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Lippe suceuse et liposuccion – Chapitre 14




Retrouvailles et casse-couilles

Retrouvailles et casse-couilles

-Maintenant je te tiens et je ne te lâcherai plus. Encore un baiser, mon amour. Quel bonheur !

Julie est à cheval sur mes cuisses. Nue sur mes jambes nues, elle balance davant en arrière et darrière en avant son bassin nu, amarré sans corde sur ma bite. Ses pieds prennent appui de chaque côté de mes hanches contre le fond du canapé et impriment à sa croupe ce mouvement souple de va et vient autour du pieu sur lequel elle sest empalée. Elle me fait face et coulisse inlassablement mais complique le mouvement par des dérives sur les côtés en forme dovale. Ma verge se plie pendant le recul ou se redresse quand nos ventres se rejoignent. Je suis prisonnier volontaire et bienheureux du sexe dune femme aussi heureuse que moi. Mes deux mains dans son dos enserrent sa taille et suivent le balancement voluptueux, facilité par labondante cyprine. Mes yeux passent des seins magnifiques au visage souriant, à la bouche haletante ou aux yeux humides de joie. Nous nous sommes retrouvés et, sur ce canapé, à la lueur dun abat-jour recouvert dun foulard de soie nous faisons lamour pour la première fois depuis plus de deux ans.

Sa poitrine sécrase contre la mienne, ses lèvres semparent de ma bouche, ses bras métreignent à métouffer, son vagin simmobilise sur mon membre et se contracte en anneaux successifs de la base jusquau gland. Elle se détache pour aller murmurer à mon oreille :

-Jean, je taime. Jure-moi que tu ne me quitteras plus. Je naime que toi.

Ses épaules reculent, elle veut voir dans mes yeux leffet produit par la rotation de sa vulve sur mes bourses. Elle jette ensuite ses mains sur le dossier du canapé, tire sur ses bras et se soulève puis se laisse retomber. Elle répète ce mouvement une, deux, dix fois, me sourit et recommence. Sa lèvre inférieure tombe, son souffle devient bruyant, elle serre les mâchoires, pousse un profond soupir, se calme et ses pupilles se dilatent.

-Oh ! Que cétait bon. Cest mon troisième orgasme. Mon amour. Attends, ça faisait si longtemps. Je craignais de devenir toute sèche à force de me contenter de mes doigts. Merci, merci. Et toi, tu ne suis plus ?

-Oui. Tu oublies déjà mes deux éjaculations. Je ne suis pas un automate. Mais la nuit nest pas terminée. Si tu maccueilles dans ton lit, je saurai te faire jouir jusquau matin. Nous pourrions prendre une douche ?

Nous avions débuté nos retrouvailles de manière folle, enlacés, bouches collées. Nous avions retrouvé nos habitudes davant le divorce mais notre soixante-neuf échevelé avait été stoppé par le réveil et lappel de Clovis depuis sa chambre à létage. Il y avait eu aussitôt après larrivée inopinée de Georges et sa touchante déclaration damour à Julie, hélas pour mon moral, assortie dun rappel aux astuces de ce détestable André pour aborder et séduire une femme. Javais accusé le coup. Mais Julie sétait habilement tirée dembarras. Pour mamener au bord de la fuite, Georges avait enfin remis une lettre et un chèque dAndré à Julie avant de quitter la maison persuadé que son prédécesseur à la piscine était lamour de Julie. Le geste de Julie déchirant le chèque navait pas tout à fait rétabli la paix dans mon cur. Cet André ne renonçait pas. Un chèque déchiré et non encaissé ça peut se remplacer après un simple appel téléphonique.

Pour oublier ces incidents Julie sétait collée à moi, mavait serré et répétait dune voix tremblante :

-Oublie ça. Je taime, je taime. Reste. Souris. Tu nas rien à craindre. Je taime, je nai jamais aimé que toi. Oublie André, il na jamais été mon amant, crois-moi. Je taime. Embrasse-moi. Ne pense plus à André, il n’y a rien eu entre nous ni ici ni en Tunisie. Je ne ferai plus ce voyage, je resterai avec toi. Ne sois pas triste. Je taime. Et puis André vit loin dici. Georges ne mimportunera pas, cest un gentil garçon. Mais tu las entendu, il a mal compris ma réponse. Je le détromperai à loccasion, je lui dirai que cest toi que jaime et non André. Je nai pas voulu laccabler après sa déception. Je taime, je taime.

En désordre Julie essayait dexorciser la tristesse qui mavait refroidi. Elle prenait ses arguments en désordre à cause de lémotion. Je refermai mes bras sur elle. Je la sentais tendue, nerveuse. Longtemps nous étions restés debout au milieu de la pièce, les yeux dans les yeux, pleins despoir, de lespoir fou darriver à recoller les morceaux de notre amour si fortement contrarié au moment où il reprenait vie. Le sourire avait vaincu le doute. Nous avions abouti sur le canapé et nous avions repris nos gestes damour.

Nous avons plus de deux ans à rattraper. Plus rien ne troublera ce retour aux sources. Nous avons retrouvé notre enthousiasme des jours heureux. Au lit comme sur le canapé nous reconstituons une lune de miel, goulûment, amoureux comme à vingt ans.

Les mois passent. Notre famille est heureuse. Julie envisage de donner une petite sur à Clovis. Elle voudrait auparavant se remarier avec moi. Le projet avance. Les cousines Anaïs et Victoire assagies nous rendent de fréquentes visites et jugent que nous devons régulariser notre situation matrimoniale. A la rubrique nécrologique nous apprenons le décès du mari de Maud. Depuis cette nouvelle Julie revient avec insistance sur sa volonté de se remarier. Et pourquoi pas ? Nous allons entreprendre la démarche dès notre retour de vacances en Charente maritime. Nous avons loué pour quinze jours une villa au calme à Fouras, ville en bord de lOcéan, à proximité de lîle dAix et face à Oléron, entre Rochefort-sur-mer et La Rochelle. On nous promet un séjour calme dans cette cité fréquentée surtout par des familles. Les valises sont prêtes. Nous démarrons dans deux jours.

A dix-sept heures quinze je rentre du travail. Je recueille mon fils chez la voisine qui le garde depuis la fin de classe jusquà mon retour. Nous sommes contents de nous retrouver, il me raconte sa journée. On sonne. Clovis me suit vers la porte, se réjouit de retrouver sa maman. Jouvre : Je reconnais immédiatement lhomme qui se tient en face de moi, jen reste muet. Lui est à laise :

-Bonjour Jean. Ne me reconnais-tu pas ? Tu en fais une tête ! Je suis André, pas une apparition. Tu ne crois pas aux fantômes ! Je sors du salon de coiffure. Julie ma fait un shampoing et une coupe. Elle a des doigts de fée et un cur dor.

-Bonjour André. Que veux-tu ?

La présence de mon fils moblige à être poli, sans servilité. Je serre les poings et domine mon envie de frapper. Si Clovis ne nous dévisageait pas, jassommerais ce salaud. Il sait faire mal en parlant des soins reçus des mains de Julie ou de son cur. Il insiste

-Julie ma recommandé de venir lattendre ici. Je peux entrer ? Merci. Ton fils a bien grandi Il est beau comme sa mère.

-Tout le monde me dit que je ressemble à mon papa. Est-ce que je peux monter dans ma chambre papounet ?

-Mais oui, Clovis. Va jouer.

Nous allons pouvoir discuter entre hommes. Il est préférable que notre enfant soit à lécart de notre conversation.

-Donc Julie tenvoie ici. Cest surprenant. Quel vent tamène au pays ? La Tunisie ne te plaît plus. Les femmes y sont plus ou trop farouches ?

-Jai tout ce quil me faut là-bas, crois-moi. Le jour où tu auras envie de tamuser, viens à Djerba. La population de touristes aime les massages, les femmes surtout. Il marrive assez souvent de me laisser séduire, lorsquelles sont belles et chaudes. Si tu savais ! Plus quailleurs les maris de nos curistes portent des cornes.

-Tu as fui devant le nombre de tes conquêtes ?

-Je prends des vacances en France après trois ans dabsence. Tu aurais une bière ? Je fais mon premier tour en France depuis mon départ et je suis heureux de retrouver des connaissances. Comment va ? Je vous croyais divorcés, vous vivez de nouveau ensemble, ma indiqué Julie. Elle est toujours aussi belle et adorable ? Cette fois vous comptez tenir ensemble? Tu nen as pas marre de manger toujours au même râtelier ? Tu manques de fantaisie !

Je hausse les épaules. Je lui donne une Kronenbourg 1664, jallume la télé.

-Comme tu las dit, Julie a un cur dor, des mains de fées et dautres avantages que tu ignores, dont seul un mari pourrait te parler. Excuse-moi, jai à faire près de mon fils. Choisis un programme et attends Julie.

Pourquoi diable Julie menvoie-t-elle le gars que je hais le plus au monde ? Je le laisse à sa bière devant le téléviseur. Je monte dans ma chambre, je fais ma valise. Je croyais ma femme guérie de cet énergumène. Elle aurait dû lenvoyer aux quatre cents diables. Ou elle le jette ou je la laisse face à lui. Il a déjà essayé de me titiller avec ses compliments sur ses doigts et son cur dor. Il prend avantage dune rencontre au salon pour venir sinstaller de façon éhontée sur notre canapé. Je ne vais pas me disputer avec lui, pousser des cris et effrayer Clovis. Une fois de plus Julie assumera. Je descends ma valise.

-Ah ! Tu prépares ton départ en vacances. Julie ma raconté que vous partiez samedi matin pour Fouras. Je connais bien la région entre La Rochelle, Royan et Saintes. Je pourrais vous servir de guide.

-Merci, je me suis renseigné. Nous naurons pas besoin dun guide.

-Julie ma dit que vous aviez loué un pavillon spacieux, avec trois chambres. Cest plus quil ne vous en faut. Je pourrais en sous louer une. Je vais mennuyer seul ici. Ca me ferait plaisir de goûter à une vie de famille avec des amis. Je suis prêt à payer la moitié du prix de location.

-Cest que nous comptons nous retrouver à trois. Et la voiture chargée, je ne vois pas dautre place pour un passager supplémentaire que sur la galerie. Je regrette, tu me demandes limpossible.

-Cest ce que ma affirmé Julie. Mais si je vous rejoignais par le train ? Elle na pas dit non. Tu verras je serai discret si vous le souhaitez. Julie serait daccord pour cuisiner pour une personne supplémentaire. Ne ten fais pas, je verserai une participation aux frais de bouche. Financièrement je suis à laise.

-Là nest pas la question. Aurais-tu perdu la mémoire ? Tu voulais séduire ma femme. Tu nous as suffisamment perturbés il y a plus de trois ans. Je ne tiens pas à gâcher mes vacances. Trouve une autre proie. Tu avais un harem à lépoque, lune ou lautre se fera un plaisir de te présenter à son mari. A propos Maud est veuve, tu pourrais la revoir, lui donner un plaisir qui lui manque peut-être.

— Mais nes-tu pas plus sûr de lamour de ta femme, pour craindre ma présence ? Que tu es susceptible. Réfléchis au double jeu que tu as mené à lépoque. Pourquoi as-tu voulu jouer au plus malin. Il aurait suffi que tu me dises que Julie était ta femme et jaurais immédiatement laissé tomber.

-Tu las appris et ça ne ta pas empêché de prendre lavion avec elle, les scrupules ne tont pas étouffé. Il est vrai que tu nas rien obtenu delle sur place à cause de lintervention chirurgicale. Peut-être aussi parce que cest une femme fidèle. Ca existe, tu es irrésistible pour certaines, tu dépannes ou tu répares, mais après un autre. Tu es un homme de lombre, un ramasseur de restes. Tant mieux pour celles que tu consoles avec ta queue quand tu passes sous la table dun mari.

-Le nombre dans lombre, jaime la formule. Mais où sont mes cornes ?

-Julie est heureuse avec moi. Donc ton séjour avec elle a été un bide. Je lavais prévu et préparé. Tu es parti avec des batteries à plat, tes maîtresses tavaient vidé les roupettes. Même infidèle, Julie naurait pu recevoir que des substituts, quelques baisers ou caresses, un doigtage dépité, un peu de lèche minou dimpuissant. Rien de sérieux sexuellement parlant. Elle ne parle pas de tes exploits pendant cette semaine. Pourquoi nest-elle pas restée avec toi ? Tu ne te poses jamais ces questions. Tu aurais évité quelques dames déçues de ton peu dempressement, ma-telle raconté. Tu las déçue !

-Quen sais-tu ? Cest la version de Julie ? Cest du passé, oublions. Je nai que de bonnes intentions. Mon séjour sera court, je ne veux plus dembrouilles. Je voudrais juste en garder un bon souvenir. Je ne chercherai pas à tenlever Julie.

Par ses sous-entendus il sait me blesser. La version de Julie ne maurait pas serait un mensonge Ils auraient André aurait obtenu de ma femme des choses inavouables et à oublier. Il naffirme pas ; il laisse entendre, sans préciser. Il procède par insinuations. Il effectue un travail de sape mais ne voudrait plus de Julie ? Que fait-il chez moi, ce soir dans ce cas. Il a essayé de lacheter, ça na pas marché. Il ferait le déplacement sans idée derrière la tête et naurait plus que Jean et Julie comme point de chute. Difficile à gober. Comment sen débarrasser ? Il ne mérite pas dégards. Il ne maccusera plus de duplicité cette fois :

-Sache que tu nes pas le bienvenu. Je ne veux pas de toi pendant mes vacances. Est-ce clair ? Pardon, voilà une autre bière. Julie ne va pas tarder, je charge la valise et nous te saluerons. Tu as certainement dautres amis à voir.

-Julie mavait proposé de me loger ce soir, si bien que je nai pas cherché ailleurs. La voici. Elle pourra confirmer.

En effet Julie entre, avec son air soucieux. Elle a raison de redouter ma révolte.

-Jean, quest-ce que cette valise ? Elle ne va pas à Fouras. Où vas-tu avec cette vieillerie ? Bonsoir André. Tu permets, jai deux mots à dire à mon mari. Jean, allons à la cuisine. Jean, mon amour, viens. En premier embrasse-moi.

Pour qui est cette démonstration ? Ce baiser fougueux doit-il me rassurer ou veut-il signifier à André quelle maime et maimera quoi quil arrive ? Est-ce une précaution pour mapaiser ou un défi à cet homme tombé du ciel ou remonté des enfers ? Elle a compris que je bous. Elle devait sen douter

-Chéri, quest-ce quil se passe ? Vous vous êtes disputés ? Et pourquoi ? Tu as lair furieux

— Je le suis ! Tu vois qui est là ? Je ne veux plus supporter cet individu. Il nous a fait trop de mal. Sa venue me rend fou. Tu laurais invité à coucher chez nous ce soir, est-ce possible ? En plus il compte nous accompagner en vacances. Il nen est pas question. Là, tu choisis ; cest lui ou cest moi. Ma valise est prête, je lui laisse la place, tu le veux, prends-le et oublie-moi. Quand il sera reparti en Tunisie, nous ferons le point. Bonsoir.

-Mais calme-toi. Tu téchauffes inutilement. Est-ce toute la confiance que tu as en moi ?

-Oui, une confiance absolue, telle que je vous laisse en tête à tête. Je nai jamais su ce qui sétait passé en Tunisie, je ne veux pas te voir te faire tripoter par ton masseur, ni te voir lui frictionner la tête ou le reste.

-Bientôt tu minterdiras de faire des shampoings ? Cest une partie de mon métier. Tu deviens ridicule.

Voilà pourquoi je quitte cette maison, je veux éviter de te paraître ridicule. Nest-ce pas la plus belle preuve de confiance. André laisse entendre que je lui ai laissé le chemin libre à Tunis et que votre relation pourrait avoir été différente de celle de ta version. Il te manquait, le voilà dans la place. Amusez-vous bien.

-Comment peux-tu mettre ma parole en doute ? Tu as envie de te torturer et tu entends de lui ce quil te plaît dentendre. Quand changeras-tu ? Tu es masochiste. Bon, jai été surprise quand il sest présenté au salon. Il ma demandé de lhéberger, ma parlé dhospitalité. Je nai pas pu refuser. Jai essayé de lui faire comprendre que nous partions et quil devrait chercher dautres amis pour laccueillir. Il a rebondi en proposant de nous accompagner. Jai répondu que nous en parlerions à la maison.

-Ah ! Jaurai mon mot à dire. Eh ! bien, cest « non !!!!!! »

-Attends un instant ici. Nous allons en discuter. Jai réfléchi et jai un plan.

Elle rejoint le salon et je lentends:

-André, tu dois avoir des bagages. Où sont-ils ?

-A la consigne de la gare.

-Va les chercher, tu dormiras dans la chambre damis.

-Quoi, Jean est daccord. Grand merci ! Cest vraiment un chic type. Il faut que je le remercie.

-Tu en auras le temps après. Va, prends ton temps. Le repas du soir nest pas prêt.

Julie revient pour mexposer son plan. Elle a donné plusieurs coups de fil. Elle pense donner de loccupation à André. Nous le logerons à Fouras à une condition : il sera en couple avec une femme entièrement à sa charge :

-Maud ne peut pas lâcher son travail. Anaïs va en Bretagne avec son compagnon. Jai deux solutions. En premier il y aurait Amandine et Elodie toujours en quête dun reproducteur ; à deux elles devraient réussir à lassagir ! Et puis il y a Victoire. Son mari Richard à loccasion de la fermeture annuelle de leur établissement va passer quinze jours à la pêche en Irlande avec des copains. Victoire serait daccord, mais craint quAndré ne soit rancunier et veuille se venger des événements qui ont précédé le départ pour la liposuccion. Nous lui laissons le choix, cest à prendre ou à laisser. Il choisit une ou deux femmes et il peut venir en vacances avec nous. Sinon il se débrouille tout seul. Moi aussi je veux passer mes vacances en paix avec toi et Clovis.

-Tu tes donné du mal pour lui fournir loccasion de vivre près de toi. Cest encore lui qui va décider de notre vie. Je comptais connaître de vrais moments dintimité et de bonheur familial. André se présente sans avoir prévenu et tu lembarques ? Pour moi aussi cest à prendre ou à laisser, je suppose ? Je laisse : bon voyage et bonnes vacances, mais sans moi. Je nai pas lintention de voir ce type te faire la cour sous mon nez ou de devoir vous surveiller. Il te plaît ? Tu es libre, épouse-le !

-Oh ! Non. Quel vilain chantage. Je ne te quitterai pas dune semelle là-bas. Tu me trouveras collante, il ne me rencontrera jamais seule. Ces vacances pourraient être merveilleuses. Avec sa participation aux frais nous pourrions aller au restaurant chaque jour. Nous ne passerions pas nos journées à cuisiner ou à courir au ravitaillement : ce serait de vraies vacances sans alourdir notre budget. Il veut payer, quil paie.

-Tu es en train de te vendre ? Pour un peu dargent tu acceptes de le voir troubler notre quiétude. Tu te prostitues.

-Chasse tes fantasmes, je ne lui vends pas mon corps. Il fait le généreux pour être accepté : je ny vois pas dinconvénient, A condition que ta confiance en moi soit réelle et solide il ne pourra rien contre notre couple. Cesse tes manifestations déplacées de jalousie. Et pour les deux prochains jours montrons lui que nous nous aimons, il se rabattra sur la ou les compagnes que je lui propose. Il est demandeur, nous imposons nos conditions.

Effectivement Julie, au repas du soir met les points sur les i. André se montre enthousiaste et exige de régler immédiatement sa contribution. Julie rayonne et téléphone à Victoire. La grande sèche répond à voix basse. Richard sen va vendredi soir, donc le même soir elle arrivera avec ses bagages et passera une première nuit avec André. Celui-ci se charge du voyage en train. Nous les prendrons en gare de La Rochelle.

Au coucher, Julie se montre tendre, amoureuse. Derrière la porte de notre chambre, rôde un indiscret. Je redouble dardeur.

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