Les jours suivant de ce fameux samedi, j’étais encore plus déboussolé, troublé que d’habitude, et la seul réponse que j’ai trouvé c’est Marie, une belle noiraude, de 17 ans, avec de jolie yeux noir en amande, des lèvres rosées et pulpeuse, un jolie petit nez fin et délicat, elle est bien proportionné 1m65 pour 55kg, elle a de jolie seins pas trop gros pas trop petit et elle a un jolie postérieur. elle semblait inaccessible alors pour me prouver que j’aimais les filles et que je n’étais pas un homo, j’ai pris mon courage à deux mains, je l’ai accosté et lui ai demandé si elle aimerait venir boire un verre avec moi, j’étais persuadé qu’elle dirait non mais elle a accepté. Pendant deux semaines je suis sorti avec Marie, nous nous pelotons sans retenu et j’avais l’impression que tout mes désirs pour les mecs s’étaient évanouis grâce à sa présence dans ma vie. C’était trop beau, car le jour où Marie et moi avions voulu allé un peu plus long, cela c’est compliqué, eh oui après quelques préliminaires (je passe les détails ce n’ai pas son histoire) elle a voulu me faire une fellation, c’est là que j’ai réalisé que je voulais que se soit un mec qui me suce et non elle, que cette situation était nul, que je n’étais pas franc avec elle, Marie y mettait tout son cur dans cette pipe mais moi je ne pouvais pas bander, rien n’y faisait, elle m’a demandé si elle si prenait mal,je ne voulais pas qu’elle se sente coupable alors je l’ai stoppé dans son «travail » et je lui ai tout dit, elle était toujours à genoux et moi toujours le sexe dehors. Étonnamment elle l’a bien pris, je me suis rhabillé, elle c’est levé et on a parlé tout l’après-midi et pour la première fois j’ai pu dire à une personne ce que je ressentais vraiment et cette personne ne m’a pas jugé, elle a été d’une grande gentillesse et d’une super écoute. C’est vrai, ce jour là j’ai perdu ma petite amie mais j’ai trouvé ma meilleurs amie. Comme on s’entendait bien, j’avais demandé à mes parents si Marie pouvait passer le week-end à la maison pendant leur séjour chez grand-mère. Ils avaient accepté sans trop de difficulté pensant sûrement que cette dernière était ma petite amie. Donc tout était prévu, elle devait venir le vendredi soir après les cours, je me réjouissait de sa venu mais, la veille j’ai appris par sa mère que Marie a du être opéré en urgence de l’appendicite. Donc, le vendredi, assis dans le train qui me ramène chez moi, je fait mon programme pour la soirée
1 appeler Marie pour avoir des nouvelles
2 dire aux parents que tout va bien
3 faire mes devoirs pour être tranquille pendant le week-end
4 me faire à manger et glander devant la TV
et pourquoi pas mâter un porno gay, depuis peu je vais sur des site gay, c’est encore nouveau pour moi, j’apprécie beaucoup de voir tous ces mecs nus, je suis super excité à chaque fois, je me masturbe et j’éjacule comme jamais je ne l’avais fait auparavant mais après je me sens encore plus coupable d’avoir aimer cela et je m’en veux énormément. Donc arrivé en gare je descends du train et marche d’un bon pas, je suis dans mes pensées, je commence déjà à être émoustillé par les images de ces hommes viriles, nus qui défilent devant mes yeux, j’accélère car je sens que j’ai un début d’érection, encore une rue et j’y suis. Je stop net, je suis tétanisé, il est là devant la maison, je ne peux pas faire demi tout car il m’a vu. Il me sourit et il s’approche de moi, moi je suis toujours cloué sur place, je l’avais oublié, tout du moins refoulé, Robert était en face de moi, ses yeux bleu me transpercent, je me sens rougir.
-Salut, tes parents sont pas là.
Je n’arrive pas à répondre, je le fixe sans rien dire
-Eh! Jean-Marc ça va, t’es tout rouge
Avec peine je bredouille quelques mots
-Euh!! euh!! oui ça va, que fais-tu là ?
-Ben je suis venu voir tes parents, ils ne sont pas là
-Euh! Non, ils sont partis voir grand-mère
Je mets mon sac devant moi, car maintenant je bande, le fait de le voir là devant moi me fait remonté tous les souvenir de cet extraordinaire samedi, je baisse les yeux, j’ai honte je me sens rougir encore plus
-Ah! T’es sûr que ça va
-Oui, lui dis-je sur un ton agacé, mes parents rentre dimanche soir, tu peux venir souper comme ça tu les verras.
En disant cela, je l’ai contourné pour aller ouvrir la porte, il est derrière moi, j’entends sa respiration. Je vais paraître un peu grossier mais je veux qu’il parte alors tant pis je vais lui lui dire de revenir quand mes parents seront là, je ne veux pas rester seul avec lui, je me sens terriblement attiré par lui alors je me retourne pour le lui dire, je suis surpris il est vraiment proche de moi, je sens son odeur de transpiration, il doit être venu directement après le travail car elle est forte, je vais pour parler quand soudain il met sont index droit sur mes lèvres et fait:
-Chut!!!!! tout en me poussant avec sa main gauche dans l’entré
Je me laisse faire, je ne suis qu’un pantin devant lui, je recule contre le mur et il ferme la porte à clé derrière lui. Mon esprit va dans tous les sens, j’ai peur, mais je suis terriblement excité la preuve en est par cette bosse qui déforme mon jeans. Il se tourne vers moi et me retire le sac qui protégeait mon érection et avec un sourire coquin il me lance
-Alors on bande en me voyant, t’es un homo, j’aurais jamais cru
-Non!!euh oui!! bafouillais-je
-C’est oui, où non!
Sans attendre ma réponse il met sa main droite sur ma bosse,surpris je sursaute mais ne le repousse pas au contraire, je ferme les yeux pour ne pas croiser le regard de Robert. Ma verge réagit directement à se contacte je sens dans mon bas ventre des fourmillements, des petites décharges électriques partant de mon pubis, irradiant dans le bas du dos et mon anus, ma queue me fait mal, elle est tendu et à l’étroit dans ce bout de tissu, ma respiration s’accélère, je tremble comme une feuille, il est collé à moi, je sens son souffle chaud sur mon visage, sa main me masse toujours la verge au travers du tissu; l’autre me pelote les fesses
-Alors t’es un homosexuel,
je ne peux répondre car son massage est de plus en plus appuyer, ma bouche est entrouverte,j’ halète maintenant bruyamment, je fais des petits mouvements de bassin sur sa main, il sait que je vais venir, j’essaye de lui retirer sa main mais il me l’enlève Il déboutonne mon jeans et passe sa main, il descend doucement sur mon caleçon. Le contact de cette main chaud sur mon sexe me fait durcir encore, je n’ose ouvrir les yeux, je sens son souffle dans mon cou, il c’est rapproché encore de moi, son visage touche le mien, je sens sa forte odeur de transpiration, elle est musqué, salé, il sent la sciure, la résine de bois, ses odeurs m’enivrent, j’ai de plus en plus chaud. Robert masse doucement ma queue et mes bourses, j’ai mal, je suis à l’étroit. Quand tout d’un coup, je me tends sur sa main, il me presse la verge et dans un râle j’éjacule dans mon caleçon, sa main est toujours sur ce petit bout de tissu mouillé qui nous sépare, elle me masse tout doucement,j’ai de nombreux spasmes, je n’ai jamais eu d’orgasme comme celui-ci, même la dernière fois c’était différents . Je n’ai pas ouvert les yeux, je suis toujours appuyé contre le mur de l’entrée, je suis vanné, ma respiration est plus calme, mes jambes ne me portent plus, il a du le sentir car il me retient d’une main, tout d’un coup je sens sa langue me frôler ma lèvre inférieur, essayer de s’insinuer dans ma bouche, hébété j’ouvre les yeux et essaye de me dégager
-Calme toi, mon tout petit, calme toi, laisse toi faire, tu vas aimer, mon petit homo,
J’ai ouvert la bouche pour protester
-Non , arrête, lui dis-je
-Chut!!
je ne pouvait pas me dégager car il me plaquait de tout son poids contre le mur, de toute façon je ne faisait pas beaucoup d’effort pour sortir de son étreinte, il a rapproché son visage du mien et à déposer tout d’abord des petits bisous sur mes yeux, mes joues, mon nez et pour finir mes lèvres,
Sa bouche c’est collée à la mienne, sa langue essayant de se frayer un passage entre mes lèvres fermées, il m’a alors serré la verge qu’il massait toujours, cette pression m’a fait sursauté et bien sur m’a fait entrouvert la bouche. Sa langue c’est donc introduit dans ma bouche me fouillant littéralement celle-ci, jouant avec ma langue, je me laissais visiter la cavité buccale trop épuisé par tant d’émotions. Il s’est retiré de ma bouche en aspirant ma langue et a entrepris de me rouler une gamelle, c’était très baveux mais en même temps, il commençait à m’ exciter de nouveau avec le massage de ma verge .Il s’éloigne un peu de moi et me dit
-Tu jutes vite, t’es puceau toi!
-Non, je ne suis pas puceau, lui dis-je vexé
-Si avec les mecs t’es puceau, cela ce voit, c’est pas un reproche, c’est juste une constatation, tu étais tellement excité que j’ai eu à peine le temps de toucher que t’as tout lâché.
Rouge de honte et vexé je me dégage et monte à l’étage, Robert me rattrape et me prend le bras.
-Je t’ai vexé, t’es con, on a tout le week-end pour que tu arrives à te contrôler.
Je lui fait face, je suis un peu surpris par ce qu’il vient de dire et surtout maintenant en colère car je ne l’ai pas invité à rester, pour qui il se prend, c’est vrai il m’a fait jouir deux fois, juste en me massant, c’est vrai son odeur m’enivre et je suis tout chose quand il me touche mais il faut pas pousser. J’explose
-Tu te prends pour qui, je t’aime pas, tu pues, t’es sale, gros et moche, t’es qu’un parasite qui se fait inviter à bouffer tout le temps, dégage de chez moi !!
-Tu sais que t’es mignon quand tu t’énerve, dit-il calment, qu’est-ce que tu n’as pas aimé ? De mon point de vue tu avais l’air d’apprécier ce que je te faisais, à aucun moment tu m’as dit d’arrêter, tu ne m’as pas repousser violemment non plus alors. Je m’excuse je n’aurai pas du te dire que tu éjaculais trop tôt c’était maladroit de ma part. Désolé
Je ne tiens plus il a raison, je ne suis qu’un con dans cette confusion d’émotions je m’écroule en pleure, Robert s’approche de moi et me prend dans ces bras.
-Ça va aller, c’est rien me chuchote-t-il
-Tu es le premier mec qui me touche, qui me fais ça ! Dis-je entre deux sanglots, J’ai toujours su que j’étais un homosexuel mais je n’avais jamais osé.. lui dis-je, désolé je ne voulais pas être méchant, je ne pensais pas ce que j’ai dit
-Donc j’avais raison t’es un pd et t’es puceau me dit -il en relevant mon menton, Je vais bien m’occuper de toi ce week-end, tu vas voir!
Nous sommes tous les deux parterres, il me prend dans ces bras, ils sont fort, musclé, moi qui pensait que Robert n’était que gros. Il commence à me caresser le dos, les cheveux, il me fait du bien, je me détends et avec délicatesse il me tourne la tête vers lui, il sèche mes larmes, il se rapproche de moi et embrasse mes lèvres, je lui répond timidement, alors il continue et cette fois-ci j’ouvre la bouche, sa langue s’insinue dans ma cavité buccale, joue avec ma langue, essaye d’aller le plus profond possible, j’essaye de lui répondre à se baiser mais je ne suis qu’une marionnette dans ses bras, moi qui suis plutôt entreprenant avec les filles là, je me laisse totalement faire, j’aime cette différence, j’aime être sa chose. Pourtant, je n’arrive pas totalement à m’abandonner, je me sens tout bizarre, comment cette homme répugnant pouvait tellement m’exciter ? mon esprit est en ébullition, je me sens coupable, coupable de céder à mes désirs, coupable d’être faible envers mes pulsion mais en même temps je me sens tellement bien dans ces bras et enfin aimer. Robert a senti que je n’était pas là,
-Jean Marc, qu’est-ce qui t’arrive? Tu as l’air perdu, dit-moi, parle moi, me dit-il en se reculant
-Rien,si en fait c’est mal ce qu’on fait!
-T’aime pas quand je t’embrasse?
-Si mais tu es mon cousin, et je ne peux pas être homo.
-Pourquoi tu ne peux pas être homo, il n’y a rien de mal à l’être.
-Mes parents ne sent remettrons jamais, je suis leur seul fils et ils sont catholique et dans la bible deux hommes ne peuvent pas s’aimer. Lui dis-je
-Je ne savais pas que tu était croyant, me dit-il
-Je ne le suis pas
-Ben qu’est-ce que tu en as à foutre de ce que la bible dit me répond Robert
-Mes parents le sont eux, et je ne veux pas les décevoir
-Chaque chose en sont temps, tout d’abord, tu n’en sais rien, vérifions si tu es vraiment gay et tout en disant ces mots Robert m’attire vers lui et m’embrasse de nouveau mais avec plus de passion. Cette fois, je ne suis pas inactif, peut-être ces mots ont eu raison de moi mais je ne me contrôle plus, mes mains l’entoure, lui caressent ses cheveux pendant notre baiser, son odeur m’excite, il sent le mâle, la transpiration, le musc. Nous reprenons nos respiration,mais moi je me serre contre lui je ne veux plus le quitter, je le hume, l’embrasse dans le cou, je sens son souffle chaud dans le mien. Nos respiration se sont accélérer. il me caresse les cheveux, sa main gauche passe sous ma pull, je frissonne à se contact mon corps se rappelle, je voulais sentir ses mains à nouveau sur moi. Sa main est chaude, rugueuse, elle passe légèrement sur mon ventre pour remonter vers mes tétons, je sursaute quand il me pince le bout de mon sein droit, j’ai une érection fulgurante il le sait car son autre main est descendu dans mon pantalon, alors il continue à me triturer le téton pour mon plus grand plaisir. Pour la première fois, je m’aventure vers son entre-jambe, ma main se pose sur son paquet bien dure sous son jeans, il est surpris mais me laisse faire, je cherche sa bouche, nous nous roulons une galoche pendant que ma main déboutonne son pantalon, c’est très serré, j’ai de la peine à y arriver. Il a du s’en rendre compte car c’est lui qui lance
Et si on allait dans ta chambre, on serra mieux, tu ne croix pas!
Je ne lui réponds pas mais me lève d’un bon et monte, je l’entends derrière moi, j’ai à peine le temps d’ouvrir ma porte qu’ il me retourne et m’enlève mon t-shirt, il s’écarte pour me regarder sans rien dire il fait de même, et commence à descendre son pantalon, je l’imite, car je suis plus qu’à l’étroit dans mon jeans, ma queue est en érection total depuis un moment, elle me fait mal. Je me retrouve avec une trique d’enfer qui déforme mon caleçon en face de mon cousin Robert qui est à moitié nu dans ma chambre, la situation est étrange mais extrêmement excitant.