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Ma tante et sa fille complotent contre moi – Chapitre 6




Je venais donc de rêver que ma cousine était une infirmière spéciale, travaillant dans une banque de sperme, et qui prélevait la semence des donneurs en les suçant à travers un gloryhole jusqu’à les faire jouir dans sa bouche Et, comble de l’histoire, j’avais fait ce rêve dans son lit, et j’avais joui sur sa jambe

J’étais assez paniqué en prenant conscience de la situation. Jenny en revanche, était tout à fait détendue. Elle en riait même, me disant qu’il n’y avait rien de grave. C’était la faute de la drogue, pas la mienne. Et pour me calmer, elle m’invita à aller changer de boxer pendant qu’elle irait s’essuyer la cuisse, et de revenir dormir ici, pour désamorcer la situation. Ce que nous fîmes. Et cinq minutes après, nous étions de nouveau dans son lit, prêts à dormir.

Le lendemain matin, le réveil que j’avais oublié de désactiver me réveilla à 7h. Horrible sensation que d’être réveillé aussi tôt un 23 décembre, lorsqu’il fait encore nuit, et que le froid vous attaque à peine vous réalisez que vous ne dormez plus, et qu’il est tout compte fait trop tard pour espérer se rendormir pour que ça en vaille la peine.

J’avais plusieurs nouveaux messages durant la nuit. "Je suis une vraie star dans ce coin!" pensai-je pour me flatter ironiquement. Le premier, datant de 23h30, était de Jeannine:

"Bonsoir mon cur. Nicolas est sur son ordinateur avec la porte ouverte, je ne peux pas te rejoindre discrètement. Si tu es réveillé, viens me rejoindre pour qu’on se câline un petit peu…"

"Qu’elle est douce", pensai-je.

Le suivant était de Nicolas, qui m’annonçait que ses amis m’avaient beaucoup apprécié et qu’ils étaient en train de s’organiser pour continuer le tournoi commencé deux jours plus tôt. Il m’avoua surtout que beaucoup d’entre eux étaient véritablement gay et rêvaient de pouvoir me bouffer la bite…

Les quatre autres étaient de Camille. Ils avaient tous été envoyés durant la nuit, entre 2h et 6h30. Les voici:

"Cris, je suis à une soirée pas très très loin de chez toi. Si tu es debout et que tu as envie de t’amuser, rejoins-moi à l’adresse suivante : …"

"Aller gros tas, viens me rejoindre, on s’éclate !!!"

"C’est dommage, j’aurai bien envie de sucer ta grosse teub là… je viens de serrer un type mais il avait une ptite bite et précoce……"

"Bon, tu dois dormir. Désolée pour mes précédents messages, j’étais bourrée. Doux baisers"

Le dernier datait de moins d’une demi-heure. Je répondis, en espérant qu’elle soit encore éveillée.

J’activai la 4G et un MMS de Jeannine m’arriva, daté lui de minuit… On la voyait dans son lit en train de feuilleter un magazine, posé entre ses jambes, mais surtout son débardeur gris laissait voir ses gros tétons durs qui perdaient du lait… Sous l’image, elle avait écrit « Voilà ce qui arrive quand tu ne t’occupes pas de ta Maman » Quel spectacle incroyable! L’effet fut immédiat, ma queue se dressa telle une lance de soldat romain, prête à niquer des mères… Et effectivement, c’est ce que je décidai de faire!

La maison était encore plongée dans le noir, toute endormie. La porte de Nicolas était restée ouverte, et il dormait comme un bébé. Je m’arrêtai sur le pas de la porte et l’observai tendrement. Ce n’était pas un canon de beauté, c’est sûr. Il avait un corps plutôt chétif, mais dormait nu, sans gêne. Je l’observai méticuleusement. Son sexe semblait joliment dessiné. Hmm… Mon excitation causée par Jeannine était telle que j’entrai dans la chambre de Nicolas… Je me dis que si je le goutais juste un peu, un tout petit peu, juste tremper les lèvres comme on dit, je pourrais avoir un bel avantage si j’étais amené à devoir l’identifier durant le prochain tournoi… Juste un petit peu…

Par chance il était au bord du lit et je pus le sucer en étant à genoux à côté du lit… J’étais suis sûr qu’il s’était branlé toute la soirée, son sexe sentait fort, sentait l’excitation, et même le sperme… Comme c’était alléchant. D’ailleurs c’est comme ça que je commençai, par un gros coup de langue des couilles jusqu’au frein, que j’embrassai, jusqu’à aspirer son gland dans ma bouche humide… Hmm quelle douce sensation! Ma première bite, mon premier gland, et en plus j’avais le plaisir de le prendre mou et de le sentir gonfler dans ma bouche… Car oui, il prenait rapidement de la vigueur. Je faisais tourner ma langue autour de son gland, sa texture soyeuse et spongieuse m’excitait au plus haut point. Que c’était bon et doux, mon Dieu! Si j’avais su… Sa queue prit alors de l’ampleur… Je restai à genoux et sa queue maintenant dure était plongée dans ma bouche, courbée vers la gauche. Ça devait lui tirer un peu car instinctivement Nicolas se mis sur son flanc, et ses mains vinrent trouver ma tête, m’attrapèrent fermement derrière le crâne et il commença à jouer du bassin, de plus en plus vite. Merde! Ce con me retenait prisonnier, il dormait mais pourtant il me baisait la bouche, ce fils de pute! Impossible de me dégager, ce petit geek me tenait complètement. Il râlait même. La situation n’était pas non plus désagréable, mais je préférais lorsque c’était moi qui donnais le rythme, que je pouvais vraiment apprécier sa bite en la mâchouillant et en le suçant au sens premier du terme, je pouvais gouter ses saveurs, frotter sa tige sous mon nez et entre mes lèvres… là il me baisait, ce n’était pas super intéressant… Jusqu’à… l’augmentation des râles… et ce con éjacula dans ma bouche… Je manquai de m’étouffer deux fois. Son sperme était liquide et assez amer… bhhhh… j’encaissai mal tout ça… J’avais voulu jouer… Et je perdis comme un imbécile… Il lui fallut plusieurs dizaines de secondes pour se décrisper dans son sommeil. Il ne s’était pas réveillé. Enfin ses bras redevinrent mous et je pu me dégager, son sperme toujours en bouche, que j’allais rapidement recracher dans sa corbeille à papier/mouchoir. Brrrr! J’étais parcouru de mauvais frissons. Je quittai rapidement sa chambre… Frustré… Il me fallait un défouloir… Jeannine… Maman!

Je me retrouvai donc dans le couloir. La chambre de Jenny était ouverte, sauf qu’elle n’était pas dans son lit. J’avais la voie libre. Je descendis donc les escaliers, avec mes chaussons qui amortissaient les bruits, et parvins jusqu’à la chambre de ma nouvelle maman sans réel souci. Là, une scène que j’avais vue sur internet me revînt, et j’avais très envie de réaliser ce fantasme. Le concept était simple: frotter ma bite contre la bouche et le visage endormis de Jeannine, tout en lui malaxant les seins, et jouir sur son visage tout en la réveillant.

J’étais affamé d’elle, et de plus j’avais une envie folle de faire à quelqu’un ce que Nicolas m’avait fait subir. Je me penchai tout d’abord sur Jeannine pour sucer ses seins. Elle avait gardé son débardeur qui moulait sa poitrine à la perfection. Au niveau de ses tétons, on voyait deux tâches légèrement plus claires sûrement dues au lait qui s’y était accumulé C’était poétique et tellement excitant, que je décidai de sucer ses seins avec le tissu en bouche. Rapidement, une auréole de bave apparut et son téton, en dessous, bourgeonna, pour mon plus grand plaisir. Jeannine ne réagissait pas. Pas encore du moins. Je suçai son téton dur, et malaxait son autre sein de ma main pendant quelque temps, avant que ma queue ne me rappelle la mission à accomplir. Ma main restait cependant accrochée à son énorme sein et je le pressai avec d’autant plus de vigueur et d’envie. Silencieusement, je sortis ma grosse queue de mon boxer pour la poser juste sous son nez, sur son philtrum et sa lèvre supérieure… et commençai à me frotter contre son visage… Je tenais la base de mon sexe avec ma main pour la tapoter sur sa bouche, sur laquelle j’appliquai un énorme baiser, avant de laisser couler de ma bave sur sa bouche, devenue de ce fait extrêmement lubrifiée… J’y déposai mon énorme gland gorgé de désir et tentai d’y faire pénétrer ma bite… cette bouche paradisiaque… Mais impossible… Ses dents bloquaient l’entrée. Pas grave, pensai-je, me frotter contre ses lèvres pleines était déjà trèèèèèès excitant. J’en profitai pour taper ma verge contre ses joues et ma main glissa sous sa culotte pour la doigter… Son corps répondait à mes traitements. Tétons durs, lèvres vaginales légèrement mouillées… Je la doigtai doucement tout en me branlant sous son nez… Elle commençait à remuer… J’accentuai les mouvements, crachai sur sa bouche et sur ma verge alors que je lui enfonçai un troisième doigt… J’étais surexcité! Je décidai alors de l’appeler en lui donnant des claques rapides sur son sexe.

"Maman! Réveille-toi Maman!!!"

Elle émergea, enfin! Victoire. Elle ouvrit les yeux douloureusement et j’en profitai pour empoigner ses cheveux et lui faire enfin sucer ma queue qui n’en pouvait plus d’attendre d’être pompée! Je lui baisai la bouche, d’abord doucement, puis rapidement lorsque je sentis ses mains venir s’agripper à mes fesses pour donner encore plus de vitesse à mon jeu de bassin. Quelle déesse cette Jeannine! Quelle gourmande cette tante! Quelle affamée de bite, ma maman!!!

Je lui baisai violemment la bouche, m’enfonçant au fond de sa gorge (malgré ma bite large et longue, elle était parvenue dès la première fois à l’avaler entièrement), pour ressortir dans une explosion de bave gluante et un râlement sauvage de Jeannine qui reprenait son souffle avant de m’encourager à y aller plus fort!

– Continue mon bébé, baise la bouche de ta mère!! Hmm je t’ai attendu toute la nuit!!!

Et d’y retourner comme un bourrin! Évidemment, je n’en pouvais plus et à peine avais-je replongé ma bite dans sa gorge brulante que la crème arriva. Juste le temps de m’extraire de ce palais des délices pour lui gicler de grosses salves de sperme opaque et gluant qui venaient s’écraser sur ses joues, son nez, son menton, sa langue, et y restaient collées. C’est simple, elle était recouverte de mon foutre, et gémissait comme une putain. N’en pouvant plus, ni-même rassasié, j’étalai ma crème sur son visage avec mon gland, sur son front, sur ses narines pour que mon odeur l’inonde, avant d’en récolter et de ramener cette nourriture dans sa bouche. Elle s’empressa d’attraper ma verge à deux mains et de me sucer amoureusement en avalant ce que je lui offrais à boire… Elle s’y affairait avec un mélange de douceur maternelle et d’euphorie libertine.

– Tu aimes ça baiser ta Maman quand elle dort? Et qu’elle vide bien tes grosses couilles? J’espère que oui parce que moi j’aimerais pouvoir faire ça tous les jours… plusieurs fois par jour…

– Oh Maman… dis-je en lui remettant ma queue au fond de la gorge en la maintenant par les cheveux.

Ses doigts massèrent mes couilles, c’était divin. Je donnai de légers coups de reins, je ne débandai toujours pas. Son visage souillé m’excitait à mourir. Son nez s’enfonça dans mon bas ventre, elle en voulait toujours plus et tapa doucement sur ma cuisse pour me signifier qu’elle devait respirer. Je la libérai et de nouveau un énorme filet de bave dégoulina sur son menton et son débardeur, totalement souillé. Elle me proposa alors de lui retirer son haut et d’utiliser toute cette belle bave pour me branler entre ses grosses mamelles, qui, en les découvrant, étaient d’une beauté invraisemblable. D’autant que rapidement, des petites perles de lait commencèrent à pointer le bout de leur nez… Elle saisit ses deux seins sur les côtés et les pressa l’un contre l’autre, m’invitant à glisser ma longue verge entre eux. Ce que je fis… La sensation était merveilleuse. Là entre ces deux obus souillés d’un mélange succulent de sperme, de bave et de lait… C’était trop pour moi. Tous mes fantasmes les plus sales se modifiaient et prenaient un nouveau visage: celui de Jeannine. Je bourinai comme un dégénéré, et elle commença à crier. Je lui plaquai alors mes mains sur la bouche. Ou plutôt, une sur la bouche, et l’autre sur le cou, pour l’étrangler tendrement. Elle jouit à cet instant précis. Un orgasme très intense, ses yeux roulèrent dans leur orbite, et la sentir atteindre comme ça le nirvana me fit jouir une deuxième fois en moins de trois minutes. De nouveau, de grosses gouttes de sperme vinrent s’écraser sur son cou et son visage, pour finir dans sa bouche, aux petits soins de sa langue et de ses lèvres…

Nous étions tous les deux en transe… Un léger câlin avant que je ne nettoie son visage et son corps avec ma langue. Le mélange de sperme, de bave et de lait qui s’accumula dans ma bouche était onctueux, je le partageai avec Jeannine dans un baiser d’une intensité jamais égalée… Elle se rendormit, heureuse, épanouie: une renaissance.

Je la laissai dormir, filai à la douche, encore tout tremblant d’excitation.

De retour dans ma chambre, de nouveaux messages m’attendaient sur mon téléphone. Camille.

"Tu es déjà debout? Moi je suis encore chez mes potes, j’ai dormi sur place. Je vais pas tarder à me rentrer."

"On dirait que tu t’es rendormi petit prince. Dommage. Si jamais t’es debout, je passe par chez vous en rentrant, fais-moi signe si tu veux qu’on petit-déjeune ensemble"

Je sautai sur l’occasion et l’appelai!

– Ah, t’es réveillé en fin de compte!

– Oui, j’étais à la douche et l’eau chaude m’a quasiment rendormi haha

– Quel personnage! Tu fais quoi?

– Rien je traine, j’allais descendre pour le petit déjeuner, mais ta proposition est cool, c’est original! T’es où?

– Pas loin de chez toi. Je passe te prendre alors?

– Grave! Je t’attends à l’angle!

– Super! A tout de suite… Ah Cris!

– Oui?

– Hm… comment dire… Ça te dérange de venir avec ta grosse bite?

– Putainnnnnn…

– Quoi?…

– J’arrive!

A suivre

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