Prise de remord, j’appréhendais ce dernier rendez vous , mais rien que de penser a Abou et a sa belle tige hors norme, mon sexe mouillait. Je me préparais pour cette séance ultime, le soleil brillait, je mis une belle petite robe d’été mettant ma poitrine en valeur, je décidais de ne porter aucun sous vetement dessous, ca ne m’arrivait pas souvent. Rien qu’en me préparant et en pensant a ce que j’allais prendre je ne pus m’empêcher de me masturber un petit peu. Mon mari avait décider de faire des courses et me déposa devant l’institut, il me fit un bisou et me dit de bien profiter de cette dernière séance vu le prix que ca lui avait couter. Dans ma tète je me disais, que s’il savait il ne dirait pas ca. Je lui répondis de ne pas s’inquiéter, que je comptais en profiter totalement.

J’entre dans l’institut, Abou est la, il m’attend, il porte aujourd’hui une longue blouse blanche, il me prend la main et m’entraine dans la salle de massage. A peine a l’intérieur, il me prend dans ses bras et pose ses lèvres sur les miennes, sa langue rejoins rapidement la mienne, on c’est roule une pelle endiable, il est passer derrière moi, et a plaquer ses mains sur mes seins. Il les a malaxer, il a fait glisser les bretelles de ma robe qui est tomber au sol, voyant mon absence de sous vetement, cela l’excita encore plus. Abou me dit alors "toi tu es pas venue pour te faire masser, mais pour te faire sauter".

Mes yeux se sont fermés, ma tête partie en arrière, sa main a caressé mon clitoris toujours aussi gonflé et dur. Pendant ce temps, son autre main faisait ressortir mon teton et samusait à le titiller, à le pincer même afin de mêler un peu de souffrance à cet océan de jouissance qui se déversait en moi. Abou alla sur le canapé, s’assis et ouvrit sa blouse. Il était également totalement nu dessous, il saisit son sexe entre ses doigts et commença a se masturber, il me dit alors de venir le sucer , qu’il allait me baiser comme la salope que j’étais. Ces mots décuplèrent mon envie, je m’approcha de lui et me mise a genou entre ses jambes. Je saisie son membre long et dur, gonflé a bloc entre mes doigt et commença a le masturber. J’ai approcher son gros gland de ma bouche, ma langue a tournoyé autour de son gland. Je sentais perler une petite goutte dexcitation au bout de sa tige, et ma langue est venue nettoyer ce symbole du désir qui séchappait de son méat. J’ai absorbé son sexe dans ma bouche, de plus en plus loin. Ma main droite le branlait très lentement, pendant que lautre lui caressait les couilles. Il adorait ca, puis j’ai calé sa queue entre mes seins pour une branlette espagnole ou chaque coulissement se terminait par un coup de langue sur sa bite. Ma poitrine faisait des merveilles, voir ce sexe noir glisser entre mes gros nichons blanc, quel beauté. Au bout d’un moment, il m’allongea sur le canapé, il ma embrassé partout, tendrement me frôlant des doigts, Il a frôlé ma petite chatte qui nen pouvait plus. Cela faisait si longtemps que les doigts dun homme navaient pas pris possession de mon intimité comme lui, je mouillais comme une jeune fille à son premier rendez-vous. Nous nous sommes mis en 69 , il s’est occupé de ma chatte divinement bien avec sa langue et ses doigts, Jai porté son gland jusqu à ma bouche et je lai léché doucement avant de lengloutir. Sa langue m’a fait grimper pour mon premier orgasme.

Abou s’est rassis dans le canapé, Je me suis assise sur le pieu que Abou me présentait et jai démarré des va et viens à un rythme effréné, mes seins cognaient contre son visage, il prit mes bouts en bouche, les mordillas, les lécha, son gros sexe me défonçait, il était fort, endurant et doux. Assise sur sa queue, je donnais de violents coups de reins pour engloutir sa bite au fond de moi. Mon petit trou souvrait de plus en plus, surtout avec les mains de mon partenaire agrippée à mes fesses. Au comble de lexcitation, je me suis lancé dans des allers retours frénétiques. Apres Abou, se leva et me colla a quatre pattes sur le canapé, il me lécha ma chatte, chercha de l’huile et en renversa sur mon cul, mes trous étaient tremper, il me prit alors profondément en levrette. Quelques petites claques sur les fesses, mon partenaire continuait ses va et vient en moi avec force, il me pilonnait, je sentais ma chatte totalement dilater, j’avais l’impression que son sexe grossissais encore. Il commença alors a jouer avec ses doigts sur mon anus, je me tortillais et me cambrais au maximum, offrant un message de bienvenue vers mes fesses à Abou. Alors que lui me préparais mon petit trou si discret et qui n’avait jamais été visité, je sentis son doigt me pénétrer. Je n’avais jamais ressentis une telle sensation. Il remit un peu d’huile sur mon anus, et présenta délicatement son gland , puis y entra lentement, il ne mis que quelque centimètre, mais quel bonheur, je jouis en même pas 5 mn. Il continua ses va et viens dans mon cul, moi j’en profitais pour jouer avec mon clito. Je criait que sa grosse queue me faisait du bien, il saisit mes seins et me colla a lui , j’en avais les larmes aux yeux de bonheur. Il alterna entre mon cul et ma chatte, il était bien plus endurant que mon mari. Je lui disait sans arrêt : "baise moi a fond". Je jouie a plusieurs reprise. Apres un long moment de cette baise intense, jai senti que tout son corps se raidissait. Je me suis retournée pour prendre en bouche cette queue encore luisante de ma mouille. Les gémissements de mon partenaire allaient crescendo, et je savais que je nallais pas tarder à être récompensée. Je le pompais avec gourmandise, pressant la base de sa tige pour recueillir le plus de sperme possible. Je nai pas été déçue car il a joui puissamment, me recouvrant les lèvres et le visage de son jus. Un vrai délice, jai lapé les dernières gouttes qui séchappaient de son méat pour en avaler encore un peu plus. Jai avalé ce nectar et nettoyé cette belle queue qui avait été la source de tant de plaisir.

Ensuite on sest longuement câlinés, j’étais triste que ce soit mon dernier rendez vous, Abou m’expliqua qu’il serait de nouveau la au mois d’aout pour remplacer henry lors de ces vacances d’été. Il souhaitait que l’on se revoit même en dehors, a son hôtel ou il logerait lors de se remplacement. Je ne pouvais rien lui refuser, je pris son numéro de téléphone, lui le mien et on se promis de se rappeler des son retour.

J’enfila ma robe, et sortie heureuse, je téléphona a mon mari pour qu’il me récupère. Ses premiers mots était pour me dire que j’étais resplendissante, qu’a priori le massage m’avait fait du bien et que le masseur devait être bon. S’il savait. Lors des relations sexuelle avec mon mari ce n’était plus pareil, son sexe me décevait a coter d’Abou, pour jouir je ne pensais qu’a ce bout de chair noir qui m’avait combler, j’avais toujours refuser la sodomie a mon mari et a ce qu’il jouisse sur mon visage, et c’était toujours le cas. Cette récompense était uniquement pour Abou mon unique amant, mais quel amant.

Comme convenue Abou me rappela des son arrivée au mois d’aout, pendants 3 semaines j’étais sa chienne, il me fit découvrir de nombreux plaisir et m’offrit même a 2 de ses amis blacks. Je pris un pied d’enfer avec ces 3 bites noirs, mais je vous raconterais ces 3 semaines de pur sexe, si vous le souhaitez , dite le moi

bisous a tout les lecteurs

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