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Police xstory (3) – Catfight club (2ème partie) – Chapitre 1




Le lieutenant Ludovic Savignac observait à distance la sortie du Catfight club, où sa collègue Charlotte venait de gagner brillamment son premier combat. Tout était maintenant désert, et bientôt, il la vit sortir, et se diriger vers un Range Rover noir, devant lequel Boris L’attendait.

Boris était le propriétaire de ce club de sport, et sans doute le redoutable chef d’un gang criminel. Charlotte Lacourt était donc en train de réussir sa première mission d’infiltration, mais les choses allaient beaucoup trop vite, et Ludo s’inquiétait pour sa nouvelle et jolie collègue.

Malgré l’heure tardive, il savait qu’il ne pourrait pas trouver le sommeil, et il repassa dans les locaux de la Brigade de Répression de la Criminalité Sexuelle. Il voulait revérifier que toutes les précautions possibles avaient été prises, pour éviter que Charlotte ne soit démasquée, ce qui aurait sans doute signé son arrêt de mort.

Il alluma son ordinateur, et contrôla une nouvelle fois qu’un faux dossier avait été créé dans les fichiers de la police, au nom de Charlotte Langlet. Exit Marie-Charlotte du Plessis-Lacourt, plus simplement Charlotte Lacourt pour ses collègues. La nouvelle identité qui avait été inventée pour elle s’accompagnait d’un casier judiciaire et d’une fiche de renseignements. Elle était sensée avoir été arrêtée pour de menus délits, et surtout d’avoir été la maîtresse d’un dangereux gangster, abattu quelques mois avant. Ce dernier ayant toujours travaillé en solitaire, il n’y avait quasiment aucune possibilité de recoupement, même pour un gang qui aurait une taupe dans les services de la police.

Pour les besoins de cette dangereuse mission d’infiltration, un petit studio avait été loué au nom de Charlotte Langlet, dans un immeuble et un quartier de la grande banlieue, pour que son standing soit en rapport avec les moyens financiers d’une jeune femme seule, aux revenus modestes.

Lorsqu’elle était partie le soir pour le Catfight club, Il avait vérifié aussi qu’elle n’avait rien sur elle qui puisse la trahir. Sa seule pièce d’identité était un passeport au nom de Charlotte Langlet, elle n’avait bien sur pas sa carte de police ni d’arme, et son téléphone avait été remplacé par un modèle de base, dans lequel aucun de ses contacts professionnels n’était enregistré.

Mais Ludo n’arrivait pas à se rassurer totalement. Tout pouvait toujours arriver, et il se demanda s’il ne commençait pas à éprouver pour sa belle coéquipière autre chose qu’une amitié professionnelle, ou que le désir sexuel qu’elle suscitait naturellement

Pour renforcer son inquiétude, il réussit à identifier Boris. Boris Sokalev était effectivement un oligarque russe doublé d’un dangereux criminel, que toutes les polices européennes désespéraient de coincer. Il semblait être dans plusieurs affaires financièrement juteuses, et chercher à se faire une place dans l’industrie du sexe.

Pendant ce temps, Charlotte roulait dans le Range Rover vers la propriété de Boris. Ce dernier passa plusieurs coups de téléphone, dont elle ne put comprendre la teneur car il parlait en russe. Elle était incapable de reconnaître l’itinéraire suivi par la voiture, mais le trajet lui parut long.

Lorsque le véhicule arriva enfin devant le haut mur d’enceinte d’une vaste propriété, le portail s’ouvrit automatiquement. Un garde armé fit un signe de reconnaissance aux occupants de la Range, qui roula sur une large allée gravillonnée, jusqu’au perron d’une imposante villa.

Boris descendit de la voiture, ouvrit la portière pour que Charlotte descende, et il la guida vers la porte d’entrée, puis jusque dans un salon décoré avec goût. Une femme, jeune, très belle, les attendait, malgré l’heure tardive.

— Charlotte, je te présente Lena, mon épouse. Lena, voici Charlotte, dont je t’ai parlé tout à l’heure au téléphone.

Sans cérémonie, Lena prit Charlotte par les poignets, et l’embrassa sur la joue. Elle était assez grande, fine, avec des yeux d’un bleu très pâle, des cheveux châtain clair éclaircis par des mèches blondes, une peau mate et bronzée. Elle portait une tunique en voile, légèrement transparent, qui laissait entrevoir une poitrine ronde et ferme aux petites aréoles sombres, et une jupe longue en tissu soyeux, ouverte sur le côté jusqu’à la hanche. Son maquillage, discret, mettait en valeur son regard et une bouche pulpeuse.

Boris invita Charlotte à s’asseoir dans un canapé profond, et lui proposa du champagne. Elle accepta. Il appela une employée de maison, Karine, d’une voix forte, et une très jeune fille entra, intimidée (Charlotte apprit plus tard qu’elle avait à peine 19 ans). Elle était blonde, de type slave, de petite taille, toute menue. Elle portait une minijupe noire, qui cachait tout juste l’essentiel, et un chemisier blanc noué sous sa poitrine. Lorsque celui-ci s’entrebâillait, on apercevait ses petits seins en pommes, qui se passaient très bien de soutien-gorge.

Sur un ton cassant, Boris lui ordonna d’apporter une bouteille de Dom Pérignon et trois flûtes. Karine revint, la minute suivante, portant un plateau d’une main mal assurée, et disparut de nouveau, sitôt la bouteille et les flûtes disposées sur la table basse en bois précieux. Boris commença à exposer à Charlotte ce qu’il avait dans la tête, à son sujet.

— Je suis venu te voir combattre ce soir au Catfight club, car Bob, mon manager, et Natacha m’avaient dit du bien de toi, après t’avoir rencontré la première fois. J’ai admiré la manière dont tu as vaincu Samantha, qui est pourtant la plus redoutable de nos lutteuses. Tu as vraiment la rage de t’imposer, et j’aime ça.

— Merci, répondit modestement Charlotte.

— J’ai quelque chose à te proposer, reprit Boris. J’organise des soirées très spéciales, au Catfight club, ou ailleurs, fréquentées par la haute société: hommes et femmes, personnalités de la politique, des affaires, du show biz. Il y a souvent des thèmes, qui sont le prétexte d’une ambiance érotique. Et pour ça, j’ai besoin de jeunes femmes mais aussi de jeunes hommes qui acceptent de payer de leur personne, pour satisfaire nos invités. Nous avons des volontaires, mais il faut les coacher, et les pousser parfois à dépasser certains scrupules.

— Et quel serait mon rôle? Interrogea Charlotte qui commençait à s’en faire une idée.

— Eh bien, poursuivit Boris, je te verrais très bien dans ce rôle de coach des jeunes femmes que nous recrutons. Je ne pense pas me tromper en affirmant que tu es bi, que tu aimes le sexe, et que tu en as une longue pratique. Tu as du caractère, et c’est ce dont tu auras besoin, car tu seras souvent dans un rapport domination / soumission. J’ajoute que tu seras très, très bien payée, si je suis satisfait de tes services. Qu’en dis-tu?

— C’est tentant. J’ai le temps de réfléchir?

— Pas vraiment, j’aime traiter les affaires rapidement. Je te propose de faire un test, pour que tu nous démontres tes aptitudes pour ce job.

— Quant aurait lieu ce test?

— Tout de suite. Karine, que tu as vu nous apporter le champagne, fait partie de ces dernières recrues, trop timorées, et que tu devras former. Je te demande de la convaincre de se mettre nue, et de faire l’amour en public.

Charlotte était prise de court, mais refuser aurait signifié l’échec de son opération d’infiltration. Elle accepta, et Boris appela la jeune fille, qui entra dans le salon, toujours aussi timide.

— Karine, lui dit Charlotte sur un ton sec, je veux que vous nous ameniez une autre bouteille de champagne.

Karine regarda Boris, l’air interrogateur, et celui-ci lui confirma qu’elle devait obéir aux ordres de Charlotte, qui ajouta:

— Lorsque vous aurez débouché la bouteille, vous enlèverez vos vêtements pour nous servir. Lena et moi, nous désirons vous voir nue.

Cette fois, Karine devint écarlate, mais n’osa pas protester. Elle fut un peu plus longue à revenir que lors de son premier service, et Charlotte imaginait facilement ce qu’elle ressentait. Enfin, elle entra dans le salon, d’un pas lent, tenant la bouteille de champagne d’une main tremblante, et la déboucha.

— Eh bien, Karine, insista sèchement Charlotte, vous vous rappelez de mes ordres?

— Karine, Charlotte prend en main votre formation, lui précisa Boris. Vous devez exécuter ce qu’elle vous demande, TOUT ce qu’elle vous demande.

Lentement, la jolie blonde se redressa, recula de deux pas, et dénoua très lentement les pans de son chemisier. Ses seins étaient encore plus beaux que ce que Charlotte avait cru voir. Elle fit un geste pour les cacher, mais un regard noir de sa "coach" suffit pour qu’elle se ravise. Ses mains redescendirent sur sa jupe, qu’elle dégrafa, et laissa glisser sur ses hanches. En string, elle enjamba le vêtement tombé sur l’épais tapis. Ses fesses, rondes et cambrées, étaient aussi superbes que ses seins.

Trois paires d’yeux étaient rivées sur Karine, qui marqua un temps d’hésitation. Mais Charlotte remarqua que les seins de la jeune fille gonflaient, et que leurs pointes se dressaient. Prenait-elle goût à la soumission? En tout cas, Charlotte, elle, sentait naître en elle une certaine excitation.

— Alors?!!, dit seulement Charlotte, et Karine baissa l’élastique de son string, qui alla rejoindre ses autres vêtements sur le tapis. Elle était nue, découvrant sa chatte à peine voilée par un léger duvet blond, taillé en ticket de métro, debout sur des escarpins à talons aiguilles.

Subjuguée, la jeune fille commença à remplir de champagne les trois flûtes, veillant à contrôler la mousse et à ne rien renverser, par crainte de punitions. Charlotte caressait ses fesses pendant ce temps, et elle fit courir son doigt dans le sillon séparant les deux globes, effleurant son petit trou. Côté face, Lena posa sa main sur sa petite toison, avant de la glisser entre ses cuisses, et de s’insinuer entre ses grandes lèvres.

— Reste à côté de nous, ordonna Charlotte à Karine, quand celle-ci eut fini de servir le champagne.

Tout en continuant de caresser Karine, Charlotte et Lena devisaient avec Boris, sur un ton détaché. Passionnée d’art, la policière dissertait sur le tableau d’un grand peintre contemporain, accroché au mur du salon. Pour Karine, la situation était surréaliste et humiliante, surtout lorsqu Charlotte passa, à son tour, une main entre ses cuisses.

— Mais tu mouilles!, et comme elle ne disait rien, Charlotte ajouta: oui, tu mouilles. Ça te plaît d’être à poil devant tout le monde et de te faire toucher Dis-le tout haut que tu aimes ça!

— Oui madame, j’aime ça, murmura Karine, d’une voix étouffée.

— Tu ne vas pas en profiter toute seule, je suis sure que ta maîtresse a envie que tu t’occupes d’elle.

— Charlotte a raison, renchérit Lena. Mets-toi à genoux devant moi, et regarde dans quel état tu me mets.

Lena ouvrit largement les pans de sa jupe, révélant qu’elle ne portait rien en dessous. Aucune marque de maillot ne venait gâcher le bronzage de sa chatte, soigneusement rasée. Elle posa sa jambe sur l’accoudoir du canapé. De ses doigts, elle écarta les lèvres de son sexe, offrant la vue de sa fente à Karine, qui s’était agenouillée devant elle. La jeune fille, dont les joues étaient devenues écarlates, ne savait pas quoi faire ou n’osait pas exaspérant Lena.

— Arrête de prendre cet air stupide! Caresse mon clito, suce-le, doigte-moi

Karine plongea enfin la tête entre les cuisses de sa patronne, et se laissa guider par l’étrange désir qui montait doucement en elle. Avec ses doigts, elle excita adroitement Lena, dont le clito se dressa bien vite hors de son fourreau. La belle russe fit sauter la fermeture de sa jupe, la jeta sur le tapis, et se débarrassa de sa tunique. Elle renversa sa tête en arrière, sur le dossier du canapé, faisant pointer vers le plafond ses seins dont elle pinçait les pointes.

Boris ne perdait pas une miette du spectacle offert par sa femme, nue, se faisant bouffer la chatte par sa petite domestique. Il était manifestement excité, si on en jugeait par l’énorme bosse qui déformait de plus en plus son pantalon, et il s’approcha de Charlotte. Celle-ci lui décocha un sourire ravageur.

— Alors, ma belle, lui dit-il, nous n’allons pas rester à regarder seulement ces deux-là. Je t’ai vue à poil sur le ring, et je ne pense pas que tu comptes rester habillée et passive.

Il se colla contre Charlotte, enfonçant sa main dans son décolleté qui baillait généreusement. Elle ne le repoussa pas, mais au contraire plaqua sa paume contre son sexe gonflé, la faisant monter et descendre lentement. Si Boris éprouvait la fermeté de ses seins, en les enserrant dans ses grandes mains, Charlotte prenait elle aussi la mesure de ce dont la nature avait doté le russe: elle ouvrit la braguette, qui menaçait d’exploser, et en extirpa une queue énorme, aussi longue qu’épaisse.

En un tour de main, Boris débarrassa Charlotte de son tee-shirt et de sa jupe. Elle non plus ne portait rien dessous. Elle était partie de chez elle sans soutien-gorge, comme elle le faisait souvent, et elle n’avait pas retrouvé son string quand elle s’était rhabillée après son combat, au Catfight club. Sans doute une petite vengeance de Samantha Ce qui valut à Boris le plaisir de redécouvrir sa chatte toute lisse.

Charlotte, pendant ce temps, ne restait pas inactive. Avec dextérité, elle fit sauter la boucle de la ceinture du russe, déboutonna sa chemise, baissa son pantalon et son boxer. Il l’aida, en ôtant lui-même ses vêtements, pour se retrouver lui aussi dans le plus simple appareil. D’un coup d’il discret, Charlotte jaugea la bête. Et eut un choc.

Boris était taillé comme un rugbyman ou un catcheur: très grand, une carrure imposante, tout en muscles, de cuisses plus larges que le tour de taille des filles, son torse était barré de deux cicatrices, datant de l’époque où il s’était fait une place dans le milieu russe. Mais c’est surtout sur sa queue que le regard de Charlotte s’attardait

Elle se lova contre lui, en le branlant doucement, et leva la tête, ses lèvres entrouvertes et humides. Boris comprit le message, et se baissa pour l’embrasser, en explorant les parties les plus intimes de son corps de ses mains puissantes. Malgré sa force, il était capable de douceur et de sensualité, sachant exacerber le désir de sa partenaire.

Il installa Charlotte confortablement sur un canapé. A demi étendue, elle écarta les cuisses, pour dévoiler sa fente d’où coulait une sève translucide, et elle empoigna l’énorme tige pour la guider vers sa bouche. Elle commença par la lécher, en regardant Boris dans les yeux. Sa langue montait et descendait lentement, des bourses jusqu’au gland, puis se mit à tourner autour de ce dernier, l’enveloppant de salive.

— Tu en avais déjà vu d’aussi grosses?, demanda Boris, sur de lui.

— Disons qu’elle fait partie des plus imposantes, répondit-elle, avec un sourire coquin.

— Tu verras quand elle sera dans ta chatte, reprit le russe, vexé par la réaction de Charlotte. Je vais te faire hurler de plaisir, tu vas même me supplier d’arrêter, tant tu seras épuisée.

Quel macho!, pensa Charlotte. Mais au lieu de poursuivre cette joute verbale, elle posa de petits baisers légers sur le gland turgescent, faisant courir la pointe de sa langue sur le méat et sur le frein de la verge dressée, et Boris ne put retenir quelques soupirs et quelques grognements de satisfaction. Il avait sans doute une énorme bite, mais Charlotte était une reine de la fellation!

Les choses sont quand même devenues plus difficile, quand elle voulut le sucer. Elle n’avait pas une grande bouche, et c’est en distendant ses lèvres qu’elle réussit à l’engloutir. Une fois l’obstacle passé, elle se mit à aller et venir le long de l’épaisse tige, l’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge, l’aspirant avec force. Sa langue continuait à exciter le gland décalotté, et elle dut s’avouer que cette brute éveillait en elle un désir irrépressible. Sa chatte se liquéfiait, et elle se surprit à tourner entre ses doigts ses tétons dardés.

A côté d’eux, les deux femmes s’étaient déchaînées. Maintenant, c’était Lena qui dévorait l’abricot de la petite Karine, enfonçant un gode vibrant dans sa fente. Les cris de la jeune fille n’étaient pas faits pour calmer Charlotte.

— Tu m’as bien chauffé, lui dit Boris. Je vais te baiser, te démonter ta jolie chatte. Prépare-toi à jouir comme tu n’as jamais joui.

Il la fit se relever du canapé, et elle lui murmura à l’oreille qu’elle aimerait venir sur lui. Il s’allongea sur l’épais tapis de laine, son mat dressé à la verticale, et Charlotte vint le chevaucher. Tout doucement, elle plia les jambes, pour que ses petites lèvres viennent coiffer le monstrueux gland. S’aidant d’une main, elle le fit glisser contre sa fente. Elle mouillait tellement que sa cyprine dégoulinait le long de la hampe, et elle stimulait son petit bouton pour mieux exacerber son désir.

Enfin, millimètre par millimètre, la bite de Boris s’enfonça dans l’intimité de Charlotte, distendant les parois de  sa grotte. Elle avait l’impression d’être au bord de la déchirure, mais petit à petit, le plaisir revint, doublé de la fierté d’être prise par un tel chibre. Elle se mit à gémir, de plus en plus fort, au fur et à mesure que Boris la remplissait.

Lorsque son petit cul se posa sur les cuisses du russe, elle marqua une pause, en soupirant. Elle s’apprêtait à remonter le long du dard planté en elle, mais c’est Boris qui, l’empoignant par les fesses, la souleva. Elle sentit le gland coulisser en sens inverse dans son antre, puis il la laissa redescendre sur sa bite. Charlotte poussa un long cri de plaisir. Mais déjà, Boris recommençait son manège. A chaque descente, elle ressentait une décharge électrique au niveau de son point G. Et il accélérait le mouvement. Toujours plus vite.

Charlotte essayait de se contrôler, mais elle perdait rapidement pied. L’orgasme montait, une onde de plaisir indescriptible partait de son pubis, atteignait ses seins dressés, redescendait dans ses reins. Elle ne mouillait plus, c’était une véritable fontaine qui inondait les couilles de Boris. Et elle jouit, en hurlant, tétanisée, la tête renversée en arrière.

Boris continuait à l’emmancher sur son pieu, il avait juste ralenti le rythme.

— Alors, tu demandes grâce?, lui demanda-t-il, plein d’orgueil.

— Pas déjà!, répliqua Charlotte, provocante.

— Tu en redemandes? Tu ne vas pas être déçue.

Il souleva Charlotte, qui semblait un fétu de paille dans ses bras puissants. Il la mit à quatre pattes sur le tapis, et écarta ses jambes entre lesquelles il s’agenouilla, pour la prendre en levrette. Elle écarta elle-même ses petites lèvres, titillant au passage son clito, et tourna la tête vers Boris, avec un air de défi.

Il avait rarement rencontré une fille avec un tel tempérament! Il guida son gland vers la fente offerte, et l’y plongea d’un coup de reins. Cette fois, Charlotte était suffisamment dilatée pour que la pénétration se fasse plus aisément. En trois poussées, il fut au fond de son intimité, et il commença à aller et venir en elle.

Dans cette position, Boris imprimait le rythme qu’il voulait à ce fabuleux coït, et c’était un rythme d’enfer. Lorsqu’elle se faisait prendre en levrette, Charlotte aimait s’emmancher elle-même sur la queue de son partenaire, quand il ralentissait le mouvement, mais là, il ne lui en laissait pas l’occasion. Boris pilonnait sa chatte avec une telle puissance, qu’elle était presque soulevée à chaque fois qu’il la pénétrait, et elle criait de plaisir, sans discontinuer.

A côté du couple, sur le canapé, Lena et Karine se gouinaient, avec un gode double. Si la jeune fille les regardaient avec une expression effarée, sa maîtresse, au contraire, semblait très excitée de voir son mari défoncer Karine.

— Vas-y, chéri, baise-la à mort, fais-la gueuler, l’encourageait-elle. Elle aime ça.

A vrai dire, il n’avait pas besoin d’encouragement! Charlotte était obligée de se cramponner à tout ce qu’elle avait à portée de main, pour ne pas traverser la pièce sur les genoux, ou même ne pas tomber. Cette fois, elle hurlait de toutes ses forces, incapable de résister à la violence de son plaisir.

— Oui, ouiiii!. Oh, putain, comme c’est bon je je vais jouir!…Encore, oui, comme ça…OUIIIII..!

Elle fut secouée par une rafale d’orgasmes, qui s’enchaînaient. Elle avait l’impression que tout son corps n’était plus que ce petit minou, perforé par l’énorme dard, rempli jusqu’à son tréfonds. La cyprine qui en jaillissait coulait sur ses cuisses, et maculait le tapis. Mais Boris se contrôlait parfaitement et semblait inépuisable.

— Tu ne me supplies pas encore d’arrêter?, lui demanda-t-il? Quand elle cessa de crier. Tu en veux encore?

— Qu’est ce que vous croyez?, répondit Charlotte en contractant ses muscles par bravade, autour de la tige du russe.  Je vais vous épuiser.

Piqué au vif, Boris se retira, reprit Charlotte dans ses bras, et l’assit sur une grande table. Ses fesses étaient calées sur le bord du plateau, et il souleva ses cuisses, en les écartant largement. Elle vit le gland, qu’elle avait maintenant apprivoisé, piquer vers sa fente, comme un animal sur sa proie. Elle renversa sa tête en arrière, posa ses jambes levées sur les épaules de Boris, et s’offrit à ce nouvel assaut.

Charlotte était surprise d’éprouver toujours autant de plaisir quand il la pénétra, après avoir baisé sans interruption depuis tant de temps, mais c’était l’endurance du russe qui était la plus époustouflante. Jamais un amant n’avait réussi à durer aussi longtemps en elle.

Les deux autres femmes, tout essoufflées, se contentaient de les regarder. Lena caressait les seins gonflés de Karine, et celle-ci n’en croyait toujours pas ses yeux. Comment une fille pouvait se faire défoncer par une telle bite? Et manifestement, aimer ça?

Boris se remit à tringler, Charlotte avec la même ardeur, et elle devait se cramponner aux rebords de la table pour ne pas chuter. Son sexe devenait douloureux, irrité, mais étrangement, cette douleur se transformait en plaisir, et elle se mit à gémir de nouveau, très fort. Non, elle ne voulait plus s’abandonner Mais c’était si bon Oh, après tout, elle avait encore envie de jouir Et cet orgasme qui montait, montait Elle avait perdu le décompte du nombre de fois où elle avait joui Elle hurlait.

— Oooooh!!! Ooooooh, ouiiii, OUIIIII Vas-y, je te veux, je veux que tu me remplisses de foutre! Je viens, ça y est !. Je jouiiiiis Oh, c’est trop bon!

— Tu veux que je continue?, lui demanda Boris, quand ses cris faiblirent, tout en continuant de faire coulisser son membre bien raide dans son fourreau inondé de cyprine.

— Je je n’en peux plus, finit par avouer Charlotte, au bout d’une longue minute.

Boris se retira enfin de sa fente, et Charlotte se releva lentement, le souffle court, le visage écarlate, la sueur ruisselant sur tout son corps nu. Malgré sa condition physique, jamais elle ne s’était sentie aussi épuisée après l’amour. Boris, lui, semblait à peine marqué, et affichait une érection toujours aussi impressionnante.

— Je crois qu’il faut que tu y goûtes aussi, déclara-t-il à Karine.

— Non, je ne pourrai jamais, s’exclama la jeune et jolie blonde. Je ne suis pas comme Charlotte, je n’y résisterais pas !

— Mais si, tu peux, intervint Charlotte qui récupérait doucement. Et tu vas le faire. Et tu verras que ça te plaira.

— Charlotte a raison, renchérit Lena, avec son accent russe. Regarde- moi: est-ce que j’ai l’air d’une victime?

— Non, non. Vous êtes folles, ne m’obligez pas supplia Karine, paniquée, qui voyait les deux femmes l’entourer, et Boris s’approcher.

Livide, Karine sentit Léna et Charlotte empoigner ses épaules et ses bras, la faire reculer jusqu’à une table basse, sur laquelle elles l’allongèrent. Elle était comme paralysée, incapable de se défendre. Charlotte la tenait par les poignets, pour l’empêcher de se débattre, et Lena par les chevilles, pour l’obliger à lever haut ses jambes et à les écarter.

Karine poussa un hurlement de terreur, lorsqu’elle vit Boris se placer entre ses cuisses, et saisir à son tour ses chevilles. Léna se précipita vers un meuble, ouvrit un des tiroirs, et en sortit un bâillon en cuir. Elle le fourra dans la bouche de la jeune fille, qui ne pouvait plus qu’émettre quelques borborygmes étouffés et de faibles gémissements.

Le russe faisait preuve maintenant de beaucoup de douceur. Manifestement, il ne voulait pas faire souffrir la jeune fille, mais plutôt lui faire découvrir un plaisir qu’elle ne soupçonnait pas. Et puis surtout, son ego surdimensionné lui rendait insupportable l’idée qu’une fille ne jouisse pas quand il lui faisait l’amour, même si elle n’était pas partante au départ.

Boris commença par faire glisser son gland entre les petites lèvres de Karine, effleurant son clito à chaque passage. Il insista longtemps, jusqu’à ce qu’un détail trahisse le ressenti de la jeune fille: ses seins gonflaient et durcissaient, leurs pointes se dressaient avec arrogance. Quelques instants plus tard, un filet de cyprine perlait à l’entrée de sa grotte.

Lena était allée chercher des menottes, et s’en était servie pour attacher les poignets de Karine aux pieds de la table basse. Charlotte n’avait donc plus besoin de l’immobilier, et elle commença à la caresser, jouant avec ses tétons. Sa main descendit sur son ventre, soulevé par le halètement de sa respiration, jusqu’à son mont de Vénus tout lisse. Descendit encore, pour toucher enfin son bouton d’amour.

Boris faisait maintenant tourner l’extrémité de son dard, autour de la fente de Karine, appuyant par petites poussées contre sa fente. Celle-ci se décrispait, s’entrouvrait même. Le bâillon étouffait encore quelques gémissements, mais qui n’avaient plus rien de plaintifs, surtout quand Charlotte se mit à faire tourner entre ses doigts le petit bouton de la jolie domestique, et les pointes de ses seins.

Alors, Boris la pénétra. D’abord imperceptiblement. Son gland força l’entrée de sa chatte, progressa de quelques millimètres. Le petit coquillage rose de Karine s’ouvrait doucement, laissant le passage à l’imposante verge de son patron. Il lui fallut plusieurs minutes, pour accueillir seulement son gland, mais la longue tige s’enfonça ensuite facilement.

Il plongea en elle, jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses tendues de la jeune fille. Lena détacha alors le bâillon qui contraignait Karine au silence, la laissant enfin pousser un petit cri de plaisir. Elle s’assit confortablement dans un fauteuil, ses cuisses en appui sur les accoudoirs, pour caresser sa chatte béante, en regardant son mari défoncer Karine, toujours attachée.

Boris commença à aller et venir dans sa fente, doucement, en ressortant presque entièrement son dard, avant de le replonger jusqu’au fond du ventre de Karine. Celle-ci ponctuait ce coït de cris aigus, surtout lorsqu’il tournait son gland au bord de sa fente, avant de la pénétrer.

— Vas-y, mon amour, l’encourageait Léna, fais-la jouir, rend-la folle!

— Ca te plait, de te faire défoncer comme ça?, demanda Charlotte à Karine.

— Ooooh Oh non, sa queue est trop grosse Oh, si, OUIII, c’est bon

La pauvre fille ne savait plus où elle en était, perforée par le pieu de Boris, ses seins et son clito torturés par Charlotte. Celle-ci s’était agenouillée au dessus de son visage, et Karine découvrait, en gros plan, l’abricot tout irrité de Charlotte, d’où s’échappait un filet de cyprine.

Boris se démenait maintenant, à grands coups de reins, dans l’antre d’amour de Karine, dont les hurlements emplissaient le vaste salon. C’était impressionnant, de voir ce colosse dominer le corps si frêle, presque juvénile, de la jeune slave. Il émettait de brefs grognements, et fermait les yeux, comme pour mieux goûter les sensations fournies par ce fourreau si étroit, enserrant sa grosse bite, et d’où sortait un clapotis très suggestif.

Il fallait que Charlotte tienne fermement Karine, pour qu’elle ne tombe pas de la table, malgré ses mains attachées. Et elle jouit une première fois, poussant une longue plainte, sans que cela freine l’ardeur du russe.

Au contraire, il continuait de l’emmancher, de plus en plus violemment, et Charlotte glissa sa main sous les fesses de Karine, les écarta, et enfonça un doigt dans son petit trou. Elle poussa un long cri quand elle sentit sa rosette s’ouvrir. Elle était couverte de sueur, des larmes coulaient sur ses joues, mais ce n’étaient pas des larmes de douleur

Soudain, une succession d’orgasmes tétanisa tout son corps, et ce spectacle fit jouir Léna. Lorsque Karine se calma enfin, Boris céda à sa propre envie de jouir. Il ressortit lentement sa verge de la fente, l’empoigna à pleine main, et un long jet de sperme vint s’écraser sur le mont de Vénus de la jolie blonde. Il semblait que la réserve de semence du russe soit inépuisable. Le foutre continuait de jaillir de son gland gonflé, maculant le ventre de Karine, mais aussi les seins et le visage de Charlotte, qui se penchait pour recueillir les dernières gouttes dans sa bouche.

Karine resta un long moment étendue sur la table, haletante, avant que Charlotte la détache. Elle se remit debout, mal assurée, frottant ses poignets endoloris, mais les yeux encore brillants du plaisir qu’elle venait de prendre.

— Tu peux nous resservir du champagne, lui commanda Charlotte, sur un ton sec.

Ils restèrent nus, tous les quatre pour boire ce dernier verre, et Boris félicita Charlotte pour sa prestation. Il lui confirma qu’elle était embauchée, et qu’elle devait se tenir prête à prendre ses fonctions dans le gang, dès la semaine suivante. D’ici là, Alexandre, le secrétaire de Boris la contacterait, pour des mises au point de détail.

Après que Charlotte se soit rhabillée, le russe appela son chauffeur, pour qu’il la reconduise jusqu’au Catfight club, où elle avait laissé sa voiture sur le parking.

Le jour commençait à poindre quand la jeune policière rentra dans son appartement. Elle prit juste le temps d’envoyer un SMS rassurant à Ludo,  et s’écroula sur son lit, terrassée par la fatigue.

A suivre…

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