Ma soeur me fascine et ce depuis des années. Il faut dire que ça n’est pas difficile. Christine a vingt-cinq ans, soit deux de moins que moi, elle est superbe, brune, longs cheveux bouclés, un visage angélique au-dessus d’un corps de déesse. Et un sourire radieux, communiquant le bonheur. En plus, loin d’être stupide. Elle est responsable du service juridique dans une entreprise multinationale en pleine expansion, ce qui lui donne les moyens d’une vie facile. Elle sait d’ailleurs l’attrait qu’elle exerce sur son grand frère, comme sur la plupart des mecs qui la croisent.
Nos parents, installés pour leur retraite dans le sud du pays, nous ont laissé le vaste et confortable appartement dans lequel nous cohabitons, Christine étant sensée ’être surveillée’ par moi, bien qu’elle prépare un doctorat en Droit International. Depuis environ six mois, nos relations sont devenues un peu ambiguës… Difficile à décrire… Cela débuta par un petit incident qui, pendant quelques secondes, fut un peu limite…
Elle était dans sa chambre, se préparant pour se rendre à une soirée chez des copains. Elle portait une de ses mini jupes favorites, s’était maquillée un peu outrageusement et, le T-shirt soulevé, elle examinait dans la glace ses seins de profile, afin de vérifier que, sans soutien-gorge, ils conservaient leur aplomb … Comme d’habitude, je suis entré sans frapper, et j’ai tout de suite compris le but de son auto-inspection.
Mi-troublé, mi-rigolard, je me suis approché d’elle :
— Ouah, la nana ! Tu vas mettre le feu dans les slips, ce soir…mmm les jolis nénés’ dis-je en les pinçant. Elle baissa brutalement son T-shirt, repoussa mes mains et me frappa au visage… je me mis en colère, saisis ses mains et la fit tomber sur le lit, m’écroulant sur elle. Sa jupe s’était relevée, dévoilant son string en dentelle blanche.
Il se fit un silence trouble… Moi fixant le renflement de son pubis. Ma main remonta lentement le long de ses cuisses pour s’arrêter à l’aine, au bord du tissu.
— Ouf, ma puce, tu as grandi vite…
Penché au-dessus d’elle, ma bouche effleura son rouge-à-lèvres à la framboise ’spécial séduction’…
Quand, plusieurs mois plus tard, je repense à cet instant, je suis à peu près sûr qu’elle avait très envie que je glisse mes doigts sous son string, je suis en tout cas certain qu’elle en mourrait d’envie, et suis persuadé qu’elle sait que j’avais envie de le faire… Mais les tabous ont la vie dure. Après cette scène émouvante, il n’y eut plus de geste déplacé, mais une succession d’indices qui me donnent à penser que Christine avait bien envie de me faire des câlins… et qui me mettaient dans un état de mâle en chasse. Dès que je m’asseyais, comme je porte presque toujours des trainings, elle matait entre mes jambes pour tenter d’apercevoir une bosse prononcée. Bien sûr, je m’arrangeais pour qu’elle y parvienne, bandant rien qu’à la voir…
Déjà peu pudique avant ça, j’ai commencé de plus en plus souvent à me balader dans l’appartement en short, mettant en valeur plus qu’il ne cache le contenu… En réponse, elle se promenait dans le salon en petite culotte et T-shirt, son petit cul cambré à mort.
Très vite, j’ai senti qu’elle me lorgnait à travers le trou de la serrure de la salle de bains. Quand je la savais là, je faisais bien sûr tout pour l’exciter, mais sans jamais dévoiler ma nudité ; assis au bord de la baignoire, face à la porte fermée, j’entretenais les ongles de mes pieds, la jambe levée très haut faisant bailler mon short. Je me masturbais dans la baignoire ; je savais que, sans voir mes mains ni mon intimité, elle pouvait guetter sur mon visage la matée du plaisir et y lire l’explosion de l’orgasme. Je bavais de la savoir aux aguets.
Un jour, je quittai la maison en disant :
— j’ai laissé l’ordinateur allumé sur un site sympa… Tu verras.
Elle y courut aussitôt : c’était ’X-Story’, ouvert sur une histoire torride et très explicite de sexe entre un frère et sa soeur. Pour l’occasion, le bébé se mit à rêver ; elle caressait son bouton brûlant jusqu’à ce que son ventre coule et chavire.
Puis elle se mit à draguer systématiquement tous les copains que j’amenais à la maison. La plupart, bien sûr craquèrent sans trop de résistance. Elle se débrouillait systématiquement pour les embrasser et se faire peloter en ma présence, n’hésitant pas à farfouiller sous leur pull ou entre leurs jambes, sans cesser de me regarder… Elle s’arrangea même une fois pour laisser la porte de sa chambre ouverte et faire en sorte que la petite salope du jour le prenne dans sa bouche au moment où je passais devant sa chambre, ce qui nécessitait un minutage précis de metteur en scène. A genou, bien campée sur ses superbes jambes écartées, la main du mec sur sa tête pour régler le va-et-vient, elle me fit un sourire, bouche pleine, et un clin d’oeil grivois lorsque j’entrevis la scène.
Je rêvais souvent d’elle, et me masturbais en pensant à elle. Mais curieusement, jamais dans mes fantasmes nous ne faisions l’amour ensemble. Je la voyais toujours faisant mille turpitudes délicieuses dans les positions les plus osées avec d’autres gars, mais en ma présence. Et toujours, pendant ses prouesses, elle ne cessait de me fixer droit dans les yeux. En bref, cette salope ne cessait pas de me faire bander…
Maintenant, c’est plus sérieux. Nathalie est arrivée. Somptueuse, deux ans de plus que Christine. Styliste, mannequin et acheteuse pour une marque de fringues haut de gamme. Un mètre quatre-vingt, brune pulpeuse, une bouche qui donne envie de tout, des seins petits mais très hauts et manifestement très durs et des jambes immenses de coureuse de fond. Toujours sapée provoc-chicos. Je l’ai dégotée en prospectant pour mon boulot un créateur de mode. Nous semblons être tombés accro l’un de l’autre. Je l’amène partout, en particulier chez nous, et passe mon temps à essayer de lui faire plaisir, de toutes les façons possibles…
Comme avec mes précédentes conquêtes, je me gène guère pour l’embrasser et la caresser devant Christine, mais de façon moins ostentatoire. En particulier, elle ne me regarde plus avec connivence pendant mes étreintes.
Par contre, trois évidences me sont très vite apparues concernant Nathalie : elle est très branchée sexe, elle aime se marrer et elle aime aussi les filles. Maintenant que ma soeur est un peu calmée, ma copine se déchaîne. Elle se balade dans l’appartement dans des tenues appelant le viol, avec une panoplie impressionnante de mini-jupes et micro-shorts, T-shirts échancrés, strings et autres bodies. Par contre, elle paraît assez économe en soutiens-gorges…
Elle poursuit, à l’évidence, des projets la concernant. Dès que je suis absent, elle multiplie les provocations, entrant dans sa chambre ou la salle de bains sans s’annoncer (elle a dû lui expliquer le coup), se change devant elle, sollicite son avis pour le choix de son string… Elle est tellement superbe que Christine a très envie de se laisser aller aux amours lesbiennes. Sentant sa faiblesse, mais voyant qu’elle hésite, elle se fait plus directe : elle la frôle en chantonnant, la zyeute sous les jupes sans vergogne, effleure sa joue, lui caresse les fesses
— t’as un joli petit cul, tu sais ?
Et surtout, surtout, dès qu’elles sont seules, elle ne parle que de cul.
— Ton frère, hier soir, je te dis pas …
Et elle lui raconte le cunnilingus que je lui ai offert…
— Vingt minutes, tu te rends compte ! Je ne sais pas comment il fait… J’ai failli tomber dans les pommes quand il m’a planté ses doigts dans l’anus au moment de l’orgasme… et puis après, je te raconte pas… Et vient le détail de la levrette et l’apothéose de la sodomie qu’elle développe en mini-jupe, la jambe par-dessus l’accoudoir du canapé, le bout de ses doigts s’attardant parfois sur le renflement de son string … Christine, lesbienne pucelle, transpire… Le désir qui, tel un écureuil, lui grignote le bas-ventre, la culotte toute mouillée, elle a une envie dingue de plonger sa tête entre ses cuisses.
Aujourd’hui c’est samedi. Je suis parti faire un golf avec mes copains. Nathalie et Christine traînent dans la cuisine, autour d’un petit déjeuner, oisives et embrumées des restes de sommeil. Doux moment… Elle est en culotte et en chemise coton avec les boutons du haut ouverts. Nathalie, égale à elle même, a enfilé une de mes chemise, qu’elle a attaché au niveau des pans pour voiler vaguement son buisson pubien… elle est comme toujours superbe, auréolée de beauté nonchalante.
Nous en sommes aux recettes cullino-masturbatoires féminines
— Moi, mon truc préféré, c’est la courgette. Mais attention ! Elle doit être organique ! Pas de pesticide, dangereux ! Tu la plonge dans l’eau bouillante deux minutes, pas plus !
— Il faut l’éplucher avant ?
— Mais non, nunuche !… penche toi un peu plus, je ne vois pas la pointe de tes seins… juste deux minutes. Egoutter, attendre qu’elle soit tiède. Le résultat est saisissant : elle est désinfectée, tu obtiens ce savant compromis entre la fermeté et la souplesse parfaites, et la température idéale. Tu n’as plus qu’à te faire plaisir. Pour ma part, je le fais soit devant ton frère… Il adore ! Tu verrais son état!… Soit devant la glace quand je suis seule… Si tu veux, un jour, je te montrerai, j’aimerais bien, tu sais….
Paupières lourdes, regard caressant…
— Oh, attends, je vais te montrer ce que ton frère m’a offert !
Elle part en courant dans la chambre, les pans de la chemise dévoilant ses fermes, rondes et adorables fesses. Elle revient en brandissant un superbe gode en acier brillant, poli et étincelant comme une arme…
— Pas mal, hein ?
— Ca doit être froid, non ?
— Une minute sous le robinet d’eau chaude, c’est d’une douceur à hurler ! Je te le prêterai, si tu es sage…Bon, ça m’excite!… Viens au salon, on va se détendre…
Christine prend au passage sur une table basse une revue de mode. Elle en reçoit par dizaines.
Bien sûr, le hasard faisant bien les choses, c’est un magazine spécial sous-vêtements féminins.
— Viens sur mes genoux, lui dit-elle, un peu allumée…
Elle défait le noeud de la chemise qui la gène, pour s’asseoir. Trouble…. Mais Christine ne résiste pas. Envie… La chaleur de ses cuisses se communique à ses fesses ; et elle sent, là où sa peau est la plus sensible, le chatouillement de ses poils… Sa raison s’égare, son coeur s’accélère. Elle respire son odeur, mélange animal de corps à peine éveillé, de restes de parfums, de literie froissée… La pointe de ses seins apparaît lorsqu’elle bouge dans l’échancrure de la chemise. Doux moment, image façon David Hamilton…
Elle appuie sa tête sur son épaule, et regarde les photos de mode qu’elle feuillette.
Elle commente, langoureuse
— mmm… Pas mal ça, mais ça fait un peu pute, non ?
Effectivement, la nana en sous-vêtements noirs de quelques grammes et cuissardes rouge vif n’a rien d’une carmélite …
— ah ça, bien ! J’adore le look de cette fille ! Regarde ce ventre… Il était temps que l’ère du string commence ! On voit presque le début de sa fente…mmm ce cul ! …
— et toi, qu’est-ce que tu portes aujourd’hui ? Et sans gêne, elle soulève mon T-shirt pour mater ma culotte… Ca c’est drôle, ton frère m’a acheté la même culotte, il y a deux jours, c’est curieux tu ne trouves pas ? Christine reste prudemment muette mais songeuse.
— j’ai le sentiment que ça fait longtemps qu’il a envie de me sauter…
— il ne t’a pas baisée, au moins ?
— tu es folle ? J’ai l’impression que tu es un peu excitée, non ?
— c’n’est pas impossible. C’est ce bouquin, et ton frère qui est parti ce matin sans… me dire bonjour. Cela dit, je reste persuadée qu’il a envie de toi…’
Elle pose la revue, lui entoure les épaules de son bras, la regarde dans les yeux…
— il faut dire, putain, que tu es belle… Et elle colle sa bouche sur ses lèvres, glissant sa langue entre elles… Christine un réflexe de recul…
— pardon, mais ça fait des semaines que j’en rêve, lui dit-elle dans un souffle.
Placée comme elle est au dessus d’elle, elle prend l’avantage.
— je me demandais quand tu te déciderais.
Prenant son menton dans sa main, elle lui plaque un baiser fougueux de cinéma, sa langue partant s’enrouler autour de la sienne… Elle halète, glisse sa main sous le T-shirt, frôle les tétons affolés qui se mettent au garde à vous comme deux micro-bites autonomes vivant leur nouvelle vie…
Elle écarte sa chemise qui n’offre guère de résistance et prend ses seins dans ses mains, doux, tièdes, durs, vivants. Christine pince les mamelons sans cesser de gober sa bouche et de sucer sa langue. Nathalie reprend vite le dessus, expérience oblige…
Elle caresse lentement ses jambes, à ma manière … Remonte en effleurant, faisant saillir une chair de poule de désir…lui glisse dans un souffle rauque l’injonction, qu’elle attendait, d’écarter les cuisses… et arrête la progression du bout des ses doigts, sur l’aine, au bord de l’élastique… Trouble majeur.
Christine s’ouvre un peu plus, marquant sa totale acceptation de tout ce qui pourrait arriver, et sa soumission sans réserve.
C’est alors l’envolée… au lieu de glisser sous l’élastique comme ma soeur s’y attendait, avec une virtuosité de pianiste, elle la caresse à travers sa culotte, prenant son sexe en coquille, faisant pression sur l’entrejambes, effleurant son bouton, soulignant lentement son sillon, jusqu’à le mettre en évidence à travers le tissu mouillé… Revenant sur le clitoris pour le flatter par des grattements accélérés…Christine reste pantelante de désir, ouvre ses cuisses, offre ses seins, trempée d’envie. C’est alors, seulement, qu’elle glisse enfin ses doigts par l’échancrure de sa culotte et plonge dans sa féminité, viole de ses doigts le plus profond de son intimité, ressort pour pincer de deux doigts ce bouton qui l’empêche si souvent de dormir, pour aussitôt le câliner d’un effleurement…
Christine n’est plus rien, a envie de n’être plus rien, de s’offrir… Elle le lui dit :
— j’ai envie d’être salope…
— tu es une salope… depuis longtemps, mais tu ne le savais pas…
— je veux être ta salope !
— tu l’es déjà, regardes-toi ! Ouvres- toi encore !
Ma soeur obéit, ouvrant ses cuisses… Nathalie s’agenouille devant le canapé, écarte l’entrejambe de sa culotte et colle sa bouche sur sa bouche d’en bas !
Sa tête dodeline de droite à gauche…
— je vais exploser, devenir folle… jamais je n’ai ressenti ça ! Nathalie, arrête, je vais tomber dans les pommes…’
Christine prend son visage a deux mains, colle sa bouche à la sienne, goutte entre ses lèvres la saveur de ses humeurs, glisse sa main sous son ventre, jusqu’à sa touffe…
— mmm… ma première chatte.
Elle ferme les yeux, et comme un livre, comme pour elle, elle entrouvre son coquillage. Elle glisse l’index dedans…. ?a coule, c’est brûlant, ça vit, ça palpite d’amour…
— je suis lesbienne, je me régale…
Le regard voilé, elle sort de sous les coussins le cadeau de ma soeur avait caché discrètement… préméditation ! Elle l’engloutit dans sa bouche, sans cesser de la fixer, sans doute pour le réchauffer. Elle coule…
Bruit de clef, agression sonore…
— y a quelqu’un ?
J’arrive, sans frapper, comme d’habitude …! Le mâle, et son concert de bruits… Il ne me manque que le cheval et les éperons… Elles ont à peine le temps de se rasseoir avant que je n’entre au salon, mais la nature de leur activité est mise en évidence par leur tenue et la rougeur de leurs visages échevelés. Christine regarde d’instinct mon pantalon pour voir la bosse grandissante …
— eh bien, les femelles… on se fait des gros câlins ? Le chat n’est pas là, les chattes s’amusent entre elles. Je n’ai rien contre, vous savez, au contraire…
— arrête tes plaisanteries lourdingues et assieds-toi, me dit Nathalie.
Je m’installe à côté d’elle, et aussitôt l’embrasse sensuellement…
— je ne t’ai pas dit bonjour, ce matin.
Je me fais tout petit, de l’autre côté, sans perdre une miette de ce qui se dit et se fait. Nathalie se tourne vers Christine sans cesser de répondre à ses baisers, et pose sa main sur la bosse de mon jogging, qui commence plus qu’à grossir… Elle me caresse a travers le tissu, puis baisse le pantalon. J’exhibe une somptueuse érection très visible sous le lycra blanc. Très chatte, Nathalie penche sa tête et Christine a le temps d’apercevoir du coin des yeux un magnifique éclair de chair avant que Nathalie ne l’engloutisse dans sa bouche. C’est la première fois qu’elle entrevoit mon sexe et je suis tout troublé.
Nathalie lui tourne le dos pour mieux me sucer, lui dévoilant ses fesses nues. Sa main glisse entre ses cuisses, et cherche son sexe. Nathalie lève haut sa jambe et pose son pied sur le canapé pour lui faciliter le passage, et elle retrouve avec bonheur sa fente inondée. Elle la viole de deux doigts, entrant lentement au fond d’elle. A cause de ses cheveux longs, je ne vois pas le travail en profondeur que Nathalie opère sur ma queue bandée à mort, mais on peut en lire les effets sur mon visage …
Elle arrête d’ailleurs son va-et-vient avant l’irrémédiable, et je lui demande de se retourner vers moi…
— occupe-toi de ma soeur, je m’occupe de toi…
Docile, elle s’allonge de dos sur moi. Elle ouvre la chemise de Christine et, de la langue et des lèvres, s’attaque à ses tétons qu’elle fait bander à nouveau. Soumise et consentante, Christine ne peut s’empêcher de gémir et de se cambrer pour s’offrir d’avantage. La main de Nathalie glisse entre ses cuisses ouvertes, s’attaque à son sexe, pour ensuite écarter celui-ci et caresser son bouton, sa bouche collée à la mienne. Je suis leurs ébats avec attention. Elles ne peuvent apercevoir mon sexe, mais en imaginent la raideur.
Elle s’agenouille derrière Christine, qui aussitôt cambre ses superbes fesses, et je vois ses boucles brunes disparaître derrière la croupe de son amie.
Elle ne doit pas être inactive, car celle-ci interrompt ses baisers, et se met en apnée, les yeux révulsés. J’en profite pour envoyer ma main entre ses cuisses dans l’objectif de caresser son bouton-à-bonheur, mais ma main rencontre la bouche de ma soeur… Je me replie sur la pointe dardée de ses seins, que je martyrise un peu.
Je vois Nathalie se relever et se mettre à genoux derrière ma soeur.
Le visage de celle-ci, tout près du mien a un nouveau spasme de béatitude. Nathalie vient d’entrer en elle, avec trois doigts. Elle souffle, et me suce la langue.
Sa main continue à caresser son sexe. Soudain, Christine sent un objet dur et froid chercher à entrer en elle….
Nathalie, les yeux plantés dans les siens lui souffle
— j’ai trop envie de te baiser.
Brutalement, elle plonge l’olisbos dans son ventre et lui arrache un cri, puis la poignarde avec l’engin d’acier. Christine feule comme une chatte en folie.
Sa tête ballote, elle enserre de ses bras la tête de son amante, et soudain, je sens les mains de ma soeur qui étreignent les miennes.
Par-dessus la tête de Christine, le regard de Nathalie croise le mien et elle murmure :
— je la baise…
— oui, ouiiiii ! lui répond Christine, oui baise-moi !
Elle crie.
— je vais te défoncer ! lui dit Nathalie.
Nathalie ressort l’engin tâché de cyprine, relève ma soeur qui peut à peine se tenir debout, la retourne et la pousse vers moi, si bien que Christine doit plier ses jambes et venir s’assoir sur moi. Dans un même mouvement, d’un geste prompt, Nathalie a pris mon dard en main et le guide vers le minou ouvert de Christine qui vient s’empaler sur moi. Nous sommes un peu surpris mais l’envie qui nous démangeait depuis des semaines prend le dessus. Je me mets à prendre une cadence de bon baiseur et tringle ma soeur, entrant et sortant mon mât de Cocagne de sa chatte trempée, expulsant son jus odorant qui me coule sur les couilles martyrisées par la main de Nathalie. Celle-ci s’est agenouillée devant nous et, d’une langue râpeuse, caresse le clito décalotté de Christine. Sa main encore libre tient le gode qui s’enfonce en elle à un rythme effréné.
Enfin, nous jouissons ensemble tous les trois, dans un alto de cris jouissifs.
Depuis ce jour, ma soeur et moi baisons régulièrement ensemble, à deux ou à trois.
Christine, Nathalie, je vous aime !
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