ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 42 : Un club d’un genre particulier.

Alice continue à me raconter son fantasme :

Bien entendu, je suis hyper-mal à l’aise, même si depuis le mois de mai quand nous avons commencé à sortir ensemble, tu m’as bien dessalée, en me faisant monter et démonter régulièrement par tout un tas de types. Ton fils Henry a été le premier, ensuite il y a eu Marc et tes autres amis ont suivi, puis tu m’as présentée à certains de tes collègues de travail, avec qui j’ai dû me montrer également complaisante.

Cependant, je le vis très bien, étant donné qu’avant de te rencontrer, je n’aspirais qu’à une chose, qui était qu’un homme directif me prenne en mains, pour révéler au grand jour la salope que je suis dans ma tête, depuis que je suis en âge de me tripoter.

Après une courte pause pendant laquelle je me tais, elle continue :

Par conséquent, je suis habituée à baiser avec deux ou trois hommes en même temps, et ils me font jouir comme une folle. Mais ce soir, c’est ma première sortie en public, dans une tenue on ne peut plus exhibitionniste, et mon ventre qui a commencé à s’arrondir sans aucune équivoque déforme le body en résille que tu m’as demandé de porter. Ce vêtement qui m’habille tout en ne cachant absolument rien de mon corps, le moule parfaitement dans sa presque intégralité, puisque seules mes mains, mon cou, et ma tête n’en sont pas recouverts.

Je suis enceinte depuis un peu plus de quatre mois, et il n’y a aucune ambiguïté sur le fait que tu sois le père, étant donné que dans les premiers temps de notre relation et jusqu’à ce que ma gynécologue ait confirmé ma grossesse, les autres hommes n’avaient le droit de faire gicler leur foutre que dans mon cul, ou dans ma bouche.

Cette fois, je n’ai plus aucun doute sur le désir de maternité de mon petit bout de femme, étant donné qu’il l’accompagne jusque dans ses délires les plus osés, et même si je suis loin d’être convaincu qu’elle attend bel et bien un enfant, j’ai à présent la certitude qu’elle veut en avoir au moins un avec moi.

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Cependant comme souvent, j’évite de faire un commentaire à ce sujet, et je me masturbe lentement en silence, tandis qu’Alice poursuit son monologue :

Ma gêne provoquée par ce que je suis en train de porter, et par le fait que tu m’as clairement annoncé de quelle manière les choses vont se passer, augmente lorsqu’une fois que je me suis retrouvée dans la tenue réglementaire de ce club, nous avançons en direction de la piste de danse qui se trouve en plein milieu, mais qui est déserte. Il faut dire que s’il y a bien de la musique, elle joue en sourdine, ce qui est très inhabituel dans ce genre d’endroit. Hasard ou calcul de ta part, la table que tu as réservée se trouve à l’autre côté de cette piste, mais en est assez proche, et pour la rejoindre, nous devons contourner cet espace circulaire.

Alice :

Bien que nous soyons samedi soir ne se trouvent qu’environ deux cents personnes dans cette boîte de nuit, autrement dit elle n’est qu’à moitié pleine, et si je suis légèrement soulagée en constatant qu’il y a d’autres femmes qui sont tout comme moi quasiment à poil, elles sont à peine une dizaine. Un frisson provoqué par un mélange de peur et d’excitation me parcourt la colonne vertébrale lorsque je vois l’une d’entre elles, qui doit avoir une quarantaine d’années, se faire enculer sans ménagement devant tout le monde, tandis qu’un autre type enfonce sa queue profondément dans sa gorge. Les deux hommes qui sont en train de la baiser ont baissé leurs pantalons pour l’occasion, mais tous les autres sont habillés.

Alice :

La femme que je trouve très belle, mais qui serait plus à sa place dans un salon de thé qu’ici, car elle a des airs aristocratiques, est blonde et ses cheveux longs sont comme les miens attachés en queue-de-cheval haute. Elle porte des bas et un porte-jarretelles bleu-pastel, qui vont très bien avec son teint de pêche, elle a au pied des escarpins jaune paille assortis à sa crinière, et autour du cou un collier semblable au mien, lui aussi en cuir et de la même couleur que ses chaussures.

Alice :

Elle est à quatre pattes sur un grand tabouret comme on en voit dans les cirques, et sur lesquels les dompteurs font grimper les fauves en faisant claquer leurs fouets. Ce piédestal d’un genre particulier n’est d’ailleurs pas le seul au bord de la piste de danse, puisqu’ils sont au nombre de quatre. Mais pour l’instant, les autres sont inoccupés, probablement pour que cette femelle bien dressée soit le centre de l’attention générale. Je ne doute pas un seul instant que mon tour va venir, et un autre frisson me parcourt en y pensant, tandis que mon con commence à mouiller d’excitation.

Alice :

Une fois que les deux types se sont vidés en elle en exprimant leur satisfaction, et qu’elle a poussé un gémissement jouissif, ils se retirent et ils se rajustent avant de retourner à leurs places, tandis que deux autres gaillards se sont levés pour venir les remplacer, et profiter de la même manière de la femme qui est restée sagement sans bouger.

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Alice continue son histoire, après une courte pause :

Moi j’ai été subjuguée par ce spectacle, par conséquent je t’ai suivi comme une somnambule jusqu’à notre table, et une fois assise, je recommence à regarder ce qui se passe sur le tabouret. C’est à peine si je remarque la jeune serveuse, qui vient s’inquiéter de savoir ce que nous voulons boire, et qui est habillée comme une pom-pom girl dans les films américains.

Alice :

Elle porte une jupe plissée courte au point que tout le monde peut se rendre compte qu’il n’y a rien dessous, et un haut moulant avec sur le devant un décolleté, qui est assez ouvert pour qu’on puisse voir et son nombril et ses tétons. Sa tenue est complétée par une paire de mules à talons aiguilles. Elle repart après que tu aies commandé une bouteille de champagne, et t’avoir fait un sourire qui me rendrait jalouse, si je ne savais pas déjà que tu baises d’autres femmes comme et quand tu en as envie.

Alice :

Au départ, j’ai eu un peu de mal à accepter la chose, puis je me suis faite à cette idée après que tu m’aies expliqué, que c’est dans la nature des hommes d’enfoncer leur queue dans tous les trous qui se présentent. Et qu’on ne voit qu’ils sont amoureux, que lorsqu’ils se choisissent une compagne parmi toutes les autres, dans le but de partager leurs nuits et porter leurs enfants. À présent que je suis enceinte, me voilà parfaitement rassurée, et je sais que tant que je ferai tout mon possible pour te contenter, je serai la seule à occuper une place dans ton cur et dans ton lit.

Alice :

Autour du tabouret, deux autres types sont venus remplacer ceux qui ont suivi les premiers, même si nous ne pouvons pas savoir s’il y en a eu avant, puisque l’exhibition était déjà commencée à notre arrivée. La femme quant à elle n’a pas bougé, enfin mise à part lorsqu’elle se fait baiser, et que sa lourde poitrine aux tétons percés qui est beaucoup plus belle que la mienne se balance au rythme de ses mouvements. Bien que les queues se succèdent pour entrer dans ses trous, elle n’a pas l’air malheureuse, et au contraire ivre de plaisir, mais également de fatigue.

Alice :

Tandis qu’elle commence une nouvelle danse avec de nouveaux partenaires, je me prends à l’envier, et c’est à ce moment-là qu’un homme en costume s’approche de notre table, et qu’il s’adresse directement à toi comme si j’étais un simple objet : « Salut Lolo. Ça fait une paye qu’on ne t’a pas vu, et tu es passé de l’autre côté de la barrière, puisque cette fois, tu es venu avec ton propre animal de compagnie ».

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Tandis que je l’écoute religieusement, de peur de couper le fil de sa narration, Alice poursuit :

Je n’ai pas besoin qu’on m’explique pour comprendre que l’animal en question c’est moi, cependant je n’éprouve aucune colère parce que j’accepte mon sort qui n’a rien de tragique, même si je rougis en m’entendant traiter de cette manière par un parfait inconnu. Par conséquent, je continue à regarder la blonde en train de se faire prendre, comme si ce type n’était pas là, et tout en vous entendant discuter.

Alice :

Tu commences par lui répondre : « Salut Francis. Elle s’appelle Dolly et elle est craintive, par conséquent, j’ai attendu qu’elle soit parfaitement conditionnée avant de l’amener ici » « Tu vas l’exhiber ce soir, alors que c’est la première fois qu’elle vient ? » « Je pense qu’elle en a envie et qu’elle est prête, mais il faudra pour ne pas l’effaroucher que son exhibition soit courte. Selon comment elle réagit, on verra pas la suite pour ce qui sera d’augmenter la durée » « Parfait, c’est toujours une bonne chose de renouveler le cheptel, parce que c’est bon pour le commerce ».

Alice :

Cet homme qui parle des femmes comme si elles étaient du bétail, et que j’observe du coin de l’il est très séduisant, car il émane de lui une impression de puissance, qui est confortée par son assurance. Bien que tu ne me l’aies pas expliqué, je devine que l’endroit dans lequel nous sommes lui appartient, car il se comporte comme s’il était le maître des lieux, ce qui m’est confirmé lorsqu’il te dit : « Tu as vu ma nouvelle en train de vider les couilles des clients ? Elle s’appelle Duchesse, et c’est la veuve de celui qui était le plus grand notaire de la ville. Je l’ai d’abord consolée de la perte de son mari, puis je lui ai appris les bonnes manières, et à présent elle est heureuse d’avoir enfin trouvé sa vraie place dans la vie ».

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Alice continue à me raconter son fantasme, qui est en même temps surprenant et très excitant :

Tu lui réponds : « Oui, elle est superbe. Et j’aimerais bien l’essayer, mais avant qu’elle ne commence un de ses shows » « Sacré Lolo, tu n’as pas changé et tu rechignes toujours à passer après les autres. Mais c’est la marque des seigneurs de toujours vouloir être servi le premier. Et si Duchesse te plaît, j’ai une surprise pour toi ». Il fait alors un signe en direction du bar, et une jeune femme s’approche de nous la tête baissée, en portant un plateau sur lequel sont posés une bouteille de champagne et trois verres. C’est la copie conforme de celle qui est en train de se faire prendre sur le tabouret, mais avec une bonne vingtaine d’années de moins puisqu’elle doit avoir l’âge de Léo et Léa.

Alice :

Sa tenue est identique à celle de son modèle, avec les mêmes sous-vêtements et les mêmes chaussures, sa silhouette est plus fine sans qu’elle soit maigre pour autant, et ses seins plus petits aux tétons eux aussi percés, semblent vouloir défier les lois de la pesanteur en pointant fièrement vers l’avant. Sa toison qui n’est pas très étendue, parce qu’elle est encore jeune et blonde, est légèrement plus foncée que sa chevelure. Sa vulve est lisse, et l’on voit son clitoris lui aussi percé, sortir de sa cachette tirée vers l’avant par son bijou intime. Tandis qu’elle se penche pour déposer son fardeau, et commencer à vous servir deux coupes de champagne, Francis annonce fièrement : « Elle c’est Belle, la petite de Duchesse. Au départ, elle a été un peu rétive, mais je n’ai eu aucun mal à la dresser, pour en faire une bonne petite femelle très obéissante ».

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L’histoire d’Alice se poursuit :

En entendant cela, la très jeune femme devient écarlate, mais rien dans son attitude ne montre la moindre envie de rébellion, et elle a même posé sagement ses mains dans son dos, sur ses reins, après avoir fini de remplir les deux verres. Ton ami te demande alors : « Dolly a le droit de se servir d’un verre pour boire, ou tu préfères que Belle aille lui chercher une écuelle ? ».

Alice :

Tu souris en me regardant alors que je rougis à mon tour, puis tu lui réponds : « Tu me connais Francis, je les aime obéissantes, mais l’humiliation ne fait pas partie de mes plaisirs. Surtout lorsqu’il s’agit de la mère de mon futur enfant » « C’est vrai que tu n’as pas perdu de temps, et vu que c’est la première que tu engrosses depuis Mathilde, c’est que tu dois tenir à elle » « Oui, nous avons fait un compromis. Pour elle, les joies de la maternité, et pour moi celles d’avoir une compagne très complaisante ».

Alice :

Puis tu ajoutes après avoir à nouveau souri : « Mais je vais te surprendre à mon tour. Bien qu’elle soit plus jeune que Duchesse, Dolly a déjà de filles bonnes à prendre. Deux jumelles qui ont à peu près le même âge que Belle » « Et elles sont aussi dociles que leur mère ? » « Pour l’instant, je n’en sais rien. Elles ne vont pas tarder à entrer à la fac, et nous venons tout juste de leur annoncer la vraie nature de leur maman. Cela ne les a heureusement pas choquées, et elles ont très bien accepté la situation ».

Alice :

Puis tu ajoutes tandis que ton ami t’écoute : « Mais pour ce qui est de savoir si elles auront envie de suivre le même chemin que Dolly, ce sera à elles de choisir. Car tu me connais, et je n’ai pas l’intention de les forcer en quoi que ce soit. Si cela devait arriver, la décision viendrait d’elles » « Je te trouve tout simplement royal, car alors que je suis obligé d’utiliser la manière forte pour arriver à mes fins, toi tu te sers de la persuasion et de la suggestion, et le résultat est le même ».

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Alice me raconte la suite :

D’un simple geste de la tête, Francis fait comprendre à Belle qu’elle doit remplir le troisième verre, qui dans le doute avait été prévu pour moi, et lorsqu’elle a terminé il lui dit : « Maintenant tu vas sucer mon invité, pour lui montrer comment tu as été bien dressée ». La jeune femme s’empourpre à nouveau, ce qui ne l’empêche pas d’obéir rapidement à son maître. Une fois qu’elle s’est mise accroupie entre tes jambes, et tandis que tu soulèves obligeamment les fesses pour lui faciliter la tâche, elle tire ton pantalon après l’avoir dégrafé, pour qu’il t’arrive à mi-cuisses.

Alice :

Moi je suis subjuguée par ce nouveau spectacle, car bien évidemment, Duchesse qui est en train de recevoir deux nouvelles queues en elle ne m’intéresse plus. Par conséquent, je regarde avec fascination la fille de cette dernière, commencer à te sucer d’une manière on ne peut plus experte, ce qui est étonnant pour une gamine de son âge. Ne voulant pas être en reste et sans doute par courtoisie, tu me dis alors que Belle qui a rapidement fait se dresser ton sexe avec sa langue, est en train de l’avaler en entier : « Suce notre hôte Dolly, pour le remercier de son hospitalité ».

Alice :

Bien évidemment, je m’exécute, avec le regret de ne pas pouvoir m’occuper moi-même de ta queue, mélangé à la satisfaction de te faire plaisir. Pour ce qui est de m’employer à faire jouir un homme uniquement avec ma bouche, je ne suis pas en reste, puisque si avant de te rencontrer, je manquais énormément de technique, pour corriger cette faiblesse, tu m’as envoyé chez ton amie Dorine, qui à l’aide d’un gode-ceinture a rapidement comblé mes lacunes. Par conséquent, tandis que Belle et moi nous vous faisons des fellations, qui n’ont rien à envier à celles que l’ont voit dans certains films pornos, vous recommencez à discuter le plus naturellement du monde.

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À ce moment-là, Alice interrompt sa narration pour pousser un gémissement orgasmique, ce qui ne me surprend pas vraiment étant donné que tandis que je me masturbais en l’écoutant, elle dut de son côté se caresser. J’en profite pour éjaculer presque avec soulagement dans un mouchoir en papier, tant je me retenais difficilement depuis déjà un bon moment, parce que j’étais très excité par son histoire.

Une fois qu’elle est revenue de ses émotions, mon petit bout de femme me demande :

Ça t’a plu, mon gros Nounours ?

Énormément, c’était très jouissif. Mais ce que j’aimerais savoir, c’est si ce que tu viens de me raconter entre dans les limites que tu t’es fixées, ou si cela restera à jamais dans le domaine de l’imaginaire ?

Je la connais assez pour savoir qu’elle est devenue écarlate en entendant ma question, ce qui ne l’empêche pas de me répondre avec franchise :

Si ce genre de situation venait à se produire, je pense que je ne le vivrais pas trop mal, mais sous certaines conditions.

Lesquelles ?

La première serait que j’en sois arrivée à ce stade d’évolution, car si tu me le demandes demain, je ne serai pas prête à sucer un homme que je connais à peine juste pour te faire plaisir. Et la seconde serait que l’intégrité physique et morale des personnes présentes soit préservée. Car forcer quelqu’un à faire des choses contre sa volonté en utilisant la contrainte ou la violence, comme c’est arrivé de manière sous-entendue à Duchesse et Belle, va à l’encontre de ma morale. Et même si cette dernière s’est considérablement élargie ces derniers temps, je ne pense pas que je pourrais en arriver à accepter ce genre de choses.

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Bien évidemment, je suis d’accord avec Alice, puisque selon moi, tout est possible en matière de sexe, à partir du moment où cela se passe entre adultes consentants. Cependant, si je suis capable de faire preuve de tolérance vis-à-vis des autres, il y a des choses que je ne mettrai jamais en pratique, tout simplement parce qu’elles ne correspondent pas à mes goûts ni à mes besoins.

Tandis que je réfléchis à ça, mon petit bout de femme qui se méprend sur mon silence me demande :

Je t’ai choqué, mon Amour ?

Absolument pas ma Chérie. Rien de ce que tu as pu dire ne m’a dérangé. Je me pose juste la question, de savoir où tout cela va nous mener.

Cette fois, je la sens sourire, et elle me répond :

Peu importe jusqu’où nous irons. L’important c’est que nous y allions ensemble, et en nous tenant par la main.

À suivre…

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