Pierre savait ce qu’il voulait que P fasse pour lui. Quand il la vu, la première fois, il était ébloui de sa beauté sauvage. Elle irradiait une sorte de lueur que lui seul distinguait. Pierre invitait la belle à sa table. Elle était vêtue simplement, d’une façon négligée qui laissait voir ses formes. Elle donnait envie de faire des bêtises.

Sans trop forcer elle est venue chez lui : il l’embrassait à lui faire perdre le peu de tête qu’il lui restait. Elle prenait des initiatives adroites. La main déjà sur la bite, elle le trayait. Il profitait de la caresse sans pour cela y céder totalement. Il la destinait à autre chose, pour lui, pour elle d’abord et pour d’autre : il se doutait des capacités de la fille. Pierre commençais à caresser la chatte à travers le jean. Elle le laissait faire.

Sur le divan, il lui enlève les derniers vêtements. les seins pointent vers la bouche de Pierre. Il peut lécher, avaler les tétons, les sucer longuement. Elle lui tend ses seins. Sa main à elle est toujours sur la bite. Elle sait qu’il faut qu’elle le masturbe pour son plaisir à lui et son plaisir à elle : elle aime voir le sperme évacuer la bite. Il l’arrête avant de jouir. Il veut lécher P dans son intimité de.

Il pose sa tête sur son entrejambe. Il hume le fumet de la chose. Bien épicée, relevée, tentante, telle est le résultat de l’expédition. Il pose son visage contre le sexe humide. Le nez est contre les poils frisées du pubis. Il attend encore, il se détecte d’avance du plaisir de sentir cette forte odeur de fille mal lavée. Enfin il pose sa langue sur le bénitier. Outre l’odeur, il relève la douceur des ces chairs proposées. Il sent les lèvres s’écarter devant sa langue, s’ouvrir, s’offrir. A peine à un demi longueur de langue il sent le vagin béant.

En passant ses mains autour des cuisses ; il arrive à caresser les fesses dures, à mettre sa main dans la raie. P ne proteste pas, elle accepte la suite encore inconnue mais espérée.

P voudrait tellement de chose qu’elle n’ose pas dire. Elle voudrait surtout qu’il la fasse grimper au rideaux, qu’il lui bouffe la chatte et le cul. Elle voudrait bien le prendre dans sa bouche pour le lécher, simplement lui lécher la queue de haut en bas de lui mordiller les couilles. Mais pour que son vu se réalise, il faut qu’elle le ménage. P est une fille d’expérience qui aime se faire mettre tant par les hommes, le dessus de son panier, que par des copines de rencontre. Elle est omnivore.

Pierre la renverse sur le dos, il lui ouvre les jambes. Sans trop faire attention il est dur sur elle. P sent ses seins écrasés par le poids. Elle pli son ventre au niveau du nombril, déjà prête à jouir. Elle avance son sexe pour qu’il la baise. Et lui entre rapidement pour trouver le fond, vers la matrice. L lève ses jambes pour l’enrober au niveau des reins. Ils ne forment qu’un seul corps uni par une simple pine.

Son gland au fond de l’autre sexe, il pilonne à pouvoir la défoncer. Elle aime se genre de baises pas très câlines. Seul compte son plaisir immédiat. Se faire limer ainsi lui plaît tant. L aimerai qu’il jouisse sans débander, qu’il la lui mette de l’autre coté rapidement après l’avoir baisée. Elle a envie d’une sodomie.

Éros l’a écouté : il lui donne sa rasade de sperme, il sort du ventre pendant qu’elle aussi jouit : il est dur comme s’il n’avait pas jouit. Avec un grand soupir de soulagement L se tourne, offre ses fesses. Pierre lui a envie de lui passe la langue dans le petit trou. Il le fait au grand soulagement des amants. La langue tâte dans la raie en venant doucement vers le cul. L soupire dans l’attente. Enfin le bout de langue est juste sur son anus. Il force un peu, pour entrer. Le miracle de l’amour se reproduit. La langue entre, oh, pas beaucoup, juste ce qu’il faut pour plaire à L.

Pierre tourne la langue dans le cul offert. Il veux autre chose pour sa queue Elle vient remplacer la langue. Il embrasse L en lui donnant exactement le goût de son cul. Elle s’ouvre au maximum. Il vient sur le coté, lui entre la pine dans le petit trou. Elle se caresse alliant les deux plaisirs. C’est elle qui cède avec des spasme à répétition : elle aime tellement se faire sodomiser. Il jouit lui aussi en vidant ses couilles. L le retiens, elle veut qu’il lui donne tout ce qu’il a dans les couilles. Il est libre de partir quand il débande complètement. Et encore il n’en a pas fini : elle avale le gland, lèche la bite jusqu’aux pubis pour bien nettoyer le sperme encore présent. Elle passe deux doigts entre les cuisses de son amant : elle cherche et trouve le petit trou. A son tour de se faire branler le cul. Deux doigts glissent lentement. Il se laisse faire, trouvant du plaisir au même endroit que L.

( A suivre)

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