Il est un peu plus de midi, et comme d’habitude Maryse prend un sandwich dans une boulangerie qui se situe sur le trajet qui sépare le domicile de monsieur Bouteille à monsieur Dubois.
Elle stationne son véhicule dans un coin ombragé, puis prend son déjeuner. Après avoir repris des forces, la femme d’Antoine ressent encore en elle des picotements de plaisirs. Roger ne l’a laisse pas insensible.
Il est maintenant une heure et demie. Elle roule en direction de chez monsieur Dubois. Elle sonne, l’homme l’accueil avec un sourire et une poignée de main franche. Après quelques jours de repassage, aujourd’hui, il n’y a pas grand-chose à faire. Elle demande au monsieur ce qu’il souhaite faire comme activité. Ce dernier lui répond une nouvelle fois l’amour.
Les blagues les plus courtes sont toujours les meilleurs comme dit le proverbe, du coup Maryse lui en fait part puis passe à autre chose. Monsieur Dubois lui propose de regarder un film. Cette dernière ne refuse pas. Les deux adultes passent donc au salon, l’homme ferme le volet afin de diminuer l’intensité de la lumière extérieure, met un dvd dans le lecteur, puis s’assoie sur le canapé.
Maryse est invitée à le rejoindre, ce qu’elle fait. Le temps du chargement est à présent terminer. Il s’agit d’un film italien, il y a une grande porte en bois en guise de page d’accueil. Monsieur Dubois clique avec la télécommande sur lecture. Le film commence. Dans un premier temps, les images ressemblent fortement à un policier des années soixante-dix, une femme blonde est accompagnée par son mari ou son concubins dans une sorte de caverne. Lorsque celui-ci laisse sa dulcinée seule, apparaît alors un homme assez âgé, puis un deuxième qui ordonne à cette dernière de tourner sur elle-même.
Elle est un peu hésitante dans un premier temps, puis exécute l’ordre qui lui a été donné. Les deux messieurs la regardent d’une manière assez explicite. Ils l’invitent ensuite au restaurant, puis au milieu d’une piste de danse.
Très rapidement, ces derniers effectuent des attouchements à la femme blonde, puis effectuent une partie de jambes en l’air à trois. Maryse comprend à présent qu’il s’agit d’un film à caractère pornographique. Visiblement, ce monsieur Dubois semble être un adepte de ce style. Elle esquisse un regard en sa direction, et voit clairement, que le sexagénaire se masturbe.
En voyant les scènes de sexe dans le petit écran, son désir remonte à la surface, elle repense à la matinée qu’elle a vécue avec monsieur Bouteille. Elle croise, décroise ses compas. Elle semble nerveuse, l’homme qui est à côté d’elle remarque le manège. Il se rapproche légèrement de Maryse, pose sa main sur la partie encore vêtue de sa cuisse puis effectue quelques caresses.
La femme sursaute, ne sait plus trop quoi faire, ni ou se mettre. Ses sens sont en ébullitions, des frissons parcourent le bas de son ventre et sent très bien que tout peut arriver à présent.
Le sexagénaire continue de la caresser, puis par la même occasion il relève petit à petit le bas de la robe. Inconsciemment, Maryse écarte légèrement les jambes afin de facilité cette action. Le vêtement est à présent au-dessus du genou. Monsieur Dubois passe à l’étape supérieure puisque ses doigts se promènent sur la partie nue. La femme ressent à présent des frissons, l’excitation commence à arriver clairement.
Il semble assez sage, puisqu’il ne monte pas plus haut que le bas du vêtement. Mais une scène explicite à l’écran crée en lui une montée d’adrénaline. Il écarte les compas de Maryse qui n’oppose aucune résistance, puis il effleure l’intérieur des cuisses de cette dernière. Sa main monte de plus en plus haut, à tel point qu’il touche la vulve de la femme à travers le tissu.
Il s’aperçoit assez rapidement que cette dernière n’est pas insensible à ses attouchements. Le sous-vêtement est humide, il en profite pour écarter légèrement l’élastique de ce dernier puis caresse le sexe de la femme. Il glisse deux doigts dans ce puits d’amour bouillant puis fait des mouvements avec sa main. La tête de Maryse part en arrière, elle ressent à nouveau du plaisir et le fait savoir avec des soupirs explicites.
Monsieur Dubois comprend très vite qu’il vient de briser une barrière. Il se positionne à genou face à la femme d’Antoine, soulève les fesses de cette dernière afin d’enlever un string blanc en dentelle puis plonge sous la robe. Elle sent alors une langue chaude et un peu râpeuse parcourir sa vulve. Dans un premier temps, il lèche cette dernière de haut en bas d’une façon assez classique, puis l’homme devient de plus en plus précis. Il joue avec le clitoris de Maryse, le mordille, le suce, rapidement cette dernière pousse un premier cri. Elle est très sensible et le fait entendre.
L’homme enlève le haut de la robe afin de faire apparaître un magnifique quatre-vingt-dix C enfermé dans un soutien-gorge blanc qu’il enlève aussitôt. Il touche la poitrine de cette dernière d’une manière classique puis se relève. Il se déshabille, sa verge apparaît fièrement, il se met à califourchon au-dessus de la bouche de Maryse puis s’offre une fellation.
La femme tète le sexe, elle aspire le gland, et caresse les testicules de monsieur Dubois. Ce dernier descend légèrement, puis s’offre une cravate de notaire. Il continue d’aller de plus en plus bas, il soulève le bas de la robe, puis positionne son sexe à l’entrée du vagin de Maryse. Il se frotte quelques secondes, puis pénètre cette dernière avec un bon coup de reins.
Il besogne la femme d’Antoine, il ne se ménage pas, il est même un peu trop bestial. La femme quant à elle, aime ce traitement de faveur, et le fait savoir en grognant de plaisir. Les amants se positionnent en missionnaire, et les mouvements ne se calment pas pour autant. Très rapidement, la verge de monsieur Dubois reçoit une quantité incroyable de cyprine. Il a le sourire aux lèvres et semble satisfait.
Il positionne à présent Maryse à plat ventre. Il écarte les fesses de cette dernière, puis plonge de nouveau dans le puits d’amour de cette dernière. Le bas du ventre claque contre les fesses de cette dernière. A chaque pénétration, la femme pousse un cri de plaisir. De plus, le son de la télévision produit aussi ce genre de bruits. On pourrait presque croire qu’il y a plusieurs personnes dans la pièce.
Des talons claquent dans le couloir de la maison, mais les amants n’entendent pas. La porte du salon s’entrouvre, c’est Sophie, la responsable d’entreprise de Maryse. Plutôt que d’intervenir, l’amie de Marcel, le cousin de la famille sort de la maison le plus discrètement possible.
Elle téléphone aussitôt à son ami, et lui explique la situation. Ce dernier ne tarde pas à lui confirmer ce qu’il avait pensé lors du premier contact qu’il avait eu avec Maryse, il sentait bien qu’au fond d’elle se cachait une sacrée coquine. Sur un ton ironique, Sophie lui dit qu’il pourra certainement la convoitée et peut-être avoir une relation avec. Marcel ne cache pas cette envie auprès de son amie. Cette dernière ressent une boule d’amertume à l’estomac par jalousie certainement mais comprend la situation. Les deux adultes raccrochent.
Pendant ce temps-là, Maryse et monsieur Dubois continuent d’échanger un plaisir charnel. Ils sont toujours sur le canapé, sauf qu’ils sont à présent en cuillère. L’homme saisit les seins de cette dernière tandis qu’il la pénètre avec vigueur. Au bout de dix minutes, ses gestes sont saccadés, son bassin se contracte et son gland grossit. C’est à ce moment-là que monsieur Dubois jouit dans le vagin de Maryse.
Les amants s’embrassent, se font des câlins, puis partent à la douche.
Il est maintenant seize-heure, la femme effectue un bisou sur la bouche de monsieur Dubois, puis part à son domicile. Elle s’affale sur le canapé, son esprit est embrumée, elle vient pour la deuxième fois de sa vie en peu de temps de découvrir un nouveau plaisir. Celui de faire l’amour avec monsieur Dubois.
Elle semble satisfaite de ce traitement, elle aimerait bien aussi que tout cela s’arrête afin de profiter de la vie avec Antoine. Mais le destin ne fait pas forcément tout ce que l’on souhaite.
Il est dix-sept heure trente, son époux vient de rentrer à la maison, puis comme d’habitude se prépare à passer la soirée avec sa dulcinée. Quand soudain, le téléphone sonne, c’est Marcel qui invite le couple à manger ce vendredi soir. Le couple valide cette proposition.
Comme si c’était pour effacer les stigmates de la journée, Maryse tente une approche auprès de son compagnon afin de partager un moment intime. Mais ce dernier ne veut pas, il est fatigué. La femme semble désespérer.
Elle s’allonge dans le lit conjugal et ne se prive pas d’effectuer une masturbation dans les règles de l’art. Mais comme l’autre soir, elle s’arrête juste avant d’avoir un orgasme. D’ailleurs, ce dernier a failli arriver sans prévenir. Les images, et les plaisirs de la journée sont revenus comme un boomerang dans l’esprit de Maryse.