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Tracy se venge de Carmen – Chapitre 1




Tracy se venge de Carmen

Coulybaca / Inconnu

Chapitre 1 :

Carmen ma femme, est une fille de 30 ans, d’origine italienne avec de gros nichons et des lèvres pulpeuses, elle a la peau mate.

Je ne peux que m’imaginer à quel point elle devait être séduisante dans ses années fac.

Une nuit, après que nous ayons longuement fêté son anniversaire, elle me confessa son histoire.

Elle était alors en fac dans une petite université merdique de Californie du Nord. Sa meilleure amie, Tracy avait déménagé au Nevada, à deux heures de route. Tracy était une blonde de taille commune, un peu ronde. Elle adorait sortir avec Carmen parce que celle-ci attirait de nom-breux garçons.

Aussi partit-elle la visiter pendant les vacances de printemps, elle devait rester une semaine chez elle.

Dès son arrivée elles se rendirent toutes deux sur le mail et rencontrè-rent les amis de son nouveau petit ami Darren qui était un jeune et sé-duisant athlète noir.

Ma femme Carmen fut choquée de cette rencontre, Tracy n’ayant jamais montré le moindre intérêt pour les noirs bien qu’ils soient nombreux dans leur petite ville.

Elles se promenèrent longuement autour sur le mail avec Darren et ses amis et prirent rendez-vous pour le soir même.

Lorsque Darren passa les prendre sur le seuil de leur maison, il était ac-compagné de son pote Tyler un autre noir, mais lui ressemblait plus à un membre d’un gang qu’à un athlète, il était tatoué et venait de faire un court séjour en, prison.

Tracy présenta Carmen à Tyler prévenant discrètement ce dernier qu’il avait un ticket avec elle et qu’il pourrait sûrement conclure avec elle s’il jouait correctement ses atouts.

Après un long tour et de nombreuses libations ils gagnèrent l’apparte-ment de Darren.

Une paire d’heures plus tard, et après quelques vaines tentatives avec Carmen, Tyler décida que cela ne marcherait pas avec elle et il décida de rentrer chez lui.

Les trois autres continuèrent à boire, Tracy s’effondra sur le lit.

Carmen alla dans la chambre d’ami pour s’étendre, la tête lui tournait, c’est alors que Darren vint la rejoindre, s’assit sur le lit et commença à discuter avec elle.

Avant longtemps il lui confiait à quel point elle était désirable et combien il aimait ses fermes nibards et son cul rebondi.

Ils commencèrent à flirter, et rapidement il la déshabilla, lui ôta sa petite culotte et fourra sa grosse bite dans sa chatoune pour la baiser pendant une bonne quinzaine de minutes.

Alors qu’il était sur le point d’éjaculer, Carmen le supplia de ne pas éja-culer en elle car elle ne prenait pas la pilule, il lui demanda dans quel trou il pouvait jouir dans ce cas, elle lui répondit qu’elle avalerait sa se-mence et lui nettoierait ensuite la bite.

Pendant ce temps Tracy avait repris ses esprits, elle entendit les gémis-sements et se précipita dans l’entrebâillement de la porte de la chambre d’ami juste au moment où Carmen priait Darren de ne pas rester en elle parce qu’elle ne prenait pas la pilule.

Incrédule, Tracy vit alors son petit ami fourrer sa bite dans la bouche de Carmen qui le suça énergiquement avalant sa semence lorsqu’il se vida les couilles dans sa gorge avant de nettoyer délicatement sa mentule d’une langue appliquée comme elle l’avait promis, lui avouant qu’elle avait adoré sucer son chibre.

Elle était furieuse de se faire tromper par son petit ami et sa meilleure copine, elle décida de se venger dès la nuit suivante.

Le lendemain elle ne dit pas un mot à Carmen de ce qu’elle avait vu, elle lui demanda seulement ce qui s’était passé cette nuit après qu’elle se soit évanouie.

Carmen lui répondit qu’elle s’était endormie dans la chambre d’ami.

La nuit suivante elles se rendirent dans l’appartement de Tyler pour faire une petite fête avec des amis de Darren.

Une fois arrivées, Carmen pensa qu’il était étrange qu’elles soient les deux seules filles et que le petit ami de Tracy, Darren ne soit pas là.

Trois jeunes noirs et un jeune gars d’origine hispanique les attendaient en buvant verre sur verre.

Tyler était légèrement éméché et se montrait beaucoup plus hardi que la veille, il draguait ouvertement Carmen.

Carmen faisait de son mieux pour ignorer ses avances, elle jetait des coups d’oil fréquents vers Tracy pour se rassurer.

Tracy ne semblait pas outre mesure embarrassée de voir les copains de Darren serrer de près Carmen, elle les regardait faire d’un air totalement détaché.

Elle se rendit dans la salle de bain abandonnant Carmen aux mains de Tyler et de ses quatre copains.

Dès que Tracy eut quitté la chambre, Tyler emmena de force Carmen dans sa chambre.

Elle eut beau résister, il la traînait impitoyablement, une fois dans la chambre, il la jeta sur le lit.

Il lui dit alors qu’il avait envie d’elle depuis la première fois qu’il l’avait vue, et que ce soir il allait la baiser de toutes les façons possibles et imaginables.

Elle voulut protester alors qu’il déchirait son corsage.

Les boutons volèrent au travers de la pièce la laissant en jupe et soutien-gorge.

Tracy entra dans la chambre, Carmen laissa échapper un soupir de soulagement, mais Tracy intervint alors :

— Je t’ai regardée baiser avec mon petit ami la nuit dernière pendant que vous pensiez que je dormais, il est temps maintenant de payer salope !

Elle approcha du lit et saisit une corde de nylon, lui lia les poignets en-semble puis les fixa à la tête de lit, au-dessus de sa tête.

Tyler sortit un couteau de sa poche, Carmen eut peur qu’il la tue, il glissa la lame sous les bretelles de son soutien gorge les coupa et lui arracha brutalement son soutien-gorge.

Les nichons à l’air elle se trouvait à la disposition de ces débauchés.

Il lui arracha sa jupe dénudant ses longues jambes bronzées.

— Je sens qu’on va drôlement s’amuser avec toi ! S’esclaffa Tyler.

Puis il utilisa à nouveau son couteau pour découper sa petite culotte bien qu’il aurait pu se contenter de la rouler en bas de ses jambes.

Tracy sortit de la chambre et revint tout de suite après sa caméra en main, elle avisa Carmen qu’elle allait filmer tout ce qui se passerait cette nuit pour s’assurer qu’à l’avenir elle ne baiserait plus avec ses petits amis.

Tyler se déshabillait en détaillant à voix haute ses charmes s’esclaffant qu’il allait la baiser comme une reine cette petite pute blanche !

Carmen frémit à l’idée de se faire violer par ce libéré sur parole alors que sa meilleure amie filmerait son viol pour la faire chanter.

Carmen jeta un oeil entre ses jambes et vit que sa bite non circoncise semblait extrêmement longue et menaçante.

Il se branla quelques instants et elle déploya ses 25 bons centimètres, jamais elle n’avait vu de mentule aussi longue et aussi noire.

Il s’approcha de sa tête et la secoua devant son visage lui demandant si elle préférait commencer par le sucer.

Elle secoua négativement la tête.

Il s’esclaffa alors :

— D’accord, j’oubliais que tu préférais les bites enduites de foutre et de cyprine !

Il éclata de rire et se plaça entre ses cuisses, empoigna ses chevilles qu’il posa sur ses épaules et guida sa massive bite dans son étroite ou-verture féminine.

Elle laissa échapper un sanglot alors qu’il la pénétrait de 54 centimètres.

Tracy explosa de rire et intervint :

— Si tu pensais que Darren avait une grosse bite attends d’avoir pris la totalité de celle de Tyler dans la chatte !

Sur ces mots, Tyler engouffra le reste de son chibre d’un violent coup de boutoir, Carmen poussa un hurlement de douleur.

— Oh mon Dieu, il me tue… Retire-toi !

— Je veux bien retirer ma bite ma petite chérie, mais dans ce cas je te la fourre dans le trou du cul !

Tracy afficha un air satisfait les 20 minutes que Tyler la baisa implaca-blement. Tyler grogna qu’il allait remplir sa grotte d’une sacré dose de foutre, elle le supplia de se retirer avant d’éjaculer car elle n’était pas sous contraceptifs.

— Dans ce cas, tu auras juste à attendre de voir ton ventre gonfler en générant un petit bâtard noir !

Elle se mit à geindre et à pleurnicher alors que Tyler enfonçait sa bite de plus en plus profondément, sur un rythme soutenu, envisageant déjà de lui tapisser le col de l’utérus de sa semence crèmeuse.

Il extirpa sa grosse mentule de sa chatoune et l’approcha de son visage lui intimant de lui nettoyer la bite comme la bonne petite pute qu’elle était, car il voulait jouir à nouveau de ses charmes plus tard.

Elle essaya de détourner la tête mais il l’empoigna par les cheveux et pressa son gland gluant de foutre contre ses lèvres.

Elle ouvrit la bouche à contrecour et se mit à lécher son braquemart en pleine détumescence.

Elle ne prêta aucune attention au gars qui grimpait sur le lit pour l’embro-cher tout de go.

Tyler retira sa bite de sa bouche et l’avertit que lorsque tout le monde l’aurait sautée en chatte, il lui casserait le cul.

Elle jeta un oeil sur l’homme qui s’était allongé sur elle la baisant comme si c’était sa première fois, c’était le jeune hispanique de la fête.

Il était petit et trapu, elle sentait à peine sa bite après avoir été distendu par Tyler.

Il la chevaucha pendant quelques minutes puis projeta sa semence dans sa chatte accueillante.

Elle sanglota comprenant qu’il giclerait tous tout à tour dans sa caverne, elle se retrouverait probablement enceinte.

Les trois autres noirs la sautèrent chacun à leur tour après l’hispanique, ils la baisèrent quelques minutes chacun leur tour et crachèrent tous leur foutre dans sa chatte béante.

Elle pensa alors que son épreuve prenait fin lorsque deux autres noires pénétrèrent dans la chambre, ils étaient plus vieux que les autres autour de 40, 45 ans et tous les deux en excédents de poids.

Ils ne faisaient pas partie de la petite fête et elle se demanda d’où ils ve-naient.

Tracy devait lire dans son esprit puisqu’elle lui expliqua :

— Puisque tu adores les bites noires, principalement celles de mes amis, j’ai décodé de te fournir toutes les grosses bites noires que tu pourrais réclamer ?

Le plus vieux de deux derniers arrivés enleva son pantalon une courte bite grasse jaillit entre ses cuisses, sous son bedon graisseux.

Il remercia Tyler de les avoir invités lui et son copain Thomas.

— Nos vieilles bites n’ont pas souvent l’occasion d’être trempées dans la chatoune blonde de mignonnes jeunettes blanches !

Alors qu’il bourrait sa courte mentule dans sa foufoune, son ami Thomas approcha de son visage et pressa son gros serpent noir contre ses lè-vres.

— Lèche mon gros boa noir gentille petite pute.

Alors qu’elle mignotait son chibre, ce dernier prit de colossales propor-tions. Il devait bien être long de 30 centimètres et aussi épais qu’une saucisse de morteau.

Comme son pote la baisait allégrement, il grimpa sur le lit et s’accroupit le cul sur le visage de Carmen.

Tracy s’approcha d’eux la caméra à la main pour voir le nez et les lèvres de Carmen enfouis dans la raie culière de l’ignoble salaud.

Tracy extasiée dit alors :

— Ils vont aimer ça, ceux qui verront cette vidéo où tu lèches le gros cul poilu d’un noir !

— Pointe bien ta langue dans mon anus petite salope !

A contrecour Carmen léchait la raie culière et l’oillet plissé sous les yeux de tous les spectateurs enthousiastes se félicitant de disposer d’une telle pute.

Bientôt il balançait son cul d’avant en arrière sur son visage alors qu’elle enfonçait profondément sa langue dans son anus odorant.

Son copain continuait à coulisser dans sa chatoune engorgée de foutre, il gicla rapidement dans ses profondeurs et se retira descendant du lit disant à Thomas qu’il lui avait préparé sa chagatte, ils en rirent tous à gorge déployée.

Thomas s’installa sur elle et commença à promener sa bite béante dans sa fentine détrempée. , puis sans prévenir, il plongea son épieu dans sa chatoune d’un violent coup de boutoir.

Carmen hurla tellement fort qu’ils pensèrent qu’elle allait alerter les voi-sins.

Thomas la baisa pendant quelques minutes et commenta :

— Cette chatoune est franchement distendue, même ma grosse bite s’y perd !

Il la retourna visage dans l’oreiller et demanda à Tracy de lui amener de l’huile.

Lorsqu’elle revint il lui fourra de l’huile dans le trou du cul et en enduisit sa grosse hampe et la prévint qu’il allait lui caser le trou du cul.

Tyler voulut protester il voulait être le premier à lui bourrer l’anus, mais Thomas lui répondit qu’il ne manquait pas d’autres trous du cul vierge à défoncer.

Thomas pressa son énorme bulbe contre son anus qu’il pénétra lente-ment, on entendit un plop sonore tandis qu’il bourrait les deux premiers centimètres de son gland dans son oeillet affolé.

Carmen hurlait à pleins poumons il lui enfonça le visage dans l’oreiller étouffant ses hurlements et continua à l’embrocher implacablement.

Les spectateurs dans la chambre le regardait respectueusement alors qu’il enfonçait la moitié de sa colonne noire dans son intestin rétif.

Il tendit la main sous elle et empoigna ses nichons à deux mains et les pétrit énergiquement comme s’ils s’agissaient de rênes pour guider sa chevauchée.

Tracy fit un gros plan sur sa bite de mammouth distendant son étroit petit oeillet jusqu’à des proportions insensées.

Il continua à la bourrer lentement alors qu’elle s’époumonait de plus en plus fort, les assistants étaient plutôt admiratifs.

Après lui avoir torturé le trou du cul pendant quelques minutes il parvint à s’enfoncer jusqu’aux burnes dans son boyau asservi, ses grosses couil-les frappant sa chatoune ravagée.

Il la laissa se calmer un petit moment puis commença à coulisser lente-ment dans son anus élargi.

Carmen hurlait de douleur il lui semblait que sa souffrance grandissait alors qu’il lui poignardait le trou du cul de plus en plus violemment sur un rythme plus soutenu.

Après l’avoir impitoyablement enculée pendant dix bonnes minutes il prévint Tracy qu’il n’allait plus tarder à jouir, il voulait éjaculer sur son vi-sage pour que son éjaculation soit filmée.

Tracy s’empressa de s’approcher de Carmen la caméra à la main, Tho-mas extirpa sa pine de mammouth du trou du cul béant de Carmen, rou-la sur le flanc et enfourcha sa poitrine tout en se branlant de la main droite au-dessus de son visage il lui empoigna la chevelure de la main gauche.

Il lui ordonna d’ouvrir la bouche en grand, si elle avait de la chance elle pourrait sûrement goûter à sa délicieuse semence.

Tracy lui demanda de lui inonder le visage de foutre puis de lui faire goû-ter au parfum de son trou du cul en se faisant nettoyer la bite.

Thomas hurla qu’il allait lui couvrir le visage de foutre, et sur ces mots, le premier jet de semence jaillit de son méat et s’écrasa sur son front, à la limite de la chevelure, il ajusta le tir et le jet suivant atterrit dans ses yeux, suivit par une giclée sur ses lèvres et trois directement sur le nez.

Les gars le félicitaient alors qu’il continuait à lui endoubir le visage giclée de foutre après giclée de foutre.

Explosant de rire il prétendit l’avoir baptisée au foutre de noir ce qui en faisait une amatrice aimant le foutre.

Après ce déluge de foutre il lui enfourna sa bite dans la bouche

— Alors quel goût a ton cul ma chérie ?

— Lèche bien ma bite et tu pourras goûter au parfum de ton cul exactement comme si tu le léchais !

Alors qu’elle lui nettoyait servilement la bite, un autre gars s’installa dans son dos et plongea sa bite dans son trou du cul plus du tout secret.

Il grogna en constatant que son trou du cul restait étroit.

Lorsque Thomas se retira de sa bouche, un gars enfourna sa bite en bouche pour se faire sucer alors qu’un autre l’enculait vigoureusement.

Il ne tarda pas à ajouter son obole au foutre qui couvrait son visage.

Ils se mirent alors e sur deux lignes l’une réunissait les enculeurs, l’autre les amateurs de pipe. Il semblait que ces lignes de noirs étaient sans fin, certains qui l’avaient déjà énergiquement enculée se plaçaient en-suite dans la ligne des amateurs de fellation en faisant des commentai-res graveleux.

Après 3 heures ininterrompues d’enculades et de fellations, alors que de nombreux gars avaient giclé sur son visage la queue se termina.

Elle entendait ce qui lui semblait être un autre groupe de gars s’amusant dans l’autre pièce avec forces plaisanteries et libations.

Elle était couverte de sperme séché alors que des flots de foutre s’échappaient de sa chatoune et de son anus martyrisés. Le lit lui-même était trempé de foutre.

Tracy avait filmé la totalité du viol, Carmen craignait que de nombreuses personnes veuillent voir cette saloperie de vidéo.

Sa chatoune était si engorgée de foutre, elle avait perdu le compte de ses agresseurs après les quinze premiers noirs accompagnés de deux hispaniques.

Si elle se retrouvait enceinte, elle n’aurait aucune idée de celui qui pour-rait être le père.

Alors qu’elle gisait étendue sur le dos, soulagée que son épreuve se soit enfin terminée, trois gars entrèrent dans la chambre la levèrent et l’en-traînèrent dans la salle de bain où ils l’installèrent dans la baignoire.

Elle craignait qu’il prenne fantaisie à l’un d’entre eux de venir la laver pour effacer toutes traces de ses viols répétés qu’elle avait subi.

Tracy apparut alors et posa la caméra sur un trépied pointait sur le cou et le visage de Carmen.

Les mains de Carmen étaient toujours liées ensemble ce qui l’empêchait de bouger dans la baignoire.

Tracy lui rappela qu’elle l’avait sournoisement trompée et que, de sa faute, Darren l’avait plaquée.

Elle allait lui envoyer tous les gars dans la salle de bain, ils avaient tous vidés de nombreuses cannettes de bières ces deux dernières heures.

— Ils ont tous la vessie pleine, je vais te filmer dans un nouveau rôle de toilettes pour hommes !

Elle demanda aux gars de bien viser son visage de façon à la couvrir d’urine.

Carmen n’aurait jamais cru que Tracy puisse se montrer aussi cruelle, elle ne pouvait rien faire pour échapper à son sort sinon attendre qu’ils l’utilisent comme pissotière.

Le premier gars s’approcha et lui dit qu’il se réjouissait vraiment de l’avoir enculée, qu’il n’avait jamais utilisé une fille comme pissotière mais qu’il sentait que cela devait être le pied.

Il sortit sa bite amollie et visa ses nichons, le jet d’urine jaune jaillit atter-rissant sur son estomac et ses miches.

Tracy revint dans la salle de bain une paire de pince à linge en main, elle arborait un sourire démoniaque.

Elle prévint Carmen que si elle n’ouvrait pas la bouche en grand et laisse les gars lui uriner dans la bouche, elle allait lui refermer les pinces à linge sur les tétons, puis elle montrerait la cassette enregistrée à ses condisciples de classe.

Carmen voulait éviter à tout prix la morsure des pinces à linge sur ses mamelons et encore plus que la vidéo soit diffusée dans sa ville.

Tracy lui adressa un sourire railleur et rugit vers la cuisine que la pisso-tière était disponible.

Thomas et son gros copain se pointèrent immédiatement dans la salle de bain. Thomas lui sourit démoniaque ment en sortant sa bite avachie de son pantalon, son ami se positionna à ses cotés, ils commencèrent à pisser en même temps.

Tracy lui rabattit la tête en arrière pour mieux observer les jeux d’eau en hurlant à Carmen d’ouvrir la bouche en grand comme une bonne bu-veuse de pisse, si elle ne voulait pas qu’elle lui clampe les pinces à linge sur les tétons, Carmen ouvrit la bouche en grand et ferma les yeux alors que Thomas et son copain lui pissaient tous deux en pleine bouche.

Le torrent de pisse était si puissant qu’il débordait de sa bouche lui écla-boussant le visage. Ils riaient tous deux à gorge déployée alors qu’elle faisait des efforts pour pisser l’urine malgré son dégoût. Son copain visa alors ses yeux espérant qu’elle les ouvrirait brièvement en prenant alors plein les mirettes.

Ses cheveux étaient trempés d’urine alors qu’environ dix sept gars at-tendaient leur tour.

Thomas n’avait pas encore fini de pisser et il la traitait de tous les noms alors qu’il lui éclaboussait le visage.

Il lui demanda si elle appréciait le goût de son urine, elle ne put que se-couer la tête de bas en haut pour éviter de se noyer dans la pise.

Une fois que Thomas et son copain se furent vidés les couilles sur elle, ils refermèrent leurs braguettes et partirent.

Trois autres gars entrèrent s’alignèrent le long de la baignoire descendi-rent leurs pantalons et sortirent leurs bites commençant à l’inonder de pisse.

Ils visaient tous trois son visage et elle tenait la bouche ouverte pour complaire aux ordres de Tracy.

Il y avait tant de pisse qui lui coulait dessus que la totalité de son corps en était couvert.

Ses cheveux étaient trempés, sa bouche débordait d’un bouillon jaune brun.

Ils la traitaient de sale pute de buveuse de pisse, réclamant tous une co-pie de la vidéo comme souvenir.

Les autres gars fatigués d’attendre ne tardèrent pas à encercler la bai-gnoire.

C’était maintenant cinq à six gars qui lui pissaient en chour sur le visage et les miches.

Elle avait énormément de mal à respirer tant elle avalait de pisse.

Certains lui pissèrent même sur la chatoune, ils étaient trop à lui pisser sur le visage, il leur fallait donc changer de cible.

Tracy avait les yeux rivés sur son ex-copine qui servait de pissotière à tous ses amis.

Elle savait déjà qu’elle montrerait la cassette au petit-ami de Carmen, puis elle essaierait de baiser avec lui pour parfaire sa vengeance.

Une vingtaine de gars étaient entrés dans la salle de bain se vidant la vessie sur son visage, ses miches et tout son corps, il lui semblait que cela n’arrêterait jamais.

En fait, Tracy était sortie de l’appartement et avait invité les gars qui er-raient autour des bâtiments à monter dans l’appartement pour pisser sur une salope de jeune blanche.

Ainsi de nombreux gars qui n’avaient pas participé à leur petite fête étaient montés avaient sortis leurs bites et avaient pissé sur le visage de Carmen, quelques-uns uns même avaient éjaculé sur elle, ils n’avaient pas eu la chance de la baiser auparavant.

Tracy était en extase, de voir tant de gars l’arroser de foutre et de pisse, elle était si contente qu’elle dit à Tyler qu’ils feraient bien de la conserver une journée en leur pouvoir pour continuer à s’amuser avec elle.

Tyler trouva l’idée excellente, il était sur que les participants de ce jour voudraient revenir le lendemain même si cette fois il faudrait payer pour la baiser.

Lorsqu’une bonne vingtaine de gars de plus eurent pissé sur Carmen, Tracy décida que cela suffisait pour ce jour, il fallait maintenant que Carmen se nettoie pour être prostituée le lendemain.

Elle se rendit dans la salle de bain, et informa Carmen qu’ils allaient la prostituer le lendemain qu’ils allaient vendre sa bouche, sa cramouille et son trou du cul à de nombreux clients.

Si tout se passait bien le lendemain, elle lui donnerait la vidéo de son gang bang tournée ce jour même, et qu’elle ne filmerait pas la petite fête du lendemain.

Carmen pleurait en approuvant de la tête, consciente que de toute ma-nière elle n’avait pas le choix.

Chapitre 2 :

Tracy savourait sa vengeance : le viol de la douce Carmen qu’elle avait capturé en vidéo.

Et quand bien même elle avait promis à Carmen de lui donner la cas-sette si elle acceptait de distraire à nouveau ses amis lors de leur prochaine petite fête, elle avait bien l’intention de conserver la casette originale pour la faire chanter par la suite et de lui donner une simple copie.

Tracy et Tyler savaient pertinemment qu’ils pourraient se faire une bonne poignée de dollars en la prostituant à un groupe de pervers.

Avec son visage de madone innocente, de jeune fille bien élevée et ses l’incomparables voluptuaire de ses courbes, des clients paieraient de for-tes sommes pour coucher avec elle.

Un des copains de Tyler habitait en périphérie de la ville, sa maison comportait une grande salle aménagée en sous-sol, ce serait l’endroit idéal pour organiser son gang bang payant.

Tyler avait gardé des relations privilégiées avec des ex-taulards, des loubards qui seraient ravis de se faire une jeune étudiante blanche et même s’il fallait y consacrer quelques centaines de dollars.

Tracy voulait filmer la partouse et si possible en vendre des copies, mais Tyler l’informa que ses copains ex-détenus refuseraient tous de se faire filmer en train de violer une jeune étudiante blanche.

Trois des quatre gars qui étaient venu pour participer au gang bang étaient des colosses assez âgés, ils étaient couverts de tatouages et ils mesuraient tous plus d’1,90 mètre pour un poids d’environ 100 kg, le quatrième, le plus jeune avait 23 ans et ne faisait qu’1,80 mètre pour 70 kg, Tyler prétendait qu’il avait la plus longue queue qu’il ait jamais vu chez un humain.

Il s’appelait Johnny, mais il était surnommé John la longue bite en raison de la taille avantageuse de sa bite, pour raccourcir, Tyler l’appelait LJ.

Il leur annonça que pour 100 dollars chacun, ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient de Carmen, et ce sans aucune limite.

Ils lui avaient répondu qu’il valait mieux que la poupée soit mignonne, vraiment baisable.

Tracy avait décidé qu’elle leur ferait un petit show histoire de les allumer avant qu’ils ne se la fassent. Elle les prévint que cette jeune étudiante blanche était là pour satisfaire toutes leurs envies.

Puis elle amena Carmen face à ses clients, elle était maquillée et vêtue comme une pute de bas quartier.

Ses yeux étaient largement soulignés à l’eye-liner, ses paupières char-bonneuses, ses lèvres peintes d’un vermillon éclatant et ses joues re-haussées de blush.

On aurait dit une véritable pute.

De plus elle portait un bustier laissant son nombril à l’air libre, ses ni-bards débordaient d’un soutien-gorge trop petit, et une petite jupe écossaise comme celle des uniformes de lycéennes qui soulignait ses longues jambes couleur ivoire.

Elle avait chaussé des talons aiguilles sur lequel elle avait bien du mal à garder l’équilibre.

Ils braillèrent et sifflèrent tous alors que Tracy la promenait lentement en laisse entre eux.

C’était bien plus dégradant que la veille elle allait servir d’esclave sexuelle à Tyler et ses copains.

Tandis qu’elle se promenait entre eux, plusieurs lui malaxèrent la croupe Tyler les prévint à cet instant qu’elle était leur esclave pour toute la soi-rée, et qu’ils pouvaient lui faire tout ce qui leur passerait par la tête.

Ils pourraient la baiser dans les trous qu’ils désireraient et éjaculer là où ils le voudraient.

Par ailleurs il leur dit qu’elle aimait être traitée brutalement et que de ce fait ils pourraient utiliser des pinces à linge, la gifler ou même lui pisser en bouche.

Ils affichaient tous un air ravi.

Tracy tendit la laisse à Tyler et ajouta :

— Elle est toute à vous pour les 6 heures à venir.

Tyler intima à Carmen d’enlever sa brassière pour montrer ses fermes nibards à ses clients.

Comme elle hésitait, il la gifla durement en plein visage.

Les yeux de Carmen se remplirent de larmes alors que Tyler empoignait son top et le déchirait le jetant au sol.

Il lui ordonna alors haineusement de se dépouiller de son soutien-gorge si elle voulait éviter qu’il en découpe les bretelles, elle tendit le bras dans son dos et le dégrafa peureusement et son soutien-gorge chuta au sol.

Elle exposait ses gros nichons sous leurs yeux concupiscents, elle rougit de la tête aux nibards.

Tyler invita Larry (le plus costaud des clients) à la dépouiller de sa jupe.

Larry s’approcha d’elle et lui arracha sa jupe d’un revers de main, il em-poigna sa petite culotte à deux mains et la déchira en deux sous les ap-plaudissements de ses complices.

Carmen se tenait face à eux, entièrement nue ne portant plus que ses hauts talons.

Les clients décidèrent que LJ allait entamer les débats, ils voulaient voir sa tête lorqu’il dénuderait sa bite noire longue de 30 centimètres.

LJ s’approcha de Carmen et lui enleva sa laisse la prévenant qu’il la fouetterait avec à la moindre révolte. Elle lui fit signe de la tête qu’elle avait compris.

Il lui enjoignit d’ouvrir sa braguette et d’extraire sa mentule de son cale-çon.

Elle déboucla son pantalon qui chuta au sol.

Elle s’attaqua alors à son caleçon et d’embraser sa première prise de la soirée.

Ses yeux s’écarquillèrent d’hébétude à la vue de cet énorme phallus. Il n’était pas encore bandé, et déjà il lui tombait sur les genoux.

Ses burnes étaient de la taille de gros citrons et elle avala sa salive en voyant son chibre se déployer lentement.

Il lui enjoignit de prendre son boa noir en main pour l’embrasser tendre-ment.

Ils éclatèrent tous de rire alors qu’elle se penchait misérablement en avant plantant ses lèvres sur son méat luisant.

Elle lui donna une paire de lichettes et leva les yeux sur LJ attendant ses ordres.

Il lui tourna autour, palpant ses fesses et lui intima, avant qu’elle goûte à son épaisse colonne de lui embrasser le trou du cul poilu.

A contrecour elle lui titilla le trou du cul, il lui précisa alors :

— Pas comme ça petite pute, pointe ta langue dans mon trou du cul, sers-toi de tes mains pour écarter mes fesses et suce amoureusement mon oeillet odorant… C’est en me suçant le trou du cul que tu vas gagner le privilège de te faire bourrer par ma grosse bite noire.

Les spectateurs le regardaient avec envie alors qu’elle plongeait doci-lement la pointe de sa langue dans trou du cul velu.

Ils savaient tous qu’ils allaient user et abuser de ses charmes, qu’ils al-laient dégrader cette succulente étudiante blanche de toutes les façons possibles et imaginables pendant les 6 heures à venir.

Elle introduisait la pointe de sa langue dans son anus, le fouillait quel-ques instants puis parcourait d’une langue agile toute sa raie culière, la bite de LJ dansait à quelques centimètres de son visage, elle l’empoigna d’une main et entreprit de la branler avec veulerie, il grognait de plaisir.

— C’est bien mieux maintenant, je savais bien que tu avais le béguin des grosses bites noires !

Tandis qu’elle léchait son trou du cul, et lui branlait la bite, Sam se posta face à elle et entreprit de lui malaxer les nibards.

Après quelques minutes, il prévint LJ qu’il voulait baiser cette petite sa-lope et lu éjaculer en plein visage.

LJ enjoignit à Carmen de s’étendre sur le dos, en position coïtale.

Dès qu’elle fut allongée sur le dos, LJ s’accroupit le cul sur son visage lui ordonnant de lui nettoyer le trou du cul comme un sou neuf.

Il empoigna sa longue mentule et serra ses gros nichons sur elle comme un écrin, et entama une savoureuse cravate de notaire.

Sam se débarrassa de son pantalon et empoigna son chibre qui mesu-rait environ un bon 22 centimètres, mais aussi épaisse qu’une bouteille de coca-cola.

Il lui doigta la chatoune tandis que LJ continuait à lui baiser les miches.

Carmen, n’avait aucune idée de la taille de sa bite alors qu’il se préparait à la plonger dans sa foufoune, son visage était entièrement couvert par le cul de LJ.

Sam pressa son imposant champignon à l’orée de sa caverne, elle pen-sa qu’il voulait lui enfoncer une bâte de base-ball ou quelque chose de semblable dans le vagin.

Ses cris furent étouffés par le cul de LJ !

Sam poussa sa tête bulbeuse dans l’intimité de Carmen, elle sauta vi-vement.

Jamais une chose d’une telle taille avait pénétré son intimité, il allait lui dévaster sa foufoune à jamais.

Comme il la pénétrait plus profondément elle gémit et se lamenta.

Sam sourit disant aux autres gars que sa chatoune était la plus étroite foufoune qu’il ait forée jusqu’ici.

— Elle n’a du se faire baiser que par de minuscules bites blanches…

Ajouta-t-il à leur adresse alors que LJ grognait que cette petite jeunette allait lui vider les noix et qu’il allait lui appliquer sa première crème fa-ciale.

La cramouille de Carmen était détrempée, elle succomba à un orgasme dévastateur, elle gémissait de bonheur à l’idée de recevoir le foutre de LJ en plein visage.

Sam entreprit de la labourer de plus en plus vite, de plus en plus profon-dément, il sentait bien que sa bite éveillait d’intenses réactions dans la chagatte de sa proie et il explosa de rire en commentant pour ses co-pains :

— Cette petite salope est vraiment en train d’apprécier mon gros épieux noir !

Les gars se mirent à lui parler vulgairement, lui disant que bientôt elle supplierait pour se faire baiser par de grosses bites noires toute la nuit.

LJ la baisait furieusement entre ses nibards serrés comme un écrin.

Dès qu’il se mit à jouir, il retira son cul de son visage et pointa son gros champignon juste sous ses yeux.

Son foutre jaillit en giclées épaisses sur son visage d’innocente madone, Sam se sentait inspiré la baisait de plus belle alors que les jets de foutre de LJ atterrissaient maintenant sur le nez de Carmen, son front et ses yeux.

Elle tenait ses yeux fermés, son visage était couvert de foutre.

Sam dit alors à LJ qu’il ferait mieux de bouger parce qu’il n’allait pas tar-der à arroser le visage de jets de foutre bien fournis..

Sam extirpa alors sa massive colonne de sa chatte dévastée et se mit immédiatement à cracher jet de foutre sur jet de foutre sur son visage déjà poissé de semence grasse.

Tyler intervint alors disant :

— Elle doit se nettoyer le visage pour pouvoir à nouveau lécher leurs culs ou sucer leurs bites.

Tracy se pointa une cuillère à soupe à la main, elle récupéra pas mal de foutre lui couvrant le visage et la prévint :

— Ouvre bien la bouche pour déguster ce foutre de noirs !

Cuillère après cuillère elle savoura une bonne part de la crème onctueuse qui lui endoubait le visage.

Tyler lança alors une serviette à Tracy et intervint :

— Dale est le prochain gars à se la faire et il veut distinguer claire-ment ses lèvres lorsqu’elles se refermeront sur son épieu bandé.

Ils la disposèrent à genoux pour tailler une pipe à Dale.

Comme elle s’agenouillait face à lui, il baissa son pantalon et lui gifla le visage à plusieurs reprises de son épaisse colonne déployée.

Puis il s’assit, releva ses jambes en l’air, son gros et gras cul poilu se re-trouva alors juste en face du visage de Carmen.

Elle avala sa salive tant le spectacle était peu ragoûtant, son gros cul ve-lu puait comme s’il n’avait pas pris de douches depuis des semaines.

Elle grimaça de dégoût à l’idée de ce qui l’attendait.

LJ se tenait dans son dos, il lui empoigna le dos du crane et pressa son visage contre le cul nauséabond.

— Bouffe son immonde cul sale pute, ne te tracasse pas, je vais te foutre mes 30 centimètres dans le trou du cul pour te distraire de ta tâche !

Ils éclatèrent tous de rire et regardèrent avec intensité LJ introduire une bonne dose d’huile dans son trou du cul et commencer à peser sur son oeillet affolé.

Carmen se remit à hurler tant la douleur était intense, mais ses ris étaient étouffés par le cul de Dale.

Dale grognait de plaisir alors qu’elle promenait sa langue dans sa raie culière, puis elle se concentra sur son trou du cul qu’elle titilla d’une lan-gue agile. Il se branlait allégrement alors qu’elle lui léchait son trou du cul fétide.

Il avait déjà enfoui 8 cm de sa bite dans le trou du cul endolori de Car-men lorsque Carmen recula sa tête le suppliant de ne pas s’enfouir en totalité dans son intestin asservi. LJ repoussa sa tête sur le trou du cul fétide de Dale et intervint :

— Je vais te défoncer le trou du cul si profondément que sa bite ressortirait par la gorge.

Elle savait maintenant qu’il avait l’intention de l’empaler sur sa colonne de chair sans se soucier de la douleur qu’il allait provoquer.

Elle hurlait de plus belle alors qu’il l’embrochait de quelques centimètres de plus.

Ils s’étaient tous rassemblés autour d’eux pour le voir lui casser le cul.

Dale se servait de ses deux mains pour écarter les fesses de Dale en grand alors qu’elle gardait son visage fermement pressé dans la pilosité velue de son trou du cul, lui lèchant le trou du cul comme si elle était une pute à 5 euros.

Lorsque LJ s’embrocha jusqu’aux burnes dans son intestin asservi, ils applaudirent tous admirativement.

Larry s’approcha d’elle et lui referma des pinces de métal, achetées dans une quincaillerie, sur chaque téton.

Carmen hurla à pleins poumons alors que sa douleur montait d’un nou-veau cran.

Tracy se réjouissant de voir le chemin que prenait cette nuit. Elle souhai-tait vivement prendre une photo de cette scène obscène.

Sa populaire ex-amie d’école qui ne s’était jamais fait sauter que par son petit ami blanc était entièrement nue, à l’exception de ses hauts talons, à quatre pattes, nettoyant d’une langue agile le trou du cul fétide d’un ex-détenu noir de quarante cinq ans alors qu’un autre l’empalait sur sa monstrueuse bite, et que des pinces étaient refermées sur les tétons de ses gros nichons.

Dale lui demanda de bien lui évaser le goulot parce qu’il voulait l’enculer après lui.

LJ sortit de moitié sa pine de son trou du cul fumant et constata qu’elle était couverte de résidus fécaux, c’est alors qu’il décida que lorsqu’il se serait vidé les couilles dans son intestin elle lui nettoierait soigneusement la bite avec sa langue.

Il la martela encore pendant une bonne dizaine de minutes avant de lui cracher une importante dose de foutre dans son boyau asservi.

LJ extirpa sa grosse pine de son cul asservi, lui empoigna les cheveux et sortit son visage de la raie culière de Dale pour lui plonger sa bite souil-lée dans la bouche.

Elle s’étouffa en raison de la longueur de la bite qui lui plongeait dans l’arrière gorge, le goût de ses excréments la révulsait.

LJ lui enjoignit de nettoyer soigneusement sa mentule, il ne voulait sur-tout pas que sa femme sache qu’il avait enculé une petite pute !

Dale lui empoigna les hanches et bourra sa pine de toute sa longueur dans son anus béant.

Il remercia alors LJ de lui avoir bien préparé son trou du cul.

Lorsqu’il entreprit de la labourer vigoureusement, Larry qui était resté habillé approcha du visage de Carmen et dégrafa son pantalon.

Il sortit alors la plus épaisse pine qu’elle ait jamais vu, bien que celle de LJ soit plus longue.

Cependant le chibre de Larry mesurait quand même un bon 25 centimè-tres de long mais elle était aussi épaisse que son avant-bras.

Il lui dit alors d’embrasser son méat.

Elle ouvrit la bouche aussi grand que possible, il lui était impossible d’absorber le gigantesque gland.

Elle embrassa le bulbe de chair et le parcourut de plusieurs coups de langue tout comme elle aurait léché un esquimau.

Pendant ce temps Dale lui martelait le trou du cul tout en titillant son cli-to.

Tandis qu’elle tentait de sucer sa grosse pine Larry les prévint tous :

— Dès que Dale se sera vidé les couilles, je me la veux pour une bonne quarantaine de minutes !

Ils acceptèrent tous parce que Larry était, et de loin, le plus costaud du gang.

Carmen frémit, elle pensait qu’il allait lui déchirer la chatoune avec sa monstruosité.

Dale grogna et accéléra encore le rythme de ses empalements, puis il projeta son foutre au fin fond de son intestin.

Lorsqu’il extirpa son chibre, un flot de foutre s"échappa de son anus en-dolori.

Tracy s’esclaffa que son trou du cul était un excellent réceptacle à foutre noir.

Elle s’approcha de Carmen et lui susurra à l’oreille que son fragile trou du cul ne tarderait pas à goûter à des bites encore plus grosses d’ici la fin de la nuit et que Larry avec sa monstruosité et ses énormes burnes n’aurait besoin que d’un quart de ses resserves spermatiques.

Larry extirpa sa grosse mentule de la bouche de Carmen et entreprit de se déshabiller.

Les autres clients s’étaient assis impatients de voir quels abus Larry comptait lui infliger.

Lorsqu’il fut entièrement nu, ils le regardaient tout admiratifs.

Son corps était musclé, et noir comme le charbon, comme sculpté dans du granit.

Sa large poitrine était couverte de tatouages et ses bras étaient plus gros que la plupart des jambes des autres gars.

Sa bite qui pendait entre ses cuisses ressemblait à une grosse bâte de base-ball noire.

Il intima à Carmen de s’allonger sur le dos et de se branler la foufoune.

Comme elle s’exécutait, il se posta juste au-dessus d’elle sa bite encore flacide pointait sur son visage.

Carmen craignait ce qu’il allait lui faire et sa peur s’accrut encore lorsqu’il commença à lui uriner sur le visage

Les spectateurs explosèrent de rire alors que les jets jaunâtres s’écra-saient sur ses nibards et dans sa chevelure.

Larry l’informa que si elle avalait suffisamment de pisse il lui accorderait une pause et qu’il ne l’enculerait pas.

Elle ouvrit la bouche en grand et fit de son mieux pour attraper le plus d’urine possible l’avalant rapidement espérant ainsi éviter l’épreuve de sa bite de mammouth dans son trou du cul endolori.

Ils étaient tous étonnés de le voir pisser comme un mérinos tout autant que par la dose d’urine que Carmen parvenait à absorber.

Comme le flot tarissait, il s’accroupit sur elle et pressa son cul sur son visage lui enjoignant de le titiller de la langue.

Alors qu’elle parcourait sa raie culière de la pointe de la langue de son mieux, il fourra son énorme fût entre ses gros nibards qu’il referma comme un écrin.

Elle pensait qu’il allait les lui arracher tant il tirait fort.

Il maltraitait ses gros nichons de ses larges mains et pinça les tétons si fort qu’elle hurla de douleur.

Vingt minutes plus tard il décida de la baiser si énergiquement qu’elle en tourne de l’oil.

Il s’allongea sur le dos, son énorme bite dressée sur son bas-ventre, et pria Dale et Sam de la lever pour l’empaler sur lui.

Ils lui empoignèrent les bras et les jambes, écartèrent ses cuisses en grand, puis la guidèrent sur son épieu.

Sa chatoune résistait à l’énorme intrusion, aussi Larry lui ouvrit-il la cha-toune de la main pour aider à la pénétration de son étroite chagatte.

Carmen grognait et gémissait de douleur, alors qu’il la pénétrait d’un gland impatient il lui semblait qu’on l’embrochait sur une bâte de base-ball.

Il tendit la main et agrippa ses nibards, l’attirant sur son torse.

Les gars tentèrent de lui faire tortiller du bas ventre tandis que Larry cherchait à l’empaler à fond.

Il se débrouilla pour enfouir plus de la moitié de sa bite dans sa cra-mouille douloureuse, elle lui hurlait d’arrêter, se plaignant qu’il lui déchi-rait la foufoune.

Larry se contenta de rire à pleines gorges, et tira si fort ses nibards qu’elle crut qu’il allait les arracher de son torse.

Les deux gars la lâchèrent et Larry l’embrocha de tout son long alors qu’elle sanglotait le suppliant de l’épargner.

Il lui répondit qu’il allait dévaster sa chatte de façon à ce qu’elle ne sente même plus les petites bites de ses partenaires blancs par lesquels elle aimait se faire baiser dans on université, Carmen se sentait comblée comme une truffe.

Il lui semblait que chaque centimètre de sa chatoune frottait contre la pine de son envahisseur.

Elle était certaine que cette monstruosité ruinait sa cramouille qu’elle dis-tendait dans d’énormes proportions pour qu’elle accueillit au mieux sa monstrueuse mentule.

Tracy souriait ravie à la vue de son ex-amie sans défense se faire dé-foncer par la plus grosse bite qu’elle ait jamais pu contempler.

Elle se tordait et se tortillait pour échapper d’une façon à une autre à ce douloureux viol.

Alors qu’elle était à peine capable de s’accommoder de cet énorme en-vahisseur, il la roula sur le dos se retrouvant sur elle, la clouant à son matelas.

Il empoigna ses cuisses et les referma sur sa bite alors qu’elle le sup-pliait de retirer sa bite de sa chagatte. Carmen le suppliait toujours :

— Oh mon Dieu, je vous en prie… Retirez-vous… J’ai trop mal… Vous le tuez !

Larry lui ordonna de fermer sa gueule, et que sa chatte était le seul office dans lequel il puisse s’enfouir sans trop de dommages, parce qu’elle ne pourrait pas

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