Comme je ne m’étais pas protégée en ayant ce premier rapport sexuel, avant de rentrer à la maison, j’avais récupéré la pilule-du-lendemain à la pharmacie. J’étais toute terrifiée que l’on pouvait remarquer ou tout simplement deviner mon dépucelage. Je rentrai enfin à la maison, et fort heureusement, étant verrouillée, me prouvait que personne ne se trouvait à l’intérieur. Je profitai pour rapidement laver le tee-shirt de Charles taché d’un peu de sang et de son sperme, je me lavai ensuite et je m’enfermai tranquillement dans ma chambre pour me reposer un peu. Je n’arrivais pas vraiment à fermer les yeux. Je pensais et je réfléchissais sur ce que je venais de faire. Je n’avais aucun regret, et j’étais même très fière d’avoir franchi ce pas. Il était vrai qu’à ce moment je savais exactement à quel point l’accouplement était si important par son degré de plaisir.
Je me rappelai soudain de ma petite culotte rose dans la main de Yann ce matin même. J’allai aussitôt vérifier à la salle de bain dans le panier à linge sale. Même à vider tous les vêtements sur le sol, ma culotte restait introuvable. Elle n’était pas dans ma chambre non plus. Cela m’inquiétait, me travaillait. Et si Yann l’avait tout simplement gardée !
Je regagnai donc ma chambre. J’étais trop choquée de la situation, mais je ressentais surtout une certaine excitation de me savoir si intéressante pour mon grand frère. Mes pensées les plus folles tournoyaient dans ma petite tête de petite femme, et des sentiments de désirs prenaient peu à peu possession de mon corps qui chauffait et qui rougissait de plus en plus. Je ressentais du vrai plaisir à penser au gros pénis de Yann en érection que j’avais vu ce jour même. Ma main était déjà sous ma jupe, et je caressai mon sexe par dessus ma culotte tout en me disant que je devais lui envoyer un signal pour qu’il s’intéresse davantage à ma petite personne. Je ne pouvais en rester là, je voulais bien plus que simplement m’imaginer des scènes.
Mon esprit restait brouillé. Mon jeune frère était déjà rentré du lycée quand Yann rentrait à son tour à la maison comme d’habitude, juste à la tombée de la nuit. Je ne pouvais me concentrer, ni faire ou dire quoi que ce soit en sa présence. Les parents finissaient eux aussi par rentrer et nous avions dîné. Mais quand Yann avait souhaité une bonne nuit à tous pour gagner sa chambre, je décidai de prendre ma chambre moi aussi. Comme nous empruntions tous les deux le couloir en même temps, toute tremblante, je lui lançais ma réflexion sans même réfléchir un peu plus:
Quand tu auras fini avec ma petite culotte rose, tu la mettras à laver, j’espère !
Yann ne semblait pas vraiment surpris. Il avait un sourire moqueur et m’avait répondu:
Tu me las laissée dans le couloir en te pavanant sous la douche, donc je garde !
Cette situation ce matin même que j’avais laissé la porte de la salle de bain grande ouverte pendant que je prenais ma douche et pensant que j’étais seule à la maison, me gênait de nouveau. Je fonçais dans ma chambre en ripostant:
Non.
Je pensai l’avoir à mes bottes, mais c’est Yann qui avait eu le dessus. Je me sentais un peu comme dans un piège. J’avais comme une peur de je ne savais quoi, mais en même temps, cette nouvelle situation avait l’air me plaire. Comme d’habitude, je commençais à me toucher dans mon lit, mais là, c’était pour une autre raison. Bien évidemment, je pensai au gros pénis de Yann qui me pénétrait comme celui de Charles qui m’avait pénétré ce jour même. Dire que je venais à peine de me faire dépuceler comme une sauvage dans les bois, je rêvai déjà et encore d’en goûter, mais bizarrement, celui de mon propre frère.
Le lendemain, je me réveillai tôt en même temps que les parents parce que j’avais une terrible envie de les serrer dans mes bras. Je prétextai ne plus avoir sommeil, mais je pense qu’involontairement je voulais juste comme me faire pardonner pour mes pensées dérivantes. Yann était réveillé lui aussi parce qu’il partait avec les parents, il travaillait depuis quelques mois déjà dans l’entreprise familiale. Yann réagissait comme si de rien était pendant que moi, j’étais toujours très perturbée.
Une fois qu’ils avaient quitté la maison, ma curiosité me poussait à vérifier dans ce fameux bac à linge sale si ma petite culotte y était. Enfin, je la trouvai, mais bizarrement bien enfouie sous tout un tas d’autres vêtements. Son état d’être comme un peu taché et humide m’interpellait. Je l’avais sortie du panier et je remarquai comme une substance un peu gluante qui retenait le tissu froissé sur lui-même. Curieusement je la portai à mon nez tout en grimaçant d’avance. J’étais très surprise de découvrir une forte odeur âcre mélangée à je ne sais quoi. Cette odeur si bizarre me semblait incontestablement la même qui se dégageait du tee-shirt de Charles. J’étais encore plus surprise de comprendre que mon cochon de frère s’était permis de se soulager sur ma petite culotte. J’avais de gros frissons d’étonnement, et je rangeais mon sous-vêtement à la même place.
Comme j’étais adulte, j’avais demandé à mon médecin de me prescrire des pilules, mais j’avais opté pour l’implant contraceptif au bras. Le week-end, je retrouvai Charles. Comme par hasard, nous nous sommes retrouvés au même endroit pour avoir notre deuxième rapport sexuel, et enfin faire l’amour pour la première fois. Il était un peu trop sage, et moi tellement excitée que je l’avais carrément chevauché pour mener la cadence. Je fermai ainsi les yeux pour mieux satisfaire mon plaisir de m’imaginer sur le gros sexe de Yann qui hantait mes désirs.
Les jours suivants, je devenais comme parano. Tous les matins avant de me doucher je vérifiai ma culotte que j’avais mise dans le bac à linge sale la veille, et que j’avais placée exprès un peu au-dessus des autres vêtements. Bizarrement, je n’étais pas surprise de la retrouver plus en dessous et toute souillée de sperme encore tout frais. Je devinai que Yann devait se soulager avec le matin même avant de partir.
Je m’habituai à l’odeur de son sperme qui m’excitait de plus en plus, et j’osai jusqu’à me caresser en promenant ma culotte souillée sur mes seins et à mon entrejambe. Je me masturbai carrément avec.
Une semaine plus tard, dont un lundi que j’avais soigneusement choisi, j’avais prétexté être un peu malade et très fatiguée à mes parents qui avaient préféré que je reste tranquillement à la maison. Je savais très bien que le lundi était le jour de l’inventaire à l’entreprise de mes parents, et que Yann restait à la maison. Même si j’étais très inquiète de ce que je manigançais, je restai drôlement excitée.
J’avais le droit de rester dans ma chambre toute la journée sans rien faire. Je devais juste rester au lit et me reposer.
J’étais contente d’entendre Yann que je n’avais pas encore croisé ce matin-là, siffler son air préféré en montant et descendant les escaliers, et de temps en temps, passant devant ma chambre. Mon cur s’accélérait à chaque fois que ses pas s’approchaient, et j’étais à chaque fois très déçu qu’il n’ouvre pas ma porte.
Puis je n’entendais plus ses pas, mais juste son sifflement résonnant un peu au rez-de-chaussée. Je décidai donc de quitter ma chambre pour me rendre à cette fameuse salle de bain, et je me préparai à me doucher tout en laissant la porte entre-ouverte. Je faisais couler l’eau de la douche suffisamment fort pour que Yann entende. Aussitôt s’était arrêté son sifflement, je me dépêchai de me déshabiller. Je diminuai la pression du jet et je me lavai très lentement. Soudain des petits frissons parcouraient tout mon corps quand j’entendais des pas s’approcher doucement et s’arrêter suffisamment près de la porte. Je faisais comme si de rien nétait et je terminai tranquillement de me laver. J’avais enfin pu voir la présence de Yann en me retournant pour sortir de la douche. J’évitais de croiser son regard pour le moment.
Je m’épongeais juste un peu, et tout en gardant mon regard vers le sol, je quittai la salle de bain entièrement nue en le croisant juste devant la porte. Je remarquai qu’il était torse nu et portait ce genre de short long de sport à la mode.
Je me dirigeais tranquillement vers ma chambre. Je laissai la porte de ma chambre grande ouverte et je m’allongeais sur le dos sur mon lit.
Les pas de Yann s’approchaient lentement de ma chambre. Il était arrivé à ma porte. Cette fois-ci, je le regardai droit dans les yeux, juste quelques secondes sans dire un seul mot, puis je retournai ma tête pour fixer le plafond, et enfin je fermai les yeux.
Yann semblait réfléchir, mais ses pas traînant sur le sol trahissaient toujours son approche. Il était près de mon lit, certainement à admirer ma nudité. Puis je sentis ses doigts frôler mon sein à sa portée. Je frissonnai de surprise et de plaisir. Sa main finit par envelopper ce même sein qu’il massait doucement, puis ses doigts se rapprochaient très lentement de ma pointe jusqu’à l’atteindre et la faire rouler. Je frissonnai de plus belle en laissant échapper un petit gémissement que je ne pouvais contrôler. Yann en faisait de même avec mon autre sein avant de descendre cette même main doucement sur mon ventre, ensuite sur mon pubis. Sa main se faufilait à mon entrejambe pendant que son autre main s’occupait à son tour de mes seins en continuant à rouler mes pointes sensibles entre les doigts. Sa main entre mes cuisses caressait mes lèvres intimes et ses doigts se promenaient fièrement dans le sillon humide.
Ma respiration s’accélérait, et s’entendait encore plus clairement quand un de ses doigts rentrait peu à peu dans mon vagin.
Je sentais le poids de Yann de plus sur mon lit, jusqu’à sentir tout son corps complètement allongé sur le mien. Je sentais sa respiration forte souffler dans mon cou. En s’aidant de ses jambes, il écartait les miennes pour s’y placer entre, et j’entendais nettement le bruit de son short à élastique qui se rabaissait. Son sexe touchait le mien et se frottait sur mes lèvres. Sa main retournée entre mes cuisses guidait soigneusement son pénis à l’entrée de mon vagin. Je sentais mon sexe s’ouvrir plus largement qu’avec mon copain. Yann me pénétrait doucement, mais d’un seul trait. Je gémissais pour de bon, j’avais bien raison de la grosseur de son pénis et j’étais encore plus que contente de l’avoir en moi.
Yann m’avait fait quelques petits bisous dans le cou, et il s’était levé un peu le torse en se tenant sur ses mains pour sans doute mieux admirer le balancement de mes gros seins à chacun de ses coups longs, mais pas forts entre mes cuisses bien écartées.
Je n’aurais jamais pensé que mon frère m’offrirait un si bon moment de plaisir. Mon excitation était au plus haut tellement je me sentais bien remplie par son gros pénis. Je finissais par jouir tout mon plaisir en m’agrippant de toutes mes forces au drap du lit et de gémir encore plus fort. Yann remarquait certainement ma jouissance qu’il accélérait sa cadence. Il jouissait à son tour en gémissant doucement et bizarrement comme s’il se retenait de crier.
Une fois qu’il avait fini de se vider en moi, Yann avait déposé un baiser sur ma bouche et avait quitté de suite ma chambre.
Je voulais rester un moment sur mon lit pour me remettre doucement de mes émotions, mais j’étais tellement épuisée que je m’étais assoupie.