Chapitre 8 : Les filles dressent Denis, mon voisin.

Comme je le lui avais promis, sil venait accompagnée de son épouse, Tanya et Stella allaient lui faire un strip-tease.

Je téléphonai à mon ami médecin, pour quil prolonge les arrêts maladie de mes chéries. Me connaissant, il se doutait bien pourquoi je lui demandais cela. Il savait bien également, que je nétais pas un ingrat, et quil aurait bientôt un retour à ce petit service.

Javais prévu une semaine bien chargée à mes chéries, mais cette fois ce serait pour Denis. Si tout se passait comme je limaginais, lui non plus ne se doutait pas de ce qui allait lui arriver.

Je le vis le dimanche soir, et lui annonçai que les filles feraient leur strip-tease dans laprès-midi du lendemain, vers la piscine. Il y avait un grand mur entre nos pavillons, mais je savais quil y avait une petite brèche dans celui-ci. Pas très grande, mais suffisante pour voir ce qui se passait de lautre côté, et pour que Denis puisse se rincer lil. Pour lui, les filles nétaient pas au courant quil serait derrière le mur.

Comme lui et Sonia avaient changé déquipe au travail, cétait lui à présent qui avait ses après-midi libres.

Comme je lavais fait pour Sonia, le lundi, jexpliquai mon plan pour la semaine, à mes deux amies. Il débuterait le jour même par une séance photo.

Jen avais déjà bon nombre de Tanya, mais aucune de Stella. Hormis celles prises avec Sonia. Cela me donnerait également loccasion den avoir de leurs ébats entre elles.

Cest donc vêtue, mais assez sexy, quelles prirent position devant la trouée du mur. Je navais pas précisé dheure à Denis, mais jétais sûr quil était venu derrière le mur, dés Sonia partie au travail.

Elles commencèrent par jouer à se chatouiller gentiment devant mon objectif. Peu à peu leur jeu les amena à retirer un vêtement. Leurs T-shirts les abandonnèrent rapidement. Elles samusèrent encore un petit moment avant de se retirer mutuellement leurs jupes. Elles étaient à présent uniquement vêtues de maillot de bains brésiliens ultra sexy. Un haut qui ne cachait que la pointe de leurs seins, et un bas constitué dune ficelle à larrière, et dun minuscule triangle à lavant. Il était si microscopique que lon voyait aisément quelles étaient épilées intégralement.

Elles jouèrent innocemment à essayer de se retirer leur maillot. Elles le faisaient comme si elles ne savaient pas épiées, mais elles en étaient bien sûr avisées. La totalité des seins de Tanya apparurent les premiers devant la brèche. Elle fit semblant dêtre offusquée, et nous tourna le dos, les exposant bien nettement au regard du voyeur. Pendant quelle avait le dos tournée, Stella en profita pour lui retirer rapidement le bas. Elle était maintenant entièrement en pleine ligne de mire de Denis.

Ce serait maintenant au tour de Stella. Tanya lui couru un moment après avant de la rattraper et de la faire tomber face à la trouée du mur. En rien de temps, le soutien gorge vola loin de sa propriétaire. Le string ne mit pas longtemps à le rejoindre. Dans leurs ébats, Stella en faisant semblant de se débattre, écarta brièvement les cuisses. Denis devait être fou dexcitation de voir lintimité de Stella soffrir ainsi à sa vue.

Moi qui connaissais parfaitement leurs corps, jétais dans un état pas possible. Je suis sûr que, de son côté, Denis sétait déjà masturbé au moins une fois à la vue du spectacle.

Lorsquelles se relevèrent, Tanya et Stella offrirent une dernière vue parfaite de leurs nudités, en sembrassant passionnément juste devant lanfractuosité de la muraille. Comme elles le faisaient volontiers à présent, elles se caressèrent intimement. Stella poussa même le vice à retourner Tanya pour quelle soit bien face à Denis, et lui offrit le spectacle de son doigt allant et venant entre les lèvres intimes de Tanya.

Pour ce dernier la séance était finie, mais pas pour mes chéries. Elles se déplacèrent pour ne plus être en vue du voisin, et continuèrent leur ébat allongées à mes pieds. Pour faire bonne mesure, elles commentaient leurs gestes et leurs sensations de vive voix. Si Denis navait plus limage, il avait toujours le son, ce qui devait être encore plus exaspérant pour lui. Lorsquelles arrivèrent au plaisir, même Tanya habituellement silencieuse à ce moment là, se lâcha bruyamment en en rajoutant.

Elles me déshabillèrent ensuite rapidement et se jetèrent immédiatement sur ma virilité, en marrachant mon maillot. Leurs bouches eurent rapidement raison de moi. Et bien que je me libère assez silencieusement, Denis ne pouvait pas ignorer ce quelles me faisaient subir.

Encore une excellente journée pour tous, en particulier pour mon voisin, qui ne devait pas voir cela tous les jours.

Il me guetta en fin daprès-midi pour me remercier, mais comme je my attendais, le bougre en voulait davantage :

— Tu as vraiment de la chance dêtre avec deux filles comme cela. Jaimerais bien être à ta place.

Puis il continua sur sa lancée.

— Cétait bien, mais derrière mon mur, je ne pouvais pas profiter pleinement.

— Comme tu nas pas lair jaloux, et si elles étaient daccord, jaimerais bien quelles me refassent une petite séance, mais juste à côté de moi.

Le début de mon plan se déroulait comme prévu. Je répondis favorablement à sa demande :

— Jétais sûr que tu me demanderais cela, et jen ai déjà parlé aux filles.

Je le fis mijoter quelques secondes avant de continuer :

— Elles sont daccord pour que tu viennes ici demain, mais, car il y a un mais. Comme elles ne te connaissent pas trop, et quelles nont pas encore assez confiance en toi, elles veulent bien, mais à condition quelles tattachent pour que tu ne leur sautes pas dessus.

Trop heureux de cette proposition, Denis enchaîna :

— Tu sais quelles peuvent avoir confiance, mais si cest cela quelles veulent, je suis daccord.

Il fronça les sourcils un peu inquiet, avant de me demander :

— Je ne voudrais pas que cela te gêne, et puis je nai rien à toffrir en échange :

— Ne tinquiète pas. Dis-je pour le rassurer. Je ne suis pas jaloux du tout, et puis si les filles sont daccord, je ne vois pas pourquoi je ne le serais pas.

— De toute façon, demain, je pars en déplacement assez loin, et je ne reviendrai quassez tard. Il faudra te débrouiller tout seul avec elles.

Cette dernière phrase acheva de le tranquilliser. On se quitta en se donnant rendez-vous pour quil me raconte comment cela sétait déroulé.

Je jubilais en mon for intérieur, il ne savait pas ce que javais préparé, et ne connaissait pas la détermination de Tanya et de Stella.

En début daprès-midi, il vint sonner à la maison. Les deux filles lui ouvrirent en maillot de bain deux pièces, pas les brésiliens, mais dautres assez sexy tout de même. Elles se firent très chattes pour le guider jusquà lavancée. Comme convenu il se laissa faire gentiment, lorsquelles lui lièrent les mains au dessus de la tête. Le spectacle pouvait commencer.

La première chose quelles firent, fût de sembrasser tendrement à quelques centimètres de lui. Puis Tanya se plaça derrière Stella, qui faisait face à Denis. Elle lui passa les mains avec douceur sur tout le corps, sattardant en particulier sur ses seins. Lorsque ceux-ci pointèrent à travers le fin tissu du soutien-gorge, elle détacha les ficelles reliées dans le dos. Denis ne pouvait pas encore voir les seins de Stella dans leur globalité, mais cela ne tarderait pas. Quelques minutes plus tard, ce fut chose faite, le maillot venait de glisser aux pieds de Stella.

Elles échangèrent leurs places, et Stella prit elle aussi bien son temps pour mettre les seins de Tanya à nu.

La bosse qui déformait le short du voisin, prouvait que le spectacle lui plaisait.

Tanya lui lança alors :

— Hier, cest toi qui tes bien régalé. Aujourdhui, cest à notre tour.

Puis elle prit une paire de ciseau quelle avait caché non loin de là, et savança vers Denis. Dans le même temps, Stella commença à prendre des photos du tableau offert par Denis.

Celui-ci était un peu inquiet de ce quallait faire Tanya avec ses ciseaux. Il fut rassuré de constater quelle ne découpa tout simplement que son short, puis son T-shirt, ne lui laissant que son slip.

La bosse sembla encore prendre du volume. Stella le lui fit remarquer :

— On dirait que cela texcite encore plus que de nous voir.

Il aurait eut du mal à dire le contraire.

Cest Stella qui découpa le dernier rempart cachant la virilité du voisin. Tanya qui avait prit le relais aux photographies, avait mitraillé la scène, en particulier des gros plans au niveau de son intimité.

Denis était maintenant entièrement nu devant les deux filles. Celles-ci se moquèrent gentiment de son état, et le délaissèrent un instant, pour sembrasser de nouveau.

Cette fois le baiser fut encore plus passionné, Stella avait passé une main dans le bas du maillot de Tanya, et ne se gênait pas pour la caresser amoureusement. Pour ne pas être en reste Tanya fit de même.

Denis était enragé de voir ce spectacle sans pouvoir intervenir.

Délaissant leurs embrassades, Tanya revint vers le voisin, Stella reprit lappareil photo en main.

Pendant que lune immortalisait la scène pour léternité, lautre commença à caresser le corps offert. Après avoir débuté par le cou de Denis, Tanya fit courir ses mains sur la poitrine offerte, samusant à lui titiller les seins. Après un petit moment, les mains continuèrent leur descente jusquà la virilité tendue. Elle prit le sexe du voisin, et agita longuement sa main, en une lente mais sensuelle masturbation.

Denis nen revenait pas de ce qui lui arrivait, il avait vraiment de la chance davoir de telles voisines. Il allait déchanter dans peu de temps.

Sentant quil était à point, Tanya neut quun ou deux mouvements plus rapides à faire, pour quil se libère. Cest ce quil fit en fermant les yeux, il ne put donc voir Stella mettre ses mains devant sa virilité, et recueillir le maximum de liqueur.

Lorsquil ouvrit les yeux et sortit de son état dhébétude, la première chose quil vit, ce furent les mains de Stella, maculées de traces blanchâtres, juste devant ses lèvres. Et Stella qui lui dit calmement :

— Ce nest pas bien de te lâcher comme cela sans notre permission. Regarde dans quel état sont mes mains, dépêche-toi de nettoyer tout cela.

Denis comprit immédiatement ce quelle voulait, et répugnait à le faire.

Tanya lui précisa alors :

— Nous avons tout notre temps. Tu resteras attaché tout le temps que tu ne céderas pas.

Après plusieurs minutes, Denis navait toujours pas craqué, et Stella avait toujours ses mains devant sa bouche. Il comprit que les filles étaient bien résolues à lui faire goûter sa semence. Il avança timidement sa langue. Les filles comprirent quelles avaient gagné, et Stella colla carrément sa main sur la bouche de Denis. Le malheureux neut pas dautre choix que de tout avaler. Pour bien faire, elle lui fit également sucer tous ses doigts, un par un. Tanya en rajouta à son malheur, et frottant un des siens vers le nombril du voisin, et en lui annonçant en riant.

— Tiens, il y en a encore un petit peu là. Ce serait dommage de le laisser perdre.

Et elle lui fit elle aussi, bien lécher son doigt.

— Comme tu as eu ton plaisir, cest à notre tour à présent. Communiqua Stella à son intention.

Puis les deux filles se prirent par la taille en riant, et séloignèrent hors de portée de la vue de Denis.

Pendant presquune demi-heure, le malheureux put entendre les soupirs et les râles de ses deux tortionnaires, sans pouvoir les voir.

En revenant, elles constatèrent que Denis présentait une demi-érection. Tanya prit une cravache non loin de là, et lui tapota légèrement les bourses avec, en lui disant.

— On va faire redresser tout cela.

A peine eut-elle cessé avec la cravache, que le sexe se redressa un peu plus.

— Oh ! Oh ! Dis Tanya. On dirait que tu apprécies ma cravache.

Sans vouloir se lavouer, Denis commençait à apprécier cette situation : être aux ordres de deux filles. Et celles-ci sen étaient rendues compte également.

Tanya continua en frottant ses seins sur Denis. Elle nétait pas encore arrivée à son sexe, que celui-ci affichait une belle raideur. Elle le prit alors en main, et refit les mêmes gestes que Stella un peu avant. Une nouvelle fois, Denis se libéra entre les doigts de sa « tortionnaire ».

Tout comme Stella, Tanya avança sa main près des lèvres de Denis. Elle neut rien besoin de lui demander, il nettoya proprement de sa langue toutes les traces quil venait de laisser.

— Tu es un bon petit. Enonça Stella. Nous allons te détacher, et tu vas rentrer chez toi. Si tu en veux davantage, reviens demain, on soccupera encore mieux de toi. Tu as intérêt à être ponctuel.

Stella et Denis ne pensaient certainement pas aux mêmes choses.

Il partit rapidement entièrement nu, les filles lui avaient confisqué ses vêtements importables, en essayant dêtre le plus discret possible pour ne pas se faire voir des passants ou des autres voisins.

Maintenant, il restait à voir sil reviendrait le lendemain.

En rentrant du travail, je guettai Denis. Lorsque je le vis, il semblait embarrassé de venir vers moi.

— Alors comment sest passée cette journée. Lui demandai-je.

Il était encore plus emprunté pour me répondre, je voyais quil ne savait pas trop quoi me dire.

— Super, elles ont été très charmantes avec moi. Me mentit t-il.

La vérité je la sus en voyant mes deux compagnes.

Le lendemain, Tanya et Stella était un peu soucieuses. Allait til revenir. A lheure dite, elles furent satisfaites en le voyant arrivé tout décontracté.

Elles le guidèrent une nouvelle fois vers lavancée, en lui disant :

— Tu connais la rituel, alors lève bien tes mains.

Lorsquelles furent bien attachées, une petite nouveauté sajouta au programme. Elles lui lièrent également les pieds, mais après une barre, de manière à ce quil ne put pas resserrer ses jambes.

Stella attaqua la première :

— Tu nas pas compris la leçon dhier.

Et elle lui découpa une nouvelle fois tous les vêtements quil portait.

— Chaque fois que tu viendras ici, tu devras te présenter nu devant nous.

Lui annonça-t-elle dun ton autoritaire. Pendant ce temps Tanya était partie à la maison, chercher le nécessaire pour le raser. Comme elle lavait fait pour son épouse la semaine précédente.

En devinant ce qui allait lui arriver, il eut un cri venant du cur :

— Tu ne vas pas faire cela.

Tanya lui répondit assez sèchement :

— Dabord tu ne me tutoies plus, ce sera Maîtresse Tanya et Maîtresse Stella, quand tu tadresseras à nous maintenant. Ensuite on ta promis que tu en aurais davantage, alors on tient notre promesse. Tu trouveras bien une explication pour ton épouse. Et essaie de ne pas bouger, si tu ne veux pas être coupé.

Stella avait prit lappareil photos, et continuait ses prises de vue sur Denis.

Et sans plus attendre Tanya commença par dégrossir la toison pubienne avec une tondeuse. A un moment donné, elle le coupa légèrement.

— Aie ! Fit-il. Fais attention tout de même même.

Un premier coup de cravache lui zébra les fesses.

— Tu nas pas compris nos consignes. Ladmonesta Stella. Il y en aura dautres chaque fois que tu ne te tiendras pas bien.

— Excusez-moi Maîtresse Stella. Répondit-il.

— Tu comprends vite cest bien. Lui répliqua-t-elle.

Le rasoir prit ensuite la relève pour retirer ce qui restait, sur le devant. Elle empoigna ses petites boules, pour les raser tout aussi méticuleusement. Lorsque le devant fut net de poils, son sexe avait déjà pris du volume. Stella lenduisit alors dhuile parfumée, de même que ses bourses, et massa lensemble avec application pour bien faire pénétrer le produit. Bien évidemment, cette friction eut un effet secondaire sur Denis, qui se lâcha dans les mains de sa masseuse.

Cette dernière, sans en être offusquée, tendit naturellement ses mains vers la bouche de Denis. Comme il lavait fait la veille, il nettoya les mains de toutes ses souillures.

Il le faisait maintenant sans aucun dégoût, comme si cela lui fût naturel. Dailleurs, il était de moins en moins choqué par lattitude des deux filles, il semblait même quil commençait à y prendre un semblant, non pas encore de plaisir, mais au moins de contentement.

De nombreuses photos le montreraient dans une situation délicate vis à vis de sa femme, mais cela navait pas lair dêtre une grande inquiétude pour lui.

Tanya lui délia les mains, en lui disant :

— Tu vas te mettre à quatre pattes, Stella va soccuper de larrière.

Il se mit en position malgré la barre qui lui entravait les pieds, il avait les fesses bien ouvertes devant les filles. Celles-ci se moquèrent de lui, et prirent de nombreux clichés de lui dans cette position avilissante.

Le rasoir reprit son travail sur la partie arrière des bourses de Denis. Aidée par Tanya qui écartait les fesses de Denis, Stella finit de le débarrasser des poils superflus de sa raie, et de ceux qui ornaient le pourtour de son petit trou.

Tanya fit couler ensuite de lhuile sur le bas du dos de Denis. Celle-ci sécoulait lentement entre ses fesses, jusquà sa verge. Stella fit comme devant, en étalant le produit partout sur les endroits fraîchement rasés.

— Remets-en encore. Glissa-telle à Tanya, qui ne se fit pas prier pour en mettre une bonne dose.

Cette fois Stella ne laissa pas la substance aller trop bas. A laide de son majeur, elle la fit pénétrer dans lorifice présenté. Puis elle continua longuement à laide de lents mouvements de va-et-vient. Denis fut troublé par cette pénétration, mais pas offusqué, un début dérection commença à lui parcourir le bas ventre.

Stella fut la première à sen apercevoir, elle le fit remarquer à Tanya qui braqua à présent lobjectif de son appareil dans cette direction. Puis elle prit le vibromasseur que Tanya avait apporté avec le nécessaire de rasage. Elle le présenta à Denis en lui disant :

— Mouille le bien, si tu veux quil entre facilement.

Avec lanus lubrifié par lhuile, ce nétait pas nécessaire, mais Stella voulait lui faire passer une étape supplémentaire dans son asservissement.

Denis se contenta de le lécher de la pointe de la langue, mais ce nétait pas suffisant. Un nouveau coup de cravache le rappela à lordre. Denis se mit à le sucer alors avec application, comme sil faisait une fellation.

— Cest dommage que tu ne comprennes pas assez vite. Lui lança-t-elle. Si ça continue, Sonia ne va pas te reconnaître.

— Pardonnez-moi Maîtresse Stella, je vais mieux mappliquer. Sexcusa-t-il.

Stella lui reprit le vibro, et lui enfonça sans ménagement dans le fondement. Le premier effet de surprise passé, Denis se mit au diapason des mouvements de Stella. Son érection était au summum à présent, et peu de temps après il se libéra sur le carrelage.

— Je crois quon peut essayer de lui libérer les pieds. Proclama Tanya. Nous verrons sil est digne de nous.

Lorsquil pu retrouver ses mouvements, Denis recula légèrement, et pour faire plaisir à ses Maîtresses, il lécha le sol quil venait de maculer.

En à peine deux jours, il était devenu un gentil toutou pour ses Maîtresses. Mais il avait encore des choses à apprendre.

— Tu vas venir vers la piscine à quatre pattes, pour que lon fasse encore quelques photos. Lui ordonna Tanya.

Elle partit devant, suivie par « toutou Denis », cest comme cela quelles le nommèrent à présent, puis par Stella fermant la procession.

Il prit toutes les poses sollicitées, les plus classiques comme les plus dégradantes. Il venait de découvrir sa véritable nature de soumis, et était heureux de leur faire plaisir.

— Demain, nous auront encore de nouvelles surprises pour toi. Annonça Stella avant de lui rendre sa liberté.

Avant de se relever, il baisa les pieds de ses deux tortionnaires. La question ne se posait plus à présent, accro comme il létait, il ne manquerait pas le rendez-vous du lendemain.

Les filles furent surprises dentendre le carillon du pavillon sonner, cétait Denis qui était en avance, et qui se présentait entièrement nu devant elles.

— Cest très bien. Tu vois quand tu veux. Le stimula Tanya. Viens nous avons une surprise pour toi. Mais avant tu vas aller fermer le portillon que tu as laissé ouvert.

Il piqua un tel sprint pour ne pas être vu quil aurait pu décrocher une médaille aux jeux olympiques.

Arrivé dans le jardin, Denis se dirigea directement vers lavancée pour y être attaché.

— Pas pour linstant, peut-être plus tard, on verra. Précisa Stella.

Elles le firent sallonger sur le sol, et lui montèrent debout sur le ventre, puis commencèrent par sembrasser en se caressant. Même si elles avaient gardé leurs maillot, Denis avait une vue directe sur elles, surtout quand lune des mains de ses maitresses sinfiltrait dans lintimité de lautre. Les premiers effets se firent ressentir, sa virilité prenait rapidement du volume.

— Comme tu as été gentil jusquà présent « toutou Denis », tu auras le droit de nous lutiner le minou. Annonça Stella.

— Mais comme tu es trop impulsif, tu nauras pas le droit de nous voir. Précisa Tanya en lui tendant les lunettes.

« Toutou Denis » les passa rapidement, Tanya enchaina alors :

— On va voir si tu as du flair, et si tu es un bon chien. On va se mettre quelque part dans le jardin, et tu vas nous chercher à quatre pattes. Si tu nous trouves, tu auras le privilège de nous caresser avec ta langue.

Elles se placèrent assez loin de lui, juste pour avoir le plaisir de le voir déambuler comme un petit chien.

Denis partit ensuite à leur recherche, mais comme il ne connaissait pas très bien les lieux, il se buta contre de nombreux objets, et faillit tomber plusieurs fois dans la piscine. Enfin, il trouva Stella.

Il ne mit pas longtemps à coller sa langue sur le bas de son maillot, quil commença à lécher goulûment. Lorsquelle commença à être excitée, elle lautorisa à lui retirer son maillot avec ses dents. A un moment où il était trop empressé, il mordit involontairement Stella. Un violent coup de cravache sur le dos le fit sursauter. Il reprit ses efforts en faisant davantage attention à ce quil faisait.

Le maillot supprimé, il put enfin continuer ses coups de langue directement sur la peau de Stella. Cette dernière le guidait à petits coups de cravaches, sur lépaule droite ou celle de gauche, ou encore directement sur la tête lorsquil faisait bien.

Tanya sétait approchée discrètement, et remplissait son appareil photo.

Stella était vraiment très excitée par la situation, et ne put se retenir longtemps. Cest en bloquant la tête de Denis avec ses genoux quelle prit son pied.

Pour le féliciter, elle lui offrit un cadeau :

— Tu es un bon chien, tu mérites un cadeau.

Et elle lui passa un véritable collier de chien autour du cou.

A présent, il partit à la recherche de Tanya. Pour samuser, cette dernière changeait de place en silence, chaque fois quil sapprochait trop delle. Elle le fit mariner ainsi pendant plus dun quart dheure, la queue entre les jambes.

Ce nétait pas une phrase en lair, Denis navait pas débandé depuis quil avait trouvé Stella.

Enfin Tanya se lassa de son petit jeu, mais surtout elle était bien excitée, et voulait avoir sa part de plaisir. Elle avait retiré entièrement son maillot depuis longtemps.

Lorsquil la trouva enfin, Denis voulut placer directement sa tête entre les cuisses de Tanya. Mais cette dernière voulait faire durer son plaisir. Avec la cravache, elle le guida en premier vers sa poitrine. En petit chien bien dressé, Denis écouta sa Maitresse, et commença par titiller la pointe des seins déjà bien dure. Elle continua ensuite de le guider de la cravache, vers son entrejambe, lui aussi déjà bien humide. Elle lui ordonna de la laper doucement. Il passa alors sa langue doucement de bas en haut, et recommença jusquà ce que Tanya en soit rassasiée. Elle lui plaqua ensuite la tête en direction de son petit bouton, en lui ordonnant :

— Lèche-moi bien fort sinon gare à toi.

Il sappliqua si bien que son calvaire prit rapidement fin, avec la jouissance de Tanya. Lui aussi était si excité quil se libéra juste après elle. Malheureusement pour lui, une petite gerbe de sa semence atterrit sur une cuisse de Tanya.

Même si elle était flattée de lui avoir donné du plaisir sans même le toucher, elle ne pouvait tout de même pas laisser passer cet écart de conduite sans rien dire. Et puis « toutou Denis » était encore en plein dressage.

— Espèce de porc. Lui cria-t-elle au visage. Tu ne pouvais pas te retenir. Je vais tapprendre à respecter tes Maitresses.

Et elle lui asséna plus dune dizaine de coup de cravache, sur les fesses et le sexe. Denis faisait ce quil pouvait pour éviter les coups, mais Tanya arrivait toujours à frapper lun des deux endroits quelle visait.

Lorsquelle fut enfin calmée, Denis lui lécha les pieds en signe de soumission, et lui dit dun air contrit :

— Pardonnez-moi Maîtresse Tanya. Je ne recommencerai plus.

— Tu as intérêt, car la prochaine fois ce sera pire.

— Mais comme tu tes montré doué, et que je taime bien, je vais moi aussi toffrir un cadeau.

Et elle attacha une laisse en fer après son collier. Denis était très fier de ces cadeaux, preuves que ses deux Maitresses tenaient un peu à lui.

Elles le promenèrent ainsi harnaché dans tout le jardin, puis elles le guidèrent jusquà lentrée de la propriété. En lui retirant les lunettes, elles lui dirent alors :

— Va, et tache de venir demain avec tes cadeaux.

En voyant ou il était, Denis se dépêcha de rentrer chez lui avant dêtre vu. Au début toujours à quatre pattes, et se relevant ensuite, dès quil fût sûr dêtre hors de vue de Tanya et de Stella.

Les deux filles lobservèrent en riant de le voir essayer de courir comme un chien.

Le jeudi, à peine eut-il sonné, et que Stella lui ouvrit la porte, et lui lança sa première réprimande de la journée :

— Où est-ce que tu as vu que les chiens se tenaient debout ? Tu te crois au cirque peut-être.

Denis tomba immédiatement à quatre pattes. Stella enchaina immédiatement :

— Apporte la laisse à Maîtresse Tanya, quelle aille te promener.

Denis prit la laisse qui trainait par terre, la mit dans sa bouche, et se dirigea vers Tanya.

Cette dernière lui caressa le dos et le haut des fesses en lui disant :

— Brave chien « toutou Denis ». Et elle lui donna un sucre.

Lorsquils arrivèrent vers le jardin. Tanya lui montra lavancée. Cétait un reflexe maintenant pour Denis quand il était à cet endroit, il levait les bras, et écartait les jambes.

Lorsquelle lui eut lié les bras, elle lui expliqua :

— Je nai pas aimé du tout hier quand tu mas souillé avec ta semence. Jai trouvé quelque chose pour éviter que tu ne recommences. Et elle lui présenta une cage de chasteté pour sexe masculin, en lui ordonnant de bien écarter les cuisses.

Denis nétait pas spécialement heureux de ce cadeau, mais naurait pas osé en faire la remarque. Lorsquelle eut emprisonné le sexe du malheureux, ainsi que ses bourses, elle verrouilla lensemble dun cadenas, en lui précisant :

— Il faudra que tu sois très gentil, et très obéissant pour quon te libère de temps en temps. Tu te débrouilleras avec Sonia pour lui expliquer sa présence.

— Stella intervint à son tour :

— Regarde les beaux jouets quon a pour toi.

Elle lui présenta deux godes-ceintures. Rien quà leur vue, le sexe de Denis commença à vouloir prendre forme, mais malheureusement, il ne pouvait plus à présent.

Lorsquelles eurent fixé chacune un gadget, elles le détachèrent, et le firent mettre à genoux. Puis lui approchèrent toutes deux leur sexe factice devant le visage. Denis commença par lécher et enfourner celui de Stella, puis celui de Tanya, et de nouveau celui de Stella, puis encore celui de Tanya. Ainsi de suite pendant un long moment, Denis commençait à avoir mal aux mâchoires.

Lorsquelles en eurent assez, elles lui mirent les lunettes, et le firent mettre à quatre pattes, puis se positionnèrent à genoux chacune dun côté de lui. Tanya vers ses fesses, tandis que Stella resta devant son visage. Tanya le pénétra sans ménagement, et commença à se balancer davant en arrière, fiché entre ses reins. Stella neut rien dautre à faire que de laisser la tête de Denis se balancer au même rythme, mais en faisant tout de même attention que son gadget reste toujours bien coulissant entre ses lèvres. Son supplice dura encore un bon moment, avant que je narrive vers eux en silence.

Javais prévu moi aussi de profiter de Denis pour lui donné une petite leçon. Il marrivait davoir des aventures avec des garçons, mais cétait assez rare. Je préférais la compagnie des filles.

Lorsque je fus prés de Stella, Tanya lui annonça :

— Nous avons une surprise pour toi. Nous avons invité un ami qui aime bien les hommes. Cela te changera de ces gadgets en plastique, je suis sûr que tu vas aimer.

Denis ne pipa mot, mais à sa tête cela navait pas lair de le réjouir.

Javais déjà une érection suffisante pour le pénétrer, ce que je fis dès que Stella me laissa sa place. Je repris immédiatement la cadence quelle avait juste avant.

Denis navait pas marqué de réaction spéciale à ce permutation, il continuait de se laisser balancer en suivant le rythme que je lui imposais. Je me fis plaisir pendant quelques minutes, mais avec les garçons, ce nétait pas par là que je préférais me défouler.

Je labandonnai alors pour remplacer Tanya, qui vint aussitôt prendre ma place. Stella soccupait des photos.

Lorsque je lui présentai mon sexe, Denis détourna la tête. Il ne voulait pas goûter un sexe qui sortait de son arrière train. Quelques coups de cravaches eurent raison de sa velléité, il me prit aussitôt entre ses lèvres. Je lui pris la tête pour imposer mon balancement. Comme je ne pouvais pas parler, pour quil ne devine pas qui était linvité des deux filles, je faisais des signes à Tanya qui traduisait.

— Sers-toi de ta langue à présent, en commençant par les bourses.

Des petits coups de cravache lui imprimaient la cadence. Peu après :

— Prends les bourses dans ta bouche.

Denis, pour un profane, ne se débrouillait pas trop mal, en tout cas il essayait de donner le meilleur de lui-même.

— Va lécher le petit trou à lextrémité, applique-toi bien à cet endroit.

Lorsque je sentis que jétais bientôt prêt, je repris possession de sa bouche. Et cest restant bien calé au fond, que je lâchai un premier jet. Celui-ci disparu rapidement au fond de sa gorge. Les suivants prirent le même trajet, jusquà la dernière goutte.

La dernière parole fut pour Stella, qui lui intimait de lécher consciencieusement pour bien me nettoyer.

Avant de repartir, je fis un petit bisou aux deux filles. Stella reprit aussitôt lusage des lèvres de Denis.

Ce dernier avait mal aux mâchoires de mavoir longtemps sucé, mais également à son bas-ventre, qui aurait bien voulut sévader de sa petite prison.

Juste après avoir cesser leur jeu, Denis eut droit à un dernier cadeau. Un plug, dassez gros diamètre, que Tanya se fit un plaisir de lui mettre en place, même si elle dut un peu forcer le passage :

— Tu le garderas 24 heures sur 24. Ne tavise pas de le retirer sans notre autorisation.

Comme la veille, elles le raccompagnèrent jusquau portillon, et Denis procéda lui aussi au même mode opératoire, pour rentrer chez lui.

Il y eut une petite variante le vendredi, afin de terminer la semaine en beauté.

Les deux filles invitèrent discrètement Sonia pour le lendemain, mon ami médecin était vraiment très serviable. Elles lui demandèrent de ne rien dire à Denis, et de faire comme si elle partait au travail. Sauf quelle devrait venir le plus discrètement possible à la maison.

Avant que Denis narrive, nous avions le temps de nous amuser un peu. Javais pris moi-aussi mon après-midi.

Dès que Sonia fut entrée, Tanya et Stella lobligèrent à se mettre nue devant moi. Elle hésita un peu, mais obtempéra tout de même à leur ordre. Sonia fut gênée dêtre ainsi exposée à ma vue. Elle semblait déjà avoir oublié que je lavais déjà vue dans la même tenue la semaine précédente.

Stella lui rappela quelle avait une dette envers nous :

— Comme nous tavons donné beaucoup de plaisir lautre semaine, cest à ton tour de nous en donner.

Sans lui laisser le temps de réfléchir, elle enchaîna :

— Mets toi à genoux tu vas commencer par Joshua (cétait moi)

Cest presque la larme à lil, quelle mhonora de sa bouche après mavoir entièrement dévêtu.

Elle navait pas lair davoir une grande expérience, mais de savoir quelle le faisait à contrecur mexcita beaucoup. Juste avant de me libérer, Tanya lui précisa quil était évident quelle devait tout avaler. Mon plaisir en fut encore plus intense.

Elle sappliqua de la même façon, à honorer mes deux compagnes.

Lorsquelle eut fini, Stella la guida vers le jardin, en lui expliquant:

— Maintenant, tu vas être uniquement spectatrice. A aucun moment tu ne devras dire un mot ou faire un geste. Si lon voit que tu nobéis pas, on tattache, et on te met un bâillon. Reste là avec Joshua, et attends sagement.

Elle essaya de me questionner pour savoir ce qui allait se passer. Je lui expliquai que je savais tout ce qui sétait déroulé dans le jardin avec Tanya et Stella, et que javais vu les photos et les films de ses exploits. Elle rougit de honte en cachant son visage dans ses mains.

Je la rassurai ensuite en lui disant quelle navait rien fait de mal à mes yeux, que son manque de sexe était comblé, et quelle serait bientôt heureuse avec son mari. Je lui rappelai tout de même quelle devrait continuer de venir à chaque fois quon le souhaiterait. Maintenant, je lui imposai le silence.

Quelques minutes après Tanya et Sonia arrivèrent avec Denis à quatre pattes derrière les filles, tenu en laisse, et bien évidemment entièrement nu. Une situation quasi habituelle pour lui maintenant, à chaque fois quil venait ici.

Sonia ouvrit de grands yeux de stupéfaction en voyant la scène, et jeus le réflexe de placer ma main sur sa bouche, avant quelle ne puisse marquer son étonnement.

Tanya lui fit faire plusieurs passage devant Sonia, afin que celle-ci puisse bien voir le plug qui ornait le derrière de son mari. Puis le fit relever, juste le temps dexhiber sa belle cage de chasteté.

Cette fois ses yeux ne marquaient plus la surprise, mais la jubilation de voir Denis affublé de la sorte. Un petit sourire de réparation marquait maintenant son visage.

Pendant que Denis finissait sa promenade, Stella équipa Sonia dune des deux ceintures-gode.

Tanya plaça ensuite Denis les fesses juste devant son épouse, et lui retira le plug.

Stella appuya sur les épaules de Sonia, pour lui faire comprendre ce quelle attendait delle. Elle semblait hésitante, mais surtout, elle ne devait pas savoir comment sy prendre. Ce fut Tanya qui prit le sexe factice de Sonia, et qui plaça la tête de lengin dans le petit trou de Denis. Ensuite elle appuya sur les fesses de la voisine dans un geste sans équivoque, et commença à lui faire faire des allers-venues.

Sonia, un peu gauche au début, accrocha rapidement ses ongles sur les côtés de son mari, et le secoua rapidement sans ménagement.

Tous trois les regardions faire avec amusement, sans pour autant oublier de photographier la scène pour léternité. La caméra elle aussi, faisait le plein dun spectacle amateur hautement érotique.

Après de longues minutes, Tanya fit cesser Sonia, lui enleva son harnachement, et la plaça couchée devant son mari, les cuisses bien ouvertes.

— Maintenant tu vas temployer particulièrement bien pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Ordonna Stella à « toutou Denis »

Comme les deux filles le lui avaient appris deux jours avant, Denis commença avec sa langue. Il ne sembla pas sapercevoir que cette Maîtresse là était son épouse.

Il continua à uvrer en partant à la recherche du petit bouton de plaisir. Une fois celui-ci découvert, il s évertua à donner le meilleur de lui-même, le titillant doucement, puis en le mordillant légèrement, ou en le suçant avec passion.

Sonia se tortillait en tout sens, en essayant de ne pas trop marquer son plaisir bruyamment.

Denis en sentant ce corps sarque bouter dallégresse sous ses coups de langue, sappliquait encore davantage. Il arriva ce qui était prévu, Sonia laissa enfin son plaisir la submerger.

De notre côté, sans nous être concerté, nous nous mîmes à applaudir lexploit de Denis.

Alors que Sonia reprenait ses esprits, toujours les jambes écartées devant Denis, Tanya retira les lunettes à Denis, en disant à Sonia :

— Nous te présentons « toutou Denis », cest un cadeau pour toi Sonia.

Denis était au plus mal devant cette situation. Quand à Sonia, elle eut lair toute aussi surprise.

Stella lui donna quelques explications :

— Tu vois, nous lavons dressé spécialement pour toi. Maintenant, cest à toi de choisir ce que tu veux faire ; reprendre ta vie comme avant, ou prendre ton destin en main, et devenir la Maîtresse de « toutou Denis ».

Sonia se releva fièrement, et prit la laisse de Denis en main, en lui disant :

— Maintenant, cest moi qui commande.

Tanya lui fit cadeau dun album photo, avec toutes les situations quavait vécu Denis ces derniers temps, en lui précisant : Sil ne tobéit pas bien, ramène nous le pour une petite séance de mise à niveau.

Elle replaça le plug entre les fesses de Denis, et offrit également la cravache, ainsi que la clé du cadenas de la cage, en lui conseillant :

— Fais bon usage de la clé, et nhésites pas à te servir de la cravache si nécessaire, il adore cela.

Sonia, sur son petit nuage, ne pensa même pas à remettre ses vêtements, et se dirigea vers sa maison en disant à « toutou Denis » :

— La vie va changer à présent.

Nous éclatâmes de rire, en étant sûr que leur vie de couple allait prendre un bon tournant dorénavant.

Quand à nous, notre vie « normale » allait reprendre elle aussi son cours.

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