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Je raconte mes expériences de pute à ma femme. – Chapitre 1




Je continuais à confier mon passé de salope a ma femme. Il fallait qu’elle sache. Elle m’écoutait toujours une main entre les cuisses ou un gode dans le cul. Elle me disait que mon histoire, mon vécu était porno. Et qu’elle fantasmait sur moi en salope depuis longtemps.

Après cette formidable séance au bord de la rivière, Hugo et moi avons continué à nous livrer à des jeux très chauds. Il savait que j’étais salope dans l’âme. Il ne me dominait pas, il suggérait. Et je disais toujours oui.

Il avait son permis de conduire. Son père lui avait acheté une voiture. Le coffre était plein des revues porno dont il était friand. Il y puisait ses idées. Il avait même acquis un appareil photo et un caméscope. La famille d’Hugo est très aisée et l’argent n’était pas un problème pour lui. Ma situation était différente. J’étais d’une famille plus modestesans être pauvre non plus.

Un jour où nous nous balladions en voiture, il me demanda si j’aimerais faire la pute. Je ne répondis pas mais comme j’étais toujours nu quand nous roulions en campagne, il vit que ma queue réagissait.

— Ça t’excite ?

— En fait … Oui.

— Moi aussi. J’ai vu une annonce pour toi. Un groupe de types qui travaillent sur un chantier qui cherche une pute pour les week-ends.

Je ne répondis pas mais bandais encore plus.

— Tu es vraiment une salope, dit-il en me caressant la queue. Tu leur montreras comment tu te suces le gland. Et comment tu te défonces.

Il avait eu droit à plusieurs shows et avait apprécié mes performances en se branlant. Il m’enculait régulièrement et nous étions très liés finalement et très complémentaires. J’avais pris goût à la fellation et il trouvait que je sucais bien.

J’aimais recevoir son sperme sur le visage et il me jouissait

dessus presque tous les jours.

Parfois même dans les rues un peu tranquilles.

Il voulait aussi me baiser dans la rue. Enfin la liste de ses envies semblait infinie et je le laissais réfléchir et me contentait de réaliser

ses envies.

Un jour, il décida de m’emmener dans un bois connu pour abriter des rencontres gays.

Mon corps mince, totalement imberbe, ma tête d’ange auraient du succès.

Il me débarqua au début de l’allée. Je devrais marcher jusqu’à une clairière au milieu du bois.

Il me dit de me mettre torse nu. Je portais un short de sport découpé sur les côtés. Ainsi quand je marchais, voyait on la naissance de mes petites fesses rondes et lisses. Il y avait plusieurs voitures cachées dans les entrées de chemin. Je marchais tranquille. J’entendais des personnes marcher. Il y eut des petits sifflets. J’aperçus un homme en lisière. Il était nu et se caressait.

— Viens me

sucer, dit-il.

Je continuais tranquillement. Puis je voulus encore plus et décidais de retirer mon short.

J’étais nu. Je bandais fort. Il faisait chaud, l’endroit était chaud.

Des hommes apparurent. Ils sortaient du bois.

Souvent des quadras.

J’aperçus la clairière et la voiture d’Alban.

Il m’attendait assis sur le capot avant.

Les hommes, sentant le gros coup, suivaient.

Quand j’arrivais devant Hugo, il sortit sa queue.

Sans un mot, je me penchais, outrageusement cambré, et le prit en bouche.

J’avais la croupe offerte. Je sucais goulûment en gémissant un peu et en tournant du cul.

Ils étaient 5 à regarder, la queue à la main.

Il se dégagea.

Il étala au sol la couverture posée sur le capot.

Je m’y assis. En appui les mains derrière moi, j’attendais. Hugo se mit derrière moi et attrapa ma crinière blonde et me fit renverser la tête entre ses

cuisses. Je lui léchais les couilles.

Les hommes adoraient le spectacle.

Je sentais ma queue couler. Celle d’Alban gouttait aussi. Curieusement, les types ne semblaient vouloir que matter. Tout en continuant à sucer Alban, je plaçais une main entre mes fesses et je commençais à me doigter. Très vite, j’eus quatre doigts dans le cul. Je me baisais avec vigueur. Je m’étais préparé avant et m’étais bien graissé. C’était

Les types qui étaient encore plus nombreux étaient tous nus.

Hugo se retira et me demanda à voix haute si j’avais envie de les sucer.

Sans un mot, je m’agenouillais, fermais les yeux et ouvrit la bouche. Aussitôt je reçus une queue.

Je gardais les mains dans le dos. Ils pouvaient juste me baiser la bouche. Ils se succédèrent.

— Tu veux leur donner ton cul ? Tu veux qu’il te bouffe le cul ?

Toujours sans un mot, je montais a quatre pattes sur le capot de la voiture.

En

levrette, reins cambrés, fesses ouvertes sur mon oeillet lisse et déjà dilaté.

Un type plus pressé que les autres posa ses mains caleuses sur mes hanches et en grognant commença à me bouffer le cul.

Je gémis et poussais de forts soupirs en me tortillant autour de cette langue qui me fouillait avidement.

Parfois il léchait mes couilles, j’en profitais pour écarter mes fesses pour qu’ils voient tous mon cul béant.

La encore, ils se succédèrent et mêlèrent leurs salives dans mon cul.

Je crois qu’ils étaient 10.

Hugo, génial intendant de notre plaisir, me demandais si je voulais me faire enculer.

Muet, je me mis sur le dos sur la couverture. Je relevais mes cuisses. Un type s’agenouilla et guida sa queue entre mes reins. Je l’avalais d’un coup jusqu’à la garde.

Il s’immobilisa profitant de ma gaine.

Il poussa fort, tout au fond. Je sentais son gros gland.

Je gémis sans retenue,

naturellement cette fois.

Il poussa encore, recroquevillant mon corps et ma souplesse sembla leur plaire. Et ma queue qui s’approchait encore de ma bouche. Huuuummm.

Il se mit à l’horizontale en appui sur les mains et commença à aller et venir de toute sa longueur. Il était bon amant et savait utiliser sa bite.

Il me regardait dans les yeux et je soutenais son regard.

Il commença à me traiter de salope et de putain. Je posais mes mains sur ses hanches et accompagnais ses mouvements et l’attirais bien au fond.

Soudain il me donna une série de coups de reins très violents en grognant.

Il éjacula en moi je sentis sa chaude semence m’inonder. Il resta un instant et sortis. Il y eut du mouvement. Pour les exciter encore, j’entrepris de me sucer la bite. Ils n’en croyaient pas leurs yeux. Cul par dessus tête, j’avalais ma bite.

Un successeur se présenta. Il l’encula de la même façon. Violemment. En

poussant des cris de bête.

Quand il eut joui en moi, d’accueillir le suivant qui cracha encore en moi. Lui eut la bonne idée après avoir laissé sa place de me demander de nettoyer sa queue qu’il me fourra en bouche et je lechais tout en me faisant défoncer encore.

Je les ai ensuite tous sucé après la sodomie.

J’avais le cul ouvert et rempli de leurs liqueurs.

Quand tous eurent vidé leurs couilles en moi, je fis un truc qui leur plût énormément. Je me mis debout, jambes écartées et fléchies et j’expulsais leurs spermes pour les recueillir dans la paume de ma main.

Quand ce fut plein, je versais tout dans ma bouche.

Quel succès !

Ensuite je sucais Hugo devant eux. Il zebra mon visage d’une longue traînée de sperme que j’avalais en totalité.

On reviendra les gars ! dit Hugo en claquant sa portière.

J’étais éreinté mais content de ma prestation.

Je tâchais le siège car mon corps expulsait encore toute cette semence. Hugo s’en foutait et me dit que ça ferait un souvenir.

— Tu as aimé ?

— J’ai adoré, lui dis-je.

— T’es vraiment une salope, je t’aime ! Tu verras au chantier, ils sont plus nombreux. Il y a des blacks.

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