Ceci est la première histoire que jécris, je lis peu (à part des histoires érotiques) donc jai pas mal de lacune littéraire. Jespère que le texte sera agréable à lire et ne fera pas trop scénario de film porno.

Bonne Lecture.

Petite présentation:

Moi, je mappelle Fabrice, jai 32 ans, je mesure 1m80, je ne fais pas de sport, mais je garde la ligne.

Marie est une ancienne collègue avec qui je suis devenu ami, on se voit de temps en temps pour discuter. Elle est blonde, de taille moyenne, elle nest pas fine comme les mannequins que lon voit à la télé, mais elle est loin dêtre grosse, elle a des courbes sensuelles, un sourire magnifique, un cul… qui ne laisse personne indifférent et des seins… sans être gigantesque, de très bonnes tailles.

Jai toujours eu un faible pour elle. Au début, on aurait peut-être pu être plus que de simples amis, mais jétais bien trop timide et maladroit.

Aujourdhui, on ne travaille plus dans la même boîte et elle vient demménager avec son copain.

Ça fait plusieurs mois que je ne lai pas vue, mais elle alimente tous mes fantasmes, pas un jour ne passe sans que je ne me masturbe en pensant à elle.

Elle mavait donné rendez-vous un après-midi pour visiter son nouveau logement, son copain faisant pas mal dheures au boulot, elle était dispo.

Je ne lavais pas revue depuis plusieurs mois, jétais hyperexcité, tellement que jai dû me branler avant de la rejoindre, je limaginais nu sur un lit les jambes écartées… la caresser lentement… mettre ma tête entre ses seins… lui lécher les tétons… et… plus bas… la baiser encore… et encore… et encore… la faire crier…

La tension descendue, jai ensuite pris une douche, je me suis habillé et je suis parti la rejoindre.

En pleine campagne, jarrive devant une maison en pierre, un étage, elle a lair rénovée. La maison est isolée, il y a des arbres un peu partout et pas un voisin visible à lhorizon, elle a vraiment trouvé un coin tranquille.

Je frappe à la porte, elle mouvre:

Salut, Fabrice, tu as trouvé facilement ?

Salut, oui oui, le GPS est fait pour ça.

Entre.

On se fait la bise et je hume son parfum enivrant…

Elle était vêtue simplement, un pull gris, des chaussons et un jean moulant qui mettait bien en forme son superbe fessier.

Elle me fait faire le tour du propriétaire, son grand séjour avec une belle hauteur sous plafond et ses poutres apparentes, sa cuisine ouverte avec pas mal de rangement, son double garage.

Je la suis dans le couloir, je ne peux mempêcher de la reluquer et jai du mal à rester concentré sur ce quelle me dit. Elle me montre un bureau, une première chambre qui va leur servir de chambre damis, ensuite vient le tour du cellier avec là le chauffe-eau, la machine à laver, le panier à linge… mon sang ne fait quun tour lorsque japerçois sur le bord une culotte en dentelle rouge.

Jai alors plein dimages qui me viennent en tête, toutes plus érotique les unes que les autres. Elle me montre ensuite sa salle de bain… (où elle prend sa douche… frotte son corps dénudé…), puis sa chambre… son lit…(où elle… senv… stop. Il faut que je me retire ces idées de la tête). Je commence à avoir chaud…

On sort dehors (ouf), un peu de vent me remet les idées en places, enfin, un peu…

Elle memmène ensuite à létage, je la suis et jai son postérieur au niveau de ma tête, chaque marche quelle monte, chaque roulement de hanches mexcite un peu plus…

Arrivé en haut, elle me montre une mezzanine avec un espace bureau et un petit espace salon, composé dune télé et dun canapé… sur lequel je limagine les jambes écartées, d’une main se caressant doucement un sein et faisant glisser lautre vers son entrejambe…

Fabrice, oh, tu es avec moi ?

Euh, excuse-moi ! Je viens de penser à un truc du boulot que jai oublié de faire.

Tu veux boire quelque chose ?

Avec plaisir, sans alcool et sans bulle sil te plaît.

On descend et sassit en face lun de lautre, elle nous sert à chacun un jus dorange.

Je ne sais pas si cest les 3 baies en plein soleil ou si cest elle qui me donne le plus chaud (jai ma petite idée…), mais je bous intérieurement:

On cuit chez toi…

Je retire mon sweat et me retrouve en tee-shirt.

Je sais, on a du mal à réguler la température de la maison.

Et elle fait comme moi, retire son pull et laisse apparaître sa chemise dont les deux premiers boutons sont défaits. Celle-ci est blanche et ample, mais ne peut cacher les formes de ses deux seins imposants…

Je commence à bander et jai du mal à ne pas fixer louverture de cette chemise…

Fabrice, ça va ? Tes tout rouge !

Merde, est-ce quelle ma vue la mater ?)

Jeeuuh… je … peux utiliser tes toilettes.

Dans la salle de bain, à droite au fond du couloir.

Merci.

Je me passe de leau sur le visage en me regardant dans le miroir.

Putain, mais ressaisis-toi, cest une amie, elle a un mec…) pfffff, je prends de grandes respirations pour me détendre… enfin… essayer…

Je ressors et viens la rejoindre à table…

Oh putain, elle a défait un bouton de plus… cest vrai quil fait chaud.)

Je vois clairement maintenant la naissance de ses seins… Je ne peux mempêcher de me remémorer tous les fantasmes quelle ma inspirés.)

On parle boulot, famille, travaux (jaime bien bricoler et je lai déjà aidée dans son ancien logement à installer des luminaires.) Jessaye de me donner une contenance, mais je suis complètement obnubilé par son décolleté.

Elle vient à parler de son lustre qui est au-dessus de nous, mais assez proche de la table. Elle se lève, va allumer, revient devant moi et se penche pour me montrer quune ampoule déconne:

Tu vois là, quand je bouge un peu, elle séteint.

Euh oui, effectivement, peut-être un faux contact.

Mais quest-ce que je men fous de cette ampoule !)

La position quelle prend a fait sortir la chemise de son jean et jentraperçois la peau de son ventre… et le bord sa culotte en dentelle noire… Je lève un peu les yeux et cest son soutien-gorge de la même couleur que japerçois.

Cest pas possible, elle est en train de mallumer !… ou est-ce que je prends mes désirs pour la réalité, tant dannées quelle mexcite, je dois me fais des idées… Ahhhh elle me rend fou…)

Je suis cramoisi, jai le cur qui bat la chamade et je bande comme jamais (heureusement que sa table nest pas en verre, je naurais rien pu lui cacher).

Tu peux maider je crois que cest un domino qui est desserré… peux-tu peux prendre le tournevis dans la cuisine, sur le plan de travail, sil te plaît ?

Elle se redresse, et va éteindre. Pendant ce temps je vais chercher loutil.

Elle est dos à la cuisine lorsquelle revient pour tenir le lustre, heureusement, jen ai mal tellement je suis serré dans mon jean, je me réajuste un peu et mavance à quelques centimètres derrière elle… (mais putain quel cul…)

Elle me sort de ma rêverie:

Tu peux le resserrer ?

Je ne me contrôle, plus je me colle derrière elle, jai mon sexe dur contre son cul et je resserre le domino.

Elle ne dit rien… impossible pourtant quelle ne sente pas la bosse plaquée contre son cul…

tu…, tu… peux rallumer sil te plaît.

Je me penche vers elle et lui susurre à loreille:

cest toi que jai envie dallumer…..

… quest-ce que… tu attends ?

Je pose le tournevis et je pose mes mains sur ses épaules, je les fais glisser le long de son corps et jempoigne ses fesses

mmmh oui.

Sa respiration est plus bruyante.

Je remonte mes mains vers son ventre, saisis les pans de sa chemise, arrache les boutons et prends ses seins en mains à travers son soutif, tandis que je frotte ma bosse le long de la fente de son arrière-train…..

mmmmh continue…

Je lui retire sa chemise, dégrafe son soutien-gorge et commence à malaxer ses deux obus, ils ne sont ni trop mous, ni trop fermes, juste ce quil faut… je commence à pincer ses tétons qui sont déjà durcis…

Prends-moi…

Patience… Jattends ce moment depuis tellement longtemps, jai imaginé cette scène tellement de fois, laisse-moi profiter…

Je reprends ses fesses et commence lentement à déboutonner son jean que je fais glisser à mi cuisses.

Je me déshabille complètement et je vois Marie qui me regarde du coin de lil.

Je recule dun pas pour admirer les courbes de cette femme offerte pendant que je me masturbe.

Elle ne décroche pas du regard ma hampe et sa main vient caresser son entrejambe…

On reste quelques minutes comme ça à sobserver lun lautre.

mmmh….. Tu me fais mouiller…

Laisse-moi voir…,

dis-je en me mettant à genoux

Elle écarte alors sa culotte et je peux voir sa chatte bien humide…

mmmmhhhh.

Japproche mes mains, écarte ses lèvres et approche mon visage de son intimité…

Le parfum de son intimité me rend dingue.

Je commence à lécher doucement puis de plus en plus vite… Marie ondule à chaque coup de langue:

Oh oui, vas-y… lèche moi … Bouffe-moi la chatte … Fais-moi jouir…

A ces paroles, je minterromps et réajuste sa culotte.

Non tarrête pas !!!

Patience…

Je me redresse et glisse ma verge le long de son sexe, elle pose sa main dessus. Dun côté, elle me caresse, de lautre, je me frotte à son clitoris à travers le tissu.

Je sens sa cyprine qui vient humidifier mon membre, je prends sa main que je mets devant elle et dun coup, je la plaque sur la table, je baisse sa culotte, et je pose mon pénis sur ses lèvres…

Je reste comme ça, ce qui semble une éternité

Arrête !!! Tu me tortures…, prends-moi… baise-moi… putain !!

Je commence à pousser et rentrer tout doucement en elle, nos respirations se sont arrêtées

Oh la vache !, elle est drôlement étroite…)

Oh ouiiiiii… Ta bite… Je la sens bien…..

Je me tiens à la table et je menfonce autant que je peux…

mmmmmmmmmmmmhh cest….. trop bonnnnn.

Marie commence à bouger, jai du mal à respirer.

Oh oui, oh putain, tes une déesse…

Elle continue à remuer son cul des minutes qui paraissent des heures, jai perdu la notion du temps…

Je sens sa main qui se caresse, jempoigne alors dune main son bassin et de lautre ses cheveux, je ressors mon sexe et je lenfonce dun coup:

Oooooooooooh puuuuuuuutainnnnnnn !!!!! Ouuuuui……. Ouuuuui……. défonce-moi……

Jentame des va-et-vient de plus en plus rapides, la table avance de quelques centimètres à chaque coup de boutoir.

mmmmmmmmh, ooooh ouuuuuui vas-y ! Fabrice vas-y ! continuuue !!!!!

Je suis en train de la bourrer comme un animal.

Elle hurle:

Oh… oh…….. oh…… Putain ! Putain ! Putain ! Tu me rends folle… Je… Je vais … venir…

mmmmhhhhh… Moi….. moi….. aussi……

ouuuuuuui….. vas-y …… remplit… moi"

Je mimmobilise au fond…

Mmmmmmmmmmmm ouuiiiiiiiiiiiii jeeeee jouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis………

Ooohhhhh ohhhhh ohhhhh ohhhhh puuuuutttttaiiiinnnnnnnnnnnnn.

Je la sens convulser alors que je me contracte….. Jéjacule comme jamais auparavant, tout le sperme de mes couilles se déverse dans son utérus, tout mon corps se vide…

Je ne tiens plus sur mes jambes, je glisse par terre.

Les yeux fermés, je reprends doucement mon souffle… Encore sensible, je frémis lorsque je sens la langue de Marie courir sur mon sexe, et je sens une décharge lorsqu elle me prend en bouche…

Jouvre alors les yeux, alors quelle finit de me nettoyer la queue, elle me fait un clin dil en souriant:

Il ne faut pas gâcher…

On se regarde droit dans les yeux et je lui dis:

Merci Marie.

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