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Mathilde dans tous ses ébats – Chapitre 5




Alors que l’eau chaude coule sur Mathilde et Julie, enlacées dans la douche des parents de Julie, Mathilde regarde la pièce autour d’elle. Julie n’en sait rien, mais Mathilde utilise cette salle de bain depuis longtemps. La première fois, elle avait 16 ans peut être, elle ne se souvient pas vraiment. Elle était venue en vacances chez Julie pour 2 semaines au mois de Juillet. Elle avait eu une insolation et était restée au lit 2 jours, avec des vertiges et une migraine terrible. Pendant ces 2 jours, Julie et sa mère était parties faire une rando kayak et le père de Julie était resté pour la soigner.

Après 2 jours au lit, Mathilde ne sentait pas très fraiche mais se lever était un vrai supplice. Le père de Julie, Christian, l’avait retrouvée allongée sur le dos, dans le couloir devant la salle de bain des filles, en train de pleurer tellement sa tête tournait. Il l’avait emmenée dans la salle de bain des parents, pièce interdite par excellence, pour qu’elle puisse utiliser la baignoire. Mais Mathilde avait surtout envie d’une douche et avait demandé à Christian de l’aider.

Elle gardait un souvenir flou, un peu comme une soirée trop arrosée, de Christian la regardant hésitant, l’aidant à retirer sa chemise de nuit en détournant le regard devant sa jeune poitrine et lui retirant sa culotte les mains tremblante pendant qu’elle s’appuyait comme elle pouvait sur ses épaules. Elle avait honte, après 2 jours, sa culotte devait pas être très propre mais Christian ne dit rien. Il s’apprêtait à sortir de la pièce pour qu’elle puisse prendre sa douche mais elle lui avait demandé de rester. Elle avait trop peur de tomber dans la douche.

Il était resté, timide. Malgré son état nauséeux, Mathilde était flattée de le voir, du coin de l’oeil, la détailler du regard. Sans être une bombe absolue, Mathilde savait qu’elle avait son charme bien à elle et ses cheveux blonds roux soulignaient parfaitement ses yeux bleus verts. Sa petite toison, de la même couleur laissait voir deux lèvres un peu charnues entre lesquelles dépassaient à leur tour deux petites lèvres roses. Ses fesses, musclée par le roller faisaient particulièrement sa fierté. Elle était quasi certaine que Christian avait un soupçon d’érection.

Prenant le gel douche, elle fit mousser tout ça pour recouvrir son coeur d’un petit nuage blanc mousseux, jouant sur l’érotisme de ce que cette mousse cachait à peine. Christian se retourna pour se laver les mains mais Mathilde voyait bien que dans le miroir, les yeux de Christian ne la quittaient pas.

Elle était gênée mais tellement excitée d’être en train de séduire le père de sa meilleure amie, presque un deuxième père pour elle-même. En se savonnant, elle insistait sur les caresses qu’elle prodiguait à ses seins, les soulevant légèrement, effleurant ses tétons qui durcissaient à vue d’oeil, descendant ses mains vers ses fesses qu’elle écarta légèrement en les malaxant, revenant vers sa chatte qu’elle caressa plus sexuellement que dans un besoin d’hygiène avant de se rincer, faisant couler l’eau sur sa peau bronzée, créant des sillons entres ses seins et ses fesses.

Il n’y avait plus de doute, Christian bandait comme un fou. Avec la chaleur, il avait fait un plongeon dans la piscine et son érection était d’autant plus visible qu’il portait à peine plus qu’un maillot de bain.

Sortant de la douche, Mathilde eut un vertige et Christian n’eut pas d’autre choix que de se précipiter pour la rattraper. L’instant fut étrange, leurs visages si proches, la main de Christian tremblante posée sur l’épaule de Mathilde, si proche de ses seins, cette érection qu’elle sentait maintenant contre son corps, si dure, elle n’aurait pas cru. C’est Christian qui brisa l’échange de regard. Mais Mathilde est troublée à son tour. Elle sent sa petite chatte brulante et humide. Toujours faiblarde, Christian la soulève dans ses bras et la ramène dans sa chambre, à lui, nue, emmaillotée dans une grande serviette. Cette attitude de prince charmant ne fait rien pour calmer Mathilde et elle soupçonne Christian d’être toujours au garde à vous.

Christian la dépose sur son lit. Mathilde s’attend presque à ce qu’il lui retire sa serviette mais il n’en fait rien. Alors, pour le provoquer, elle écarte légèrement les jambes, juste assez pour révéler, encore son sexe juteux, aux lèvres offertes, ouvertes. Immédiatement, les yeux de Christian semblent perdus entre essayer d’avoir l’air aveugle et ne pas détacher son regard du spectacle offert. C’est à peine si Mathilde l’entend quand il murmure qu’il va changer les draps dans la chambre de Mathilde avant de disparaitre.

Mathilde reste allongée, troublée, terriblement excitée et mouillée. Elle commence à se caresser doucement. Elle a découvert les plaisirs des caresses avec Julie il y a quelques temps déjà et ses doigts, s’insinuant entre ses lèvres, caressant son clitoris lui font un bien fou. Elle ferme les yeux et imagine Christian revenant et la trouvant ainsi, la pénétrant doucement, pour sa première fois, son corps d’homme, son sexe gonflé écartant les parois de son vagin, faisant pression sur des zones encore vierges. Elle s’apprète à jouir de ce fantasme, ça y est, ça vient, ça monte dans son ventre, elle sent sa cyprine qui coule entre ses fesses, mouillant le drap sous elle.

Quand elle rouvre les yeux, Christian est là, la regardant, muet. Il semble impossible que son maillot de bain puisse retenir une telle érection et pourtant.

— Je… Excuse moi, je… Ton lit est fait.

-Merci.

Il reste silencieux quelques secondes.

-Tu peux marcher jusqu’à ta chambre?

Elle se lève, retenant la serviette contre elle. Elle se sent honteuse maintenant que Christian l’ait vue ainsi. Une fois debout, son orgasme lui coupe les jambes, en plus de son insolation.

-Je crois que j’ai trop le vertige.

S’avançant, Christian la reprend dans ses bras. La serviette tombe et Christian l’emmène jusqu’à sa chambre, nue, la chatte et les fesses trempées de jouissance. La déposant dans des draps frais, Christian quitte la pièce en silence.

Mathilde reste allongée, nue sur le draps blanc, ses doigts jouant avec les poils de son sexe, repensant à ce moment irréel. Venant de la chambre de Christian, à l’autre bout du couloir, elle est certaine de l’entendre se branler. Ses gémissements lui parviennent et elle ne peut s’empêcher de recommencer elle-même…

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