Il est 18h30 quand les lumières du couloir s’éteignent. A cette heure-ci, il ne doit plus rester grand monde dans le bâtiment. En tout cas personne à cet étage. Personne sauf Julie. Elle était là, dans la salle, si discrète que je ne l’avais même pas vue.

Ceci étant dit, nous nétions pas vraiment amis. De simples connaissances seraient plus justes. Nous avons dû discuter une fois ou deux.

Elle se lève. Je pensais qu’elle allait partir, mais en réalité elle se dirigea vers moi.

Excuse-moi de te déranger pendant que tu travailles. Mais pourrais-tu m’aider ? Je ne comprends pas bien un morceau de mon cours.

J’avais la réputation d’être un bon élève, mais pas celle d’être celui qui aidait volontiers. En fait, elle et moi avions un point en commun. Nous avions peu d’amis.

Euh. OK. Fais-moi voir.

Je n’étais pas spécialement enchanté, mais je ne pouvais pas refuser sa demande ainsi…

Elle s’asseyait à côté de moi et me montra le passage qu’elle ne comprenait pas.

Il était simple pourtant. J’entrepris alors de lui expliquer, mais je n’eus jamais l’occasion de prononcer le moindre mot.

Sa main sur mon sexe eut le même effet qu’une gifle. J’étais comme paralysé. Enfin, pas tout mon corps. Une partie (et vous devinez laquelle) était tout sauf paralysée.

Elle me regardait. Je ne sais pas si c’était l’excitation grandissante ou le fait que je ne l’avais jamais vraiment regardée, mais elle était belle. Ses yeux marron tirant sur le vert brillaient tout en me fixant. Ses lèvres m’appelaient. Proche comme elle l’était, je pouvais voir son soutien-gorge blanc et la forme de ses seins. Sa chemise était légèrement déboutonnée. Elle devait avoir un bon 95C. Elle était ronde, mais pas trop. Les cheveux coupés au carré.

Sa main s’activa sur mon sexe déjà bien dur. De simple caresse d’abord, puis elle entreprit de déboutonner mon jeans. Ce n’est que lorsque son visage me masqua mon champ de vision que je recommençai à bouger. Mais je ne pus rien faire ni dire, car elle m’embrassa. Sa langue cherchait à pénétrer ma bouche. Je lui permis l’accès au moment même où sa main pénétra mon boxer pour saisir ma queue déjà raide.

Je l’embrassai goulûment en retour. J’avais envie d’elle, ma main alla à la rencontre de son sein. Je le pressai, le malaxais.

Baisse ton jeans et ton boxer.

Je savais que c’était risqué vu l’endroit où nous étions, mais je voulais prendre ce risque, je ne pouvais plus réfléchir autrement. Jobtempérai.

Elle aussi sans que je n’eus à lui demander quoi que ce soit, déboutonna totalement sa chemise. Elle retira son jeans, mais garda sa culotte pour mon plus grand déplaisir.

Tu n’enlèves pas ta culotte ?

Non, imagine quelqu’un vient ici ?! Mais ne t’inquiète pas, ça ne gênera pas.

Comme pour me prouver que ce qu’elle disait était vrai, elle écarta sa culotte pour me laisser voir son sexe.

Il était poilu, néanmoins ses lèvres étaient entretenues, il n’y avait pas un poil dessus.

Elle s’abaissa pour se placer entre mes jambes. Mon regard capta sa main qui se dirigea entre ses cuisses. Je pus voir son visage changer quelques secondes lorsque ses doigts la pénétrèrent.

Je bandais dur en sachant qu’elle allait me sucer, cela faisait si longtemps que je n’avais plus rien fait…

Mon attente ne fut pas longue. Je sentis mon gland entrer dans sa bouche totalement. C’était chaud et humide et agréable. Elle ne perdait pas de temps. Elle s’activait déjà à me sucer dans les règles de l’art, avalant la moitié de ma queue à chaque fois qu’elle redescendait. Elle ne montait jamais plus haut que mon gland. C’était si agréable. J’eus le droit à cinq minutes de ce traitement.

Elle se releva, et sans dire un mot se positionna au-dessus de ma queue. Je posai mes mains sur ses hanches, tout en regardant sa chatte. Ma queue était si dure que l’on n’eut pas besoin de la tenir pour qu’elle puisse s’asseoir dessus.

A peine mon gland à l’intérieur, nous gémîmes de plaisir. C’était une fois de plus chaud et humide, cela restait bien différent de sa bouche. Elle était déjà trempée, conséquence de son doigtage.

Elle commença son va-et-vient au moment où sa chatte atteignit le bout de ma queue. Un va-et-vient ni rapide ni trop lent. Suffisant en tout cas pour sentir que je ne tiendrai pas longtemps !

Je mis le temps qu’il me restait à profit pour caresser ses seins à travers le soutien-gorge. Elle lut sûrement dans mes pensées, car elle sortit ses seins sans enlever le soutien-gorge.

Je les prends à pleine main, je les malaxe, joue avec les tétons. Elle gémit de plus en plus, je sens qu’elle va jouir elle aussi. Nous accélérons la cadence. Fou d’excitation, je maltraite ses seins, ma main gauche passant de son sein à ses fesses. Laissant ainsi la place à ma bouche qui vint titiller le téton gauche. Je le mordille, puis le lèche avant de sentir sa main derrière ma tête. Je la sens me pousser lentement, mais fermement contre son sein. Je me laisse une fois de plus faire. Après tout, mon attitude passive ne semble pas lui déplaire. Je lui bouffe le sein tout en pétrissant le second. La laissant sautiller sur ma queue prête à décharger…

J’eus à peine le temps de la prévenir que j’allais venir. Elle se retira et je giclai sur les poils de sa chatte en lâchant un soupir de plaisir.

Elle tremblait, j’en conclus qu’elle avait eu le temps de jouir. On se regardait en souriant. Elle est si belle…

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