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initiation accidentelle… – Chapitre 4




Sur ces entrefaites, je proposai à C de rentrer. En effet, nous avions fini de diner et beaucoup de monde avait déjà quitté la crêperie. Je réglais la note et lui suggérai de finir son récit dans mon studio à loccasion dun dernier verre, chose quelle accepta volontiers. On discuta un peu de mes études sur le chemin du retour et une fois arrivé, C. put reprendre son récit, un verre de whiskey à la main.

« Ce fut ma mère qui me réveilla le lendemain. Il était presque midi et on devait libérer la chambre. On allait aussi de nouveau passer à table, alors tout le monde devait descendre.

Je fis un brin de toilette. La fraîcheur de leau sur mon visage me rafraîchit aussi la mémoire et ce que javais vu la veille revint à mon esprit semant de nouveau le trouble. Je remis la robe de la veille après avoir vérifié quelle nétait pas tachée et noublia pas de mettre une culotte en me promettant de faire attention aujourdhui.

Une fois descendue, je rejoignis la grande salle de la veille. Celle-ci avait été nettoyée de ces confettis, ballons et autre grains de riz. Les tables réarrangées, car certains invités navaient pu rester tout le week-end, la rendait encore plus grande et plus vide.

Beaucoup de gens étaient déjà attablés, dont mon cousin, mon frère et tantine. Ce fut de nouveau un repas de fête auquel nous eûmes droit. Même si je navais pas prise de petit déjeuner, je sortis rassasiée comme beaucoup de monde.

Dans le parc, des transats avaient été sortis et rangés au soleil en différents endroits. Comme il faisait beau, ils furent vite occupés. Je navais pas eu loisir de rediscuter avec mon cousin de ce qui sétait passé la veille car il restait aussi des enfants dont nous devions toujours nous occuper. Une fois dehors, on put enfin se délivrer de leurs étreintes et sisoler.

Pendant le repas, javais pu repenser à ce qui sétait passé la veille. Et donc, avant la soirée avec mon frère et tantine, je voulais dabord voir ce que je pouvais découvrir toute seule. Et il ny avait que mon cousin T. qui pouvais maider, involontairement ou non. Alors je lui proposais :

« Tu viens ? On va se promener dans les bois comme hier. »

Pensant quil serait comme moi mû par la curiosité sur ce qui se passait à propos de son sexe, il baissa plutôt la tête.

« Non, je ny tiens pas trop. Et puis il fait froid sous les arbres. »

Etonné de sa réaction, je renchéri :

« Tu sais ce quon a convenu hier ? Alors T., tu viens avec moi dans les bois ! Tu ne disais pas la même chose hier. »

Toujours les yeux baissé et commençant à rougir un peu, il finit par dire « Bon… si tu veux »

Et nous voici parti en direction du bois. Personne ne semblait nous prêter attention. Il était vrai que les bois abritaient une certaine fraicheur et on ne rencontra quasiment personne sur le chemin. Arrivé à la bifurcation, je poussais mon cousin vers le chemin que javais emprunté la veille. On se dirigea vers le tronc darbre. Nous marchions en silence, je voulais attendre dêtre assise prêt de lui pour lui poser mes questions et en attendant, jappréciais le chant des oiseaux. Mais on sarrêta avant dy arriver car on entendait quelquun parler. De là où nous étions, on finit par apercevoir le couple de marié qui occupait notre place de hier.

    Reconnaissable grâce à sa robe blanche, la mariée navait pas mise son voile ce dimanche. Sa robe était simple, en bustier avec de la dentelle sur les coté et certaines partie du dos ce qui nous révélait quelle ne portait pas de soutien-gorge. Elle était blonde avec une chevelure ondulée orné dune fleur blanche et des yeux dun bleu intense. Pour lavoir vue en maillot de bain, cétait vraiment une femme magnifique. Mon oncle devrait bien sen occupé sil voulait la conserver à ses coté car je pense que la concurrence devait être rude en terme de prétendants, quelle soit mariée ou non.

    Mon oncle avait en tout cas un atout dissuasif. Il avait lui aussi les yeux bleus mais brun de cheveux. Il avait la carrure dun athlète et il valait mieux pas trop sy frotter car cétait bien du muscle sous la chemise quil portait avec un ensemble beige.il était en effet adepte des salles de fitness et il nous faisait souvent la démonstration de ce quil savait faire de ses biceps.

    Dans la petite clairière, ils étaient proche lun de lautre et on nentendait pas ce quils se disaient. On ne sait pas pourquoi mais on décida davancer sans faire de bruit et en nous dissimulant. T. me suivit à pas de loup. Je me rapprochais dabord de larbre derrière lequel il sétait caché la veille pour mépier puis on finit par se rapprocher du buisson ou javais laissé ma culotte. Je me dis que ce serait loccasion de la reprendre.

    On arriva juste derrière et par miracle, T. avait réussi à faire moins de bruit que la veille. En fait, on voyait plus ou moins bien cette sorte de clairière ou se trouvait le couple. Par contre, oh surprise ! Ma culotte nétait plus là. Je regardais T. dun air interrogateur. Il baissa les yeux, rouge comme une pivoine. Je compris alors à ce moment-là, pourquoi il ne voulait pas revenir ici. Il était déjà repassé certainement dans la matinée pendant que je dormais encore pour venir la récupérer. Quest-ce quil pouvait bien lui trouver pour agir ainsi?

Mais de là ou on était, nous pouvions entendre le couple discuter et le sujet capta notre intérêt. Ils étaient enlacés collés lun à lautre.

« Alors ma chérie, pas trop déçu pour hier soir ? Je regrette que notre nuit de noce se soit terminée de cette façon. »

« Ah mon salop ! bien sûr que si je suis déçue. Jai tenus cette journée exclusivement pour la finir sur un feu dartifice et je nai eu droit quà un pétard mouillé. » En disant cela, elle faisait à moitié la mou en martelant son torse comme sur un air de reproche.

« Je sais, mais javais trop forcé sur lalcool. Je me sentais vidé et fatigué. Je naurai pas été bon à grand-chose, même réveillé. Mais je te promets de faire attention aujourdhui et de me rattraper ce soir. Je tassure que tu lauras ton feu dartifice. »

« Oui mais moi, je ne sais pas si jarriverai à tenir jusquà ce soir. » elle le regardait droit dans les yeux, un grand sourire aux lèvres et elle ondulait de son bassin de droite à gauche en se frottant sur celui de mon oncle.

« Quest-ce que tu veux me dire exactement ? » lui répondit-il en lui rendant son sourire.

« Je veux dire que si tu ne trouves pas une solution avant ce soir, je ne répondrai de rien »

« Tu es vraiment insatiable toi ! »

« A ce que je sens un peu plus bas, tu auras aussi du mal à attendre ce soir. »

« Comment veux-tu que je puisse résister à la plus belle femme du monde que je viens dépouser ? »

La mariée se fendit dun immense sourire et leurs lèvre se rapprochèrent pour ensuite se souder. On arrivait à deviner quils jouaient avec leurs langues. Cela dura ce qui semblait une éternité. On se demandait comment ils pouvaient respirer. La mariée navait pas cessé ses mouvements du bassin et maintenant, le marié se mettait aussi en mouvement. A un moment, les mains de mon oncle descendirent et se posèrent sur les fesses de la mariée. Quelques secondes plus tard, ce fut la main droite de la mariée qui descendit mais ce coup-ci par le devant. Et comme tantine hier, elle fit des mouvements équivoques avec sa main.

Je regardais T. par de travers pour constater que comme moi, il ne perdait rien de la scène.

Les mains de mon oncle sactivaient pour essayer de retrousser la robe mais elle était trop volumineuse pour quil y parvienne.

« Arrête » dit-il en se reculant légèrement, « jen peux plus. Tourne-toi ! »

Ce disant, il la fit pivoter se retrouvant derrière elle. Il lui retroussa alors la robe facilement. On put distinguer les bas blancs de la mariée et son porte jarretelle de la même couleur. Il lui plaqua une main par en dessous et commença à lui caresser son postérieur. Très vite il saccroupi sans poser genoux à terre et passa sa tête par-dessous la robe. On ne voyait plus que ces jambes.

Quallait-il faire en dessous ? On vit ma tante dodeliner puis lever les jambes alternativement.La main de mon oncle passa dessous la robe et déposa un morceau de tissu par terre. Sans équivoque, il venait de lui retirer sa culotte.

Aussitôt, on entendit la mariée soupirer : « Hummm ! oh oui … tu me fais du biencontinue»

On voyait la tête de mon oncle bouger sous la robe. Que lui faisait-il dans cette position ? Après ce que javais vu hier je nétais plus sûr de rien. Lui faisait-il des bisous sur les fesses ou autre chose ? Cétait un mystère de plus à élucider. La mariée écarta alors légèrement les jambes et se pencha en avant.

« Oh oui, comme ça sest mieux vas-y encore oui. Oh je sens bien ta langue encore tarrête pas cest bon. »

Mais quest-ce que mon oncle faisait avec sa langue ? La mariée avait lair dapprécier en tout cas. Ces soupirs, comme tantine hier, montrait quelle éprouvait un plaisir grandissant de ce que lui faisait mon oncle. La chaleur que je reconnaissais bien, revenait au bas de mon ventre. Un regard oblique me montrait que mon cousin avait de nouveau son sexe qui lui faisait mal en se sentant à létroit dans son pantalon.

« Stop arrête, je ten supplie, il me faut autre chose ; tu es allé trop loin, fourre la moi sil te plait, dépêche-toi. Mets la moi. »

De quoi parlait-elle ? Encore un langage que je ne connaissais pas ! Quest-ce quil devait lui mettre ? Je nattendis pas longtemps pour constater que de ce que javais déjà vu, rien naurait pût être pire que ce que jallais voir.

    Mon oncle sous linjonction de la mariée, sorti de sous sa robe. Il la poussa vers le tronc darbre et la bascula pour quelle y prenne appui avec les mains puis, il se déboutonna et baissa son pantalon, et son slip. Il retroussa de nouveau ma tante et on put voir ainsi leurs deux fessiers rebondies. Il se mit ensuite derrière la mariée nous cachant le spectacle. Il donna un grand coup de rein ce qui fit gémir la mariée « Hummm je la sens biens Vas-y ! Bourre- moi ! » De nouveau ce langage codé, mon frère aura intérêt à méclaircir la dessus.

Mon oncle se mit à faire des mouvements avec son bassin. Quest-ce que cétait que ça de nouveau quest-ce quils faisaient ?

La mariée commençait à ahaner « Hummm Hummm Hummm » Je surpris un mouvement à côté de moi. Je me tournais et observa mon cousin qui avait sorti son sexe de son pantalon il faisait de lent mouvement avec sa main dessus.

« Ca recommence à me faire mal. » Me murmura-t-il.

Je le regardai caresser son sexe avec étonnement. Javais limpression quil était plus gros quhier. La chaleur au bas de mon ventre monta dun cran. Je ne savais pas si cela était dû à ce que je voyais, ou à ce que jentendais. En se caressant, je voyais son prépuce (je su que cela sappelait comme ça plus tard) libérer le gland qui avait prît une couleur violacée.

«Humm oui ! Vas-y! Bourre moi bien, mets la moi en entier jusquau fond. Oui ! Cest ça ! Hummm encore ! Vas-y plus fort ! »Je regardais de nouveau les mariés et mon oncle dactiver son mouvement du bassin. Mais quest-ce quils faisaient ?

« Hummm oh oui ! Cest si bon continue »

Cest alors que mon oncle prit la jambe gauche de la mariée et la fit relever sur le tronc darbre ce qui fit redresser et pivoter la mariée. Mon oncle se tourna légèrement aussi pour être toujours derrière elle. Et là ! On put tout voir ! Ce léger basculement nous permit de voir ce que mon oncle faisait avec son bassin. Il avait reprît son mouvement et on regarda médusé mon cousin et moi : son gros sexe (plus gros que celui de mon cousin voire même de mon frère) entrait et sortait dans le sexe de la mariée !

    Mon oncle, la main sur la fesse gauche, écartait le globe et se regardait entrer et sortir. Nous pouvions nous aussi contempler la scène. Cela me fit un frisson dans le dos. Je regardais subjugué ce sexe énorme à mes yeux. Et je me demandais comment il pouvait entrer entièrement ?

    A chaque fois, il venait buter jusquà la base de son sexe ou pendait ses testicules. Chaque coup du bassin était accompagné dun claquement « ploc !ploc !ploc !… » Sa tige ressortait tout aussi aisément quil entrait, et on pouvait voir quelle en ressortait humide du fait quon observait un reflet sur la longueur.

Pour me nettoyer régulièrement, javais bien observé mon second trou quand je prenais des bains. Mais mes parents mavaient juste répondu que cest par là que sortaient les bébés en éludant la question. Ce que je voyais là, navait rien à voir avec ce quon mavait dit. Je voyais un gouffre énorme avaler un sexe gigantesque. Le pire dans tout ça, cest que la mariée y prenait le plus grand des plaisirs.

La nouvelle position lavait fait se redresser et elle tenait presque debout en se tenant au bras de mon oncle. Celui-ci en avait profité pour baisser le bustier et la mariée se retrouvait avec ses deux seins ballants sous les coups. Elle avait les yeux fermés, la tête relevée et ses gémissements étaient plus rapides.

« Oui ! Oui ! Vas-y ! bien au fond. Je la sens bien. Encore encore tu me fais jouir. Je viens continue plus fort oui. Je jouiiiiiis. Oh mon dieu encore..mon cur je jouiiiiiiiiiiiis aaahhhhhh !!!! ».

On vit la mariée se tendre, la tête basculée vers larrière en criant. Mon oncle lui, continuait ses mouvements de va et viens. La mariée rebascula vers lavant et reprit appui sur le tronc darbre. Mon oncle accentua le mouvement en la pénétrant entièrement avec son sexe luisant.

« Huummm encore…cest trop bon ». Les seins de la mariée pendants se balançaient au rythme des coups de bassins.

« Oui ma chérie, moi aussi cest trop bon, je vais bientôt exploser »

« Oh oui ! Viens viens en moi laisse toi aller je vais jouir de nouveau. Ça vient encore. »

Je regardais mon cousin. Il était rouge comme je devais lêtre aussi. Je passai une main sous ma robe pour constater comme la veille que le bas de ma culotte sétait humidifié. En ramenant mes doigts pour les sentir, je surpris de nouveau cette odeur forte que javais senti la veille et de nouveau la chaleur de mon ventre saccentua. Mon cousin mavait regardé faire, ne comprenant pas ce que je faisais. Ma robe était resté relevé et il voyait certainement ma culotte, avec une tache tout au fond. Il avait continué ses va et viens avec sa main sur son sexe. Je le regardais faire et observais une ou deux goute qui perlaient par le dessus.

    Pendant que les mariés continuaient de gémir à tout va, je proposais mes doigts au nez de mon cousin. Il senti par une inspiration puis, je le vis fermer les yeux pour une seconde plus profonde. Il rouvrit les yeux et me fixa du regard dun air interrogateur puis regarda entre mes cuisses. Il me regarda de nouveau puis, toujours rouge comme une pivoine, amena une main sur mon genou. Je compris de suite ce quil voulait faire. Il voulait imprégner ses propres doigts de mon odeur. Jétais parti dans lidée de se découvrir des choses, mais je ne pensais pas aller aussi loin. Me laisser caresser le sexe par mon cousin ? Mais cette chaleur dans le bas de mon ventre semblait annihiler toute réflexion et je ne la lui enlevai pas. Au contraire, je me surpris à faire la même chose en lui posant ma main sur son genou. Ce fut entre nous une sorte de déclic et ensemble, nous approchâmes nos mains du sexe de lautre.

    La caresse de sa main me procurait des frissons. La mienne approchait le haut de sa cuisse. Il me sembla défaillir quand je le senti arriver sur ma culotte. Il fixait intensément lendroit où sa main partait en exploration. La mienne était aussi arrivée à destination. Je touchais son autre main quil retira pour me laisser le champ libre. Ma main put ainsi caresser la hampe toute droite. Je voyais et sentais ses veines battre dans ce membre.

La sienne caressait ma culotte de par le haut puis subrepticement, commença à descendre. Je sentis des décharges quand sa main passa sur mon bouton à plusieurs reprises. Mon pouls saccélérait ainsi que ma respiration. Je menhardis à lui prendre son sexe. Jarrivais à lui en faire le tour. Puis machinalement, je lui fis des va et viens comme il le faisait. Je le vis déglutir plusieurs fois. Son regard était toujours figé sur ma culotte.

Sa main faisait des cercles qui narrêtaient pas de descendre sur mon intimité humide. La chaleur qui mavait envahie me faisait frissonner de plus en plus. Les mariés quant à eux, ahanaient également de plus en plus.

La mariée criait de plus belle sa jouissance sous les coups de forcené que lui administrait mon oncle. Je continuais de regarder cette monstruosité qui entrait et sortait du ventre de la mariée qui narrêtait pas den redemander. Mon oncle commençait à être en sueur. Ma main allait de plus en plus vite sur le sexe de mon cousin. Celuici avait réussi à détacher son regard vers le couple en rut. Sa caresse devenait de plus en plus précise et je sentais ma culotte littéralement trempée sous sa main.

    Les différentes vagues de plaisir que javais connu la veille était en train de me submerger de nouveau. Je sentais le sexe palpiter sous ma main. T. bougea un peu en écartant encore plus les cuisses ce qui me facilita mes mouvements. Il se mit aussi aller et venir dans ma main avec son bassin comme le faisait le marié. Sa main aussi avait accéléré et tournait sur ma culotte sans but précis.

« Oh je viens. Cest bon Je jouiiiss. Je jouiiiis mon coeur.. Aaaahhh.. »

La mariée recommençait à prendre son pied.

« Putain cest bon je viens moi aussi tu vas en prendre plein ton antre, je vais te remplir » Ce disant, je le vis se coller au derrière de la mariée dans un dernier coup de bassin puissant en sortant un cri qui ressemblait au cri dune bête.

« Aaahhhh !!! » fit la mariée. « Je vais mévanouir tellement cest bon. Je te sens te vider, cest merveilleux !!! Aaahhh !!!… » Il lui redonna deux ou trois coup de rein puissant, comme sil voulait vraiment rentre tout entier à lintérieur.

    Les palpitations du sexe de mon cousin me firent quitter la scène des yeux. Mon cousin avait fermé les siens puis arrêta de bouger son bassin. Son sexe se fit plus dur encore. Je stoppais moi aussi mes mouvements puis je vis jaillir ce liquide blanc comme celui de mon frère. Ce fut trois saccades qui projetèrent le liquide sur les branches du buisson puis plusieurs petites qui, en fait, me maculèrent la main. Comme le marié, je le surpris à donner deux ou trois coup de reins supplémentaires comme des spasmes de plaisir. Je nosais bouger, hypnotisé par ce qui venait de se produire. Je venais de faire jouir mon cousin.

    En attendant, sa main sétait arrêtée de me caresser. Les vagues sestompèrent. Je vis mon oncle se retirer de la mariée. Celle-ci resta quelques instants dans cette position courbée, les fesses à lair, sa robe toujours retroussé sur le dos et les seins ballotant maintenant au rythme de sa respiration. Je regardais son sexe en me demandant comment elle avait fait pour accepter ce sexe énorme il y a encore un bref instant. Puis en y prêtant attention, je vis couler de par la fente, un liquide.

    Ce liquide blanc que javais sur les mains et que mon oncle avait donc mis à lintérieur du sexe de la mariée. Il devait en avoir mis un sacré paquet pour que cela ressorte. Mon oncle sétait un peu reculé pour reprendre des forces. Il regardait aussi les fesses de sa femme. Il se rapprocha, se baissa et entreprit de lui lécher le sexe en nettoyant tout ce qui sortait du sexe de la mariée. Je trouvais cela dégoutant mais la chaleur de mon ventre réapparut. La main de mon cousin se remit aussi en mouvement. Sa main était hasardeuse alors de ma main libre je lui pris la sienne et la dirigea vers mon bouton. Les sensations revinrent à une vitesse fulgurante. Ils avaient tous eut lair davoir pris leur plaisir ; il ny avait aucune raison que je ne prenne pas le mien.

    Je lui fis faire des cercles sur mon bouton pour le lui faire sentir. Ma respiration saccélérait. Il comprit ce quil devait faire et accentua sa caresse. Les vagues de plaisirs me submergèrent. Je regardais mon oncle manger le sexe de la mariée qui gémissait de nouveau sous les coups de langues. Mon cousin aussi regardait et je sentis son sexe reprendre de la vigueur dans ma main maculée qui ne lavait pas quitté. T. commençait à bien faire son travail de la main. Je me mordais les lèvres pour ne pas gémir tellement cétait bon ce quil me faisait. Les vagues de plaisir se concentraient sur mon bouton qui roulait sous ses doigts.

Mon oncle avait fini et se redressait maintenant. La mariée fit de même ce qui fit redescendre sa robe. « Attends, je vais aussi te le nettoyer » dit elle et elle se pencha pour prendre le sexe ramollit de mon oncle et comme tantine hier, elle mit le sexe dans la bouche. Elle se mit à faire des vas et viens et on vit doucement le sexe de mon oncle se durcir tout comme le sexe que je tenais dans la main. Je sentais de nouveau les veines palpiter sous mes doigts. La chaleur dans mon ventre remonta dun cran. Je sentais tout en bas ma culotte shumidifier davantage.

    Mon cousin sen rendait-t-il compte ? En tout cas, il senhardi et passa deux doigt par le coté et me caressa directement le sexe. Il retrouva rapidement mon bouton avec lequel il joua de plus belle. Ce fut le summum, voir la mariée sucer mon oncle pendant quon se caressait mutuellement avec mon cousin me fit chavirer jhurlai intérieurement tellement cétait bon. Je me crispais et refermais mes jambes sur la main de mon cousin. Cela sembla durer une éternité et je me sentais partir dans un autre monde, ou je navais plus aucun contact avec la réalité. Je mis je ne sais combien de temps à revenir à moi.

    Ce fut pour constater que mon cousin était tétanisé. Me voir jouir avait dû lui aussi le surprendre. Je le vis reprendre son souffle et des couleurs quand il observa que je me trouvai mieux. Jécartai les jambes pour enlever létreinte sur sa main. Mon oncle et la mariée sétait redressé et se réajustais quand ce dernier dit :

« Attends, avant de rentrer, il faut que jaille pisser. » et de se mettre en retrait pour faire son affaire. On ne lui voyait pas le sexe mais son jet était fort et cela dura une bonne minute avant quil ne se soit vidé. Une fois rhabillé, il se rapprocha de la mariée et ils sembrassèrent.

« On y va fit il ? »

« Ben cest-à-dire que moi aussi jai envie, mais avec la robe, il va falloir que tu maides. »

« Mais bien sûr, pas de soucis. » la mariée se plaça au milieu de lespace et retroussa la robe. Mon oncle la saisie pour la maintenir en hauteur pendant que la mariée saccroupissais. Il se tenait devant elle.

« Ne regarde pas sil te plait ».

« Je te rappelle quon est marié pour le meilleur et pour le pire, et je tiens à profiter su meilleur dès maintenant ! »

« Cochon-va ! » répondit-elle.

Si elle savait ! Elle faisait la mijaurée devant son mari mais elle était droit dans notre champ de vision de moi et mon cousin. On observait ainsi lintégralité de son sexe comme mon cousin avait pu observer le mien la veille.

    Jambes écartées, son sexe de face était poilue mais visiblement, il formait un triangle presque parfait, comme si elle sétait rasée le sexe comme pour une barbe. En son centre, sa fente était légèrement ouverte. La mariée avait ses mains dans son dos pour éviter que la robe ne touche terre pendant que mon oncle comptait ne pas perdre une miette du spectacle. Elle le regardait droit dans les yeux quand on vit sortir quelques gouttes puis un filet pour enfin finir un jet durine. Il éclaboussa jusquà 50 cm devant en faisant une marre jaune. Je sentis le sexe de mon cousin que je tenais toujours dans la main palpiter de plus belle et il était redevenu aussi dur quau début du spectacle. La mariée sépancha ainsi presquune minute comme mon oncle et cette vision raviva la chaleur de mon bas ventre.

    La mariée navait pas vu en regardant mon oncle, que son jet avait éclaboussé sa culotte qui trainait encore par terre. Mon cousin avait repris doucement ses caresses directement sur mon bouton sous ma culotte. Mais le jet de la mariée se tarit et elle se releva. Mon oncle laida à remettre la robe correctement. Quand elle se mit à chercher sa culotte par terre, elle vit létat dans laquelle elle lavait mise. « Oh non, je ne peux pas la remettre. »

Mon oncle rigola :

« Cest pas grave, tu nas quà la laisser là ! Cela fera le bonheur dun bucheron et personne ne saura que tu ne portes rien en dessous sauf moi ! » Répondit mon oncle en lui souriant et lui faisant une petite claque sur la fesse.

Ils sembrassèrent de nouveau puis la mariée réajusta une dernière fois sa robe et ils prirent la direction du chemin. Mon cousin avait, comme moi, enlevé sa main pour pouvoir se dissimuler du mieux quon pouvait, sans faire de bruit derrière le buisson puis larbre, lorsquils sen allèrent.

A suivre

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