— Que s’est-il passé encore ? Demanda le docteur.

— Rien… rien du tout, répondit Isabelle regardant bien dans les yeux son amie.

Karine eut un soupir résigné.

— Alors pourquoi il a une trique monstrueuse ?

Isabelle jeta un coup d’il et vit la bosse sous les draps.

— Rien, il doit penser aux infirmières de nuit. Je l’ai fait parler et il paraît qu’elles avalent.

Karine ne releva pas l’information n’ayant aucun doute sur sa véracité mais le fait que rien ne se soit passé entre son amie et son fils, elle en était moins certaine.

— Mouais ! Si tu es "sûre" que tout va bien…

Elle prit un papier et le tendit vers sa meilleure amie.

-… ton fils est à toi.

Isabelle regarda la lettre puis les yeux du docteur et vit qu’elle ne plaisantait pas.

— Et je peux le ramener à la maison ?

— Donne-moi une date à partir de demain.

— Naaaaaan ?

— Et si, confirma Karine.

Isabelle attrapa son amie dans ses bras et celle-ci en profita pour lui passer la main sous sa jupe. Isabelle la repoussa, le docteur fronça les sourcils.

— J’en étais sûre… rien mon il ! Tu as encore pris ton pied les doigts de ton fils dans la chatte, chuchota-t-elle furieusement.

Isabelle parut désespérer.

— Non je t’assure je lui ai dit d’arrêter et de se rappeler les consignes et vu qu’il ne s’arrêtait pas j’ai repoussé sa main.

Karine ouvrit la bouche en grand et ne put s’empêcher de parler à voix haute.

— Tu n’as pas joui ? Et tu es trempée comme si tu avais fait une bataille d’eau.

— Chut ! Je me suis énervée et il a dit qu’il ne le ferait plus.

— Tu l’as engueulé ?

— Non mais je t’assure qu’il a compris l’idée.

Karine se gratta la tête et reprit la lettre.

— Je garde la lettre jusqu’à la fin de cette semaine, si rien n’arrive, tu peux l’emmener.

Isabelle vola le sésame des mains de son amie et dit venimeuse :

— On est mercredi, je le ramène à la maison samedi, on fera un pot à la maison, c’est mon dernier mot.

Karine ouvrit grands les yeux devant cet éclat de colère et dit, le ton mauvais :

— Tu aurais dû le laisser te finir, tu serais moins colérique.

Isabelle la regarda surprise de sa pique et commença à ouvrir la bouche pour crier mais elle n’en fit rien et prit de nouveau son amie dans les bras.

— Je t’aime et tu es ma meilleure amie, je ne veux pas que l’on se perde de vue comme ça.

Karine, surprise, rendit l’accolade les larmes aux yeux.

— Je ne voulais…

— Non, Karine ! C’est moi qui m’excuse. On se revoit demain et de toute façon il faut que j’y aille.

Elle lui fit la bise et entra dans la chambre.

Théo regarda sa mère entrer.

— J’ai entendu la fin de votre conversation, dit-il. C’est de ma faute, je suis désolé et je n’ai même pas réussi à te faire plaisir.

Isabelle s’approcha de lui et dit :

— C’est un peu de ta faute mais tant que tu suis les consignes de Docteur Canfre tout ira bien.

Elle se pencha pour lui faire une bise sur le front mais Théo la tira vers lui et l’embrassa sur la bouche. Elle fut surprise de sentir la langue de son fils dans sa bouche. Les mains sur ses hanches, il la força à s’asseoir à côté de lui. Le baiser fut intense et dévora l’énergie d’Isabelle. La langue de Théo fit un ballet de douceur caressant la sienne ainsi que ses lèvres.

Quand enfin ils se séparèrent, elle remarqua avec plaisir qu’il n’en avait pas profité pour la tripoter.

— Je vous aime toi et Laura, et je ferai tout pour rentrer au plus tôt.

— Tu es bien mon Théo.

Elle se leva et sortit. Karine qui l’attendait à la sortie demanda :

— Pourquoi tu pars Isa ? C’est parce que l’on s’est disputées.

— Non, non… comme tu l’as dit je suis trempée et ce n’est pas très agréable, murmura-t-elle.

Karine ne put résister et dit :

— Qu’est-ce qu’il t’a fait pour que tu sois aussi trempée sans jouir.

Isabelle bégaya :

— Mais… mais… mais pour… pourquoi tu me demandes ça, t’es folle… bon je file.

Karine entra dans la chambre bien décidée à dire deux mots à son patient. Elle surprit Théo qui avait sûrement essayé de se lever tout seul et était en train de glisser vers le sol.

— Théo qu’est-ce que tu fais ? Dit-elle en l’aidant à se rasseoir.

— Je voulais aller aux toilettes, désolé docteur.

Karine ne répondit pas car la verge dure de Théo crocheta sa jupe et frotta sa fente. Après des efforts des deux côtés ils réussirent à le remettre dans son lit.

— Merci docteur mais il faut vraiment que…

— Théo il faut que je te parle, dit-elle, lui coupant la parole. Qu’est-ce que tu as encore fait à ta mère ?

Théo eut un petit hochement de tête et glissa sa main sous la jupe de Karine. Elle ne fit rien pour l’arrêter. Il écarta son string et enfonça son majeur et son annulaire dans sa fente. Il fit des va-et-vient puis titilla le clitoris avec son pouce. Elle fit de même que son amie et se pencha et prit appui sur le lit.

— Voilà c’est à peu près tout, dit-il en réfléchissant à s’il avait fait plus que cela.

Karine avait été surprise par la précision des doigts de son patient.

— D’ac… d’accord tu peux…

Il accéléra ses mouvements. Elle soupira.

— Tu peux arrêter maintenant j’ai bien…

Il se releva et l’embrassa à pleine bouche. Elle lui attrapa le poignet mais ne chercha pas à lui retirer la main. Elle sentit sous ses doigts les muscles puissants de ses avant-bras se contracter en rythme avec le majeur et l’annulaire qui la lutinaient.

Depuis tout ce temps qu’elle repoussait ses avances alors que toutes les autres prenaient leur pied et même sa mère, alors pourquoi pas elle, pensa-t-elle.

— Non, dit-elle en se libérant la bouche. Théo maintenant tu dois arrêter j’ai bien senti ce que tu as fait à ta mère.

— Oh non, on finit ! S’exclama-t-il. En plus vous n’en avez plus pour très longtemps.

Elle le regarda dans les yeux et vit qu’il ne rigolait pas du tout.

— Quand je dis non c’est non !

Elle repoussa sa main ou plutôt il la retira vivement.

— Voilà, il faut que tu obéi…

Théo l’attrapa dessous les fesses et la tira vers lui de toutes ses forces. Elle fut si surprise qu’elle commença à se défendre que lorsqu’elle fut sur lui à califourchon.

— Arrête ça tout de suite ou je crie ! Tu m’entends c’est du vi…

L’unique bouton qui retenait la braguette du pyjama de Théo sauta et le string mal positionné l’aida dans sa rapidité d’action. Il poussa fort sur les hanches du docteur. Sa verge pénétra en force la fente trempée.

— Oooh mon Dieu ! Fit Karine la gorge serrée.

— T’aimes ça hein ? Dit-il avec un grand sourire.

Karine n’en revenait pas… elle avait joui dès qu’il l’avait pénétrée. Dans son esprit elle avait vu mille chandelles. Elle chercha à se dégager mais Théo la serra contre lui et la força à s’enfoncer jusqu’à la garde. Elle ne cria pas mais la sensation la terrifia, elle réussit à dégager ses bras mais il les rattrapa et les lui bloqua dans son dos. Dans la bataille son chemisier avait cédé.

— Je vais être dur et tu vas adorer, chuchota-t-il à son oreille alors qu’il la força à démarrer des mouvements de hanches.

Ceux-ci n’eurent rien de glorieux mais firent leur effet. Théo perdit vite le sens des réalités et poussa avec ses fessiers toujours plus malgré sa convalescence. Il embrassa le docteur dans le cou et la lécha avec avidité. Il lui mordilla ensuite un lobe d’oreille et plongea ensuite son visage contre ses seins. Il les lécha avec délice. Sans ses mains, il ne put faire plus mais il vit les tétons entrer en érection.

Karine subit cette violence en silence. Elle se contint mais ses limites furent atteintes sur un puissant coup de reins de son patient qui lui libéra les bras sous l’épuisement. Elle mit ses mains contre sa poitrine et attendit la fin.

— Humpf ! Fit Théo en éjaculant en elle.

Karine retomba sur lui, sentant la verge tressauter en elle. Elle ferma ses yeux pleins de larmes.

— Alors ça vous a plu ? Demanda-t-il essoufflé.

Elle releva le visage et vit un sourire timide sur les lèvres de son patient. Elle le regarda, ébahie.

— Es-tu fou ?

— C’est juste que… vous avez aimé, votre corps a adoré, j’ai senti chacun de vos orgasmes.

— Mais non… mais pas du tout, je ne vois…

— C’est un fantasme très commun et j’ai tout de suite su que c’était le vôtre.

Il se pencha et l’embrassa, elle y répondit sans pudeur. Le temps de leur baiser elle commença à bouger les hanches. Elle se libéra de son emprise, lui prit les bras et les bloqua au-dessus de lui.

— Tu m’as baisé comme une brute, commença-t-elle son visage tendu par le plaisir. Ça toujours été… comment… tu… l’as… su ? Demanda-t-elle poussant fort ses hanches à chaque mot.

— Lorsque je vous touchais avec douceur votre corps réagissait avec lenteur mais quand je forçais le passage vous vous changiez en fontaine.

Elle l’embrassa tout augmentant l’intensité de ses coups de reins.

— Sale petit pervers, tu m’as testée… je vais te le faire payer ça…

(Je suis sûr que le paiement sera en liquide.)

Elle le chevaucha durement, elle s’emballa jusqu’au moment où le lit cogna fort contre le mur. Cela sortit de sa torpeur Karine, elle sentit la verge se tendre de nouveau pour éjaculer.

— Oooooooooooh oui, fit-elle dans un souffle.

Puis elle s’éveilla comme si elle sortait d’un sommeil profond. Elle ouvrit grand la bouche.

— OH MON DIEU ! Qu’est-ce que j’ai fait ?

Elle relâcha les bras de Théo qui retombèrent au côté de leur propriétaire inanimé.

— Théo ! Théo, tu vas bien ?

— Rrrr…

— Ouf ! Il s’est endormi.

Elle se leva et sentit avec écurement la verge molle se faire éjecter de son sexe. Lorsqu’elle posa le pied par terre, une autre sensation et celle-ci bien moins sympathique, apparut. Du sperme, dans une moindre quantité, s’écoula de sa fente.

— Merde merde merde !

Elle attrapa vite une serviette et s’essuya.

— Oh bordel, j’ai mal à la chatte ! Il n’y est pas allé de main morte avec moi.

Elle observa le visage de Théo puis descendit jusqu’à son sexe. Elle se mordit la lèvre inférieure avec envie.

— Oh putain, je me suis totalement laissée aller, je suis complètement folle.

Elle nettoya son patient avec fébrilité. Elle prit la verge revenue à une taille normale et commença à l’essuyer avec sa serviette. Le gland entre ses doigts, elle tira vers le haut.

— C’est poisseux… mais qu’est-ce que c’est poisseux…

Elle passa un moment sur la verge puis sur les testicules où le sperme avait fini sa course. Elle les malaxa avec douceur puis avec envie.

— Il m’a eue juste comme il faut le salaud.

À force de se malaxer le scrotum, Théo entra de nouveau en érection. Karine masturba la verge.

— Hum ! Fit doucement Théo dans un demi-sommeil.

— C’est vrai qu’elle est épaisse… et… elle est encore bien dure, dit le docteur, la voix haletante.

Elle se caressa le clitoris et se pencha pour la goûter quand la porte de la chambre s’ouvrit à la volée.

— Mon chéri j’ai oublié mon port…

Isabelle resta pantoise devant la vision qu’elle avait.

— Qu’est-ce qu…

Le docteur se releva brusquement et retira sa main de sous sa culotte.

— Ce n’est pas ce que tu crois ! S’écria Karine.

Isabelle plissa méchamment les yeux, plus que sceptique. Elle les regarda avec intensité.

— Alors qu’est-ce que je dois croire ? Demanda-t-elle. Et bon sang arrête de le masturber !

Karine regarda sa main droite toujours en action. Elle l’écarta et remit le drap en place.

— Je peux tout expliquer, je t’assure.

Isabelle s’approcha de son amie et la regarda dans les yeux, puis à son tour passa la main sous sa jupe la faisant couiner comme une chauve-souris.

— Tu as intérêt à en avoir une bonne d’explication car je ne me souviens pas que baiser et masturber son patient fasse partie du traitement, dit-elle mettant sa main trempée de sperme et de cyprine au niveau de leurs yeux.

— Aïe ! Dit Karine en plongeant son visage dans ses mains.

Le Docteur Renaud raconta son histoire devant le visage atterré de son amie.

— Il t’a violé ! S’écria Isabelle.

Elle dut s’asseoir pour ne pas tomber.

— Oh mon Dieu, c’est ce que je craignais.

— Isa, ça va tr…

— Oh mon Dieu ! Comment allons-nous faire…

— Isa attend un peu, je te dis que tout…

— Il t’a fait mal ? Il va aller en prison ?

Karine prit son amie par les épaules et lui mit une petite claque. Celle-ci la regarda sans comprendre.

— J’ai adoré, Isa ! J’ai adoré alors tout va bien.

La main toujours sur sa joue la mère de Théo ne comprit pas.

— Il a abusé de toi et tu as adoré !

— Il m’a expliqué qu’il avait découvert que c’était mon fantasme et tout et tout.

Elle reprit son souffle et s’assit à côté de son amie avant de reprendre.

— Tout ça pour dire qu’il ne m’a pas fait mal… on va dire le minimum syndical pour des sensations réalistes.

Quand elle eut fini sa phrase, elle s’affala sur son siège cherchant une position agréable. Isabelle regarda son amie bouger dans tous les sens et enfin se caler.

— Pourquoi tu bouges comme ça ?

— Je pense juste que je vais avoir du mal à m’asseoir pendant quelques jours. Ton fils m’a bien…

Elle ne termina pas sa phrase mais rougit assez pour que le monde comprenne.

— Ah ! Fit Isabelle, moqueuse.

Elle avait une vue imprenable sur son amie, elle vit le string trempé de sperme ainsi que l’intérieur de la jupe qui était dans le même état.

— Je pense qu’il va falloir que tu penses à te changer.

En voyant où regardait son amie, Karine se reprit.

— Oh mince ! Fit-elle en s’asseyant correctement de nouveau. Ouh ! C’est tout trempé… je crois que tu as raison.

Un moment passa et le docteur se décida à s’excuser :

— Je suis désolé d’avoir couché avec ton fils et…

Isabelle leva la main pour l’arrêter.

— Ne t’excuse pas et étant passée par là, alors que c’est mon fils, je te comprends : il est persuasif. Mais juste pour être sûre, tu allais bien lui faire une petite pipe quand je suis arrivée ?

Karine se mordit la lèvre supérieure.

— Je n’y crois pas ! S’exclama Isabelle. Mais pourquoi ?

— Ooooh ! Je ne sais pas moi…ça faisait envie… c’est tout.

Isabelle resta abasourdie et finit par dire :

— Tu peux y aller, je vais finir de nettoyer.

— Attends, il faut que je l’ausculte avant de partir.

— Je crois que pour le coup tu l’as ausculté sous toutes les coutures.

Karine n’y fit pas attention et continua :

— Il s’est endormi après avoir éjaculé il faut que je regarde si tout va bien.

Elle prit la tension de Théo, écouta son cur et déclara qu’il dormirait sûrement jusqu’au lendemain.

— Bon bah, dit le docteur, à demain.

— Oui à demain Docteur débauche, répondit Isabelle.

Avant qu’elle ne fût sortie, Isabelle l’attrapa dans ses bras sans rien, Karine y répondit avec soulagement.

Isabelle se retrouva seule. Elle sortit le baquet d’eau et une serviette. Elle retira le drap.

— Et bah dis donc ! Encore en forme celui-là.

Elle secoua la tête devant la verge en érection de son fils.

— Pfou ! Et cette odeur, beurk !

Elle tendit la main et saisit la verge. Elle était chaude sous ses doigts. Elle la sentit pulser. Sa respiration se fit difficile. Elle comprit qu’une colère terrible l’habitait.

— Espèce de petit salaud, regarde ce que tu as… merde… me faire jouir comme ça ce n’est pas bien, cela faisait trop longtemps que cela m’était arrivé.

Sa colère enfla, mais pas contre son fils mais contre cette voiture qui l’avait percuté. Sans s’en rendre compte, elle commença à le masturber.

— Maintenant à chaque fois que je te regarde ça me gratte et parfois je mouille, dit-elle sa voix déraillant sous l’émotion. Une mère ne devrait pas subir et encore moins se sentir comme ça, oh zut !

Elle se rendit enfin compte de ce qu’elle faisait en voyant suinter du sperme encore présent dans le canal.

— Et regarde ce que je fais !

Sa respiration se fit de plus en plus rapide.

— Oh regarde ça !

Elle se pencha rapidement en avant et avala la verge de son fils jusqu’au maximum des possibilités de sa bouche. Elle suça rapidement la renvoyant, après chaque remontée, se coller à sa luette.

Théo se réveilla en sursaut et observa ce qui lui arrivait.

(Oh c’est un super rêve, seulement là je suis mort, je ne vais pas pouvoir aider.)

Il tendit la main et pressa le sein de sa mère. Celle-ci se releva en sursaut.

— Oh mon chéri, tu es réveillé ! Dit-elle la voix peu assurée.

— Oui, mais désolé je ne vais pas pouvoir t’aider à grand-chose, mais tu peux continuer si tu veux maman c’est vraiment bon.

— Non non non oublie tout ça, de toute façon, j’avais terminé.

Il lui pressa de nouveau la poitrine quelques secondes puis sa main retomba sur le lit.

— C’est dommage je pensais être dans un rêve, tu es magnifique.

Elle déglutit, regarda la queue et dit :

— Encore quelques secondes alors, et après j’arrête.

Elle continua son office sous les soupirs de plaisir de Théo. Elle se rendit rapidement compte qu’elle aussi prenait son pied : elle sentait son sexe trempé couler à chacun de ses mouvements.

— Ho ! Ho oui ! Ho c’est bon je vais… ooooh !

Il jouit dans la bouche de sa mère mais seulement une très petite quantité de sperme sortit de l’urètre.

Isabelle avala et se releva. Elle avait le tournis et fuit dans la salle de bain quand elle crut vomir. Elle n’en fit rien mais elle releva plutôt sa jupe et descendit son string. Un filet épais et collant faisait la connexion entre celui-ci et sa fente.

— Oh, je vais avoir besoin d’une queue en forme de bouchon, sinon je vais exploser.

Elle se masturba s’enfonçant profondément ses doigts comme elle le pouvait et autant qu’elle le pouvait. Si bien qu’après quelques secondes elle ne savait même plus avec quels doigts elle se lutinait. Elle jouit bruyamment.

— Ho ! Ho ! Ho ! OoooooWooooh.

Cinq minutes passèrent puis le retour à la réalité fut comme une montagne lui tombant dessus. Elle pleura et ses larmes furent longues à sécher mais lorsqu’elle sortit après s’être remaquillée et surtout après avoir remis du rouge à lèvres, elle se fit une promesse.

— Plus jamais ça… plus jamais.

Elle nettoya son fils avec l’esprit clair, elle se décida à ne plus faire attention aux détails tels, l’érection de son fils pendant qu’elle le lavait. Pas plus aux murmures de son fils qui l’incitait à continuer sa fellation.

Une fois son fils rhabillé et sous les draps, Isabelle poussa un lourd soupir, exténuée elle s’assit et lit avec délice une revue qui traînait sur un meuble. Les infirmières passèrent voir comment tout allait, puis une heure plus tard sa fille et deux de ses copines entrèrent.

— Salut les filles.

— Salut maman.

— Bonjour Madame Dupuits, dirent en chur ses copines.

Laura s’approcha de son frère et lui fit un gros bisou sur la joue.

— Eh oh Théo, chuchota-t-elle à son frère.

— Désolé ma chérie mais Théo va sûrement dormir jusqu’à demain, il a eu une journée… fatigante.

— Que s’est-il passé ?

Isabelle ouvrit la bouche et ne trouva pas raison valable. Voyant sa mère en peine, Laura se pencha et dit tout bas :

— Ne me dis pas qu’il est encore passé sur une infirmière et qu’il s’est crevé.

— Nooon pas du tout ! Il a beaucoup marché ce matin et dans le coup… capout.

Laura parut si triste qu’elle lui révéla la nouvelle.

— Mais puisque tu es là, j’ai une annonce.

Laura ouvrit grand les yeux accrochés aux lèvres de sa mère.

— Il rentre dimanche à la maison.

Laura sursauta et regarda ses copines, elles crièrent en même temps de joie.

— Oh c’est trop bon ! Fit l’une d’entre elle.

— On va faire une putain de sauterie, dit l’autre.

— Carrément ! Finit Laura.

Isabelle se leva de son siège, mécontente.

— Oh les filles vous vous croyez où, à crier comme ça ?

Les filles s’arrêtèrent et s’excusèrent.

— Désolé m’man.

— Oui, désolée Mme Dupuits.

Elles discutèrent toutes les quatre de la soirée du retour. Isabelle voulait attendre que Théo ait repris ses marques à la maison mais les filles insistèrent pour que cela soit une surprise dès son arrivée.

— OK OK, vous avez gagné.

— Yes, fit Laura.

— Tu prépares les invitations pour toute la famille et pas plus, dit Isabelle, mais en voyant les mines déconfites des deux amies de sa fille ajouta : bien sûr toutes les deux vous pouvez venir.

Laura eut un grand sourire, elles firent immédiatement une liste des invités et des achats à effectuer. Elles parlèrent bas mais finirent par réveiller Théo.

— Oh là, les filles, ça fait un bout de temps que je vous avais vu.

Elles tournèrent toutes les quatre vers lui, surprises.

— Théo, s’écria Laura en sautant sur son frère.

— Oh mon Théo, je t’aime.

— Oh là là, qu’est-ce qui se passe !

— J’ai appris que tu rentrais et je te jure que je vais être aux petits soins pour toi.

Isabelle retint un haut-le-cur et espéra que sa fille n’irait pas trop loin dans ses soins pour aider son frère.

— J’ai bien cru qu’on ne te parlerait même pas après tout ce chemin, dit Marie, l’une des amies de Laura.

— Désolé mais le Docteur Renaud m’a épuisé.

Il soupira et sa mère fut prise d’une véritable terreur.

— Si vous saviez ce que j’ai dû faire pour la contenter.

Laura rit et dit :

— Maman nous a expliqué que tu as fait de l’exercice.

— Tu parles, j’ai bien cru tourner de l’il à un moment.

Toutes les trois pouffèrent, mais Isabelle crut que son cur allait exploser.

— Suer un bon coup, c’est bon pour toi, c’est-ce qu’il faut se dire, ajouta Alia, l’une des copines de Laura.

— C’est vous qui le dites, mais moi ça va me prendre du temps avant de faire le plein.

Isabelle crut défaillir en pensant au sperme qui avait passé ses lèvres mais le quiproquo se finit bien.

— T’inquiète, tu seras plein d’énergie pour ton retour à la maison, ajouta Irina, l’autre amie.

Théo secoua la tête avec un sérieux doute mais décida de changer de sujet.

— Pourquoi je ne vous vois plus toutes les trois ?

— C’est le bac, on vient juste de terminer la dernière épreuve.

— Le bac ! S’exclama Théo. Au fait, maintenant que j’y pense, est-ce que je l’ai eu ?

— Bien sûr, dit sa mère. De justesse mais tu l’as eu, j’avais complètement oublié ça, dit-elle courroucée.

— Cool cool, prochain arrêt : la fac.

— Soit pas trop optimiste non plus, tu vas avoir encore beaucoup de boulot avant, dit Laura.

Ils discutèrent un peu de son avenir et tout le monde quitta la chambre pour laisser Théo se reposer.

— Et maman n’oublie pas ton portable cette fois-ci.

Isabelle se tourna vers son fils et dit aux filles :

— Je vous rejoins en bas.

Elle s’approcha de lui et lui fit un gros bisou sur la joue. Il en profita pour lui tripoter les seins.

— Merci de n’avoir rien dit aux filles sur ce qu’il s’est passé avec Karine.

Théo hocha la tête et dit :

— Leur dire quoi ?

— Le… bah le fait d’avoir couché avec elle.

— Je leur ai dit la vérité, elle m’a épuisé et toi tu m’as fini, j’aurais dû leur dire pour ta fellation, je pense que tu devrais leur donner des cours. Tu viens juste de prendre la tête de ma liste.

Elle soupira et secoua la tête de désespoir mais en fut ravie. Il glissa sa main dans le décolleté de sa mère et voulut faire sortir un sein.

— Non non non, j’y vais, repose-toi bien dans quelques jours tu sors.

Théo ne se le fit pas dire deux fois et s’endormit, il se réveilla juste pour manger puis retomba dans un sommeil profond.

Related posts

La conversion de Marie à la luxure – Chapitre 4

historiesexe

Gentils Médors – Chapitre 2

historiesexe

Drague avec mes fesses – Chapitre 21

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .