Samedi soir, en boite de nuit, alors que la musique fait rage j’aperçois dans la foule une grande femme brune, aux yeux dévastateurs. Alors que je la regarde avec insistance ce diable de beauté vient à lever son regarde sur moi. Elle avait un pantalon blanc lui moulant parfaitement les fesses, ont distinguait même son petit string à travers. Son haut noir lui faisait un décolleté magnifique, j’avais envie de m’y noyer.
Elle me fait un petit signe de la main, une invitation. Je m’approche alors d’elle, et nous dansons un zouk. Elle sait bouger son corps, dandiner ces fesses au rythme de la musique. Alors que l’on sort dehors, elle m’attrape le bras, me plaque contre le mur et m’embrasse. Je lui rend naturellement son baiser et ouvre ma bouche en même temps qu’elle. Nos langues jouent ensemble pendant de nombreuses minutes. Elle me demande si j’ai un téléphone portable, et après l’avoir sorti, elle me le saisit des mains.
« Rendez-vous, 11 rue des camélias, demain 14h00 »
Elle me claque les fesses, pose ses lèvres sur les miennes et s’en va. Je ne connais ni son prénom, ni son nom de famille et je n’ai pas non plus son numéro.
Je passe le reste de ma soirée troublé par cette rencontré qui je ne le savais pas encore allait me faire grimper au septième ciel.
Je me réveille, me dirige vers la salle de bain et m’observe dans le miroir. Je constate mon sexe en érection et je me remets à penser à cette rencontre de la veille. Alors que je glisse une main sur mon sexe je m’imagine alors un tas de choses. Ma mains effectue de doux vas et viens sur mon membre bien dur. Au bout de quelques minutes, j’expulse mon jet sur le carrelage de la salle de bain et rentre dans la douche.
13h00. Je m’habille et après avoir mangé, je me pose sur le canapé. Un tas de questions me passe dans la tête, est-ce que j’y vais, qui est-ce ? La rue des camélias n’est pas très loin, je m’élance, prend mes clés et m’y rend.
Je sonne et on vient m’ouvrir presque de suite. Un tout autre visage était en face de moi. Elle n’était plus la même femme que j’avais rencontré la veille. Elle portait aujourd’hui un pantalon de cuir noir révélant la rondeur de ses fesses. En haut elle était juste vétu d’un soutient gorge aussi en cuir noir, soutenu par des lanières en croix sur tout son ventre et son dos. Elle n’avait plus cet air charmeur d’hier soir, elle était encore plus dévastatrice.
J’entre et elle me propose un verre. Elle remarque que je me pose beaucoup de questions sur sa tenue.
J’étais avec un client.
Un client ?
Oui.. un client.
Que fais-tu dans la vie ?
Je donne du plaisir.
Explique moi donc.
Je peux faire mieux, je peux te montrer.
C’est avec joie que j’accepte. Je ne savais malheureusement pas ce qui m’attendais à partir d’aujourd’hui. Elle revint avec une cravache dans la main.
A poil !
Quoi ?
A poil je t’ai dis !
Et elle me frappa d’un coup sec. Sonné par ce qui venait de se produire je fis ce qu’elle me demanda.
Je sentais qu’elle était en train de prendre le dessus sur moi, et pour la première fois de ma vie cela me plaisait. Alors que je fus entièrement nu elle me demanda d’enfiler un string noir en dentelle qu’elle me tendais. Voyant que j’hésitais un peu elle donna un second coup de cravache. Je me pliais et enfila le string.
Mets toi à quatres pattes !
D’accord
Maintenant tu feras tout ce que je te dis. Je serais ta maitresse. Tu me devras le respect et m’appelleras madame.
Entendu
Je recevais alors un autre coup de cravache.
On dis madame !
Pardonnez-moi, madame.
J’étais en train de me faire dominé par une inconnue, j’étais en string, à quatres pattes dans son salon et j’aimais cela. Je sentais mon sexe en érection forçant pour sortir de ce petit string de femme.
Tu peux te rhabiller et partir, si tu reviens demain à la même heure tu ne pourras plus retourner en arrière. Si tu ne veux plus continuer tu n’auras qu’a mettre le string dans la boite au lettre.
Bien madame.
Je pris mes vêtements et le sexe encore bien dur, je me rhabillais avant de rentré chez moi, troublé par cette journée.