qui était dans la seconde écuelle. Il savait que son Maître était derrière lui mais il s’en moquait, il avait trop soif. Après tout, il était considéré comme le chien de la maison alors, il se comportait comme tel. Une fois qu’il eut complètement vidé son écuelle d’eau, il se dirigea vers la seconde écuelle en se demandant quelle nourriture s’y trouvait. Son estomac se tordait de douleur alors qu’il essayait de deviner quelle nourriture lui était réservée. Il s’arrêta net devant l’écuelle en voyant un cube de gelée brune qui formait un bloc. Le contenant était resté à côté. C’était de la pâtée pour chien premier prix, le moins cher du magasin. Il était affamé et approcha son nez de l’écuelle. L’odeur était nauséabonde et aurait pu le faire vomir s’il avait quelque chose dans l’estomac