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Comment elle devint une chienne – Chapitre 4




Charles resta longtemps sans reprendre contact, cétait son tour, mais ce nest pas quil était las déjà ni quil nen avait plus envie, il était peut-être à court dimagination. Cest alors quil reçut un texto, de ce numéro de tél qui ne servait semble-t-il quaux relations extraconjugales dAnne. Cétait un lien pour youtube et il y avait un court commentaire. : « "Vous ne savez plus siffler ?" Il y a un cours ici. »

Cétait suivi dun petit extrait du dialogue « You dont have to do anything, you dont have to say anything or may be just whistle. You know how to whistle dont you Charles ? You just put your lips together and blow. ».

Qui aurait résisté à ce regard de Lauren Bacall.

Charles neut dailleurs pas à siffler. Il se trouva quils durent une nouvelle fois traverser la forêt. Est-ce par vengeance de sêtre crue négligée ? Est-ce pour se réserver pour le retour ? Ils étaient à peine dans le bois quelle lui demanda de ne pas sarrêter : « Réservons-nous pour le retour ».

Mais Charles bandait depuis quils étaient montés dans sa voiture. « Depuis que je sais que nous allons revoir notre partenaire je bande, ça fait deux jours et je ne tiens plus ».

Anne était dun naturel compatissant, pleine dempathie pour les hommes souffrant dun de ces maux de couilles trop pleines. Elle consentit. « Mais vite fait, juste pour vous vider les couilles. Vous me prenez, vous faites votre affaire sans chercher à me faire jouir, et on repart. ».

Au premier parking Charles arrête sa voiture, ils descendent, sengagent dans le chemin quils connaissent, senfoncent derrière le petit bosquet de houx, ou un arbre récemment tombé semble attendre Anne qui appuie ses bras dessus, tournant le dos à Charles. Charles remonte la jupe regarde la croupe qui soffre, deux jolies fesses, pas trop musclées, il glisse son doigt sous la culotte, écarte la partie du tissu qui gênerait la pénétration, libère les lèvres et la fente. Prenant du recul il regarde ces deux lèvres, bien épaisses, la légère toison quil devine : « sa croupe est parfaite », et comme il glisse les doigts sur la fente « elle est trempée. ». Il sort sa queue et la glisse lentement le long de la fente avant de pousser dun coup de rein brutal pour la prendre. Frénétiquement il va et vient dans ce con trempé, chaud, et, comme il était en rut, il décharge rapidement une giclée abondante qui jaillit, et inonde le con dAnne, qui, malgré sa volonté de se retenir pour ne pas lui donner le plaisir de lavoir fait jouir, ne peut sempêcher de gémir de plaisir. Il sort un mouchoir en papier de sa poche, essuie le con et remet le petit morceau de tissu à sa place. Il redescend la jupe, donne une petite tape sur les fesses de celle qui lui a prêté son con pour se soulager « Merci ma belle ». Pendant quil sessuie à son tour et ajuste son pantalon elle le regarde, en colère : « La prochaine fois je vous ferai payer ce genre de passe doit bien valoir 100 euros avec moi non, main aux fesses comprise ? ».

Il sarrêta au retour, assez tard dans la soirée, encore douce dun beau mois de septembre. « Toujours fâchée ? je suis prêt à vous faire ce que vous voulez ».

Sur une table de camping, à lécart, invisible de la route, elle sest allongée, a ôté sa culotte, écarté les jambes la jupe remontée jusquà la taille : « Mange moi, lèche-moi, fouille-moi avec ta langue, suce mon clitoris ». Il sest exécuté, le goût du sperme quil avait déversé dans ce con superbe était encore présent, il ne trouva pas que le mélange était désagréable. Au bout dun moment elle commença à jouir, et il entretenait ses orgasmes, suçant à pleine bouche la vulve trempée, du bout des lèvres le clitoris quil agaçait à la faire crier, puis il y mis délicatement les dents elle ne se tient plus elle crie, plante ses ongles dans son dos, pousse sa tête contre son pubis.quand elle nen peut plus il se redresse, attrape les hanches, tire Anne vers lui, plante sa bite dans la vulve béante, monte les jambes le long de son corps, empoigne la poitrine à pleine main, et il commence à la baiser lentement. Comme il a vidé ses couilles à laller il est plus endurant. Il fait durer, et la laisse jouir, encore et encore. Elle balance la bête dun côté, de lautre, hors de contrôle, abandonnée à son plaisir pendant quil la pilonne son gland roule au fond de la matrice elle roule des hanches pour mieux sentir la bite enfin après une baise interminable il décharge.

Quand il se retire, laissant doucement retomber les jambes, elle reste, offerte il voit des gouttes de sperme ressortir et descendre entre les lèvres

Cest alors quil voir surgir un chien qui sapproche de la table. Il a beau réagir rapidement « Attention !!! . » Elle ne réalise pas ce qui se passe encore toute embrumée de ses orgasmes interminables et lorsquelle réalise cest que le chien vient de donner un coup langue entre ses cuisses, léchant le sperme et sa liqueur et il recommence lape à grands bruits il aime et elle aussi elle reste, remonte les cuisses en espérant faciliter laccès de son con elle gémit de plaisir.

Cest Charles qui pense que le chien a peut-être un maître qui la redresse, rabaisse la jupe, tandis quelle se laisse faire complètement ramollie. Il la à peine relevée et descendue de la table que le maître arrive. « Bien le bonsoir, jespère que mon chien ne vous a pas importunés » ; « Mais pas du tout nous allions justement partir », « Eh bien bonne route après ce petit moment de récréation ». « Merci, vous êtes bien aimable ».

Ils repartent sans trop se presser. « Crois-tu quil a vu quelque chose ? » Anne est un peu inquiète, et sil les avait connus ? « Vu non, mais quil tait entendue me semble bien possible ». « La prochaine fois on se contentera dune petite fellation, ou dune bonne masturbation ».

Mais Charles « Quand même tu ne dis rien de ce qui sest passé ? »

« Je suis couverte de honte mais jai aimé jaurais aimé que ça dure plus longtemps. Je nétais plus vraiment consciente et je me laissais emporter par mes sensations elles étaient si agréables, si fortes je ne pensais quà écarter les cuisses jai même enfin nen parlons plus ».

« Tu as même ???? Tu as imaginé une suite ???? »

« Quest ce que tu vas chercher ? Jai même bon on arrête, OK ? Tu deviens lassant ».

Anne est revenue à elle, et entame un nouveau sujet.

« Tu fais ce que je veux ? »

« Jai eu limpression de ne faire que ça depuis que nous nous sommes arrêtés, sans déplaisir je dois le reconnaître ».

« Jaimerais savoir tu es attendu ce soir ? Sinon je tinvite pour le week-end »

Oh !!!! Cest inattendu « Et ton mari ? Et ton amant ?»

« Je nai plus de mari, je navais pas damant mais une amante elle a presque fait de moi une pure lesbienne. Viens chez moi, je suis seule ce soir, jai besoin de compagnie, jai de quoi nous revigorer, et la boisson qui va avec tu pourrais dormir seul, dormir où tu voudras, la maison est grande, mais avec moi aussi si tu veux».

Et voila comment Charles se retrouva à manger devant un feu de cheminée allumé pour faire intime, à manger du confit de canard vite réchauffé et à boire un bon vin , Anne qui sétait à moitié dévêtue, assise ases pieds, offrant ainsi ses seins, ses jambes et le haut de ses cuisses aux regards de son invité, qui devinait parfois la toison dorée de lentrejambe. Une main trainait parfois sur un sein, pinçant un téton, caressait le cou le temps passant elle se retrouva presque nue, caressée comme une femelle domestique, se reposant sur les cuisses du mâle, prête pour un nouveau coït. Ils sendormirent devant la cheminée juste après. Anne était allée chercher de quoi les couvrir, des oreillers et ils dormirent sur lépais tapis.

Le jour nétait pas encore levé que Charles sentit une main qui semparait de son membre, et doucement commençait une légère masturbation. Dans son demi sommeil Charles ne comprenait pas bien comment Anne pouvait, de là où il la sentait contre lui le tenir comme cela, avec une main si délicate mais elle faisait ça si bien sans risquer de le faire jouir, mais en même temps en suscitant la lente montée du plaisir. Qui est-ce qui faisait ça ?…

Il se réveille entre deux femmes, lune est encore ensommeillée, lautre, plus petite se presse contre son corps, encore habillée, et a entrepris de la masturber. Elle murmure à loreille de Charles : « Je suis Marie, je partage la vie dAnne depuis deux semaines, depuis quelle a rompu avec son mari. Bienvenue dans la maison. ».

Quelques minutes plus tard il se cambrait, et déchargeait dans la main de Marie, une quantité relativement minime de sperme quelle porta sous son nez « Jaime bien cette odeur et ce goût cela me rappelle mes premières expériences sexuelles. »

Et, alors quAnne continuait de sommeiller, Marie entreprit de conter ses premières expériences après avoir léché ce que Charles avait projeté sur les doigts qui lavaient branlé.

« Je vous raconte, parce que ce que je viens de faire à tout fait remonter dans ma mémoire et comme ça comme ça vous me connaîtrez mieux. ».

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