Vendredi
En ce mois d’août, le soleil s’était levé depuis 6h du matin.
Nous dormions après une soirée bien agitée. Ma tante s’était brièvement réveillée pour se rendormir par la suite.
Je décidai de prendre une douche et d’aller faire un petit jogging matinal, histoire de se maintenir en forme. Pour une fois, le temps se montra clément et il me fut facile d’enchaîner 45 minutes d’entraînement intensif. Je trouvai un parc que ma tante m’avait indiqué. Ce fut un délice de courir dans ce cadre entretenu et peu fréquenté à cette heure matinale. Exténué, je rentrai vers 8h pour retrouver ma tante en train de déjeuner. Elle avait les traits tirés, elle soupira quand elle me vit. Elle était vêtue de sa robe de chambre, en ayant pris soin de mettre sa nuisette.
-Bonjour Jean je t’ai cherché ce matin, tu pourrais me prévenir quand tu sors, je me suis fait du souci !
— Désolé ma Tatie, tu dormais si bien et bonjour quand même.
Nous nous fîmes un smack et je me joins à elle pour prendre un bon jus d’orange. Il régna comme une sorte de malaise entre nous, ma tante ne m’adressa pas un regard, visiblement mal à l’aise pour hier. Il est vrai qu’il n’est peu commun à une tante de se masturber devant son neveu (!).
En y réfléchissant bien, j’avais certainement poussé le bouchon un peu loin avec elle, après tout, elle avait 45 ans et avait passé l’âge de succomber à mes fantasmes.
— Chantal, quelque chose ne va pas, tu m’en veux pour hier ?
— Tu parles de quoi ?
— Bah le fait que tu te sois fait plaisir devant moi.
— Je ne sais vraiment pas pourquoi je t’ai écouté et puis je me sens ridicule de m’être ainsi exhibée !
— Bon …et si nous prenions une douche ?
— Oui pourquoi pas.
Du coup, nous montâmes à l’étage pour prendre une douche. Inutile de chercher à comprendre, ma tante était mal lunée, elle s’en voulait terriblement pour hier, de l’image qu’elle avait donnée d’elle devant son neveu. Il me fallait être habile dans mon comportement et ne pas prendre une attitude de "gamin" face à une vraie femme.
Nous déshabillâmes dans la chambre et étant plus rapide, je pris la direction de la salle de bain pour faire chauffer la douche. Une fois sous la douche, ma tante me rejoignit, prenant la peine d’amener ma serviette oubliée.
— Ouh comme ça fait du bien, elle est chaude et fraîche, ça réveille !
— Oui Chantal.
Je n’en dis pas plus, un mot supplémentaire de ma part aurait été mal interprété. Il me fallut attendre que ma tante se détente et reprenne confiance en moi, pour éviter de se culpabiliser d’hier. Je décidai de ne plus parler de cette malencontreuse histoire à ses yeux, pour me délecter de la vision du corps de ma tante, nue sous la douche.
Ma tante me tourna le dos en se savonnant de son côté. Voir le corps de Chantal ne m’était pas anodin, car avec sa belle chute de reins, cela me procurait des sensations.
— Jean, peux-tu me passer du gel douche dans le dos ? je n’y arrive pas.
— Mais oui Tatie, qu’est-ce-que je ne ferai pas pour toi.
— Oh toi, tu me ferais tout si je voulais.
Le "si je voulais" était de trop dans sa phrase. Ma tante se positionna en patronne de notre relation et cela ne me plut guère, aussi je décidai de l’ignorer habilement. Je lui frottai le dos sans lui toucher le bas, inutile de préciser la frustration que je m’infligée tout en ayant une belle érection matinale. Ma tante se laissa faire et quelle ne fut pas sa surprise, quand je décidai se sortir de la douche bien avant elle.
— Alors c’est tout ? me dit-elle avec une voix douce
— Le jogging m’a crevé.
— Si tu le dis – avec une pointe d’agacement cette fois.
Je pris ma serviette en précipitation pour me la mettre autour de la taille, dans la foulée ma tante se rinça et sortit à son tour me demandant de lui sécher le dos. Je pris la serviette et lui séchai le dos. Une fois fini, je m’éclipsai pour enfiler mon caleçon. Ma tante prit le soin de se maquiller. Les cheveux secs, elle se dirigea près de son dressing pour choisir une robe.
— Jean, qu’aimerais-tu que je porte ?
— Oh ce qui t’arrange, du moment que tu te sens à l’aise.
— Décidément, tu ne te préoccupes pas de moi !
Je ne répondis pas, Chantal fit une moue du visage. Elle s’allongea sur le lit, gardant sa culotte. Elle avait les cheveux légèrement humides et n’était pas coiffée. Cette allure insolite lui donna un charme spontané.
— Jean, que veux-tu faire avec moi aujourd’hui ?
— Ce qui te plaira ma tante.
— Dans ce cas, approche-toi de moi.
— Tatie ?
— Oui mon neveu chéri ?
— Tu pourrais enlever cette culotte.
— Ah vos ordres chef !
Je n’eus pas le temps de rajouter autre chose, ma tante enleva ce bout de tissu en soulevant son bassin. Elle prit l’oreiller pour le mettre sous sa tête avec les mains en croix. Ma tante avait retrouvé sa bonne humeur.
Elle était foutrement appétissante. Tout juste sortie de cette douche, je devinai sa peau bien chaude et parfumée. Voyant l’effet qu’elle provoquait sur moi, elle en rajouta en écartant ses jambes, ce qui me permit d’entrevoir son temple du désir dont je lui fis l’éloge, histoire de la mettre mal à l’aise. Mon but étant de nous rapprocher.
— Ma tante, tu sais que ton sexe est une pure merveille.
— Oui bon Jean …
— Ah si ! Tu as des lèvres superbes, bien faites.
— Jean, on peut parler d’autre chose ?
— Quoi Tatie, ça te dérange ?
— Tu es mon neveu !
— Et alors ? Tu mouilles comme une folle, je le vois d’ici.
— Alors viens voir de plus près !
Sans devenir trop vulgaire, il est vrai que ma tante était top canon. Gaulée comme elle était, Chantal m’attirait indéniablement, frisant la perfection qu’un homme était en droit d’attendre si, par la grâce de Dieu, il atteignait le paradis. J’étais en route vers le paradis.
— Ma chère tante, savez-vous que vous êtes fortement attirante ?
— Mon cher neveu, je m’en aperçois à travers votre caleçon !
— Auriez-vous d’en l’idée de vous faire lécher votre chatte par votre neveu ?
— Je dois vous avouer que votre idée est fort plaisante et que vous ayez la bonté de vous occuper de moi me comblerait de joie.
— Dans ce cas ma Chère, je me dois de vous combler
— Faites-en à votre guise mon si cher neveu et prenez bien soin de votre tante !
— N’ayez crainte, je vais vous lécher votre sexe comme il le mérite.
Ma tante me fit un sourire qui emporta tout sur son passage. Sa mauvaise humeur, mon attitude méprisante, mes propos nonchalants …
Je la regardai, totalement nue, totalement offerte, totalement impudique. Elle m’affolait de sensualité. Elle était blonde comme les blés avec sa peau si blanche qui la rendait fragile. Je n’avais plus devant moi ma tante, juste une femelle en chaleur, prête à se faire prendre par son jeune neveu. Elle en avait oublié nos différences d’âge. Elle me fixait avec un regard complice. Désireuse d’amour, de sensations inconnues que j’avais hâte de lui faire connaitre. Je savais lui donner des orgasmes qu’elle n’avait jamais connus.
Je me mis en face de sa chatte de rêve. Je caressai ses cuisses, écartai ses grandes lèvres, pour lécher d’une seule traite sa chair si rose. Elle en frissonna de surprise, moi si délicat d’habitude. Cette fois, les préliminaires furent oubliés. Je pris les jambes de Chantal, je lui attrapai ses pieds si soignés et entrepris de la pénétrer. Ma tante ne dit rien, se laissant faire. S’en suivit un dialogue surréaliste.
— Alors Chantal, prête à te faire baiser ?
— Oui mon neveu, je suis prête !
— Et tu aimes te faire sauter par le fils de ta sur ?
— Oui, j’aime sentir son fils en moi.
— Mais c’est mal entre une tante et son neveu, tu réalises que tu aimes te faire prendre par un garçon plus jeune que ton fils ?
— Et alors ? Ce garçon me fait jouir de manière extraordinaire et il me dit que je suis attirante pour mon âge !
— Alors ma tante, tu vas bien m’accueillir ?
— Oh ouiii, tu peux venir mon si cher neveu.
Une nouvelle fois, je me mis en approche du sexe de ma tante. L’idée de la pénétrer me mît en transe. Mon sexe effleura les parois intimes de ma tante. Elle gémît du plaisir de sentir ma verge, prête à s’introduire dans son orifice impérial. Lentement, mon sexe entra dans son intimité qui se montra étroite. Sans préliminaires, son vagin ne fut point dilaté. Force est d’avouer que sur le moment, cette sensation fut fort plaisante, j’entrai dans les entrailles de ma tante, je sentis ses chairs et sa chaleur étouffante comme jamais.
Puis mon va et vient incessant eut raison de ma belle Chantal; je m’allongeai sur elle pour échanger des baisers confus. Ma tante, excitée au diable me caressa le dos, les épaules, les fesses.
Ce matin, je n’avais qu’une envie, la baiser en missionnaire et la faire jouir encore différemment. Chantal subissait mes assauts en se libérant par des cris violents, sincères.
— Viens Chantal, viens jouir avec moi.
— Oui mon Jean, je suis à toi.
— T’es ma tante que je baise et que je veux entendre ! – j’accélérai ma cadence pour qu’elle fut infernale.
— Oui, c’est si bon, je te sens si fort en moi et je t’aime et baise-moi fort, fais-moi jouir mon étalon !
Je me redressai et saisis ses pieds que je couvris de baisers. Ses orteils majestueux finirent dans ma bouche. Je lui suçai ses pieds tandis que je la baisai de plus belle. Je la possédai toute entière. Chantal attrapa ma main et prit mon index dans sa bouche. Elle aspira mon doigt.
Cette vision de ma tante, totalement dévouée à cette noble cause, provoqua en moi une décharge électrique dans mes neurones. Ma tante sentit immédiatement que nous n’allions faire qu’un. Je regardai son visage, son corps avec ses pieds raffinés dans ma bouche, elle n’était plus désirable, elle était à bouffer. Tout en la pénétrant de plus belle, je regardai ma tante, la trouvant toujours plus attirante, sexy, sensuelle. Il n’y avait rien à dire, elle m’attirait avec ses 45 ans. Je faisais jouir cette femme mûre et cela m’excitait au plus haut point.
— Jean … Viens !
— Oui, je suis pleinement en toi.
— Je t’aime Jean ! je te sens profond en moi mon chéri.
"Et les villes s’éclabousseraient de bleu … ".
Comprenne qui pourra, c’est ce que je ressentis quand je cédai une partie de moi, dans le corps toujours aussi sublime de ma tante adorée. Elle exulta dans le même temps. Je restai figé en elle, nos lèvres se cherchant, nos langues batifolant.
Faire l’amour à ma tante était une forme d’exécutoire de mes fantasmes inavoués.
Quel avenir avais-je avec cette femme, fut-elle ma tante ? J’avoue humblement ne guère m’en soucier. Je l’avais désirée depuis si longtemps et même si le rêve, le fantasme furent accomplis, ma tante continuait de m’envoûter.
— Mais comment fais-tu Jean, pour me donner autant de plaisir ?
— C’est simple Chantal, je lis dans tes yeux.
— Eh ben, on peut dire que tu es balèze en amour !
— Moi toi aussi ma tante – lui dis-je en souriant.
— Tu m’as fait tellement jouir, Il faut que je reprenne une douche, je suis trempée de sueur.
En effet, quand nous faisions l’amour avec ma tante, c’était toujours d’une manière puissante. J’avais remarqué qu’elle aimait un démarrage câlin pour finir par des coups violents, provoquant chez elle un orgasme d’une rare intensité. Je la vis se lever avec une grâce très féminine.
La conclusion fut simple : j’étais désormais complètement accro de ma tante. Et dire que son mari rentrait demain, pour passer le week-end et repartait lundi en maison de repos durant trois semaines.
Nous partîmes en fin de matinée et ma tante, toute guillerette m’invita au restaurant. Nous fûmes en tête à tête et échangeâmes des regards complices.
— Tu sais Jean, il faut que je t’avoue mes remords.
— Oui je sais, je te baise et tu es ma tante !
— Exactement et reste poli !
— Allons ma chérie, reste calme, il fait si beau.
— Alors Jean, avec ce beau soleil, je crois que je vais me faire bronzer et penser à autre chose.
— Excellente idée Tatie et je ne manquerai pas de te protéger du soleil.
— Ah ça j’y compte bien, fais le comme la dernière fois, c’était génial.
Un sourire complice de ma tante accompagna ses dernières paroles, j’en conclus qu’elle était demandeuse pour une séance de bronzage à ma façon. Nous quittâmes notre table et une fois dans la voiture, ma tante conduisit sur le retour.
Elle était en jupe assez courte et forcément, ma main vint se promener sur la douceur de la peau de sa jolie cuisse. Ma tante me jeta un regard de satisfaction. Je continuai ma promenade pour arriver à son entrejambe. Sans culotte, mes doigts s’approchèrent de l’endroit fatidique; ma tante ne parla plus, les mains tendues sur le volant. Je repris le chemin inverse vers ses cuisses. Mes doigts étaient trempés au passage de son intimité. Ça démarrait très fort.
Il devait être 15h, le soleil était à son zénith. J’installai les transats, Il ne manqua plus que la piscine pour le décor, mais je fis confiance à ma tante pour combler ce vide. Sa présence était suffisante.
Elle arriva somptueuse, en maillot deux pièces et pour rester plus sexy, elle avait gardé ses escarpins. Ma tante à la silhouette parfaite, perchée sur des talons, ça avait forcément de la gueule. Elle déplia sa serviette et se mît sur le dos, aussi je pus admirer son profil. Ses seins bien galbés, un ventre bien plat, des jambes qui n’en finissent pas et bien sûr, ses pieds magnifiques. Elle savait tout cela.
— Jean, est-ce utile de te demander de me mettre de la crème sur tous le corps ?
— Allons ma tante, c’est inutile ! J’y pense depuis tout à l’heure.
— T’es un amour !
Rien qu’à ces mots, mon caleçon en avait déjà pris un coup. Ma tante avait ses lunettes de soleil, sa peau était brillante de la sueur qu’elle dégageait. Je pris le tube et je commençai à lui étaler la crème en commençant par ses pieds que je choyai comme des biens précieux. Je continuai par ses mollets, puis les cuisses et enfin son ventre. Je vis son visage changer d’expression quand je m’attardai sur le début de sa poitrine.
— C’est agréable Jean, ça détend en même temps.
— Je n’ai pas fini.
— J’espère bien, il faudra faire le dos.
— Alors retourne toi.
J’entamai mon 2ème étalage prenant soin de badigeonner ses épaules. Il me fallut dorénavant m’occuper des fesses bien fermes de ma tante.
— Chantal, tu vas avoir des traces si tu gardes ton maillot.
— Bon, tu veux que je me mette nue ?
— Ce serait préférable.
— Tu es un perfectionniste mon neveu !
Avec le corps que j’avais sous les yeux, Il fut évident que la perfection était de mise. Ma tante ôta son deux pièces sous mon regard contemplatif. Il me fut aisé de pouvoir ainsi caresser, enfin étaler ladite crème sur l’ensemble de son corps. Bien entendu, je passai rapidement l’étape du dos pour m’intéresser au postérieur de ma tante.
Au bout de quelques minutes, ma tante n’étant point dupe se rendit à l’évidence. Je pratiquai une caresse intense sur ses belles fesses, sans mettre de crème ! Ma tante ne dit mot et le bout de mes doigts, lors de chaque passage, effleurait volontairement ses lèvres intimes.
Elle fit un mouvement de son bassin, preuve qu’elle appréciait mes gestes. Le parcours de mes mains n’en fut pas moins altéré, Il dessinait son fabuleux corps de manière aléatoire, faisant naître chez ma tante une respiration alternant de grands soupirs, ainsi que de petits gémissements. Je commençai à faire quelques baisers sur les douces fesses de ma tante …
— Chantal, Il faudrait te mettre sur le dos.
— Ah bon et bien d’accord mon neveu.
— Protège tes seins du soleil.
Sur ce, ma tante se mît dans la position demandée en prenant une serviette pour la mettre sur sa poitrine. Je me déplaçai en prenant une chaise, pour me mettre en face de Chantal. J’attrapai ses pieds pour leurs faire des baisers, sur la pointe du dessus de ses orteils à la peau de satin. Ma tante aima au point de les approcher plus près de ma bouche. Je les suçai, les mordillai en les aspirant à pleine bouche.
Une véritable merveille de sensualité se situa dans mon palais. Tout en les suçant, je caressai la plante de ses pieds quasi obsessionnels pour moi. Cette partie de l’anatomie de ma tante m’apportait un sentiment de possession. Chantal montra un certain enthousiasme mêlé de scepticisme.
— Jean, je te laisse vraiment faire ce que tu veux avec moi.
— Je sais ma tante et j’apprécie.
— Que trouves-tu donc de si extraordinaire avec mes pieds ?
— Tatie, ils sont fabuleux !
Ma tante n’en fut que flattée, je sus très bien qu’elle adorait que je prenne soin d’elle, peu importe de quelle manière. Elle était dans l’ignorance du fantasme que je réalisai. L’acte de lui caresser ou lécher ses pieds sublimes fut une étape de plus. Il m’en fallait davantage, conquérir ma tante afin qu’elle devienne ma maîtresse. Et par la même occasion, dans son inconscient, je devenais son amant attitré en oubliant le neveu que j’étais.
Chantal déplaça son bassin, signe qu’elle attendait que je m’occupe de ses zones érogènes. Après tout, la tâche m’incombait également de la satisfaire ! Je pris ses jambes soigneusement et je les posai à même le sol.
— Que veux-tu faire Jean ?
— Prends une serviette Tatie et viens avec moi.
— Tu as encore une drôle d’idée en tête !
Ma tante me suivit dans la salle à manger. Je la débarrassai de son linge pour le poser sur la table tout en l’étendant.
— Ah je vois, tu veux que je m’allonge sur la table ?
— Exactement Chantal !
— Tu ne me laisses pas le choix – dit-elle avec un large sourire.
Ma tante prit position. Je saisis une chaise pour me retrouver à hauteur de son intimité. Chantal fut très excitée de cette situation nouvelle. Elle écarta sans mal ses jambes sublimes pour les déposer sur mes épaules. Cette position insolite me donna l’impression d’être à table.
Quel festin me proposa ma tante ! Je ne sus par où commencer. Je décidai de lui faire quelques câlins à l’intérieur de ses cuisses à la peau exquise. Plus je m’approchai de l’endroit fatidique, plus j’entendis des encouragements de ma tante.
— Oh oui Jean, c’est délicieux ce que tu fais.
— Mais ça n’est que le début ma si chère Tatie !
Mes mains s’aventurèrent sur sa poitrine épanouie. Chantal, comme un symbole, saisit mes mains pour les porter à ses lèvres. Ce geste anodin fut considéré pour ma part, comme une façon pour ma tante de me donner également du plaisir.
Pour autant, je continuai ma marche lente. Une sorte de pèlerinage se mît en place pour accéder à cette voûte céleste. Le bout de ma langue goûta de manière précise, les pétales roses, humides comme la rosée du matin. Enchanteresse fut le mot qui me vint à l’esprit.
A un train de sénateur, mes lèvres se mirent en approche, se collant aux pétales rosés pour venir butiner son stigmate. Je comparai son anatomie à cette fleur appelée Anémone, connue sous fleur des vents, pour symboliser un amour intense mais fragile. Pour l’heure, Chantal se délectait de mes doux baisers, déposés au cur de son intimité qui visiblement, avait dépassé le stade d’une rosée matinale !
Désormais, ma tante m’offrait son sexe sans aucune retenue. Dire qu’elle mouillait sous la chaleur de ma langue, me parut bien faible vue l’attitude adoptée par la sublime sur de ma mère.
— Mais Chantal, tu es une fontaine !
— Que veux-tu, tu t’y prends tellement bien avec moi !
— Laisse-moi te bouffer toute entière.
— Oh oui, bouffe-moi, aspire-moi.
Transcendé pas ses paroles, je continuai mon aventure. D’un coup de langue habile, je tournai autour de son crépuscule, ce qui provoqua immédiatement un spasme chez ma tante. Elle me serra les mains avec une force transpirant le désir reçu. Mon Anémone était ouverte, prête à recevoir un intrus.
Des mots simples me traversèrent l’esprit.
Que ma tante fut belle dans l’instant. Elle me regarda de manière hagarde, sachant que j’allai l’inonder de bonheur. Elle fut jouissive à contempler. Je me redressai, elle me dévisagea. A la seconde précise, je fus son maître, ma tante devenant ma proie telle une belle femelle en chaleur. Elle écarta ses jambes raffinées. Son sexe n’étant plus une fleur, je me mis à penser …
"Et, sous le voile à peine clos, Cette touffe de noir jésus Qui ruisselle dans son berceau,
Comme un nageur qu’on n’attend plus…"
Je fus devant ce jardin qu’on ouvre que la nuit. Je vois un étrange attirail. Des fleurs, des oiseaux, du corail et de l’or en fines paillettes. Je vois une source très pure. Je vois des rires et des sourires, une oasis près d’un écueil… La nature avait gâté ma tante.
J’introduis ma langue au profond de son intimité, ma tante en oublia qui je fus. Je bus sa liqueur abondante, Chantal fut prise d’un orgasme aussi dévastateur qu’intense. Elle lâcha des cris escortant son plaisir, accompagnés de convulsions passionnés. Elle eut cet effet du miroir, voyant le plaisir que je prenais, elle s’abandonna dans son monde de jouissance comme faisant l’amour avec elle-même. Sa voix se fit douce et émotive.
— Jean, je ne sais plus où j’en suis !
— Tu es avec moi ma chérie.
— C’est fabuleux ce que je ressens avec toi, tu me donnes des orgasmes inouïs.
— J’en suis flatté ma tante.
— Oh mon neveu, viens me baiser maintenant, je t’en supplie !
Je m’apprêtai à baisser mon pantalon quand nous entendîmes la sonnette. Chantal me regarda paniquée. Elle fila à l’étage pour se rhabiller et faire un brin de toilette. De mon côté, je restai calme et ouvris la porte.
Deux ambulanciers se trouvèrent devant l’entrée avec Andrew sur un brancard. L’explication fut simple, par manque de place, Andrew était sorti ce vendredi et repartait lundi en maison de repos. J’accueillis Andrew en lui expliquant que j’étais passer voir sa femme, enfin ma tante pour prendre un café. Chantal descendit dans la foulée en levant les bras au ciel, toute heureuse de le retrouver. Ils se firent un baiser furtif.
Les ambulanciers proposèrent de monter Andrew dans sa chambre, suite aux recommandations du médecin. Il se plia de bonne grâce. Ma tante l’installa dans la chambre, aussi je décidai de partir, histoire de les laisser entre eux pour leurs retrouvailles. Je vis le visage stupéfait de ma tante. La désillusion se lisait dans son regard.
— Mais Jean tu vas rester dîner avec nous ce soir, tu n’as pas vu ton oncle depuis plus d’une semaine ?
— Oh Tatie, je ne voudrai pas vous déranger.
— Allons donc ! fit mon oncle.
— Dans ce cas, ce sera avec plaisir.
— Et tu aideras ta tante en cuisine ! rajouta Andrew en rigolant.
— Il faut te reposer, fais une petite sieste – dit Chantal.
Mon oncle fit signe de nous éloigner, je le vis fatigué, amigri. Il avait un sens de l’humour pince-sans-rire.
— Reprenez votre conversation – nous dit-il.
— Jean, tu reprendras bien un café sur la terrasse, le temps que ton oncle fasse sa sieste ?
— Oui Tatie.
— Alors descendons mon neveu.
Ma tante s’approcha de mon oncle et lui caressa le visage puis se retira en fermant la porte. Nous ne dîmes pas un mot en descendant l’escalier. Ma tante avait pris le temps de mettre un short et un tee-shirt sans soutien-gorge. Andrew n’avait même pas remarqué. J’adorais la voir paniquer. Je redevenais comme au bureau, son confident, son maître à penser.
— Qu’allons-nous faire Jean ? me dit ma tante à voix basse.
— Du calme Tatie, d’abord prenons un café.
— Oui tu as raison et offre-moi une cigarette.
Sitôt fait, ma tante amena les tasses et je lui proposai une cigarette. Instinctivement, Chantal amena ses pieds pour les poser sur mes cuisses. Tout en fumant, je lui caressai ses pieds ravissants. La situation était rocambolesque; mon oncle faisant une sieste en haut et moi, caressant les orteils précieux de sa femme ! Par habitude, mes doigts glissèrent sur cette peau si douce située au-dessus de ses fabuleux pieds. Il me fallut faire attention, je m’aperçus que je devenais totalement obsessionnel des pieds de ma tante si charmante. Avec son tee-shirt sans soutien-gorge, ses seins pointaient sous ce tissu si léger. Hyper sexy cette tenue.
— Ôte ton short et le reste et viens sur mes genoux.
— Jean, là tu exagères !
— Viens que je te câline un peu.
— Et si Andrew se réveille, tu t’imagines ?
— Nous l’entendrons, allez viens ma douce.
Ma tante hésita. Je continuai mes caresses sur l’intérieur de son entrejambe qui s’ouvrait comme par enchantement. Encore une fois, l’expression n’est guère distinguée, mais ma tante était chaude depuis un moment. Elle se leva brusquement, se baissa pour ôter le short. Dans sa précipitation, elle n’avait pas eu le temps d’en mettre plus.
Elle vint amoureusement se mettre sur mes genoux, en m’enlaçant avec ses bras si fins. A travers son tee-shirt, je lui caressai sa poitrine, devenue ferme pour la circonstance. Je lui glissai un baiser dans le cou. Elle répliqua à sa manière, en m’embrassant d’une manière quelque peu farouche.
Depuis notre expérience de la table, Chantal comme moi avions faim l’un de l’autre. Je la caressai de partout, les cuisses, les fesses, les seins, les pieds, les épaules, ma tante en entier. Je ne laissai pas un seul morceau de cette femme qui m’était si chère. De part mes multiples caresses, Chantal avala quasiment ma langue. J’aspirai ses lèvres si douces pour mieux lui sucer sa langue à mon tour.
Notre baiser prit une tournure effrénée. Chantal écarta les cuisses. L’envie de se faire doigter se fit plus précise quand ma tante prit ma main pour la mettre entre ses jambes. Inutile de préciser que je ne me fis pas prier. Mes doigts vinrent câliner l’ensemble de son intimité imprégnée de sa succulente liqueur. Ma tante se fit pressante.
— Doigte moi mon chéri comme tu sais le faire.
— Comme je t’aime toi.
— Et moi donc mon amour.
J’introduis mon majeur dans le vagin velouté de ma tante. Elle en posa sa tête sur mon épaule en ondulant son bassin. Mes va et vient subtiles firent leurs preuves, je rentrai au plus profond d’elle-même en tournoyant pour ressortir avec grâce et lui caresser ses lèvres. Le souffle de Chantal s’accéléra et dans le même temps, son tee-shirt disparût comme par enchantement.
Je sentis Chantal en soif d’amour. Jamais je ne l’avais vue dans pareil état. Je lui murmurai que nous serions mieux à l’intérieur, plus à l’écoute du premier étage. Chantal comprit immédiatement. Elle se leva pour se diriger vers le salon.
Quelle vision de voir le superbe cul de ma tante ! Elle avait un cul de rêve, un cul à faire rougir les curés les plus intègres, à faire pâlir des gamines de 20 ans, à faire tomber la nuit sans que le soleil ne soit. Dieu que sa démarche fut féline durant cet instant.
Sans le savoir, elle me fit offrande de sa silhouette raffinée, de sa croupe cambrée comme il se doit. Puis vint le coup de grâce tel un matador. Elle se retourna dans un sourire et me fit signe avec l’index de la rejoindre. Terrassé est le mot qui convient. Mon aventure continua. Tel un combattant, je me relevai tout en faisant abstraction de mon apparence physique, plaisante aux yeux de ma tante.
— Jean, je crois que tu vas me gâter en regardant mon caleçon.
Je restai sans voix. Ainsi la perfection existait à ce point ? me demandais-je. Cette femme mûre de 45 ans à la peau douce me faisait perdre la tête. J’en oubliai qu’elle fut ma tante, la sur de ma mère, qu’une part de notre sang nous était commune. J’allais rejoindre la femme représentative de tous mes fantasmes.
Chantal, c’était la femme bcbg, chic, raffinée, la mère de famille hyper bien foutue. Le genre de femme qui vous paraît inaccessible à l’âge de 19 ans. Et pourtant, c’était elle qui m’invitait à prendre possession de son corps, à partager ses émotions les plus personnelles.
— Jean, il ne faut pas faire de bruit.
— Oui je sais machérie, je ferai doucement – lui dis-je en souriant.
— Doucement ? De ta part, ce serait étonnant !
— Et si tu t’allongeais sur la table ?
— D’accord mon chéri mais attends.
Ma tante, perchée sur ses escarpins, ce qui lui flattait ses gambilles, s’approcha. Elle se serra contre moi, puis me fit des baisers sur le torse tout en s’agenouillant. Chantal me jeta un regard rempli de malice, sa frimousse face à mon sexe. Elle me caressa les cuisses et vint me faire des petits baisers le long de ma verge.
Ce fut effrayant d’excitation. Je tremblai intérieurement, du plaisir fou voire insensé, à l’idée de regarder les douces lèvres de ma tante, se mettre en action autour de mon sexe. Elle savait y faire mais le temps nous était compté.
Ma tante saisit mon membre, le décalotta de moitié et se mît en succion de mon prépuce, tout en jouant avec sa langue, par une imagination remarquable. Sa langue était agile, diabolique de précision pour se positionner sur mon méat. Elle me fixa du regard. Je fis un long soupir. Sûre de son effet, mon sexe pénétra par étape dans la bouche somptueuse de ma tante. Je sentis la chaleur intérieure de ses joues, ses lèvres se posant sur ma verge.
Je devins presque fou. Il me fallut la prendre par les épaules, lui faire comprendre qu’en continuant de la sorte, l’apothéose serait à sens unique. Ma tante se leva, non sans difficulté pour abandonner son bien. Avec tendresse, nous échangeâmes un baiser d’amoureux, puis Chantal, avec ses merveilleux yeux de biche s’étendit sur la table. Ce fut à moi de jouer. Il m’est indescriptible de poser des mots sur le regard que me fit Chantal.
— T’as envie de moi mon neveu ?
— Ah oui ma tante !
— Alors tu n’as qu’une chose à faire.
— Ah oui ?
— Rentre-moi ton beau sexe en moi, tu es le seul à le faire aussi bien.
Chantal se caressa la poitrine en se tortillant pour bien m’exciter, elle suça son index . Elle continua tout en me faisant des petits sourires coquins.
— Toi tu as envie de te faire baiser par un jeune mâle !
— Oh ouiii, un jeune bien vigoureux.
— Et moi j’ai envie de pénétrer ma tante adorée, gaulée comme une reine !
— Viens en moi mon roi…
J’amenai ma verge gonflée à bloc, Chantal écarta ses lèvres afin de mieux me sentir. Je pris mon sexe et je touchai ses chairs intimes en glissant tout le long. Chantal n’en pouvait plus, elle avançait au bord de la table pour se faire prendre.
Je me baissai et d’un grand coup de langue, je remontai tout le long de son sexe en y déposant une partie de ma salive. Ma tante mouilla à un point que ma bouche en fut trempée.
Cette fois, j’approchai mon sexe et rentrai lentement en elle. Chantal ne put s’empêcher de pousser un cri provenant du plus profond d’elle-même. Elle était en pleine phase de plaisir. Ma pénétration si lente la combla au-delà de ses espérances, au-delà du plaisir qu’elle eut connu. Une fois rentré jusqu’à fond de son anatomie, je restai en elle, sans bouger.
Nous nous regardions, éprouvant le même désir de se savoir l’un dans l’autre. Nos regards n’étaient plus de la complicité ni de l’harmonie, ce fut un partage de nos âmes. Notre accouplement devint majestueux quand nous nous fîmes un ultime sourire, oubliant nos âges respectifs. Que c’était beau d’être dans ma tante. Que c’était bon pour elle de me sentir.
— Jean, je t’adore, ça reste merveilleux entre nous.
— Oui Chantal, t’es juste magique !
Ma cadence se mît au trot et en bon cavalier, j’imprimai ce rythme à ma belle jument. Je ne voulus point la brider et lui laissai quelques libertés. Ainsi, Chantal eut la bonne idée de venir poser la plante de ses pieds divins sur mon torse. Ma jument féerique connaissant mon point faible, sut fort bien qu’à cet endroit, ils furent proches de mes lèvres et que cela me provoquerait une excitation profonde.
Subtilement et tandis que le rythme ralentissait, ma tante les porta à hauteur de mon menton. Je crus deviner son petit manège lorsqu’elle me fit un haussement de sourcils. Ma concentration, mes sens furent amoindries. La chaleur de ma tante était dense, mais le désir de lui embrasser ses orteils au vernis rose fit son chemin. Je fixai la partenaire de mes fantasmes.
De sa propre initiative, elle replia ses orteils en les maintenant sous mon nez. Ainsi, je voyais leurs ongles parfaits au vernis rose. Chantal ne pouvait pas mieux faire pour me faire admirer la partie de son anatomie. Elle en abusait en posant ses orteils sur mes lèvres.
Le cavalier que j’étais, excellent de surcroît, se prit au jeu. Il passa directement au galop face à sa jument quelque peu surprise. La douce maintenue tant bien que mal ses longues jambes, au bord de ma zone érogène. La muqueuse de mes lèvres me signifia qu’il était grand temps de s’occuper des pieds de Madame ma tante (!).
Ma passion l’emporta, ses orteils si fins atterrirent dans ma bouche dont la langue s’empressa de les dorloter. Le fait de sucer ses si beaux pieds me transcenda. Le cavalier était au galop, à travers les champs de blé, au passage il caressa la croupe de sa jument qui poussa un hennissement. La jument se voulut capricieuse, difficile à dompter.
Il se transforma en un preux chevalier. De jument capricieuse, elle se fit déesse d’un roi malade, avec lequel l’ennui était de mise. Le chevalier se devait de la délivrer de cet isolement. Avec ses armes, le Chevalier entra âprement dans la bataille. Le roi ayant disparu depuis belle lurette, la déesse était en proie à la mélancolie, au souvenir de plaisirs peu consommés. Il lui fallut lutter contre ses maux. Armé comme il se doit, il délivra le corps de sa belle.
La renaissance se fit jour lorsque moi-chevalier suçant avec diablerie les pieds de ma tante-déesse sentis que son antre s’épanouissait. Chantal gémit non plus de plaisir, mais d’une rage de jouir, une rage de découvrir des émotions nouvelles, fortes voire impensables dans son imaginaire.
Au-delà de mes divagations, ma tante ne sut que faire de ses mains si ce n’est que de se caresser sa poitrine. C’en fut trop pour nous deux. L’électricité se fit jour dans la chair de mon sexe. Ma tante ressentit cette lumière en elle.
— Oh oui Jean, viens en moi, tu me baises trop bien.
— Oui Chantal c’est si fort, si bon d’être en toi.
— Alors plus fort !
Au diable le cavalier et sa jument, tout comme le chevalier et sa déesse. Ma tante était en pleine extase. J’avais ses pieds en bouche, mon sexe en elle, nos mains serrées. Si serrées que nous dépassâmes le 7ème ciel. Les étoiles nous étaient conquises. Chantal eut tout le mal du monde à contenir sa jouissance. Je poussai des cris étouffés. Ma tante me prit la main et mit mes doigts dans sa bouche, pour retenir un hurlement que je devinai sauvage. Mes spasmes furent violents, la table dut s’en souvenir.
J’étais mort debout, entre les sublimes cuisses de ma tante. Sans m’en apercevoir, j’avais ses orteils pleinement dans ma bouche que je suçais sans relâche. De son coté, Chantal creusait son ventre tant son souffle fut rapide.
— C’est complètement dingue avec toi Jean !
— Oui Chantal, c’est pareil pour moi, dingue !
— Je ne sais plus quoi te dire tellement je suis bien.
— Pareil pour moi.
Trempée d’amour, Chantal continua à me sucer les doigts. Je fis la même chose avec ses orteils fabuleux. Je restai en elle un long moment…
Chantal se mit debout et se releva. Elle vint m’enlacer pour plaquer ses lèvres contre les miennes. Notre baiser fut digne de ceux que l’on peut voir au cinéma. Passionné, irréel, sensuel …
Nous n’avions pas vulgairement baisé, mais fusionné nos corps avec amour. Ma tante me fit un baiser dans le cou, signe qu’il était temps de cesser notre relation incestueuse. Nous nous rhabillâmes sans grande hâte. Fatigués l’un et l’autre de notre corps à corps qui avait dépassé l’entendement.
Ma tante monta en haut, passant par la salle de bain puis prit des nouvelles de son mari. Andrew dormait comme une masse. Il fallut à ma tante la patience de le réveiller, l’habiller, l’aider à descendre. Enfin arrivé sur la terrasse, Andrew s’installa et nous prîmes l’apéritif. Nous discutâmes de son séjour à l’hôpital et mon oncle se fit réticent quant à ses 3 semaines en maison de repos. Nous eûmes avec Chantal, un bref regard à la fois interrogatif et désespéré…