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le coach de l'équipe de natation – Chapitre 10




LES AVENTURES DE PATRICK

Les 2 dernières de l’équipe, Sabine et Martine acceptent le défi de Patrick, être sodomisées par son gros nud.

Résumé des épisodes précédents.

Patrick est entraineur dans son club, il s’occupe actuellement de deux équipes féminines de natation synchronisée. Les filles se sont liguées ensemble pour savoir si la légende qui court sur leur coach est vrai.

Martine et Sabine, jalouses de leurs copines ont persuadé Patrick et quelques jours plus tard elles connaissent elles aussi son extraordinaire pal.

Mais Patrick leur fait une proposition.

— C’était bien les filles, maintenant si vous êtes toujours d’accord je peux vous faire connaitre un plaisir que n’ont pas connu vos copines. Se faire sodomiser par mon engin. A vous de voir!

Après un moment de réflexion, elles acceptent sa proposition mais avec beaucoup d’appréhension ayant eu un avant-goût de ce qui les attend.

Sabine

Nous déjeunons pour reprendre des forces avant l’instant fatidique, seulement vêtus de nos sous-vêtements. Nous reprenons nos ébats deux heures plus tard après avoir bien récupéré.

Je crois que c’est par moi qu’il veut commencer.

Patrick s’approche de moi. Nous somment à poil en trente seconde, son formidable braquemart se balance devant ma figure, je le saisis à deux mains et le branle. En un rien de temps il retrouve sa raideur ferrugineuse et sa taille maximum, je le dirige vers ma bouche.

Son gland énorme m’emplit le palais, mes deux mains s’activent sur son formidable nud, impatiente de le sentir en moi.

— Prends-moi comme une bête ! Remplis mon cul de ta bite, je veux te sentir cracher bien au fond Aaaah ! J’ai tellement envie que tu m’encules avec ta grosse bite, putain, mais je ne sais pas si elle va rentrer, elle est énorme !

— Mets-toi en position, en levrette! Je vais te préparer! m’ordonne Patrick.

Il plaque sa bouche sur mon anneau et de la pointe de sa langue, titille le trou ridé. Je suis vierge par là n’ayant jamais acceptée d’être sodomisée par mon petit copain.

Je râle : huuuuum !!Que c’est bon !!!

Il pénètre l’anus, fouille longuement avec sa langue râpeuse, crache encore sur le trou convoité, enfonce deux doigts, les tournent à l’intérieur, il me ramone doucement.

Un troisième doigt rejoint les deux autres, il fait des rotations dans la gaine pour bien l’assouplir. C’est douloureux mais supportable. Il enduit copieusement de lubrifiant mon petit trou.

Sa bite est tendue au maximum, il la frotte plusieurs fois contre la rosace fermée puis maintien son gland congestionné contre l’anus avec sa main.

Martine se saisit du mandrin et l’enduit de crème, le tartine copieusement, en profite pour lui masser les gros sacs qui lui tiennent lieu de couilles.

La bite est superbe, longue, épaisse, bien cambrée, surmontée d’un gland large qui la coiffe comme un gros champignon.

Et je m’aperçois que mon désir vient autant de cette queue magnifique qui se prépare à un enculage magistral que du corps superbe de Martine

— Tiens ! La voilà ma bite petite salope. Je vais te défoncer, j’espère que tu ne vas regretter d’être venue !

Patrick me couche sur le ventre, ça y est je vais y passer. Effectivement il se positionne entre mes jambes et s’appuyant de ses bras le long de mon corps il s’approche de moi lentement.

Je suis prête, les fesses le plus haut possible, effrayée à l’idée de ce qui m’attend. Patrick dirige son énorme chibre vers mes fesses, je sens son gland sur ma peau. Dans ma tête je me dis que je vais l’aider sinon il va me faire trop mal, aussi je prends son membre d’une main pour contrôler l’intromission de mon cul, il est très patient.

Il présente son gland mafflu et pousse énergiquement pendant que Martine attrape les globes de mes fesses rebondies à pleine main pour les écarter au maximum. Lentement, la queue essaie de rentrer, la hampe plie sous l’effort, le gland arrive à peine à s’introduire, je hurle de douleur. Mon sphincter cède et lentement laisse pénétrer le gland énorme. Patrick commente pour Martine.

– Putain! Son anus est tellement serré que j’ai eu de la peine à rentrer la tête. J’ai l’impression que mon gland et ma hampe sont divisés en deux par un élastique trop petit, je sens le bout de ma bite regonfler à l’intérieur des intestins. Sabine. Je vais attendre un moment.

— Oh s’il te plait ……Non, je t’en prie ! J’ai mal ! J’ai trop mal ! S’il te plait nonnnnnnn…. Tu es beaucoup trop gros ! Oohhhhhh ! Oh, mon Dieu ! Ohhhhh ! Nonnnnnnn, ne bouges-plus !

— Vas-y ! L’encourage Martine. Mais doucement sinon tu vas la déchirer, je crains le pire pour son cul !

Il me prend par une hanche et pousse en force…

— Ooooooooouah ! Tu es trop gros, arrête !

Il pose sa deuxième main sur l’autre hanche et pousse encore plus fort.

— Aaaaaaaaaaaah ! Mon dieu que ça fait maaaaal ! Noooooon ! Tu me casses le cul avec ton bélier ! Arrête, j’ai trop mal !

Il donne un violent coup de reins. J’ouvre la bouche toute grande mais aucun son ne sort plus de ma gorge!

Martine

Le mandrin s’est enfoncé de quelques centimètres et commence un lent va et vient, sa bite ressort et se renfonce toujours un peu plus loin.

A chaque poussée il gagne deux à trois cm puis marque un temps de repos.

— Tu es hyper serrée, je vais te pilonner à mort, tu vas jouir comme une folle!

Lentement il lui ramone le cul dilaté par la queue gigantesque.

— Ça te plait?

La lente mais inexorable poussée continue. Il pousse toujours et bonne élève, Sabine s’est résignée et malgré la douleur, l’aide de toutes ses forces.

Le sexe monumental de Patrick est loin d’être totalement entrer dans son fondement. Il la poignarde de plus en plus profondément. La progression est continu, enfiché qu’il est dans son cul. Une question me vient soudainement : Comment le petit cul de Sabine va-t-il pouvoir absorber un tel morceau ? Et cela n’est pas fini, vu qu’il en reste un bon bout en dehors. Il s’enquière de sa condition :

— Ca va ?

— Non, oui ! J’ai salement dégusté au début, tu es tellement énorme que je me demande si je vais pouvoir tout avaler ce que tu me proposes. ¬Je souffre mais ça commence à devenir bon. Pendant un bon moment il pratique de la sorte, enfin ses couilles frappent les fesses de Sabine.

Il ressort complètement avant de se renfoncer pour aller un peu plus loin, ce qui me permet, au passage de voir l’anus qui reste complètement ouvert, comme dans un "O" de surprise et de déception Sabine commence à prendre un pied phénoménal.

Sabine.

D’un dernier coup de reins violent il s’enfonce et je sens le contact de ses couilles sur le bas de mes fesses.

Les derniers centimètres les plus épais ont été atroces. Cette fois, il est entré entièrement. Il reste quelques instants immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin.

Il est entré entièrement en moi ! Jamais je n’aurais cru que c’était physiologiquement possible.

Je me fais enculer par un homme au sexe démesuré. Je sens son énorme nud au plus profond de moi et j’y prends un certain plaisir la douleur s’atténuant.

Il est presque totalement ressorti et d’une longue poussée, il se renfonce jusqu’à la garde entre mes fesses, je pousse un hurlement de douleur mêlé de bonheur.

Je sens Patrick commencer à remuer entre mes fesses, s’enfonçant profondément dans mon cul.

La pénétration est à la fois douloureuse et jouissive. Ses coups sont de plus en plus forts, de plus en plus amples et de plus en plus rapides.

Il se déchaîne désormais dans mon cul.

Chaque poussée de sa queue dans mes reins me tord de douleur mais aussi de plaisir.

– J’ai même plus mal putain ça devient même très bon ! Vas-y encule-moi à mort ! Fais-moi jouir par le cul !!!

Encouragé par ces mots, Patrick accélère la cadence, le monstre de chair entre et ressort du cul à vive allure, le rythme et soutenu.

Longtemps il me pistonne et je jouis à répétition. Terrassée par un dernier orgasme, je m’écroule hors de service pour un bon moment.

Je reviens à moi quelques instants plus tard, toujours épinglée par la grosse teub de Patrick.

— Ça va mieux? Je ne te fais pas trop mal ?

Malgré la violence des assauts, j’en redemande :

— Achève-moi, je suis ta cochonne…mmmmfff, ouii ! BAISE MOI ! OUIII !

— T’en veux encore ma cochonne ?

— OUIIIII ! Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Il sort la queue de mon cul, et vient plonger dans ma chatte pour se lubrifier correctement le chibre.

Le contraste est saisissant, autant la progression dans mon cul était lente, autant sa queue s’est enfilée jusqu’à la garde dans ma chatte sans résistance.

Martine est venue se mettre devant moi et tend son ventre vers moi. Je mets ma main sur sa chatte pour la doigter.

Je commence par un puis deux doigts. Je les fais aller et venir dans un vagin très humide. Je comprends que les hommes aiment nous baiser, c’est délicat.

Je veux maintenant la faire jouir. Je pose deux doigts sur son bouton. Elle gémit sans arrêt jusqu’au moment où elle pousse un léger cri.

Je la lèche à nouveau. Je ne peux retenir un bel orgasme. J’entre un doigt de mon autre main dans son cul qui se détend et fais aller et venir mon doigt. Je la sens se crisper en cadence au début puis irrégulièrement pendant qu’elle jouit. Je bois à la source sa cyprine.

Martine.

Elle me met une main dans la chatte tandis que l’autre s’occupe de mon petit trou, je sens immédiatement un doigt dans mon cul et un autre dans le vagin.

Elle me branle les deux trous à la fois. Pour moi, c’est une première qui me fait jouir bien trop vite. Enfin elle pose sa bouche à hauteur de ma chatte.

La fête commence pour moi. Je sens sa langue partout à la fois, elle lèche toute ma fente de bas en haut pour ne s’arrêter qu’aux endroits qu’elle choisit, mon cul, le vagin et enfin le clitoris.

Pour une première fois, elle se débrouille plutôt bien, c’est divin. Une vague de chaleur envahit tout mon bas ventre. D’abord du bout de la langue, elle titille mon petit haricot. Puis elle l’embrasse, je sens sa bouche qui le recouvre totalement.

Son majeur s’enfonçant dans mon anus puis en ressortant totalement, je monte vers le septième ciel. Elle sourit, ivre de bonheur de pouvoir m’apporter le plaisir avec ce gros gode vivant entre ses fesses qui la ramone.

(A suivre)

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