PARTIE I
Tout avait commencé pour un anniversaire. Le jour des seize ans de mon fils Antoine, je l’invitai au restaurant avec son meilleur ami Francis. Ayant tous les deux le même âge, ils étaient toujours ensemble et ils faisaient les quatre cents coups. J’avais déjà remarqué que Francis semblait apprécier mon physique car je l’avais vu reluquer sur mes cuisses lorsque j’étais assise, et je l’avais vu rougir la fois où j’avais écarté mes genoux pour le faire profiter de la vision fugitive de ma culotte noire. Je l’avais fixé de mes yeux mais il avait très vite baissé les siens ce qui m’avait laissé avec un sentiment de douceur et dans une envie irrépressible de lui. Depuis ce jour j’avais souvent tenté de me retrouver seule avec lui pour tenter d’avoir un flirt avec lui, mais l’occasion ne s’est pas présentée jusqu’à ce jour. J’avais alors un peu plus de la cinquantaine, j’étais veuve depuis cinq ans, suite à une longue maladie de mon mari que je n’avais jamais trompé, ni avant, ni après son décès.
Le repas s’était passé dans la bonne humeur. Les garçons étaient aux petits soins pour moi. Francis était moins timide que d’habitude et je fus agréablement surprise de sentir que de temps en temps ses mains s’égaraient sur mon corps et surtout sur mes seins lourds et avides de caresses. Cet état de fait était sans doute du aux effets de l’alcool que nous buvions avec gourmandise, ce qui nous désibinissait complètement. Je sentis même une fois ou deux, les mains de mon fils sur mes fesses les caressant avec insistance, ce qui me fit glousser bêtement.
Puis nous avons pris le chemin du retour. Je conduisais, très prudemment à cause de mon état, et Francis était monté à l’avant lui aussi, ce qui fit qu’il se retrouva serré entre nous. Je sentais l’agréable chaleur de son corps.
Il y n’avait qu’à peine deux kilomètres que nous roulions que je sentis la main de Francis sur mon cou qui me fit tourner la tête vers lui et il pausa sa bouche sur mes lèvres. J’arrêtai brusquement la voiture au bord de la route, sa langue se glissa entre mes lèvres pour un baiser profond auquel je m’abandonnais dans un sentiment de sensualité et dans l’espoir que cet homme allait me baiser, et pourquoi pas, devant mon fils s’il le souhaitait. D’ailleurs ma robe noire ne résista pas longtemps et elle fut rejointe rapidement par mon soutiens-gorge et ma culotte. J’étais nue avec seulement mes bas noirs et mes talons. Francis et mon fils me regardaient admiratifs:
-Tu es belle maman, dit Antoine, embrasse-moi aussi s’il te plait.
Je sentis sa main glisser sur mon cul et je me tournais vers lui pour recevoir sa langue dans ma bouche. Francis caressait mes seins s’activant sur mes tétons durs comme de la pierre, et les doigts de mon fils cherchèrent et trouvèrent ma chatte poisseuse et brûlante d’envie.
-Sucez-moi Odette, me dit Francis.
-Oh oui maman vas-y suce-lui la bitte. Moi j’ai envie de te baiser. Je peux?
-Oui mon chéri baise-moi m’entendis-je dire.
Et je me mis à quatre pattes pour prendre la queue de Francis en bouche, et permettre à mon fils d’introduire sa bite dans ma chatte, ce qui ne se fit pas sans mal. Francis rangea la voiture sur le bas côté afin de profiter pleinement de la pipe que je lui faisais, pendant qu’Antoine besognait fermement ma mangue qui lâchait son jus abondamment. La pine de Francis devenait énorme dans ma bouche:
-Que vous êtes bonne Odette ,haletait-il, vous me bouffez la bite comme une vraie pute. Allez-y bonne salope sucez, sucez-moi la queue. Oh que c’est bon….
-Hmmm, Hmmm ne pus-je que répondre, ne voulant pas lâcher le membre qui comblait ma bouche.
-Maman, maman, je vais jouir. Je ne peux pas tenir; tiens salope. Tiens mon foutre dans ton con. Aaaahhhh c’est bon maman. Suce-le plus vite; fais-le jouir dans ta bouche, tu vas avaler tout son sperme maman. Vas-y. Suce.
Et Francis explosa en criant dans ma bouche. Je bus son foutre jusqu’à la dernière goutte en l’écoutant, ravie, m’injurier:
-Salope tenez, avalez mon sperme putain buvez tout, nettoyez ma bite avec vos lèvres de pute. Que vous êtes bonne Odette ma cochonne.
-C’était bon mes chéris? Vous avez aimé?
-C’était fantastique maman, merci. Mais toi? Tu n’as pas joui pas vrai?
-Excusez-nous Odette,dit Francis, mais c’était si soudain…
-Ca ne fait rien mes amours vous allez me faire ma fête tout à l’heure à la maison si vous voulez, o.k?
-Avec le plus grand plaisir,dit Francis.
-Bien sûr maman, on va bien s’ occuper de toi.
-Mais attention mes chéris, il faut que tout ceci reste entre nous… n’en parlez jamais à personne car je pourrais être punie et aller en prison.
-Tout restera entre nous, promis, répondit Francis.
-Bien sûr maman, on ne dira jamais rien à personne, c’est juré.
-Alors on va beaucoup s’aimer et jouir tous les trois..
La voiture se remit en route sous le contrôle de Francis pendant que mon fils caressait mon corps nu, sa main glissant sur mes seins mous, mes cuisses pleines, mes fesses rondes et fermes et ma chatte ouverte et baveuse.
-Branle-moi mon fils, branle ta maman, fais-moi jouir mo, petit.
Il prit possession de mon clitoris et il se mit à le caresser doucement.
-Plus fort mon chéri. Plus fort et plus vite, le suppliai-je; oui comme ça. Continue je vais jouir. Oui oui…
Il avait affermi sa caresse et je me sentais monter. Mes oreilles bourdonnèrent, je fus prise de tremblements, et une décharge électrique me propulsât au septième ciel…….
-Oh c’était bon mon fils, mon petit chéri, tu m’as bien fait jouir; que je suis salope alors! Rentrons vite j’ai tellement envie de vous, de vos pines dans mes trous mes amours….
-Prends un chemin dans les bois Antoine, on va lui faire sa fête tout de suite à cette cochonne.
-Tu veux maman, tu veux baiser dehors?
-Je veux ce que vous voulez. J’ai tellement envie de vous. Vas-y vite mon chéri puisque c’est ce que veut ton copain.
Pendant tout ce temps, je caressais ma chatte tout en touchant nonchalamment la bite ramollie de Francis qui lui me caressait les seins. Enfin, mon fils s’engagea dans un chemin au milieu des arbres et roula quelque temps avant d’entrer dans une jolie clairière ensoleillée où il arrêta la voiture. Là, chacun me prit par un bras et ils m’attirèrent nue ou presque à l’extérieur et tout en caressant mon corps affamé, ils me firent asseoir sur le capot chaud de l’auto. Ils avaient un sein chacun dans la main et ils le trituraient, le pinçaient, ce qui me faisait gémir de douleur mais aussi de plaisir. Moi, je pris leurs belles queues dans mes mains et les branlais doucement.
-Tu veux me lécher la chatte, francis, mon petit?
-Oh oui Madame, votre chatte doit être très bonne et bien juteuse.
-Vas-y mon chéri, lèche bien mon con..
Il me fit écarter les cuisses et il étira les lèvres de ma chatte, puis il posa sa langue juste sur mon clitoris:
-Tu aimes ça maman, questionna mon fils? Tu aimes qu’il te bouffe la figue?
-Oh oui, c’est bon tu sais, vas-y bouffe-moi, lèche, fais- moi jouir. Oh mon dieu que c’est bon. Oh chéri qu’est ce que tu me fais. Je viens. Je pars. Haaaaaaaaaa c’est trop c’est bon. Embrasse-moi Antoine mon amour.
Je reçus la langue de mon fils dans ma bouche alors que Francis s’allongeait entre mes cuisses, et il guida d’une main sa bite vers mon con qu’il pénétra brutalement.
-Doucement, petit chéri, baise-moi doucement.
Il ralentit son mouvement et devint plus tendre:
-Excusez-moi Odette. Je suis trop excité.
-Oui, vas-y mon petit chéri, baise-moi bien à fond.
Antoine se rapprocha de moi:
-Tu me suces, maman, me demanda-t-il?
-Viens mon fils. Donne ta queue dans la bouche de ta maman. Elle est si belle cette bite.
J’embouchai son jeune membre si tendu et si rouge et je me mis à le sucer et à le branler avec conviction, afin qu’il envoie son foutre au fond de ma bouche.
Mais ce fut moi qui jouis la première tant ces bites qui me prenaient étaient vigoureuses et avaient en même temps le goût du tabou. Puis, je continuais à sucer mon fils.
-C’est bon maman. Je voudrais jouir sur ton visage de pute.
J’étais vraiment devenu la dernière des salopes car je fus ravie de sa demande:
-Oh oui mon petit chéri, décharge-moi dessus. Vas-y mon amour.
Il retira son membre de ma bouche et, en se branlant, il lâcha tout son foutre sur mon visage et mes cheveux, alors que Francis jouissait dans ma moule baveuse.
-C’était bon mes petits chéris. Bon, habillons-nous maintenant et rentrons.