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Rencontre lesbiennes à la bibliothèque – Chapitre 1




Tranquille ment installée à une table de lecture de la bibliothèque, je sentais un regard insistant sur moi. En levant les yeux j’aperçois une jeune femme blonde qui me sourit. Je réponds poliment et me replonge dans ma lecture. De temps en temps je lève les yeux et constate que ma voisine continue à m’observer. Elle se lève et passe lentement devant moi. Elle est belle, grande élancée en minijupe fendue sur le côté et laisse voir des jambes et des cuisses gainées de noir. Très élégante. Ayant laissé tomber un dossier à terre qui éparpille les feuilles, elle se baisse pour le ramasser offrant à ma vue une splendide poitrine apparemment libre sous son corsage. Accroupie pour le rangement des documents, elle écarte machinalement les jambes ouvrant ses cuisses. Elle n’a pas de culotte et laisse entrevoir une forêt de poils noirs (fausse blonde !)  Je ne sais pas ce qui me prends mais je sens ma chatte mouiller, je porte mes doigts sous mon string et sens mon clito en érection. Elle a dû s’en apercevoir et en se relevant, elle pose sur ma table une petite carte avec son prénom : Marie et son tel.

Elle se dirige vers la sortie et je peux admirer sa croupe agréablement galbée Cela me donne une terrible envie de me masturber mais je résiste craignant de jouir et d’attirer l’attention des autres lecteurs. Ne pouvant plus me concentrer sur ma lecture, je quitte la bibliothèque et prends le bus pour renter à mon appartement. Pendant le trajet, je me prends à regarder les femmes qui peuvent ressembler à ma rencontre.

Arrivée à domicile, je me mets à l’aise et cherche la carte de Marie. Elle n’a rien écrit. L’envie de me masturber n’a pas disparue et en me préparant un goûter je frotte ma chatte sur le coin de la table. Je mouille abondement et comme j’en ai l’habitude, je recueille ma mouille dans un gobelet et avale le délicieux liquide en pensant que ce pourrait être celui de Marie L’orgasme vient rapidement. Je termine mon goûter et vais me coucher. Je me réveille le lendemain reposé et je pense à la veille.

« Est-ce que j’appelle Marie ? » « Non !  Je n’ose pas » Nous somme samedi, de repos, je décide de revenir à la bibliothèque à la même heure qu’hier. Je m’habille sobrement avec mon tailler noir, minijupe, bas noirs. Je décide de ne pas mettre de string et pas de soutien-gorge directement sous ma veste de tailleur.

J’arrive à la Bibliothèque et me dirige vers ma place d’hier. Marie est là à ma place. Je m’assois à une autre table libre en face d’elle mais un peu éloignée. Marie lève la tête, je fais un bonjour de la tête accompagné d’un léger sourire.

Elle ne répond pas mais se lève et vient vers moi et m’invite à aller prendre un pot à la brasserie d’enface.

 Nous rangeons nos affaires et nous voilà assises face à face à une table légèrement retirée de la brasserie.

Marie engage la conversation sur des banalités et au cours de nos échanges, je sens son pied qui caresse mes jambes sous la table jusqu’à atteindre ma chatte aussi velue que la sienne. Je la regarde goulument sentant que je commence à mouiller. Un regard furtif autour de nous me rassure sur notre isolement.

Marie : « j’ai senti que tu devais être salope. » « Tes seins sous ton pull moulant m’ont excitée surtout quand j’ai deviné que toi aussi tu ne portais pas de soutien-gorge ».( c’est vrai que mon 95 D ne laisse pas à indifférent à la vue en décolleté ou moulé sous un pull). « J’aimerais bien te baiser «

Ce langage direct me surprend mais m’excite tout autant. J’ai toujours rêvé de me gouiner et là je suis prête. Sentant toujours son pied tâtonner vers ma chatte, je glisse ma main sous la table et saisit le membre pour mieux le diriger et l’enfoncer dans mon con.

Je sens que tu mouilles abondemment me dit Marie, moi aussi. Elle plonge sa main sous la table et ressort ses doigts humides qu’elle me fait sucer. Là j’éclate et envoi un jet de ciprine qui doit tremper ma chaise. Elle ressort son pied de ma chatte et me dit « Je t’invite chez moi. Je te promets que je te ferai jouir pendant de longs moments mais je te préviens, tu seras ma soumise. Tu auras aussi le droit de demander ce que tu voudras. »

Je ne me fais pas prier et acquiesce de la tête sans dire un mot.

« Voilà mon adresse. C’est une maison bourgeoise dans un parc je t’attendrai à 20h00, la grille s’ouvrira pour ton passage et se refermera derrière toi n’aie pas peur du chien, il est très familier et plutôt câlin. Tu entreras par le perron la porte sera ouverte. »

Nous nous levons pour nous séparer et Marie aperçoit la tache de mouille sur mon siège. Elle l’essuie de sa main et se lèche avant de m’embrasser. Sa langue est chargée de deux boules de percing qui joutent à mon excitation.

20h je me présente au portail effectivement il s’ouvre seul, je gare ma voiture dans le parc. Je suis accueillie par un grand chien noir qui me fait la fête et commence à fouiller sous ma jupe. « Non laisse-moi, ce n’est pas toi que je viens voir »

Je monte le perron et me retrouve dans un vaste hall. J’entends la voix de Marie « Entre dans le salon à droite, j’arrive »

Mon cur bat à cent à l’heure. Je m’exécute et me retrouve dans une pièce aux lumières tamisée décorée de photos érotiques. Sur une table est alignée toute une collection de sextoys et dans un coin de la pièce je découvre une croix de St André ornée de chaines avec au pied, une sexmachine comme en voit dans les films pornos. Au plafond, une grande glace reflète toute la pièce.

Derrière moi j’entends « bonsoir ma salope tu viens te faire baiser. »

Je me retourne et Marie se présente avec un grand manteau noir ouvert sur une lingerie des plus excitantes. Soutien-gorge à balconnets ouvert sur les tétons et mettant en valeur cette splendide poitrine que j’avais entraperçue à la bibliothèque. Porte jarretelles soutenant des bas de soie noire gainant des jambes au galbe parfait. A la main une bouteille de champagne.

Je suis médusée et la laisse s’approcher de moi.

Elle me saisit fermement les cheveux, commence à me lécher la figure m’ouvre la bouche et m’introduit sa langue en aspirant la mienne. Ses percings me font une sensation excitante et sans retenue, j’empoigne sa chatte à travers sa touffe brune.

« Non ! c’est moi qui décide. Tu me boufferas la chatte, les seins et le cul quand je te le dirai »

Je retire ma main et c’est elle qui remonte ma jupe et entre directement ses doigts dans mon con.

Elle les ressort pour me caresser les fesses et introduire 2 doigts dans mon cul. Ses va et vient sont sublimes Je sens mes seins se dresser, elle s’en aperçoit, retire ma veste et commence à me mordiller les tétons. Avec les doigts dans le cul, je sens monter la jouissance et explose dans un orgasme foudroyant. Un long jet de mouille s’échappe sur le plancher. « A genoux lèche ta mouille sans l’avaler et donne-la moi dans la bouche » j’obéis et nos langues s’enlacent à nouveau pendant une longue minute.

Marie se saisit de la bouteille de champagne déjà ouverte, me demande d’écarter les cuisses, me l’enfourne dans la chatte et après une bonne pénétration, nous arrose mutuellement. C’est elle qui commence à me lécher tout le corps en insistant sur ma chatte et mon cul et me demande de faire de même. « Elle n’a pas encore jouit la salope » me dis-je » ça ne tarde pas car elle se dresse devant moi et me dit : » regarde-moi me branler et quand je vais jouir ouvre la bouche pour recueille mon jus ». Elle se branle avec la bouteille de champagne en poussant de petits cris. C’est tellement excitant que je me branle en même temps. Au bout de peu de temps, elle éclate bruyamment et crie « Suce moi, suce-moi !! »

Un peu fatigués, nous nous étendons par terre en nous caressant.

Marie me dit à l’oreille. « A toi, qu’est-ce qui te ferait plaisir » Je n’ose pas lui dire ce que j’ai ressenti l’accueil de son grand chien. Nous en parlerons plus tard.

« J’aimerais te voir te faire baiser et jouir avec ta machine pendant que tu me sucerais. »

« OK mais toi aussi tu y passeras »

« oui j’en ai trop envie »

Marie s’installe sur la machine, s’introduit délicatement le gode dans la chatte et mets la machine en route lentement d’abord. « Prends la télécommande et tu augmenteras la vitesse »

Je me mets à califourchon sur sa tête et nous voilà parties dans une extase mémorable. Je me caresse les seins pour parfaire les sensations. « Je vais jouir ! » « Attends un peu moi aussi » iNous explosons ensemble en mêlant nos cris de jouissance.

Maintenant je vais te baiser et t’enculer avec mon gode ceinture.

Rien que de la voir s’équiper d’une majestueuse queue de couleur noire, je me sens mouille ce qui facilitera la pénétration.

« J’ai toujours eu le fantasme de me faire baiser par un noir avec un très grosse queue »

« Je t’en offrirai un un jour il sera notre jouet sexuel ».

Marie s’approche avec sa queue bien raide « Suce »

Je caresse les boules et enfourne objet en gorge profonde.

« Je préfère que tu me baise par le cul, je sens que je mouille du cul. Vas-y »

Délicatement Marie enfonce la queue et à force de vas et vients je jouis pour la première fois par le cul. C’est sublime !

A la fin de la séance nous décidons d’arrêter et de nous revoir avec de nouvelles idées. En allant chercher ma voiture je retrouve le grand chien noir qui recommence à fouiller sous ma jupe et je me rends compte qu’il est bigrement excité ! Je le repousse en lui disant « une autre fois ! »

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