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Fantasmes en vrac – Chapitre 1




Il a fait chaud ces derniers jours. Très chaud même.

Dehors, bien sûr avec des températures qui ont dépassé les 30 degrés. Mais aussi entre nous. Cela fait 4 soirs que nous nous échangeons des messages torrides et finissons par nous caresser. Parfois devant la webcam, parfois au téléphone.

Aujourd’hui, j’ai dû m’isoler au boulot pour me faire jouir rapidement. Je ne cessais de bander et je ne pouvais pas me déplacer dans l’usine avec une telle bosse.

Ce soir, tu viens me rendre visite. Je t’attends. Nu et bandant.

Je reçois un message m’annonçant que tu es coincée dans les bouchons.

Pour t’aider à patienter, je t’envoie quelques photos de ma queue tendue, le gland rendu brillant par des gouttes de plaisir qui ont déjà coulées.

Je dois faire très attention de ne pas jouir trop vite. Je veux que tu sois là lorsque je vais gicler. Et je veux le faire en t’entendant gémir toi aussi.

Nous avons en effet décidé que notre premier orgasme de la soirée, c’est à nos doigts que nous le devrions comme ceux des soirs précédents. Nous aurions ensuite tout l’après-midi et toute la nuit pour faire l’amour.

Lorsque tu arrives enfin, nous nous enlaçons. Nos langues se caressent, tes lèvres écrasent les miennes. Puis doucement, tu me repousses :

Laisse-moi prendre une douche.

Tu entres dans la salle de bains.

Sans fermer la porte, tu te déshabilles.

Sans tirer le rideau, tu fais couler l’eau.

Bien sûr, je ne perds pas une miette du spectacle. Tu te savonnes avec sensualité. Tes mains s’attardent longuement sur tes seins et sur ton intimité. Je te regarde en me caressant. Souvent, nos yeux se croisent et je lis dans les tiens le même désir que dans les miens.

Tu te rinces. Puis, tu règles la douchette pour obtenir un jet puissant que tu diriges vers ton sexe. Tu gémis. De ton autre main, tu écartes tes lèvres, exposant ton bouton au jet d’eau.

Je m’éclipse un instant. Reviens avec un jouet que j’enfonce en moi.

Cette fois, c’est toi qui me regardes avec intensité en retenant tes caresses. Le plug entre en moi sans peine. Je le fais vibrer doucement. Je reprends mes caresses sur ma queue toujours tendue et brillante.

Tu fais de même aussitôt. Le jet toujours dirigé sur ta fente, tu te caresses sans retenue en me regardant pendant que je me régale du mouvement de tes doigts dans ta grotte et de tes gémissements qui sont de plus en plus forts. L’explosion est proche, je le sens. Je pousse les vibrations au maximum et me rapproche de toi. Je pourrais te toucher, t’embrasser, mais je n’en fais rien. Je ne perds pas une miette du spectacle que tu m’offres et je sais que tu ne rates rien du mien. Au moment où je ne peux plus me retenir, tu coupes le jet et le laisses tomber. Ma queue vibre et tu plantes ton majeur au fond de ta chatte brûlante. Et lorsque je gicle sur ton ventre, tu cries ton plaisir.

Je te rejoins sous la douche pour effacer les traces de nos petits jeux. Caresses tendres sur tes seins et quelques baisers sur tes lèvres et dans ton cou. Quelque peu apaisés par le plaisir que nous venons d’avoir, nous restons sages.

Je te propose une petite promenade. Tu sembles un peu surprise. Sans doute préférerais-tu faire une petite sieste coquine. Je te fais un sourire. Me penche vers le tiroir où sont cachés mes jouets. J’en sors un petit plug que je mouille avec ma salive et que je m’introduis. Il entre tout entier, seul le disque placé à son extrémité ressort. Puis j’enfile un string et un pantacourt très ample. Me voici habillé tout en restant accessible.

Tu souris à ton tour, devinant que la promenade sera coquine

Tu t’habilles à ton tour. "Omettant" de mettre tes dessous pourtant sexy.

C’est la première fois que je te vois sortir sans culotte et soutien-gorge. Je sens que l’après-midi va être riche en émotions.

Juste avant de sortir, je te pose une question :

Le parc ou les magasins ?

D’abord le parc et ensuite les magasins. Autant profiter du beau temps.

Nous nous dirigeons donc vers le parc. Le vent nous caresse en passant sous nos vêtements et c’est une sensation très agréable. Je ne manque pas une occasion d’effleurer tes fesses ou tes seins. J’aime beaucoup les sentir libres sous le tissu, presque offert à mes doigts. Et t’imaginer ainsi offerte n’est pas pour me déplaire. Je dirais même que c’est très excitant.

D’autant que, non plus, tu ne te prives pas pour me caresser aussi. Tes caresses, celles de l’air, le plug qui est en moi, tout me redonne envie de toi, et petit à petit, je me sens durcir à nouveau. Bien sûr, tu t’en rends compte et t’amuses à effleurer la bosse qui ne manque pas de se former.

Je t’entraîne un peu à l’écart, pour ne pas risquer l’attentat à la pudeur. Un gros buisson nous protège du regard des gens sur le chemin. Je m’assois en tailleur et tu passes un bras autour de moi. Le hasard faisant bien les choses, tu as un libre accès à ma queue de plus en plus tendue. Et tu en profites !

Je ne suis pas en reste, et je pose ma main sur un de tes seins. Je le caresse, fais rouler ton téton entre mes doigts. Mon autre main est posée sur ta cuisse, juste à la lisière de ta jupe que je remonte doucement. Je suis maintenant tout à fait raide, et tes doigts me donnent beaucoup de plaisirs.

Nous nous embrassons longuement et avec fougue. Je fais rouler sous mes doigts ton téton durci par le désir. Mon autre main caresse le haut de ta cuisse. Et j’ai beaucoup de mal à ne pas remonter plus ta jupe pour pouvoir accéder à ton intimité.

Nous restons ainsi de longues minutes presque déconnectés du monde qui nous entoure. Les yeux mi-clos, nous nous caressons et nous embrassons. Puis, à regret, nos bouches se séparent pour que nous reprenions un peu notre souffle.

C’est à ce moment que je l’aperçois. Un homme, assis, le dos appuyé contre un arbre, tourné vers nous. Il n’a rien dû manquer de nos caresses.

Je jette un coup d’il circulaire. Il a probablement trouvé le seul endroit d’où nous regarder sans difficulté. La végétation et le relief nous protègent des autres promeneurs. Lui semble lire. Les yeux dissimulés par des lunettes de soleil, je ne suis pas vraiment sûr qu’il nous observe. Mais ses mains ne bougent pas pour tourner les pages, ce qui me paraît révélateur. J’hésite un peu sur la conduite à tenir. Puis je me penche à nouveau vers toi, t’embrasse dans le cou pendant que mes mains reprennent leur ballet. Je t’embrasse, te caresse, et entre deux baisers, t’explique la situation. Tu sembles hésiter toi aussi. Je te sens tendue. Puis tu ouvres un peu plus tes cuisses et me demandes de te caresser encore et encore.

Ce que je fais bien sûr. Je remonte ta jupe le plus haut possible. Notre voyeur doit maintenant savoir que tu n’as pas de culotte, mais je m’arrange pour qu’il ne puisse pas trop en voir. Ma main reste à mi-cuisse pour que tu me désires, mais sans risquer un scandale si quelqu’un venait à nous voir.

Tourné vers toi, je fais en sorte que mon érection ne soit pas non plus trop visible. Notre voyeur doit être très frustré, mais cela n’est pas fait pour me déplaire. Il devra imaginer autant de choses qu’il en aura vues. A ma grande surprise, et pour ma plus grande joie, le fait qu’on nous observe ne calme pas tes ardeurs et tu continues à titiller ma queue durcie. Nous perdons à nouveau la notion du temps. Plusieurs fois, tu as cessé tes caresses pour ne pas m’emmener trop loin. A quelques reprises, j’ai cessé mes mouvements pour ne pas te faire soupirer trop fort.

C’est finalement toi qui romps notre étreinte.

On va faire les boutiques ?

Je te demande un moment de répit, juste pour dégonfler un peu, et que mon érection ne soit pas trop visible.

Notre voyeur n’a pas bougé. Il sera sans doute déçu de nous voir partir.

Je finis par être un peu plus présentable. Nous nous levons ensemble. Et là, je reprends conscience du plug dans mon petit trou. Allongé contre toi, je l’avais presque oublié. Maintenant que je marche à nouveau, il se rappelle à mon bon souvenir. Je lutte un moment contre l’excitation qui revient en force.

Faisant mine de mettre ma main dans ma poche, je plaque mon sexe contre mon ventre et je dissimule mon désir sous mon tee-shirt. A voir ton sourire, je crois que la situation t’amuse beaucoup. Et je dois dire que je suis presque soulagé quand nous atteignons la voiture.

Le trajet entre le parc et les magasins est rapide.

Nous commençons par une enseigne qui vend de tout. Nous déambulons dans les rayons en échangeant quelques baisers légers et en choisissant çà et là des vêtements à essayer. Principalement des pantalons ou des bermudas pour moi, tes choix étant plus larges. Nous pensons en fait plus à l’essayage qui va suivre qu’aux choix que nous faisons.

Nous ne tardons d’ailleurs pas à nous diriger vers les cabines d’essayage. C’est moi qui y entre et me déshabille en premier. Restée à l’extérieur, tu m’observes. Je prends mon temps, te laissant profiter au maximum du spectacle. Mon string ne retient que fort peu mon sexe à demi tendu. Puis j’enfile un short ; prenant mon temps là encore. Je recommence ce petit manège trois ou quatre fois. C’est tout juste si tu regardes ce que j’enfile. Comme je vais remettre une dernière fois mon pantacourt, tu murmures :

Caresse-toi.

Mon sexe gonfle aussitôt à cette simple évocation. Je masse donc ma verge à travers mon string. Tout doucement et lentement. J’ondule un peu des hanches pour faire jouer le plug dans mon petit trou. Puis je sors ma tige dressée du string. L’excitation de ces dernières heures a laissé des traces. Je coule et mon gland est tout brillant de mon désir pour toi. Je me branle un peu plus vite. Hum, que c’est bon de le faire ici et devant toi !

Autour de nous, nous pouvons entendre d’autres personnes qui, elles aussi, procèdent à quelques essayages. Même si je doute que ce soit aussi agréable et coquin dans leur cas.

Avec regret, je cesse malgré tout ma masturbation. Inutile de trop faire monter la pression et de jouir trop vite. La journée et la nuit sont loin d’être finies. Une fois que j’ai réussi à me rendre présentable, ce qui n’est pas une mince affaire, je sors et tu prends ma place dans la cabine.

Toi aussi, tu t’effeuilles et te rhabilles lentement. D’abord le haut, pour essayer quelques tee-shirts et tuniques. Tes seins sont toujours dressés : preuve que tu apprécies tout ce que nous faisons.

Je t’encourage à demi-mot. Quelques « pas mal » ou « ça te va bien » ponctuent l’apparition de tes seins. Je remarque avec plaisir que tu profites aussi de chaque occasion pour les frôler ou les caresser rapidement…

Puis c’est au tour de ta jupe de tomber par terre.

Dans un geste plein de provocation, tu écartes les jambes et passes un doigt le long de tes nymphes. Je te vois frémir et mordre tes lèvres pour ne pas gémir sans doute. Tu me montres ton doigt, tout luisant de ton plaisir. Puis tu portes ton doigt à ta bouche et le suces langoureusement. Et je dois me retenir pour ne pas venir te prendre tout de suite et m’enfoncer en toi à grand coup de reins.

Nouveaux essayages; et à chaque changement de tenue, tes doigts viennent se poser sur ton intimité. Puis après t’être habillée une dernière fois, tu retrousses ta jupe et te caresses sous mes yeux ébahis.

Je ne pensais pas que tu pourrais aller si loin.

Les yeux mi-clos, les lèvres serrées, tu fais aller et venir ton majeur dans ta fente visiblement trempée. Puis, toi aussi, tu t’arrêtes juste avant le plaisir. Peur d’être entendue ou bien désir de partager ton plaisir avec moi ?

A toi aussi, il te faut quelques instants pour reprendre tes esprits. Nous ressortons des cabines en reposant quasiment tous les vêtements. J’en garde un que je tiens devant moi, histoire de dissimuler mon envie de toi. La vendeuse nous regarde avec un air indéfinissable. Je me demande à quel point elle est dupe, mais qu’importe. Je pense surtout à rentrer et à enfin te faire l’amour. J’ai hâte de te lécher et de sentir couler sur mes lèvres et ma langue toute ta mouille. J’ai envie de sentir ta bouche m’engloutir avant que je ne te prenne sauvagement pour te clouer au lit.

Nous ne sommes plus qu’à quelques mètres de la sortie lorsqu’à ma grande surprise, je remarque notre voyeur du parc. Je doute qu’il nous ait suivis, car il a lui aussi un mouvement de surprise.

Brusquement, je me demande si nous ne devrions pas refaire quelques essayages.

Mais le désir de te faire l’amour est plus fort que l’envie de nous montrer. Direction la voiture puis mon appartement. A peine entrés, nous nous jetons l’un sur l’autre. Je te dévore, tout en te déshabillant. Ta jupe puis ton haut tombent par terre, bientôt rejoints par mes vêtements. Je me mets à genoux devant toi pour te lécher. Tu t’appuies contre le mur et poses une jambe sur mon épaule pour me donner accès à ta fente qui ruisselle.

Comme toujours, je me régale. Tu sais que j’adore te boire, j’adore sentir le goût de ta mouille envahir ma bouche. Malgré l’inconfort de notre position, je me refuse à cesser cette caresse. J’ai trop attendu ce moment pour le reculer encore, même le temps d’aller jusqu’au lit ou au canapé. Alors je te lèche et pose maintenant un doigt sur ta fente. Tes soupirs se font gémissements. Et tes gémissements s’intensifient lorsque mon doigt commence ses va-et-vient en toi. Tu ne tardes pas à trembler et malgré l’appui que t’offre le mur j’ai peur que tu ne finisses par tomber. Je me relève donc à regret et te serre contre moi, mon sexe tendu collé à ton ventre. Je recule lentement, te tenant toujours dans mes bras. Direction le lit. Nous ondulons l’un contre l’autre et maintenant mes mains descendent le long de ton dos. Je m’empare de tes fesses que je caresse, que je pétris tendrement. Un de mes doigts glisse dans ton sillon et j’effleure ta rondelle.

Je tombe en arrière sur le lit, t’entraînant dans ma chute.

Nous roulons l’un sur l’autre. Tu me repousses un peu. Non pour t’enfuir, mais pour te retourner. Tu m’offres de nouveau ta chatte à déguster pendant que tes lèvres se referment sur ma tige. C’est à mon tour de gémir lorsque ta bouche emprisonne mon gland, lorsque ta langue s’enroule autour de ma queue, lorsque tu gobes mes bourses. J’enfouis mon visage dans ta fourche, te rends coup de langue pour coup de langue. Mais voilà que tu t’empares de l’extrémité du plug. Tu la fais tourner, provoquant de nouvelles vagues de chaleur en moi. Mon sexe se tend encore un peu plus. Sentant mon plaisir venir, tu me reprends dans ta bouche tout en me caressant et faisant jouer le plug en moi. Je ne suis pas en reste, et ma langue virevolte entre tes lèvres et ton bouton, tandis que mon doigt va, et vient dans ta grotte. Sous cette triple stimulation, je rends les armes et me déverse dans ta bouche. Dans un grand frisson. Mon plaisir entraîne le tien et tout ton corps vibre contre le mien.

Notre plaisir est si fort que je n’arrive plus à faire la différence entre tes tremblements et les miens.

Tu te redresses et viens te lover contre moi. Et avec un grand sourire, tu m’embrasses, me faisant goûter au fruit de mon plaisir.

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