Lorsque je vis la maman de Jacques je me suis dit ’il me la faut’ je revenais souvent avec jacques après nos promenades dans le parc, quand sa maman était là elle nous offrait un chocolat, un jour elle envoya Jacques faire une course – Tu viens! Me demande t-il ? – Laisse-le respirer un peu dit-elle! Nous allons discuter ensemble pendant ton absence. Jacques partis elle me demande directement si elle me plait ? – Oui! Dit-je en rougissant et bégayant. – Tu sais j?ai remarquée à plusieurs reprise ton regard se poser sur moi, j?en suis flattée mais je suis marier et certainement de l?âge de ta maman. – J?ai déjà eu des relations avec des femmes de votre âge dit-je en rougissant de plus bel. – C?est bien de me le dire! ?a me fait plaisir de savoir que je peut encore plaire aux jeunes hommes, malgré mes trente huit ans, la conversation se termine ainsi ! Jacques sonne à la porte pour entrer. Une quinzaine de jours plus tard à la sortie du lycée un coup de klaxon, je la vois devant sa voiture me faire des signes, je regarde autour de moi ! pas de doute elle est venue pour moi ! Monte dit-elle, pendant qu?elle conduit elle me dit que tout sa famille est partis tout le week-end. – Si ta proposition tiens toujours je suis ta fille ? – Oh ! merci bien entendu dit-je, mon coeur bat la chamade, mais avant il faut que je prévienne Maman. Je monte rapidement les escaliers et lui laisse un mot. Dans son appartement elle ferme tout les volets – Comme ça personne ne sait que nous sommes là, nous pourrons librement nous aimés.- Installe-toi je reviens dit-elle en effleurant mes genoux, installer sur le canapé elle arrive portant un plateau avec tout le nécessaire pour déguster un bon café.- Tu prend un café ? – Oui merci ! Madame.. Déposant le plateau elle se penche exagérément et prend tout son temps, la vue de ces cuisses fermes et musclées augmente mon excitation à son comble. Elle relève la tête, un sourire malicieux sur ses lèvres rosées. S’accroupissant sur la pointe des pieds elle me propose du sucre tout en écartant lentement ses genoux en fixant mon regard. Je m’attendais à découvrir une lingerie de dentelle, mais je fut surpris de voir un superbe mont de Vénus couvert de poil. Catherine n?avait pas de culotte ou l?avais ôter à la cuisine, d’un sourire gracieux elle me demande combien de sucre ? tout en gardant sa position accroupie m?offre ses cuisses de rêve sur sa robe légèrement relevé, Une fois le service fini, elle se relève, tirant sur le bas de sa robe puis s’assoie sur le canapé en croisant ses jambes laissant apparaître le liseré du haut de ses bas, mes mains commence à déboutonner très lentement le haut de sa robe légère elle cale sa tête au creux de mon épaule et s’abandonne. – Vas-y ! dit-elle, en passant sa main dans mes cheveux pendant que l?autre main glisse discrètement pour défaire le jeans et libérer mon sexe durci, exerçant entre ses doigts une douce caresse sur mon sexe, tournant sa tête elle m’embrasse sur la bouche d?un baiser tendre, continuant à faire coulisser mon sexe. Ecartant les pans de sa robe, elle apparaît en guêpière exposant sa poitrine. Catherine s?allonge sur le canapé et relève ses bras en arrière en offrande, je suis totalement subjugué par ce corps offert à moitié dévêtue qui la rend encore plus séduisante. Faisant jaillir ses deux globes j’insinue mon sexe entre ses seins, sa peau est douce et ferme, Catherine saisit ses seins et masturbe ma bite enveloppé entre eux, elle embrasse tout ce qui se trouve à porté de ses lèvres, me détachant d?elle je fini de la dévêtir, glissant lentement les bretelles de sa guêpière le long des épaules, nous nous laissons glisser mollement sur la moquette en 69. J?hume son parfum délicat s?alliant au début de transpiration de ses aisselles. Léchant du bout de ma langue son superbe fessier, j?écarte et plonge mon visage au plus profond de cette vallée qui s’ouvre m?emplissant les narines de parfums plus sauvages. Elle plaque ma figure contre sa vulve et j?enfonce mon visage à l’intérieur de sa belle chatte brûlante – lèche-moi, dit-t-elle en basculant son bassin en arrière, viens boire mon jus d’amour j?adore avoir un visage d’homme entre mes cuisses, ma figure bloqué elle ondule de manière à écraser son clitoris sur mon nez en m?enduisant le visage de ses sécrétions intimes, – Bois mon jus, suce-moi, fais-moi jouir, je t’en prie, mange-moi, bouffe-moi disait-elle sur ses genoux, les fesses à peine posées sur ses talons relevés. Je prend un plaisir divin dans mes caresses baisant ses fesses, embrassant son anus, jouant à mordre son oeillet qui se dilate Catherine n?oublie pas pour autant mon sexe turgescent à genou ma tête entre ses cuisses. Elle entame un lent mouvement de bas en haut – Tu sais mon chéri, j?aime exciter et sentir les hommes prendre leur plaisir sous mes caresses, ses caresses douces se font de plus en plus accentués allait-elle me sucer où s’empaler sur ma queue ? Catherine place ses fesses au dessus de mon sexe et au moment ou je pousse elle descend sa croupe sur ses talons sous la pression ma verge coulisse sans mal dans son anus qui n’attendait que ça, passant sans difficulté mon gland dans le conduit bien lubrifié. Rivé au plus profond de son l’orifice anal largement dilaté, face à moi et à genou elle me fixe dans les yeux. – Tu sais me faire jouir dit-elle en poussant sa croupe au devant de mes coups de butoir, comblée et possédée aux rythmes de mes assauts en me regardant. Sentant l?imminence de ma jouissance Catherine contracte ses muscles internes pour m?emprisonner au fond de ses entrailles. Crachant mon sperme en fusion trop longtemps contenu, j?inonde ses entrailles m’épanchant sans fin dans son boyau chaleureux. Ce fut Catherine qui d’un tendre baiser dans mon cou rompit cette union me libérant de son écrin. – Dans quelques jours je serais seule pour une semaine dit-elle A suivre….