Depuis plusieurs mois Jean recherchait un profil particulier de jeune fille.
Non pas au niveau physique, car à ce propos il était relativement flexible, et après tout la beauté est bien subjective. Un beau regard, une belle bouche peut exciter un homme facilement, si ces parties correspondent à ses phantasmes et si son imagination lui offre ce qu?il peut en faire.
Non, c?était avant tout un profil psychologique qu?il cherchait, allié si possible à un corps sensuel.
Pour lui, le profil était clair : une jeune fille, disons entre 20 et 22 ans, de relativement grande taille, 1.75m, des jambes fines, des fesses fermes, d?un tout, ne bougeant pas trop lors de la démarche – il n?aimait pas le mouvement des fesses un peu flasques qui ondulaient lors de la marche – des seins haut perchés, pas trop gros, bien formés, en poire, aux tétons légèrement pointus.
Les cheveux, longs, blonds, bruns-clairs, ou un combiné des deux. Un visage doux, si possible des lèvres légèrement plus grande et épaisse que la normale, une bouche large et profonde, des yeux bruns-clairs ou bleus. Mais cette dernière partie de l?anatomie était peu important. Par contre la silhouette, la marche avait son importance.
Il voulait une démarche raffinée, discrète, un peu vierge dirait-on, pas de ces femmes qui savent qu?elles ont un beau cul et le mettent en avant, ou cherchent à attirer le regard avec une pointe de vulgarité.
La démarche devait refléter le caractère, l?éducation, le milieu, et l?évolution sexuelle – la maturité – de la personne.
Pour être plus direct, Jean recherchait une jeune fille de bonne éducation, bourgeoise, sans l?être trop, sage – n?ayant pas trop servi – fidèle. Il voulait qu?elle soi un brin timide, curieuse, tout en respectant les règles apprises, soumise, désireuse d?apprendre tout en cherchant une stabilité dans une relation.
Le temps passait, et jean se demandait s?il allait trouver ce ? mouton à 4 pattes ?, comme disait les recruteurs.
De campus en campus, – l?endroit devait en principe offrir ce genre fille car il en voulait une avec un certain niveau d?intelligence, et donc de raffinement, et d?imagination qu?il saurait mettre en pratique – jean regardait, analysait les femmes qu?il croisait.
Jusqu?au jour, où il fut attirer par Anne. C?est sa silhouette puis son regard qui l?attira.
Au niveau profil Anne correspondait bien.
Grande, longs cheveux bruns clairs avec des pointes blondes, longues jambes, finesse du corps, seins ronds et pointus. Mais c?est son habillement qui lui fit dire que c?était elle qu?il lui fallait.
Anne était vêtue d?une jupe bleue foncée, un peu comme ces collégiennes de bonne société, mais cette jupe mettait discrètement en avant son cul et sa descente de reins.
Son pull bleu clair, type débardeur, et sa chemise blanche en dessous légèrement ouverte lui fit dire qu?elle avait le corps et probablement le psychologique nécessaire à ce qu?il voulait en faire.
Bonne éducation, bourgeoise, peu d?expérience, douce, timide, un regard légèrement soumis, et …oui, une pointe d?audace dans les yeux.
Jean la suivi du regard et commença a mettre en place son plan d?attaque. Il lui fallait avancer avec tact et par étapes pour ne pas la brusquer.
Les jours suivants Jean la suivi aux cours, allant jusqu?à voir ou elle habitait histoire de voir si ces impressions premières étaient correctes et correspondaient au profil recherché.
Anne ne semblait pas intéressée par les nombreux jeunes de son âge qui tournaient autour d?elle. D?autant mieux se dit Jean, car il approchait la trentaine et ses mèches blanches lui donnait un air de maturité qui devrait lui plaire.
Il fallut plusieurs semaines d?approche, puis de contacts épisodiques avant de mettre en place ce que l?on pourrait qualifier de début d?amitié.
Pour Jean, l?amitié puis la profondeur des sentiments étaient essentiels pour avoir le résultat attendu en final : une femme éperdument amoureuse, soumise à ses caprices sans l?obliger, sans la forcer, la menacer, ou faire lui faire du chantage.
Il fallait que Anne soit soumise comme une esclave, mais qu?elle l?aime aussi profondément. C?est en aimant qu?on fait les meilleures maîtresses, celles qui donnent le plus, car le don vient du coeur, il est donc total et infini.
La première soirée qu?ils avaient passé ensemble avait été bien classique pour Jean. Cinéma, resto, découverte mutuelle en discutant du passé, de ce qu?ils aimaient, ce qu?ils attendaient de la vie.
Anne lui avait laissé entendre qu?elle avait eu un ami l?année dernière, mais que cette expérience ne s?était pas bien déroulée.
Trop d?empressement de la part de son jeune ami, qui l?avait ? tripotée ? rapidement dans sa voiture, sans se préoccuper de sa personne, ne s?intéressant qu?a ses seins, qu?il malaxait comme un jouet, s?introduisant sous son corsage, sous le soutien-gorge, lui pinçant les tétons trop vigoureusement, l?embrassant dans le cou et sur les lèvres comme un affamé, en bavant même, avant d?un geste pressant lui mettre sa main entre les jambes, puis lui faire sauter le bouton de son pantalon si brutalement qu?il faillit le déchirer, de faire glisser sa tirette et lui mettre sa main dans la culotte et lui caresser le sexe.
Il s?était ensuite introduit en elle et avait commencé ces mouvements avant arrière, un peu comme les bêtes font quand le besoin se fait sentir, en tous cas c?est ainsi qu?elle l?avait ressenti.
Inutile de parler de jouissance pour elle, cela avait été si vite ; après coup cela lui rappela le seul commentaire que sa mère lui avait fait : les hommes, laisse les faire, c?est juste un moment à passer.
Bref, Anne était encore bien jeune et vierge si l?on peut dire sur le sexe. Quand Jean l?avait abordé, elle avait eu d?abord eu une envie de rejet, de s?enfuir et de le laisser-là.
Peut-être est-ce son âge et son visage plus mature qui l?avait rassurée, intriguée qu?un homme plus âgé qu?elle ait envie de lui parler.
Le charme de Jean avait fait le reste ; petit à petit, Anne c?était laisser approcher, puis conquise progressivement avant d?être, il faut le dire séduite.
Jean avait pris son temps de peur d?effrayer l?oiseau qu?était un peu Anne, et puis il voulait la ferrer au maximum avant de tirer sa ligne et de pouvoir commencer son éducation.
Cette soirée s?était terminée, non pas dans la voiture de jean, – l?expérience vécue par Anne avait servi – mais dans un bois proche de la maison des parents d?Anne, sous un grand chêne.
Jean lui avait pris la main et puis tendrement et doucement l?avait attiré à elle, pour délicatement l?embrasser. Il l?avait longuement tenu dans ses bras, Anne mettant sa tête au creux se ses bras, avant de la laisser rentrer.
A cette occasion Jean avait noté qu?Anne embrassait en n?ouvrant pas trop la bouche au début, puis sous la douceur prodiguée par jean, elle avait ouvert un peu plus la bouche et passé sa langue.
De longues minutes c?était écoulé pour ce premier baiser, et Anne avait ouvert encore plus sa bouche, plus confiante par son partenaire. Il avait pu alors évaluer la grandeur et la profondeur e sa bouche, sa langue bien pleine, un peu maladroite, quand elle tournait autour de la langue de jean.
Les lèvres épousaient bien la forme de sa bouche; Jean se dit qu?il allait aimer de s?enfoncer en elle, de lui apprendre à sucer et à de l?obliger à lui offrir sa bouche quand il le voulait, où il le voulait, avant que ce soit, plus tard, à qui il le voudrait.
Pour cela il faudrait du temps, de la patience, de l?amour – ou un semblant de sa part .
Mais Jean avait le temps. En la regardant partir, il se dit qu?enfin il avait trouvé ce qu?il recherchait. Anne se retourna avant d?ouvrir la porte de sa maison, et le regarda avec tendresse, les yeux légèrement brillant, ce qui lui fit dire que Anne avait plus que de l?amitié pour lui.
Rentrant chez lui, il fit son plan de bataille, se fixant des objectifs pour arriver dans les 6 mois à venir à faire d?Anne un objet sexuel, amoureux, soumis, à ses ordres.
Le lendemain, Anne était venue vêtue d?une jupe en coton, de couleur noir qui lui arrivait au-dessus des genoux. Un collant noir en laine fine parachevait le tableau du bas. Jean l?a vit arriver avec un grand sourire, des yeux pétillants qui lui disait qu?il lui avait manqué, qu?elle avait beaucoup aimé ce moment de romance sous le chêne hier soir.
Elle lui prit la main et lui serra comme pour lui dire ? tu es là enfin ?…. Jean lui dit qu?il aimait beaucoup cette jupe mais qu?il la préférait avec une chemise à bouton plutôt qu?un pull un peu trop haut. Cette remarque lui fut faite tout en lui glissant un tendre baiser dans le creux de son oreille.
Les jours suivants, Anne avait suivi les envies de Jean, et s?habillait maintenant comme il aimait.
Obéissante, se dit-il, il pouvait avancer plus loin maintenant.
Les jours et les semaines passaient, la phase 2 se profilait, à savoir, apprendre à Anne à aimer l?amour, à lui faire découvrir son corps, le corps d?un homme, lui apprendre à jouir. Jean et Anne s?embrassaient souvent, se serrant l?un contre l?autre, laissant deviner leurs corps, mais sans plus.
Jean avait prévu un scénario bien précis car il fallait qu?Anne aime ce moment, lui fasse oublier sa mauvaise expérience passée. Il devait l?aider à se révéler.
Le temps pressait, le planning de mise en condition et de formation risquait de ne plus être suivi. Jean choisit donc de l?inviter chez lui un samedi après-midi, pour lui faire découvrir son chez soi. Anne était amoureuse et confiante en Jean, si bien qu?elle ses sentiments furent les suivants: envie d?être près de son amoureux, sachant ce qui allait se passer, envie de jean, car elle avait confiance en lui, envie de se donner à lui, qui lui faisait presque disparaître cette pointe de peur . Pointe de peur qui l?excitait un peu, lui faisant compter les heures ce samedi matin la séparant de Jean.
Il avait dit 14.00 chez lui, et Anne pour passer ces heures les avait passé dans la salle de bain à se préparer, se faire belle. Nue devant la glace, elle se regardait, se demandant si jean allait aimer son corps, un peu angoissée, et se demandant si elle serait à la hauteur. Elle avait si peu d?expérience, et peu d?amies pour en parler. Elle se regarda dans la glace encore une fois, car elle manquait de confiance en elle, elle se dit : ? tu vas y arriver, cela va aller, Jean est doux, et tu es belle ?.
Elle se lava longuement, avant de se parfumer, et de revêtir la jupe que Jean aimait. Elle mit un slip bleu clair en coton et son soutien-gorge de la même couleur. Voilà, il est l?heure de partir, elle ferma les yeux, se dit une petite prière, se rassurant en elle-même, et se dirigea vers le bus pour rejoindre l?appartement de Jean.
14.00 précise, elle sonna, le coeur battant vite, elle mit les bras le long de son corps, serrant les jambes, et attendant que Jean lui ouvre la porte.
Puis d?un coup il fut là, la regardant, ? quelle était belle se dit-il ?, il lui dit, ce qui lui fit baisser les yeux et rougir ses joues. Jean lui prit la main, et l?invita à entrer. L?appartement était grand, ce qui mit un temps à lui faire visiter, lui parlant de l?histoire des objets qu?il avait amassé ces dernières années.
Passant devant la chambre, il la vit regarder le lit, elle devait s?imaginer que c?est là que cela allait se passer. Mais Jean voulait autre chose, car la chambre était trop classique et surtout trop sombre, et il voulait la voir totalement.A son regret, il prit Anne et l?amena dans le salon, pour la faire asseoir dans le sofa en cuir. Jean mit de la musique, tira légèrement les rideaux, et proposa un cocktail de fruit à Anne qui l?accepta avec empressement. Il ajouta un fond de gin, pour détendre l?atmosphère et la relaxer.
Jean s?assit à ses côtés, le moment était venu de voir si son plan avait marché et pourrait se poursuivre.
Anne but une gorgée, goutta la pointe d?alcool, sourit à jean, elle lui en sut gré même si elle ne buvait jamais d?alcool. Le résultat ne se fit pas attendre, elle se détendit, s?affaissa un peu dans le sofa, qui épousait un peu ses formes, sans l?enfoncer complètement.
La musique était douce, jean s?approcha d?elle, et tendrement l?embrassa. Il lui caressait les cheveux, en la couvrant de baiser doucement. Anne voulut le prendre, mais Jean lui prit sa main pour la reposer le long du corps. Il la voulait soumise, en attente, offerte.
Anne sentait monter le désir en elle, son coeur s?accélérait, et elle sentait son sexe s?humidifier, son corps laissait apparaître des gouttes de sueur, elle fermait les yeux, heureuse que l?homme qu?elle aimait soit si doux, il l?aimait, c?était certain, se dit-elle.
Jean embrassait Anne longuement, puis, sa main descendit le long de sa gorge, pour venir prendre son sein, avec tendresse, il la caressa, tournant autour de ses tétons, pinçant délicatement avec une pointe de fermeté les bouts.
La réaction fut directe, Anne ouvrit encore plus la bouche, sa langue s?insinuant encore plus dans la bouche de Jean, tournant plus vite, sa respiration s?accélérant, laissant échapper quelques légers gémissements. Il passa à son autre sein, puis entreprit de lui caresser la peau.
Sa main commença à ouvrir ses boutons, un après l?autre, jusque début du nombril. Le corps d?Anne battait encore plus, laissant ses seins se soulever rapidement au rythme de sa respiration. Elle devinait son sexe trempé, humidifiant son slip.
Elle eut envie de toucher Jean, mais celui-ci lui reprit la main, avec un brin de fermeté, et immédiatement elle remis sa main le long de son corps, comme pour s?excuser d?avoir entreprit ce geste. Elle compris, et suivrait ses ordres, maintenant, car Jean s?était arrêté de l?embrasser, comme pour lui dire, ? tu te laisse faire ?.
Soumise, Anne se laissa écarter le chemisier, pour que jean puisse admirer, et toucher ses seins.
Jean passa sa main sous le soutien, et lui caressa ses bouts. Le geste était profond, voulant dire ? tu m?appartiens, ton corps est à moi ?. Son coeur devait battre à 150 quand Jean quitta ses seins pour continuer son exploration et la prise en main du corps d?Anne.
Tout en continuant à l?embrasser, Jean descendit sa main le long du ventre d?Anne, arrivant au pourtour qui maintenait la jupe. Un moment d?arrêt, instant jouissif pour Jean, car il savait Anne soumise, en attente, ouverte pour sa main. Elle avait écarté un peu ses jambes, tout au long de la caresse de ses seins. Elle attendait, bouche ouverte, mains le long du corps.
Jean choisit de passer sous la jupe d?Anne, plus facile d?accès, plus excitant aussi. Sa main descendit le long de ses jambes, arriva au bout de la jupe, et passa en dessous, touchant ses jambes au passage.
La remontée vers son sexe commença. Anne écarte doucement encore plus les jambes, pour faciliter la montée de sa main. Jean prenait son temps, caressant sa peau, puis monta, pour arriver à toucher les bords du slip d?Anne, le long de sa cuisse.
L?index commença à remonter et à faire le tour de son slip, se gardant bien de lui toucher son sexe. Elle transpirait, ses cheveux collés le long de son cou, sa bouche mouillée de se baiser sans fin.
Enfin le moment arriva ; jean ouvrit sa main et lui prit le sexe, complètement, commença à malaxer, son majeur suivant la fente du sexe d?Anne. Le résultat fut immédiat, Anne ouvrit la bouche, poussa un cri étouffé, écarta encore plus les jambes. Son sexe s?ouvrait au passage du doigt de jean, son slip était trempé, et jean continuait à suivre sa fente, poussant sur le tissu pour s?introduire dans son vagin.
Ses autres doigts suivaient les bords du slip, retardant son ouverture. Puis à un moment, jean s?arrêta, retira sa main, ce qui fit faire un arrêt à la langue d?Anne, et jean tira sur les bords du slip, introduisit complètement sa main, et enserra le sexe d?Anne.
Sa chatte était bien fournie, aux poils pas trop long, bien rasé le long des jambes, afin de ne rien laisser passer à la piscine ou à la plage, comme une fille bien éduquée pensa-t-il.
Sa main la caressait, son index cherchait ses lèvres, et s?introduisit à l?intérieur de son vagin, avant de revenir trouver le clitoris. Il le branla doucement, fermement, comme pour lui dire, ton corps m?appartient. Ses autres doigts caressaient ses poils, ce qui eut pour effet de lui faire ouvrir encore plus les jambes. Jean introduisait complètement son index dans son sexe, l?amenant petit à petit à ressentir des sensations qu?elle ne connaissait pas.
Elle gémissait, son envie croissant de plus en plus, ces picotements qui parcourait son dos, sa poitrine se soulevant de plus en plus vit, son coeur prêt à exploser, quel sentiments si profond elle ressentait.
Le doigt de Jean entrait, sortait de son sexe, caressait son clitoris, redescendait plus bas, au début du resserrement de ses fesses, là où se trouve l?anus, poussant légèrement pour voir si elle allait écarter ses jambes encore plus et donc ses fesses, ouvrant le passage à ce petit trou. Mais cela n?arriva pas, Anne gardant ses jambes dans cet écartement, serrant légèrement les fesses, par peur ou par inexpérience se dit-il.
Mais ce n?était qu?une question de temps avant qu?il n?explore ce trou, qu?il la prenne et exige d?elle de se mettre à genoux, d?écarter ses fesses pour lui donner ce passage. Juste une question de temps. D?autant plus excitant se dit-il.
Il la fit jouir et elle cria, sans se retenir au début, puis se rendant compte, se crispa d?un coup, prenant Jean dans ses bras, l?embrassent partout, comme pour lui dire merci.
Jean sortit sa main trempée de son slip, puis lui passa les doigts le long de ses lèvres, sensuellement.
Le doigt entra dans sa bouche légèrement entrouverte, puis revint vers la bouche de gens qui le goutta. Elle sentait bon, une odeur fraîche, douce, un brin de vanille. Bonne nouvelle pour le futur quand il la ferait jouir avec sa bouche.
Anne se demandait ce qu?elle devait faire, elle venait d?avoir eu son plaisir, mais son inexpérience se révélait ici. Elle se dit que peut-être elle devait le caresser. Mais elle ne savait pas quoi faire, car Jean lui avait remis les bras le long du corps, et elle ne voulait pas enfreindre ce qu?elle comprenait comme une règle. Jean compris son dilemme, l?embrassa, comme pour lui dire, que ce n?était rien.
Les jours suivants, Anne était plus en plus amoureuse; le piège se refermait lentement. Elle le suivait, déjà un peu comme une esclave soumise, sans le savoir, regardant sans arrêt Jean, s?empressant de le rejoindre quand il lui faisait comprendre d?un regard qu?elle ne devait pas parler avec des garçons.
A un simple regard, désapprobateur de sa conduite, Anne accourait alors et se mettait à ses côtés.
Un jour Jean lui avait dit avec un ton de sévérité de ne plus regarder d?autres hommes, lui faisant comprendre qu?il l?aimait et la voulait totalement, complètement à lui. Anne l?avait regardé avec un regard ou perçait les larmes de bonheur, le regard soumis, baissant les yeux, en lui promettant que cela ne se reproduirait plus.
A ce moment, Jean sut qu?il pouvait aller plus loin.
Un soir, la reconduisant chez elle après l?avoir caressée longtemps, entrant les doigts profondément en elle, la déshabillant un peu plus, libérant les seins, mais en laissant la jupe noire, il lui avait demandé de lui donner tout, d?être à lui, complètement. Anne l?avait regardé, lui avait dit oui, qu?elle ferait ce qu?il veut, qu?elle l?aimait, et qu?elle était à lui.
Le jour suivant, il lui avait fixé rendez-vous à son appartement. Ce jour-là, il l?avait étendue sur le lit, lui avait enlevé son chemisier, ses bas, puis après l?avoir embrassé, était descendu à ses pieds, avait relevé la jupe, jusque sur son visage.
Elle était là devant lui, sa vue cachée, montrant son slip en coton blanc, humide, les seins et le visage recouvert. Jean s?était alors approché de son sexe, écartant ses jambes, et avait passé sa langue le longs de son slip, puis sur sa toison , mordant légèrement tout son sexe, englobé dans sa bouche. Puis, avec un doigt, il écarta un côté du slip, dégageant ses lèvres, ses poils, bruns-clairs comme il l?avait supposé, et commença à la lécher. Le résultat fut direct, Anne, gémit sous sa langue. D?un coup Jean prit alors le slip et lui enleva.
Anne était là, jambes écartées, couverte, les bras ouverts, les lèvres trempées et attendant. Il lui souleva alors légèrement le bassin, passa ses deux mains dessous, ce qui eut pour effet d?ouvrir ses jambes complètement qu?il repoussa en arrière. Jean se mit perpendiculaire à Anne, une main sous ses fesses, l?autre maintenant ses jambes presque à la verticale.
Il avait ainsi toute son intimité devant ses yeux car il avait laissé la lumière. Il passa la langue sur son sexe, puis descendit le long, au début se sa raie, léchant les poils blonds le long de son anus, avant d?y passer la langue.
Longtemps il la lécha, la faisant jouir, ouverte, prête à tout.
C?était maintenant à son tour. Il se leva, l?embrassa, et lui chuchota dans l?oreille, fais-moi plaisir maintenant ! Elle répondit, ? oui, mon amour ?.
Anne, se redressa, et vint embrasser Jean. Sa main, commença à caresser son torse, mais il lui prit la main et lui mit sur son sexe. Elle comprit, lui caressa la bosse de son pantalon, ouvrit le bouton de son jeans, descendit la tirette, passant sa main sur le slip de Jean.
Visiblement, Anne ne savait pas comment faire se contentant de passer les doigts sur son sexe.
Jean lui prit la main, fermement, et lui mit dans son slip, dégageant son sexe complètement, et en passant retira son pantalon. Il prit la main d?Anne, lui imprimant un va et vient afin de simuler une branlette.
Anne était maladroite, même si elle faisait de son mieux. Jean lui prit la tête, et doucement, la fit descendre vers son torse. Elle lui donnait de légers baisers, sur son ventre, puis descendit vers son sexe, tout en continuant à le caresser avec ses doigts. Anne regardait sa queue, puis donna de petit baiser sur ses couilles, puis le long de sa verge.
Cela fit sourire Jean, se rappelant son adolescence. Amusant, mais ce n?est pas ce que je veux se dit-il.
D?un coup il se leva, comme pour dire, ? bon, assez rit ?. Anne le regarda, un peu paniquée, se demandant ce qu?elle devait faire. ? Dis-moi ce que je dois faire ? lui dit-elle, l?implorant de son regard.
Jean se mit face à elle, et d?un geste ferme lui prit la main pour l?entraîner vers un divan à une place.
Il prit Anne par les épaules, l?abaissa pour la mettre à genoux, son regard et sa bouche au niveau de sa verge. Elle n?osait regarder son sexe, qui n?était qu?à quelques centimètres de sa bouche.
Jean retira son slip, s?assit dans le divan, écarta ses jambes, son sexe droit, qui se trouva exactement au niveau de la bouche d?Anne. Il lui prit sa tête à deux mains, et la posa sur son sexe, pour lui faire parcourir de ses lèvres. Puis avec ses doigts il lui ouvra la bouche, un peu comme on faisait avant avec les esclaves, prit son sexe avec son autre main et s?enfonça dans sa bouche.
Il se rassit mais en maintenant la tête d?Anne avec ses deux mains. Il s?enfonça aussi loin qu?il put, puis tout en pressant sa tête, se branla, montant et descendant entre ses lèvres. Anne fermait les yeux, se laissant faire, ses deux mains posées à terre. Jean allait et venait lentement, puis accélérant le rythme, afin de lui faire comprendre comment elle devait faire, comment elle devrait le faire quand il le voudrait.20 minutes devaient s?être passé, Jean se retenant à chaque fois de jouir. Quel bouche se disait-il en la regardant les yeux fermés, son sexe entrent et sortant au rythme exigé.
Sa bouche l?excitait, elle était profonde – il pouvait y entrer complètement son sexe – et sa langue bien pleine ; mais la position était trop classique pour lui. Il abaissa alors un des dossiers du fauteuil, sa jambe s?inclinant, il fit alors passer Anne pour la mettre de côté, les jambes non plus à plat, mais à quatre pattes.
Ainsi il pouvait admirer tout son visage, mettant ses longs cheveux de côté, cette queue qui violait sa bouche. Il prit ensuite une de ses mains pour lui apprendre à faire une pipe, son autre main devant rester à plat.
Anne montait et descendait maintenant régulièrement, mais à un rythme plus doux, car Jean voulait qu?elle montre tout son amour avec sa bouche.
Jean parcourait son dos, passa en-dessous de sa jupe, la remonta pour dégager son cul. Elle tenait les jambes jointes, interdisant ainsi à ses doigts de pénétrer facilement ses trous.
Le miroir le long du mur lui permettait aussi de voir son superbe cul, mais pas assez à son goût.
Jean s?inclina alors, prit une de ses jambes et la tira de côté, tout en poussant sur le bas du dos d?Anne.
Le résultat fut immédiat. Jambes ouvertes au maximum, Jean pouvait contempler ses fesses ouvertes.
Anne continuait à le sucer, Jean passait le doigt le long de sa raie, descendant jusqu?à son anus.
Vierge de ce côté, Jean passa le doigt le long du pourtour de l?anus, puis essaya de le forcer, doucement, mais fermement.
Il sentit la réaction d?Anne, qui ralentit sa pipe, probablement effrayée, peut-être choquée, se demandant ce que Jean allait faire.
La réaction fut directe. Il lui prit la tête de sa main libre, il la força à reprendre le mouvement. Le geste voulait dire ? tu fais ce que je dis ? …sinon…
Jean suça son doigt, se pencha tout en regardant dans le miroir, de son autre main tira sur les fesses d?Anne afin d?écarter au maximum ses fesses et poussa son index au centre de son cul.
Lentement, l?index entrait, petit à petit, Anne n?osant plus s?arrêter de le sucer.
Son sphincter s?ouvrit progressivement, mais il fallut à Jean beaucoup de temps et de pression de son doigt, des fois en usant bien ses forces pour que son index puisse coulisser complètement dans son cul. Anne tremblait, ses fesses s?étaient couvertes de petit boutons, – la chair de poules, la peur pensa-t-il.
Elle était vraiment belle, sa bouche entrant et sortant sans arrêt, ses lèvres rougissant de plus en plus, le cul ouvert, le doigt de Jean entrant et sortant ; un bon training pensa-t il.
L?horloge en face de lui indiquait qu?Anne le suçait depuis plus d?une heure, quand il se dit, qu?il était temps de lui remplir la bouche.
Jean retira le doigt de son cul, écarta les jambes encore plus, remis Anne face à lui, en lui disant, montre-moi que tu m?aimes !
Anne de ses deux mains, lui caressait la verge, puis ses couilles, se fit plus douce, plus lente, profonde, comme pour lui dire, je t?aime, fais ce que tu veux.
Jean jouit tout au fond de sa bouche, lui maintenant le visage pour être certain qu?elle ne se dégage pas.
Il termina de se vider, puis lui dit en la regardant dans les yeux : ? tu feras ce que je dis, quand je te le dis ?.
Il n?y avait pas de violence, juste un ordre, de la fermeté, sinon, et elle le comprit, il partirait.
Anne le regarda, et son regard lui dit toute sa soumission de par l?amour qu?elle lui portait. Elle ne pouvait le laisser, elle l?aimait tant, un sentiment de dépendance tel, que jamais elle ne voulait et ne pouvait imaginer être sans lui.
Cela se passa un dimanche matin. Jean avait passé la nuit avec une bande d?amis et comme à ses habitudes avait copieusement arrosé la soirée.
Conséquences après ces excès, une excitation particulièrement forte le matin.
Heureusement se dit-il, Anne venait ce matin apporter le petit déjeuner; c?est donc avec impatiente qu?il l ?attendait en se caressant le sexe déjà bien dure ; l?image de son cul devait certainement y être pour quelque chose.
Vers 10 heures Anne arriva vêtue de son jeans serre qui mettait en valeur ses longues jambes et la descente de ses reins.
En le voyant, Jean fut encore plus excité, et sans perdre de temps, lui demanda de le rejoindre vite sous les draps.
Jean commença a l?embrasser furieusement, lui caressa le corps, puis la retourna sur le ventre. Comme son lit était légèrement surélevé, il glissa à terre, tira ses jambes vers lui en les écartant, la forçant à lever son bassin pour le mettre à hauteur de son visage.
Il pouvait voir son sexe déjà trempe, ses fesses fermes cachant encore son petit trou.
Anne avait adopté la position en levrette, le haut du corps reposant à plat sur le lit, seul son bassin remontait; les jambes grandes-écartées et Jean entre.
Il appelait cette position le ? l?accent circonflexe ?, qui lui offrait toute l?intimité de ses maîtresses.
Om se mit à la lécher, ouvrit son sexe avec sa langue, remonta ensuite la raie, tout en écartant ses deux globes, laissant entrevoir son anus.
Sans hésiter il y introduit la langue, et se mit à lécher les pourtours, puis les alentours, redescendant dans sa raie, afin de se préparer à la prendre.
Anne dut s?en douter, car elle eut peur, ce qui fit se contracter son anus, en une tentative de vouloir fermer ses fesses, mais jean excité au plus haut point écarta encore plus ses fesses, se leva pour arriver à hauteur du trou avec sa queue et se mit à pousser afin de bien faire comprendre à Anne ce qu?il voulait.
Tout en maintenant d?une main ses deux globes écartés , il lui caressa le dos afin de la calmer, puis se mit à pousser afin de l?enculer. Il dut forcer a plusieurs reprises avant de réussir a entrer tellement il était gros.
Jean poussa pour finir par entre complètement et toucher ses fesses avec ses couilles. Au fond de ses entrailles, excité par le resserrement il se mit à l?enculer lentement afin de faire durer le plaisir.
Ce n?est que plus tard dans la matinée qu?il se vida dans son cul, après l?avoir utilisée longuement, s?arrêtant quand venait l?excitation, puis reprenant, vite, ou lentement, selon ses envies.
Anne reposait la tête entre ses bras, complètement ouverte et soumise, les cheveux répandus sur son dos, attendant que Jean prit son plaisir.
Quand il se retira, son anus ne se referma pas directement tellement il était resté longtemps.
? A utiliser plus souvent ? se dit-il, mais chaque chose en son temps.
Il la retourna, et vit qu?elle avait laissé couler quelques larmes ; il l?embrassa en lui disant qu?il l?aimait.
Petit à petit, Anne avait appris a faire et surtout deviner ses ordres, sans qu?il doive lui demander ou prendre sa main pour lui faire le geste de soumission. Elle apprit donc à le sucer régulièrement, dans des situations ou des lieux particuliers, du classique en voiture jusqu?à une aire de parking, au sofa quand il regardait un film tout en dégustant son apéro quotidien en passant par un ascenseur bloqué entre deux étages, une plage déserte – enfin presque déserte etc.
Anne apprenait vite, prenant des poses et des regards proches des actrices porno ou professionnel du métier.
Une bonne élève, car après tout n?est-ce pas les endroits, l?attitude qui faisait qu?on se souvenait ou non d?une pipe.
Jean voulait des souvenirs pour ses vieux jours, car il était évident qu?il profiterait au maximum de ce corps avant de passer à un autre. La seule devinette était de savoir jusqu?ou irait son esclave pour ne pas le perdre; et là il ne savait pas répondre ce qui était toujours amusant, la cerise sur le gâteau se disait-il.
Restait à partager. C?était en effet le pari passé avec son meilleur ami Pierre.
Donner et partager Anne sans qu?elle s?en aperçoive.
Rendez-vous avait été pris pour samedi.
Anne devait être prête pour ce moment. Jean lui dit qu?il voulait la voir ce jour et pour cette occasion il lui avait acheter un string en dentelle blanc.
Samedi arriva, et comme exigé Anne avait revêtu son string, une jupe et pas de soutien bien entendu.
Jean avait vérifié à son entrée et lui avait dit, qu?il voulait faire d?elle tout ce qu?il voulait, ce qu?elle avait accepté.
La soirée avait commencé calmement, un bon dîner, une musique douce, du champagne. Une bonne mise en condition pour Jean. Puis il s?était levé, après prit Anne par la main et l?avait menée au salon.
Au centre de la pièce se trouvait un pouf. Jean poussa Anne pour la mettre face au pouf, attendant, la suite.
Jean vint derrière elle, lui passa un bandeau sur les yeux, la plongeant d?un coup dans le noir. Il lui donna l?ordre de se déshabiller, ce qu?elle fit. Mais ? lentement ? ajouta-t-il. Pierre, pouvait en effet voir au travers d?un petit trou percé dans le mur.
Il appréciera certainement ce déshabillage lent.
Quand elle fut nue devant lui, il lui attacha les mains derrière le dos avec une paire de menottes qu?il tira d?un coffre d?une armoire, puis lui mit un genre de casque de musique sous le bandeau, la privant ainsi de son ouïe. Anne était debout, à sa merci, privé de ses sens.
Jean appela ensuite pierre qui déjà excité par la scène précédente attendait son moment. L?accord avait été qu?il userait d?Anne au choix : un 69, une pipe ou une sodomie.
Pierre avait tiré au sort le 69, position qu?il préférait, et de loin avec les femmes qu?il avait eue.
Pour éviter que Anne ne s?aperçoive de ? l?échange ?, Jean l?avait fait boire plus que de coutume et avait rajouté un léger excitant qui lui faisait perdre un peu le sens des réalités et du toucher.
Pierre entra dans la pièce, et regarda Anne, debout nue, les mains derrière le dos, attendant.
Jean le fit s?asseoir, lui offrit même un whisky pour qu?il se mette à l?aise.
Pierre ne pouvait détacher les yeux de ce corps, ces seins dressés dessinant une forme ronde et ferme, ce sexe dissimulé par une touffe de poils légèrement bruns, ses formes parfaites, ses longs cheveux et cette bouche qu?il allait pénétrer bientôt.
Il banda à cette perspective. Jean prit Anne par l?épaule la fit passer devant le pouf tout en la maintenant pour éviter qu?elle ne tombe.
Elle se trouvait maintenant de dos à pierre, montrant ses fesses parfaites, les jambes collées, laissant entrevoir les lèvres de son sexe, et ceci à moins d?un mètre de pierre. Jean se mit derrière elle, et la fit mettre à genoux, puis en la poussa en avant, la fit s?incliner son buste reposant sur le pouf.
Anne était maintenant à genoux, montrant son cul à pierre qui bandait de plus en plus. Le pouf était un peu particulier, car il était court, ne laissant que le buste et le ventre reposer dessus ; la tête passant de l?autre côté.
Bien entendu, il était creux, permettant de se glisser dessous, un instrument parfait pour le 69.
Anne formait un L renversé, portant son poids sur l?arrière de son corps, ce qui avait pour effet de tendre son cul et de l?ouvrir plus fort. Pas assez toutefois aux goûts de Jean.
Il se mit alors de biais, prit les deux jambes d?Anne, les écarta au maximum, poussa sur le dos, laissant ainsi voir son intimité complètement.
Il dit à pierre, que Anne était prête, que son cul l?attendait.
Les mains toujours attachées, soumise, Anne attendait que son maître fasse ce qu?il voulait d?elle.
Leur relation était arrivée au point que même un jour c?est Anne qui lui avait dit ouvertement de faire ce qu?il voulait avec elle.
Ainsi sa première sodomie, alors qu?elle était dans la même position qu?aujourd?hui, et qu?il se préparait à la pénétrer, elle lui avait dit ? plus haut ?, alors Jean l?avait enculé, lentement, en prenant son temps, avant de jouir au fond de son cul.
La première fois n?avait pas été simple, car Anne avait peut-être dit ceci par amour, par don ou peut-être par provocation. Il en est qu?au moment ou Jean appuya son gland sur son trou, Anne fut eut peur et se contracta. Jean dut alors pousser en se maintenant le sexe d?une main, tout en écartant ses fesses de l?autre main, si fort qu?il cru ne jamais arrivé. Il humidifia ses doigts plusieurs fois avant de repousser sur le trou d?Anne. A un moment ses muscles se détendirent légèrement et le gland parvint à ouvrir légèrement son anus. Jean continua de pousser, avec une pointe d?énervement, pour entrer progressivement dans son cul. Anne crispée, serrait les dents, laissant échapper quelques larmes, ce qui eut pour effet d?exciter Jean qui entra d?un coup au fond.
Sa queue finit par entrer totalement, ses couilles touchant ses fesses, et il put entamer son mouvement de va et vient, sortir complètement, jusqu?à laisser apparaître son gland pour repousser au fond de ses entrailles. Il prit son temps, ralentissant au moment ou il sentait son sperme sur le point de jaillir, pour reprendre ensuite jusqu ?à l?ouvrir totalement. Ce jour-là il se dit qu?il restait du travail à faire pour rendre facile d?accès ce trou, ce qui voudrait dire l?enculer régulièrement afin de distendre ses muscles et ne plus la voir souffrir ainsi.
Ce soir donc, elle attendait, offerte, le cul grand ouvert, laissant apparaître son anus, légèrement entrouvert à force d?être utilisé par Jean comme il lui avait dit, son sexe grand ouvert en attente de se faire pénétrer par quelque chose ou de se faire lécher.
Les deux hommes avait bu tranquillement leur whisky tout en regardant Anne, commentant en détail son cul, sa raie douce au toucher, autour de son anus, ses lèvres fines et sa toison recouvrant en partie ce sexe.
Pour cela Jean avait approché la lampe pour bien faire voir à pierre ce qui allait avoir pour lui.
Jean l?avait ensuite pénétrée son vagin de son majeur, avant de remonter vers son anus et le forcer, et faire entrer complètement le doigt.
Seul Jean touchait Anne afin de ne pas dévoiler la présence de pierre. Elle se donnait, s?ouvrait à son amant.
Puis Jean se leva, ne voulant pas faire souffrir trop pierre de cette attente, et lui dit ? A ton tour maintenant ?.
Pierre était excité, ne pouvant jamais s?imaginer qu?il pouvait voir et toucher ce corps qu?il avait si souvent vu et détaillé, enviant Jean.
Mais c?était fini ; Anne était là, écartelée, ouverte, attendant de se faire pénétrer, de ses doigts, de son sexe.
Jean se leva et sortit de la pièce, évitant de faire le moindre bruit.
Fébrile, Pierre se déshabilla d?un coup. Il se mit à genoux, posa ses deux mains sur les fesses d?Anne, et lentement, tira les deux fesses dévoilant l?anus tiré à son maximum. Combien de fois avait il rêvé de ce moment ?
Elle était là maintenant, à sa merci.
Pierre commença à lécher cet anus, remontant et descendant le long de la raie d?Anne, léchant ensuite les lèvres de son sexe.
Pour être plus confortable, il se glissa sous le tunnel que formait le pouf, sa queue arrivant à hauteur de la bouche d?Anne, qui sentant cette queue, sans hésiter ouvra la bouche et l?avala. Elle savait y faire maintenant, jouant avec sa langue autour de sa verge, remontant autour du gland, léchant son pourtour, pour redescendre tout d?un coup et avaler jusqu?à la base ce sexe, remontant et descendant tout en le serrant avec la langue légèrement râpeuse.
Pierre choisit encore mieux sa position, entrant au fond de sa gorge, coinçant la tête d?Anne entre ses cuisses, puis, bien calé, en bougeant seulement le bassin, monta et descendit entre ses lèvres, en cherchant le fond de sa gorge. Il coulissait doucement entre ses lèvres, et quand l?envie de jouir venait, il s?arrêtait.
Il avait 1heure, Jean l?avertirait juste avant la fin. Autant en profiter se dit-il.
Le visage de Pierre se trouvait à hauteur entre le sexe d?Anne et son anus. Sans bouger trop, en lui écartant ses fesses, il pouvait ainsi toucher, lécher les parties qu?il préférait, alternant entre les deux trous.
Sa langue s?insérait tantôt dans sa fente, tantôt dans son anus. En même temps il se branlait dans sa bouche.
De temps en temps, il mettait son index dans son cul, entrant et sortant, regardant cet oeillet qui se laissait caresser, pénétrer, en s?ouvrant de plus en plus ; montrant que Anne aussi prenait son plaisir; en croyant ainsi donner tout son corps à son amant.
Pierre aimait son odeur intime, douce, sensuelle, ne se lassant jamais de regarder cette vue d?Anne qu?il savait limité à une heure, car Jean lui avait bien dit que le jeu ne se ferait qu?une fois.
Il jouit vers la fin de l?heure, les jambes écartées, au fond de la gorge d?Anne, un doigt enfoncé au maximum dans son cul, essayant de ne pas crier, de peur qu?elle ne s?en rende compte.
Quand il eut fini de jouir dans sa bouche, il sentit Anne avaler son sperme, de par le mouvement de sa glotte et de son cou. Elle ne devait pas avoir facile dans cette position, mais Jean lui demandait de ne jamais recracher ; elle faisait donc ce qu?on lui avait enseigné.
Pierre retira son doigt, se dégagea du pouf, et s?écroula dans le divan. Il regarda Anne qui restait dans la même position, mais avait légèrement refermé ses fesses.
Dieu quel corps pensa pierre, il ne se souvenait pas d?avoir fait un 69 avec un aussi beau cul.
Jean entra et sourit à Pierre. Tu m?en dois ? une ? lui dit-il. Isabelle me plairait bien lui dit-il.
Pierre sourit, se demandant si Jean apprécierait autant sa femme que lui Anne.
La soirée s?était donc déroulée comme jean l?avait voulu. Pierre avait été immensément reconnaissant de pouvoir jouir d?Anne, et elle, n?avait pas fait la différence entre les deux.
Coup de maître, pensa jean, maintenant il était temps de passer au stade suivant….
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