Elodie mit la clé de son appartement dans la serrure. Elle était fermée à double tour, ce qui signifiait que son mari n’était pas encore rentré. Elle poussa la porte, se débarrassa de son manteau et de ses chaussures, et s’affala dans le canapé, épuisée.

Quelle journée ! Les évènements qu’elle avait affrontés il y a moins d’une heure lui semblaient tellement invraisemblables qu’elle en était presque à se demander si tout cela n’était pas issu de son imagination.

Elle déboutonna et baissa son pantalon un instant. Un petit point rouge témoignait de l’injection que Joris lui avait faite tout à l’heure. Authentique preuve de sa déchéance, appuyée qui plus est par un arrière goût de sperme que percevait toujours la jeune femme.

Elle rattacha son pantalon et alla dans la cuisine se servir un verre d’eau. Elle voulait effacer cette saveur révélatrice. Elle s’accouda à la table de la cuisine, armée d’un verre et d’une carafe, et fit le point. Elle ne devait pour le moment sa semi liberté qu’à deux attaches sociales qui la différentiait des autres femmes dont s’occupait ses deux tortionnaires : le lien familial et le lien professionnel. Le dernier ordre donné par Joris était un tournant décisif. Le désir de cet homme était de couper ces fils, en commençant ici par lui faire adopter un comportement qui pourrait la pousser à la sortie de son entreprise. En gros, il lui confiait à elle-même sa propre destruction, attendant patiemment les conséquences.

Elodie était foutue, mais elle n’avait guère le choix. Elle allait être obligée d’avoir des relations sexuelles avec son supérieur au moins deux fois par semaine. Cela s’était déjà produit hier, elle avait donc demain et après demain pour remettre ça. Au moins elle pouvait choisir quand cela arriverait. Elle se dit qu’elle n’aurait pas le courage de faire demain. Elle attendrait vendredi. Il faudra aussi qu’elle songe à la façon de mettre la puce à l’oreille des autres employés, et aussi de s’habiller de façon plus aguichante.

Désespérée, elle mit un bras sur la table, et y posa sa tête inclinée sur le coté, tentant de vider son esprit.

Elle finit par s’assoupir.

Elle fut réveillée par un sorte de chatouillement au niveau du nez. Balançant sa main pour chasser ce qu’elle croyait être un insecte volant, elle fut surprise de sentir le contact d’un corps mou. Elle ouvrit les yeux et eut la vision inattendue d’un sexe flasque qui frôlait son nez. Elle loucha sur cet organe, puis jeta son regard vers le haut où elle vit Guillaume la regarder narquoisement l’air de dire : "C’est tout ce que j’ai trouvé pour te sortir du sommeil.". La situation était tellement grotesque qu’elle éclata de rire, en pleurant presque. Son rire était nerveux, elle se sentait bête, mais cela lui fit un bien fou.

Guillaume ria avec elle, rangea son pénis, puis s’assit au coté de sa femme. Il lui fit un petit bisou du bout des lèvres.

"- Alors ma puce ? Fatiguée ? Ils te ménagent pas, on dirait !

— Hein…?! De qui tu parles…?

— Ben… A ton travail, quoi.

— Ah. Non, non, ça va, répondit-elle avec un rassurant sourire. Pour le moment je reprends mes brèves. Monsieur Dugnat ne m’a pas encore donné de nouveau sujet de reportage. J’ai juste un petit peu hâte que la semaine se termine. Et toi ?

— Je ne serai pas fâché non plus d’être en weekend, pour tout te dire. Allez, on va se requinquer ensemble ? Je t’invite au resto !"

Elodie avait besoin de se changer les idées. Elle était ravie de cette proposition.

"- Oh quelle bonne idée !" Répondit-elle enjouée. "Je file prendre une douche et me préparer !

— Super, j’appelle pour réserver !"

Sous la douche, elle s’attarda sur ses cuisses et son visage. Ces deux régions étaient restées légèrement collantes. Tandis qu’elle faisait partir la mouille séchée sur ses fesses, elle se réjouissait de cette sortie improvisé en amoureux. Guillaume avait toujours de gentilles attentions comme celle-ci.

Après s’être nettoyée en profondeur et lavé les dents, elle s’habilla. Elle opta pour une robe noire de soirée s’arrêtant au dessus des genoux et fendues sur le coté, ainsi que pour un ensemble string soutien gorge transparent. Elle avait aussi enfilé des bas soutenus par un porte jarretelles. Elle voulait être sexy pour son mari. Elle se maquilla ensuite et se mit un rouge à lèvres qui la rendait fatale.

Lorsqu’elle se montra ainsi dans le salon, Guillaume bavait presque. Il la complimenta pour sa tenue et sa beauté.

Celui-ci avait mit un costard-cravate qui le rendait à la fois classe et séduisant. Elodie aussi était sous le charme.

Le couple partit, bras dessus dessous.

Au restaurant, il furent placés contre un mur. Il commanda un carpaccio de buf, et elle du saumon, et se firent servir du vin. La discussion allait bon train :

"- Tu n’es pas rentré très tôt, aujourd’hui." Faisait remarquer Elodie.

"- C’est vrai, admit Guillaume. J’ai croisé un ami aujourd’hui, on est allé boire un coup ensemble.

— Ah bon ? Qui ça ?

— Yannick. Je pense pas que tu le connaisses. Il fait de l’escalade. Il m’a proposé de faire quelques voies avec lui cet été en Savoie.

— Pourquoi pas ? Tu es très sportif !

— Oui mais j’ai le vertige. Je l’ai remercié mais je lui ai dit non.

— Tu as le vertige, toi ?! J’y crois pas, se moqua t-elle. Ca veut dire que j’ai épousé une poule mouillée ?

— Eh, se vexa l’intéressé. Je te ferai dire que le courage ne se résume pas à ça ! Certes je n’aime pas grimper en hauteur, mais il y a des choses que j’oserais faire alors que toi non.

— Ah oui ? Et quoi donc je vous prie ?

— Par exemple, écraser une araignée moi même. Je sais que tu en as horreur.

— Ca, c’est un coup bas et de toute façon ça ne prouve rien.

— Alors j’ai le moyen de déterminer lequel d’entre nous a le plus de courage.

— Je t’écoute.

— Tu vas me donner un gage à exécuter immédiatement. Ensuite ça sera à moi, et ainsi de suite. Celui qui ne réalise pas le défi paye l’addition. Ca te va ?

— Ca me va, mais laisse moi te dire que j’en ai plus que toi dans le froc !

— Un langage si gras venant d’une si belle bouche… Enfin je t’écoute, commande moi !

— Alors voyons voir… Je veux que tu manges ton carpaccio avec les doigts.

— C’est facile, ça." Répondit Guillaume.

Mais, alors qu’il attrapa sa nourriture, il eut la surprise d’entendre sa femme appeler le serveur, soit disant pour avoir une corbeille de pain.

Malgré le regard interloqué du serveur devant le spectacle qu’offrait Guillaume, ce dernier accomplit ce que sa femme lui demandait. Cette dernière pouffa de rire lorsque le serveur reparti.

"- Tu trouves ça drôle ?! Dans ce cas là, je veux que tu te lèches les doigts comme si tu avais de la sauce dessus lorsque le serveur reviendra."

Elodie n’eut aucun mal à répondre à répondre au gageur, regardant même son mari avec arrogance devant le serveur médusé venu apporter le pain.

"- Tu n’as rien à me proposer de plus difficile ?" Nargua t-elle ensuite. Elle trempa deux doigts dans son verre de vin et les lui tendit. "Je veux que tu ME lèches les doigts.

— Tu vas rappeler le serveur ?

— Hi hi ! Non, on va le laisser tranquille le pauvre ! Allez toutou, lèche !" Dit-elle en fourrant ses doigts dans la bouche de son mari.

Guillaume aspira le vin en suçant et reprit la parole :

"- A mon tour. Tu as ton bâton de rouge à lèvres ?

— Oui, dit-elle en fouillant dans son sac.

— Alors je veux comme imites une fellation avec.

— Coquin, va !"

Elle réussit à mettre la main sur son accessoire, regarda rapidement autour d’elle, et mit le tube fermé dans sa bouche comme si elle faisait un pompier. Elle fit quelques allers-retours puis le ressortit en le frottant sur sa langue, devant son mari qui avait un air mi-excité mi-amusé. Elle lui ordonna :

"- Et maintenant, je veux que tu simules les trente dernières seconde d’un orgasme. Et que ce soit réaliste !

— A voix haute ?!" Se décontenança Guillaume.

"- J’aimerais beaucoup, mais j’ai peur qu’on nous vire du restaurant. Tu vas me faire ça à l’oreille."

Guillaume se pencha au creux de l’oreille de sa femme et joua, la voix rauque :

"- Oh oui bébé, mmmh… J’adore ta chatte, t’es trop bonne… Aaah… C’est trop bon de te prendre… Je vais pas tarder à venir… Han… Han… Tu fais tellement de bien à ma queue… Aaaaaah….!"

Il avait prit son rôle au sérieux. Elodie n’avait pu s’empêcher de se mordre la lèvre inférieure en l’écoutant. Guillaume se décolla, en lui donnant au passage un petit coup de langue sur le lob de l’oreille, et lui demanda :

"- Madame est satisfaite ?

— C’était pas trop mal, répondit-elle en feignant le blasement.

— Enlève ton string."

Elle regarda son homme sévèrement. Néanmoins elle se dandina pour tirer le bout de tissu jusqu’à ses chevilles. lorsqu’elle le prit pour faire constater à son mari qu’elle avait accompli sa mission, elle se rendit compte que le string était trempé et dégageait une odeur de femelle en chaleur. Cela lui donna une idée :

"- Puisque tu m’as fait faire des cochonneries, tu vas me nettoyer tout ça…!"

Elle lui donna le sous vêtement à Guillaume qui le prit en boule dans le creux de ses mains. Il regarda honteusement autour de lui que personne ne le voit, avant de déplier le tissu et d’y donner trois gros coups de langue. Il le rendit ensuite à sa femme qui le glissa dans son sac à main en ricanant.

"- Ca avait bon goût ?" Se moqua t-elle.

— T’es sacrément chaude, ce soir !" Constata t-il pour toute réponse. "Je veux que tu te doigtes sous la table."

Ca tombait bien : Elodie en avait sacrément envie ! Elle précipita presque ses doigts sous sa jupe pour y trouver une petite chatte rasée complètement mouillée. Elle avait peur, sans sa culotte, de laisser des traces de cyprine sur la chaise. Elle rentra facilement son majeur et imprima des discrets mouvements de poignée. Elle soufflait doucement par le nez en tentant de ne pas s’exprimer plus fort. Sans s’arrêter, elle jeta un regard de braise vers son mari et lui dit :

"- A ton tour : branle toi."

Guillaume, plus complexé que sa femme, regarda à nouveau autour de lui. Mais Elodie finit par voir sa main se glisser sous la table. Elle entendit un discret zip de braguette avant de constater que la respiration de son mari avait légèrement changé. Sans cesser de se doigter, elle parvint avec ses pieds à enlever un de ses talons. Elle tendit son pied libre de chaussure vers l’entrejambe de son mari pour vérifier qu’il obéissait. Elle sentit alors une grosse raideur ainsi que des mouvements caractéristiques. Savoir son mari se masturber en même qu’elle dans une salle de restaurant bondée, avec la nappe de la table comme seule cachette, l’excitait énormément.

"- On va voir si tu vas aller jusqu’au bout, déclara Guillaume. Je veux que tu me suces ici et maintenant."

Elodie craignait ce coup là, mais si elle voulait tenir la dragée haute, elle n’avait pas le choix. Elle voulait sortir victorieuse de ce petit jeu. Elle trouvait Guillaume trop sûr de sa force.

Elle fit tomber sa fourchette par terre et, s’exclamant "Oups..!", se faufila sous la table. La nappe était assez longue pour presque toucher le sol, diminuant le risque de flagrant délit. Sous l’ombre de la nappe, elle vit une queue appétissante ressortir de la braguette. La jeune femme s’en empara hardiment et téta le bout. Elle s’amusa avec la queue pendant quelques secondes, la léchant, la branlant, la gobant. Elle rangea ensuite le pénis dans le boxer puis ressortit fièrement, en n’oubliant pas de récupérer la fourchette.

"- Je n’aurais pas cru que tu le ferais !" S’exclama Guillaume, impressionné.

"- J’ai plus d’un tour dans mon sac!" Répondit-elle. Puis elle le regarda le plus langoureusement possible et lui susurra :

"- Je veux que tu me fasses l’amour ce soir, dans ce lieu…

— Hein…?!"

Elodie se sentait particulièrement chaude. Cette mise en bouche l’avait mise en appétit.

"- Tu as bien compris : Tu dois me prendre quelque part dans ce restaurant. Ou bien tu perds le jeu."

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et se leva, elle se pencha à son oreille :

"- Je vais aller me rafraîchir aux toilettes pour hommes. Si je ne te vois pas dans deux minutes, j’aurais gagné…" Lui avertit-elle avant de mettre sa menace à exécution.

Les toilettes étaient désertes. Elodie s’enferma dans une cabine et attendit. Elle ne savait pas s’il oserait. Elle, elle le désirait. Elle était véritablement en manque et voulait la queue de son mari au fond d’elle, peu importait l’endroit. Elle patienta en caressant sa chatte trempée. La rencontre avec Joris et Dominique lui avaient fait perdre un semblant de son sens moral.

C’est donc avec contentement qu’elle entendit au bout d’une minute une voix familière héler :

"- Elodie, tu es là ?

— Bien sûr que je suis là, idiot, puisque je t’attends."

Elle entrouvrit la porte. Il pénétra dedans avant de verrouiller la cabine.

Elodie se retourna aussitôt, retroussa sa jupe pour exhiber des fesses ainsi que son sexe luisant à son mari et mit les mains sur le mur. Elle lui dit :

"- Ravie que tu sois venu. Allez, ne te fais pas prier."

Elle entendit Guillaume baisser son jean dans une cliquetis de ceinture et se rapprocher d’elle. Bientôt, elle sentit son gland à l’entrée de sa chatte. Il frottait sur ses parties sensibles pour la stimuler un peu plus encore. Elodie, impatiente de se faire sauter, finit par attraper d’elle même la queue de son mari pour l’enfoncer dans sa chatte. Il devait la prendre pour une nymphomane mais elle s’en contrefichait.

Si elle ne s’était pas mordu puissamment les lèvres, elle aurait crié de plaisir grâce au morceau de chaire s’enfonçant dans sa grotte. Guillaume s’affairait en elle lentement, probablement par crainte d’être entendu. Il s’appliquait alors à faire des longs et lents allers-retours dans la chatte brûlante qui se contractait au passage de sa queue. Il faisait coulisser le sexe dans sa quasi totalité, des couilles jusqu’au gland. De temps en temps, il faisait des petits ronds avec son sexe dans l’intimité féminine. Il mit également une main contre la bouche de sa femme afin de couvrir ses feulements érotiques. Cette dernière griffait le mur.

Elle savourait la queue qui l’explorait mais savait qu’elle ne pourrait jouir. Elle était incroyablement frustrée de ces dernières journées riches en luxure qui ne lui ont fait don d’aucun orgasme. Plusieurs personnes se sont récemment servis d’elle pour jouir, dont une femme, mais le bonheur ne pouvait aller que dans un sens, Joris lui ayant interdit tout orgasme vaginal ou clitoridien.

Cela lui donna toutefois une idée :

"- Stop mon amour, sors de là…

— Pourquoi ? Tu n’aimes pas ?

— Si si mais sors de là quand même… J’ai envie que tu me sodomises…"

Joris avait dit "vaginal ou clitoridien". Elle allait essayer d’obtenir son orgasme autrement.

"- Tu es sûre ? C’est bien la première fois que tu me le demandes, d’habitude c’est moi.

— S’il te plaît… J’en ai très envie…"

Elle se rendait compte qu’elle était en train de supplier son mari de lui remplir le cul dans les toilettes d’un restaurant, entre le plat principal et le dessert.

Guillaume sortit de la chatte chaleureuse et s’accroupit pour la lécher entre les fesses. Il récupéra ensuite de la mouille avec son index, qu’il poussa contre la rosette tandis que sa femme se secouait le clito. Elle était tellement excitée que son anus accueillit le doigt sans grande difficulté. Elodie était stressée et fiévreuse à la fois. L’homme renouvela l’opération avec son pouce. Cette fois-ci, Elodie ressentait plus fortement la présence de ce doigt, que Guillaume rentrait lentement et délicatement, mais difficilement. Ce dernier finit par arriver à la rentrer entièrement, mais l’anus de la jeune femme était étroit. Il se redressa en laissant son pouce dans le fondement.

"- Je n’ai pas le temps de te préparer plus longtemps, la prévint Guillaume. Ce serait trop suspect que notre table reste inoccupée pendant un trop long moment.

— Tant pis…" Gémit -elle en se caressant toujours. "Mets la moi quand même…

— Comme tu le désires, mon cur."

Guillaume enleva son doigt.

"- Attends !" Lui dit précipitamment Elodie.

Elle se retourna et se pencha vers la queue bandée. Elle ouvrit grande la bouche et tira la langue en repensant aux conseils de Joris lors de son éducation à la gorge profonde. Elle goba la bite de son mari, progressivement, respirant lentement par le nez. Guillaume pouvait observer des lèvres rouges l’emboucher et se diriger inexorablement vers son bas-ventre. Lorsqu’elle toucha son but, il était ébahi :

"- Tu m’avais caché que tu savais faire ça…! Oh la vache c’est trop bon j’adore…"

Elodie sourit intérieurement, se promettant de recommencer l’expérience sur son homme autant que possible. Il était aux anges ! Elle ressortit lentement en salivant le plus possible, et observa les résultats de son uvre : une belle bite bien lubrifiée, ainsi que le visage béat de son mari. Elle se retourna, s’appuya contre la chasse d’eau, et lui présenta son arrière-train.

"- Allez…" L’encouragea t-elle.

Elle tenta de se détendre le plus possible en ressentant le gland forcer son anus. Elle se caressait pour que le plaisir prenne le pas sur la douleur. Cependant, lorsque Guillaume s’attacha à aller un peu plus loin, elle mordit précipitamment sa main vacante pour s’empêcher de se plaindre de douleur. Elle remuait tant bien que mal ses doigts sur son clito, mais elle avait vraiment mal au cul, se sentant déchirée. Toutefois, la journaliste refusait de demander à son homme d’arrêter, après lui avoir quasiment forcé à la sodomiser. C’est donc les larmes aux yeux qu’elle subit l’intromission de son mari, qui s’enfonça jusqu’à la garde.

"- Ca va ?" Lui murmura t-il.

Elle désirait lui demander de ne pas bouger, le temps que son anus s’habitue à la présence de son membre, mais elle n’avait pas le temps. Elle regrettait de ne pas avoir été capable d’attendre de rentrer à la maison, où ils auraient pu prendre leur temps, s’installer plus confortablement, et utiliser du lubrifiant. Elle devait assumer.

"- Oui…" Souffla t-elle. "Encule moi…"

Guillaume bougea lentement dans le cul de sa femme. La douleur s’intensifiait, et Elodie fit de son mieux pour s’exciter le clito. Elle posa la tête sur la cuvette, ce qui faisait ressortir ses fesses, et se concentra sur sa caresse. Son mari devait exulter de voir sa femme tendre son joli cul souligné par un porte jarretelles en se caressant. Il devait avoir des sensations fortes, tant l’anus était serré. Ses pensées adoucirent quelques peu la souffrance d’Elodie, consolée malgré tout à l’idée d’offrir à son mari la réalisation d’un fantasme d’homme. Elle ferma les yeux et, petit à petit, une douce chaleur la posséda. Celle-ci n’effaçait pas la pénible sensation à son arrière train, mais l’apaisait vaguement. Sa respiration se fit moins saccadée. Elle commençait à apprécier subtilement la situation.

Guillaume, peu habituée à pénétrer un orifice aussi réduit, ne mit pas beaucoup de temps avant d’avertir sa femme :

"- Je vais jouir, ma chérie…!"

Guillaume prévoyait sans doute de se répandre au fond du cul d’Elodie, avant que celle-ci ne se nettoie avec du papier toilettes, mais elle savait que ce n’était pas possible. Elle répliqua hâtivement :

"- Non…! Dans ma bouche…

— Tu es sûre, pour ça aussi…? Tu n’aimes pas beaucoup avaler…

— S’il te plait…" Paniqua t-elle à l’idée qu’il ne puisse pas se retenir.

Guillaume quitta l’anus de sa femme, qui se mit à genoux. Elle ouvrit la bouche et attendit l’offrande, car elle ne voulait pas emboucher la queue sale de son homme. Elle songea à sa condition, en train d’attendre d’avaler la semence de son mari qui se masturbait ,après s’être faite sodomiser dans les toilettes dans restaurant. Elle avait mal au cul et n’avait toujours pas joui. Elle avait surestimé sa capacité à jouir de l’anus, manque sexuel ou pas.

Guillaume éjacula en cinq ou six jets crémeux, dans le récipient que lui offrait sa femme. Elle avala tout et, ignorant l’odeur qui dégageait de son sexe, lui suça le gland pour terminer sa besogne. Son mai, surpris, eut un mouvement de recul, mais il la laissa lui téter le bout.

Elle se redressa ensuite péniblement, tandis que Guillaume se rangeait son engin dans le pantalon, les jambes flageolantes. Apparemment, il y en avait au moins un qui avait pris son pied !

"- Ouah…" réussit-il à dire, la voix tremblotante. "Tu es vraiment incroyable, toi, parfois !"

Ses compliments firent sourire Elodie, gênée, mais flattée d’avoir comblé son mari. Celui-ci continua :

"- Mais où as tu appris à faire des gorges profondes ? C’est bien la première fois !

— Je me suis entraînée sur des grosses carottes, mentit-elle. Je voulais te faire la surprise !

— Eh bien c’est réussit !" La félicita Guillaume, subjugué.

Elodie fut soulagée que son mensonge passe comme une lettre à la poste.

"- En tout cas, rajouta t-il. Je crois bien avoir réussi le défi !"

Elodie fut amusée par la remarque.

"- Oui, ria t-elle. Je déclare officiellement le match nul !"

Ils retournèrent à table, là où ils s’aperçurent qu’ils s’étaient absentés durant presque dix minutes ! Le serveur regarda étrangement le couple revenu en même temps s’attabler à nouveau. Difficile de ne pas s’imaginer que cet homme avait tout compris !

Elodie décida qu’elle n’en avait rien à faire, et les amoureux terminèrent le repas et la soirée agréablement.

Le lendemain, elle arriva au journal habillée différemment de d’habitude.

Elle avait troqué son habituel ensemble pantalon-tailleur avec une jupe noire courte qui lui moulait bien les fesses, ainsi qu’un haut rouge dont le décolleté ne laissait pas beaucoup de place à l’imagination. Elle avait également mis des talons hauts qui faisaient ressortir son cul, et s’était bien plus maquillée que d’habitude.

Les soins qu’elle avait donnés à son look provocant attirèrent les regards désireux des hommes ainsi que certains compliments mesurés. Les femmes semblaient avoir, pour la plupart, une vision plus critique.

Mis à part ça, la journée se déroulait de façon monotone. Elle n’avait toujours pas de gros sujet et elle s’attelait donc à gérer des petites questions administratives. Mais, alors qu’elle faisait une petite pause à la machine à café, discutant gaiement avec Laetitia, une collègue qu’elle appréciait, M.Dugnat l’aperçu.

"- Ah ! Bonjour Madame Maerte ! Très jolie tenue, vous êtes ravissante."

Elodie regarda aussitôt son supérieur intensément, la bouche entrouverte, en imprimant un petit sourire aguicheur en coin :

"- Merci beaucoup, monsieur le rédacteur en chef, vous êtes un très bel homme aussi.

— Hum merci… Je vous cherchais à votre bureau. Je vous ai trouvé un nouveau sujet, concernant une nouvelle loi polémique en cours de passage. Je vous l’ai déposé avec vos affaires.

— Oh, merci, M.Dugnat, je saurai vous être redevable, répondit-elle en effleurant son épaule.

— Je… Je vous en prie."

Elodie voyait bien qu’il essayait de garder la face, mais il avait l’air tout de même décontenancé.

"- Bref, je vais vous laisser. Bonne journée, mesdemoiselles.". Et il tourna les talons.

Laetitia regardait sa collègue les yeux grands ouverts :

"- Ben dis donc ! Tu espères une promotions à l’allumer comme ça, ou bien tu t’amuses ?! Ca ne te ressemble pas, en tout cas !

— De quoi veux tu parler ?" Feinta Elodie.

"- Rien… Laisse tomber."

Elles enchaînèrent une autre courte discussion avant de retourner travailler, mais Elodie savait que les rumeurs risquaient d’aller bon train dorénavant.

Lorsqu’elle rentra chez elle à la fin de la journée, elle eut la surprise d’un mot posé sur le sol de l’entrée :

"Ma puce,

Merci pour la soirée d’hier, j’ai adoré le petit jeu et ses conséquences.

Mine de rien, ça m’a fait réfléchir sur le fait qu’avec un peu de motivation, et du cran, on peut repousser ces limites. Hier, il était encore impensable pour moi de faire ce qu’on a fait au restaurant !

Bref. Tout ça pour te dire que j’ai rappelé Yannick pour lui dire que j’étais d’accord d’aller grimper avec lui, et il m’a répondu qu’il y allait, dès ce soir, pour tout le weekend ! J’ai pris un jour de congé pour demain, et je lui ai dit oui, même si je suis mort de peur xD Je suis repassé prendre quelques affaires et t’ai écrit ce mot.

Je reviendrai dimanche soir, et peut être serai-je un autre homme, qui sait ! En tout cas rien que pour ça, je te dois beaucoup 🙂

Je t’aime.

(PS : Dans trois jours, je te fais ta fête ! ;-) )

Elodie fit la moue en lisant cette lettre, mais d’un autre coté elle était sincèrement heureuse pour lui. Ce weekend allait lui faire énormément de bien ! Elle saura patienter jusqu’à son retour.

Et tout à coup, elle réalisa. Elle n’avait faire jouir personne, aujourd’hui.

C’était une catastrophe ! Si elle avait su, elle se serait occupée de M.Dugnat dès aujourd’hui ! Comment va t-elle faire pour accomplir l’ordre qu’elle a reçu de Joris.

Elle se creusait la tête. Elle n’allait tout de même pas aller dans la rue proposer son corps à des inconnus ! Elle fut forcée de prendre une résolution.

Sa main ouvrit la porte de chez elle, et elle se dirigea vers un autre appartement. Elle savait que vivait ici un sexagénaire, veuf. Elle espérait que cet homme qui n’avait sans doute pas connu d’autres femmes, ou très peu, depuis un moment, cédera à la beauté de sa jeunesse.

Elle toqua, ou plutôt son corps lui ordonna de toquer.

Un homme ventripotent, mal rasé et simplement habillé d’un caleçon et d’un marcel, lui ouvrit.

"- C’est pour quoi ?" Grogna t-il.

"- Je viens vous branler." Répondit Elodie du tac au tac.

L’homme, qui sans doute crut mal comprendre, resta tellement interdit qu’il ne pensa pas à barrer le passage à la jeune femme qu’il s’engouffra comme une furie dans son entrée.

"- Non mais faut pas se gêner !" Tilta t-il ensuite. "Je vous reconnais : vous habitez le même étage que moi ! Qu’est ce que vous me voulez ?!

— Je vous l’ai déjà dit : je suis là pour vous branler. Je vois pas de quoi vous vous plaignez.

— Hein… Euh.. Je… C’est pas une blague ?! Pourquoi…?!

— Cherchez pas. Vous êtes d’accord, au moins ?

— Euh…

— Je ne vous plais pas ?

— Oui, bien sûr… Mais vous êtes en couple, je crois.

— C’est pas vos affaires."

En disant cette dernière phrase, elle tira le caleçon vers le bas. Le veuf eut le réflexe de cacher son sexe.

"- Enlevez vos mains." Somma Elodie.

L’heureux veinard, complètement dépassé par les événements, lui obéit.

Elodie put voir un sexe poilu et flasque, qu’elle attrapa.

Elle caressa la queue molle des deux mains, la massant, stimulant le gland et les couilles, mais malgré ses efforts, l’engin continuait à pendre misérablement. Sans doute l’âge, ainsi que le stress. Et se résolut à s’accroupir pour le prendre en bouche. L’organe sentait la sueur et l’urine et avait un mauvais goût, mais elle s’efforçait à oublier cette saleté pour faire bander son voisin. Elle prit toute la bite molle dans sa bouche, bava dessus, et bougea sa tête d’avant en arrière pour le faire coulisser entre ses douces lèvres. A chaque passage, elle se servait de ses lèvres pour décalotter le gland malpropre, qui cachait des impuretés qu’elle fut bien obligée d’avaler. Ce fut pénible, mais la queue finit par se dresser victorieusement. Elle en fit de même.

Un goût prononcé dans la bouche, elle le branla fermement en rapidement, cherchant à le faire jouir le plus vite possible. Cependant, après quelques minutes, elle fut menacée par une crampe au bras, alors que l’homme ne semblait pas prêt de venir.

"- Alors, s’agaça t-elle. C’est pour aujourd’hui ou pour demain ?!"

L’homme qu’elle branlait semblait perdu.

"- Ne vous embêtez pas, répondit-il. Rentrez chez vous.

— Certainement pas !" Rétorqua t-elle.

Elle ne voulait pas avoir fait tout ça pour rien et être obligée de trouver quelqu’un d’autre.

Elle continua un moment, et faillit renoncer, avant que l’homme ne lui demande timidement :

"- Je… Je peux voir vos seins ?

— Si ca peut vous aider."

Elle enleva son haut ainsi que son haut, exhibant sa jeune et provocante poitrine. Le sexagénaire avait les yeux fixés dessus et semblait admiratif. Elodie reprit sa masturbation, et elle crut percevoir une plus forte raideur. Il osa ajouter :

"- Je peux les toucher, s’il vous plaît ? Cela fait tellement longtemps…"

Elle le laissa faire. Il caressa ses seins comme on pétrit la pâte, la faisant un peu mal. Elle ne laissa rien transparaître, sentant dans sa main que son voisin était fortement excité. Elle le vit se pencher sur sa poitrine et faillit, surprise, l’en empêcher, mais se retint. Elle sentait une langue lécher ses globes, une bouche s’emparer de ses tétons, tandis que les mains continuaient à la malaxer. C’est sauvage, mais agréable. Elle continua à stimuler sa queue.

Au bout de trois minutes, elle sentit se répandre sur sa main un liquide chaud et visqueux. Mission accomplie pour ce soir.

L’homme se redressa et en fit de même avec son caleçon. Il était rouge et en sueur, et semblait réaliser seulement maintenant ce qui venait de lui arriver. Elodie porta la main souillée à sa bouche.

"- Et *slurp* pas un mot *slurp* à mon mari, ni à qui que ce soit ! *slurp* Je ne pense pas *slurp* qu’il apprécierait" Menaça t-elle.

L’homme, tout penaud, lui promit de garder le secret pendant qu’elle remit son haut, et la laissa regagner l’appartement dans lequel elle était sensée vivre avec son mari. Elle entra chez elle et se fit un bain de bouche immédiatement.

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