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Cathy, la copine de mon fils – Chapitre 1




Cathy 1

Je me prénomme Marc, j’ai quarante sept ans,  divorcé et deux enfants.

Mon ex épouse et moi-même nous sommes séparés voilà deux ans. Cela, après que nous ayons considéré nos enfants sur de bons rails.

Ma fille, Myriam, termine ses études d’ingénieur et effectue son stage de fin d’étude à l’étranger.

Mon fils, Paul, à pratiquement terminé ses études supérieures de commerce.

Quant à mon ex, elle s’est mise en ménage avec mon (ex) meilleur ami. Mais nous restons en bons termes. Je contribue très souvent financièrement aux frais des enfants.

Quand l’opportunité d’avoir une promotion professionnelle s’est présentée, j’ai pris le risque de l’accepter. Toutefois, mon nouveau poste a nécessité que je déménage dans le sud du pays.

Je loue actuellement une maison en limite d’un village, près de la garrigue.

Elle n’est pas très grande, mais comporte un bon bout de terrain et une grande piscine.

Je n’ai pas vraiment d’amis et coté relations féminines ce n’est pas au mieux.

Je me suis inscrit sur un site de rencontre et les personnes que j’ai rencontrées ne m’ont pas plues. Je suis même tombé une fois, sur une nymphomane qui m’a pratiquement violé sur un parking. Pour palier, je me suis abonné à des chaînes pornos et compulse régulièrement des sites d’histoires coquines.

En résumé, coté sexe, je me contente de l’onanisme pour me satisfaire.

Durant les vacances d’été, mon fils souhaiterait passer une semaine chez moi avec sa nouvelle petite amie, Cathy, une fille de sa promotion. Je n’y vois aucune objection, ça me fait très plaisir de revoir mon fiston après tant de temps.

Ils arrivent en début de soirée après un long voyage dans leur petite voiture. Si je suis heureux de voir Paul, je suis totalement subjugué, je mot est faible par sa copine Cathy.

Imaginez une nymphette, non un ange, avec de longs cheveux blonds, des yeux verts où scintillent des reflets d’or, une bouche qui donne envie de baisers, un nez droit parfait.

Sa silhouette est à l’avenant, très bien proportionnée.

Ses seins ne sont pas énormes, mais remplissent bien son top’ qui lui découvre son ventre plat. Elle porte un pantalon blanc très moulant, un legging tel qu’on l’appelle je crois, lui arrivant aux mollets et mettant en valeur ses jambes finement musclées.

Je n’ai d’yeux que pour elle, tellement elle est jolie.

Je les aide à décharger le véhicule et quand elle se penche en avant pour attraper un sac, je reste fasciné par ses fesses séparées par un string foncé qui transparaît au travers de son pantalon. Elle se retourne brusquement, probablement en sentant mon regard sur elle et m’adresse un sourire. Je ne sais plus où me mettre et détourne les yeux en tentant de corriger mon accès de perversité.

Je leur fais visiter le propriétaire et ils sont ravis des prestations de mon logement en particulier de la piscine. Je les fais s’installer dans ma chambre, quant à moi, je prendrai le canapé ces prochains jours. Il y a bien une deuxième chambre, mais je l’ai aménagée en bureau.

Je prépare le repas et un barbecue pour mes invités et nous dînons sur la terrasse dans la douceur d’une nuit d’été.

Dans la soirée, nous nous allongeons sur des transats, dans l’obscurité, pour observer les étoiles filantes. Les myriades d’étoiles scintillent dans le ciel à notre ravissement le plus complet.

Seule fausse note, mon fils qui de toute la soirée ne parle que de sa nouvelle passion, le golf.

Lors du repas par exemple, Cathy m’adresse un sourire complice pour marquer notre ennui commun aux propos de Paul. Il avoue qu’il a besoin de se perfectionner afin de pouvoir approcher des personnes influentes pour un futur emploi. Cet opportunisme de sa part me choque.

Là, dans la zénitude’ du moment, devant l’infini du ciel, ses propos sont vraiment soûlants.

Cathy, probablement agacée, se lève et part s’asseoir sur la margelle de la piscine en baignant ses pieds dans l’eau.

J’encourage mon fils à en faire de même et m’assois près d’elle et Paul de l’autre coté.

Elle prend appui sur les mains et, tête relevée regarde en l’air.

Je détache les yeux de sa poitrine pour en faire autant.

Une longue traînée lumineuse dans le ciel nous arrache, en même temps à Cathy et moi, un Ho ! Superbe ! Il faut faire un vu ! ’ .

Paul n’a rien vu à ce moment là, il regardait ailleurs.

C’est alors que je sens de plus en plus souvent le pied de Cathy effleurer le mien. Elle bat l’eau de la piscine par ses mouvements de jambes. Si je me recule un peu, pudiquement, elle revient à la charge. Je sens même son petit doigt chevaucher le mien.

J’ai un frisson qui me traverse le corps et décide de me relever pour leur servir à boire.

Je tremble encore d’émotion en tenant le plateau avec les rafraîchissements.

Cathy semble déçue que je m’asseye près de mon fils plutôt que près d’elle.

Peu de temps après, nous allons nous coucher et, plus tard, malgré la distance à la chambre, je les entends faire l’amour et surtout la jouissance expressive de ma belle-fille’.

J’en suis ému au point d’en avoir une érection, mais aussi un peu jaloux de mon fils. De quel droit, me dis-je ?

Le lendemain matin, il fait chaud et nous nous baignons dans la piscine en jouant au ballon. Du water-polo à trois. A un moment, voulant saisir la balle à Cathy, ma main entre en contact avec un de ses seins et immédiatement elle resserre son bras pour m’emprisonner. Durant ces quelques secondes de contact, je sens la fermeté de sa poitrine. Paul ne s’est rendu compte de rien, mais moi, je suis totalement troublé.

Lors du repas, Paul annonce qu’il souhaite faire un green’ dans la station balnéaire qu’il y a à trente kilomètres d’ici.

Une fois qu’il est parti, Cathy va se changer et revient poitrine juste couverte d’un soutien gorge minuscule et d’un string. Le sens du string, au sens littéral, est respecté. C’est juste une ficelle qui sépare ses globes fessiers. Le devant est un petit triangle qui moule les contours de son abricot.

Je suis partagé entre m’imprégner de cette vue féerique ou détourner les yeux par pudeur.

« Marc, ça ne vous dérange pas que je prenne le soleil comme ça ? » Dit-elle en enlevant son haut pour découvrir des tétons gonflés.

« Heu Non, Cathy, faites comme il vous plaît »

Je la regarde s’éloigner vers le transat et reste ébahi par la beauté de sa silhouette presque nue.

Tandis qu’elle se baigne au soleil, j’enlève mon tee-shirt pour jardiner un peu.

J’essaie, en fait, de ne pas la regarder, mais j’ai du mal à me concentrer à ramasser du bois mort. Je sens aussi son regard sur mon dos.

Elle s’absente une minute et revient avec une mallette et entreprend de se mettre du verni aux ongles. Pour cela, elle s’est assise en tailleur et je m’imagine alors entre ses jambes ouvertes à la manger.

« Venez près de moi, Marc, il fait trop chaud pour travailler ! »

« Vous avez raison, Cathy, je vais me débarbouiller »

Je me rince de la poussière qui m’encombre, me mets en maillot de bain et m’allonge sur un transat près d’elle.

« Dites Marc, ça ne vous dérangerait pas de me brosser les cheveux, mon verni n’est pas sec. »

« Heu Vo Volontiers ! »

Je suis comme un toutou à vouloir exécuter ses désirs.

Je m’asseye derrière elle après avoir pris la brosse et quand je tiens sa chevelure en main, j’éprouve un trouble indicible. Je m’applique à lisser ses magnifiques cheveux alors que pointe une érection mal venue. Ma respiration hachée et mes tremblements lui indiquent mon émoi.

« Vous êtes doux, Marc, j’apprécie votre manière de faire »

Je ne réponds pas, elle me flatte c’est sûr, car si j’ai vu mon épouse le faire sur notre fille, je n’ai aucune prédisposition à la coiffure.

Je m’applique à réunir ses cheveux pour les brosser, quand elle penche la tête sur le coté.

Son épaule découverte m’attire tant que, dans un geste inconsidéré, j’y dépose une bise.

Loin de me repousser, elle tend son cou où je dépose, à nouveau, une bise plus sensuelle, puis une autre.

Cette fois, je sens nettement mon érection totale distendre mon maillot.

Elle se tourne, m’adresse un regard hypnotique et nos lèvres s’approchent. Nous sommes près de nous embrasser quand on entend la voiture de Paul s’approcher.

Cathy se précipite pour se changer et moi je file dans la piscine pour éteindre l’incendie que j’ai entre les jambes.

« Ha, pa , je suis étourdi, j’ai oublié mon sac de golf. Je m’en suis rendu compte sur la route, tant pis, j’irai demain »

Je ne réponds pas, encore trop sous le coup de l’émotion que je viens d’éprouver avec sa compagne.

Je reste gêné toute la soirée en particulier quand je sens le pied de Cathy frôler mes chevilles sous la table du repas.

Après le coucher, je n’entends pas d’ébats entre eux, toutefois j’ai du mal à m’endormir en repensant à cette fille sublime qui m’allume. Plus tard, alors que je tourne et me retourne dans le canapé, je sens la présence et le parfum de la jeune femme. Elle pose son doigt sur mes lèvres pour m’intimer le silence, puis se penche sur moi.

C’est notre premier baiser, mais il dure longtemps.

Je cherche à l’attirer à moi, mais elle se dégage délicatement et s’en va dans la pénombre.

Je suis en feu !!

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