Souvenirs d’hier et d’aujourd’hui
4e épisode
Résumé : Je suis en vacance avec mes parents, ma sour et ma cousine. Mon père doit repartir à cause de son travail. Je découvre que ma cousine dévergonde ma sour. Ma mère a sympathisé avec un maître-nageur très sympa d’origine africaine : Akim. Ayant appris que mon père la trompait, ma mère décide de se venger en s’envoyant en l’air avec Akim. De mon côté, je retrouve Thomas, un copain, qui m’emmène découvrir une pute black particulièrement perverse. Quand je rentre à la maison, je découvre Akim et ma mère qui ne se cache plus. Quand soudain, mon père arrive. Je ramène ma mère dans sa chambre et Akim se planque dans la chambre de ma soeur. La situation est sauve. Durant la nuit, j’ai la surprise de voir que mon père connaissait bien Akim. J’assiste, caché, à une conversation qui me fait penser que mon père complote avec Akim et ma cousine. Mais à quoi ? Le lendemain, mon père présente Akim et son cousin comme de vieux copains de classe. Le cousin d’Akim s’occupe de ma mère dans son dos et ma cousine de ma soeur. La situation est devenue démente et me fait bander à mort. Pour me calmer, je sors dans la rue. Et là…
J’aperçois une magnifique brune, à vélo, qui descend la rue. En fait, j’ai du mal à la voir car j’ai le soleil en plein dans les yeux. Je ne sais pas si c’est à cause du soleil, elle m’apparaît telle une déesse. Une très belle fille, de mon âge, roule à toute allure. La rue est en pente. Soudain, j’entends ses cris. Les freins de son vélo ont cédé. Je me précipite pour l’aider à s’arrêter quand…
***
Quand, je me suis retrouvé à l’hôpital. Dans ma précipitation, je n’ai pas vu une voiture qui arrivait derrière moi. Elle m’a littéralement fauché. J’ai été soulevé en l’air avant de m’écraser sur le sol et de perdre connaissance.
Lorsque je me suis réveillé. J’avais mal partout. Je me suis vite rendu compte que j’avais les deux jambes dans le plâtre. Dans la même chambre, il y avait la belle brune qui avait eu aussi affaire à la voiture et qui avait eu plus de chance (façon de parler) puisqu’elle n’avait qu’une jambe dans le plâtre. Le docteur est apparu rapidement et m’a mis au courant de mes exploits. Il me rassura et me dit que je serai dehors dans un petit mois. J’étais abattu. Cela signifiait pour moi la fin des vacances.
J’ai alors fait connaissance avec la belle brune. Elle s’appelait Alice. Elle était un peu moins belle que dans mes souvenirs mais il émanait quelque chose d’elle. Elle me remercia d’être intervenu et s’excusa pour mes problèmes. Elle était d’une gentillesse extrême, d’une douceur… un ange. Un ange avec une belle paire de nichon (oui, bon, on peut être romantique et rester un mec). Je me suis noyé dans ses magnifiques yeux bleus.
Tout à coup, mon copain Thomas est arrivé avec deux copains pour prendre de mes nouvelles. Ils étaient vraiment sympas. On a parlé longtemps. Il m’a appris qu’ils fournissaient des clients à la pute black et qu’elle était géniale. Ils l’emmenaient dans un coin solitaire de la plage. Là, elle se faisait baiser à la chaîne par une trentaine de mecs chaque après-midi. Putain, je l’imaginais dégoulinante de sperme. Je bandais à mort. Ensuite, pour les récompenser, elle se faisait prendre par tous les trous à la fois gratuitement. Thomas me décrivait son cul qui était un gouffre sans fin. Elle avait réussi à prendre deux bites dans le cul sans difficulté. Bref, elle était géniale.
Soudain, Thomas me dit :
— Mais, on ne t’a pas oublié, surprise !
La pute black est entrée dans la chambre d’hôpital. Bon sang ! J’ai failli jouir dans mon pyjama rien qu’en la voyant. Ses gros nichons tendaient dans un tee-short trop petit et sa mi-jupe laissait entrevoir qu’elle ne portait pas de culotte. Elle m’a dit bonjour et m’a embrassé. Puis, elle a soulevé la couverture, sorti ma bite de mon pyjama et me pompa à mort. En 10 secondes chrono, j’ai joui dans sa bouche. Elle a avalé mon sperme avec un plaisir indéniable et m’a léché puis à nouveau pompé. Elle m’a fait bandé deux fois à nouveau et j’ai joui autant dans sa bouche. Un plaisir tellement intense… fort… énorme. J’en pouvais plus.
Puis les copains et la pute black sont repartis. Avant de franchir la porte, la pute black me dit :
— A demain !
Génial, les copains, je vous aime.
Soudain, je me suis rendu compte que ma voisine de chambre Alice avait assisté à toute la scène. J’ai eu un peu honte. Elle m’a vite rassuré en me demandant si j’avais pris mon pied. La conversation entre nous deux repris et nous sommes devenus très vite des amis.
***
Tous les jours, j’avais droit à la visite de la pute black et une vidange intégrale de mes couilles. C’est une suceuse de bite extraordinaire. Nous avons fait connaissance petit à petit.
Elle s’appelait Maimouna et était originaire du Cameroun. Issue d’une famille très nombreuse, ses parents avaient décidé qu’elle deviendrai une pute pour fournir de l’argent à la famille. C’est son oncle qui l’a formé au métier avec son père. Le jour de ses 18 ans, elle a été dépucelée par son oncle. Puis, dans la foulée, elle s’est faite baisée par ces cinq frères. Son père a été le premier à lui défoncer le cul puis toute la famille s’est dévouée. Elle a été ensuite mise chez un oncle à Douala. Là, elle a fait ses classes avec les militaires. Elle se faisait défoncer par une trentaine de mecs tous les jours et était à la disposition de la femme du colonel et de sa fille. Puis à 20 ans, bien rodée, elle a été placé dans un bordel à Yaoundé. Là, un cousin l’a pris en charge et l’a fait tourner des films pornos. Elle faisait la pute le matin, avec, en général, des vieux, et tournait l’après-midi.
Au début, c’était des films avec 2 ou 4 mecs puis 10, 30, 50 mecs qui la prenaient par tous les trous. Elle s’en prenait deux ou trois à la fois dans la chatte ou dans le cul. Une fois, elle s’était faite prendre par plus de 50 mecs. Elle dégoulinait de sperme partout. Elle s’est mise debout avec difficulté et l’on a récupéré dans un verre le foutre qui s’échappait de sa chatte et de son cul. Elle a tout bu avec délice car elle aimait le sperme à la folie. Puis, on lui a défoncé le cul, avec une bouteille, à mort. Tout le monde était hyper excité. Deux autres mecs recueillaient le sperme sur son corps et lui faisait manger à la grosse cuillère à soupe. Puis, elle s’est empalée elle-même sur une autre bouteille, encore plus grande, dans le cul. Elle montait et descendait à mort et prenait un pied d’enfer. De temps en temps, elle laissait échapper des giclées de pisse qui étaient recueillis dans un verre qu’on lui faisait boire.
Puis, on passa aux choses sérieuses avec des vidéos dans lesquelles elle se faisait monter par des dizaines de chiens. La pute black me dit qu’elle adorait le foutre des chiens et qu’elle en avait sucer des centaines pour le plaisir. Mais ce qu’elle préférait c’était les poneys et les chevaux et leur douche de sperme. Et puis, elle fut vendue à un autre cousin qui l’a emmené d’abord en Espagne faire la pute et enfin en France.
Son récit me faisait bander à mort et je me suis vidé dans la bouche vorace. Alice, sur le lit voisin, n’en pouvait plus non plus et se branlait à mort. La pute black a été ensuite s’occuper d’elle et lui a sucé la chatte. J’entendais Alice qui prenait un pied d’enfer sous la langue de la pute.
Comme Alice voulait faire pipi, la pute lui dit :
— Va s’y , j’adore ça !
La bouche de la pute se colla à la chatte d’Alice. Alice hésita un instant puis elle pissa dans la bouche de la pute black qui a tout avalé.
***
Le lendemain, j’ai reçu la visite de ma mère qui était accompagnée par Akim et trois autres mecs. Maman était habillée juste d’un string et d’un haut de maillot de bain qui ne cachait que la pointe de ses seins. A chaque mouvement qu’elle faisait, ses gros nichons se barraient.
Pendant qu’elle me demandait de mes nouvelles, Akim lui pelotait ses gros nichons tandis qu’un autre mec lui avait enfoncé trois doigts dans la chatte et la branlait. Soudain, ma mère prit son pied et jouit bruyamment.
— Allez, assis, salope ! fit Akim.
Akim se met sur une chaise et attira ma mère. Il sortit sa grosse bite et ma mère la guida dans son cul. Puis, elle se mit en mouvement sur la bite. Un autre mec s’avança et lui fourra sa bite dans la bouche tandis qu’un second s’approcha la bite à l’air de sa bouche. Elle alterna les pipes tout en s’enculant de plus en plus vite sur la bite d’Akim. Le dernier mec était à l’entrée de la porte de la chambre et faisait le guet. Bon sang ! Je bandais encore à mort. C’est pas possible ! Voir ma chienne de mère baiser devant moi me mettait dans tout mes états. Un coup d’oil à Alice me montra qu’elle se branlait aussi à mort.
— Tu sais, ta mère est une vraie salope, me dit Akim en riant. Quant à ta soeur, c’est une vraie truie et ta cousine une gouine de première. Elles ont pris un petit déjeuner spécial salope. Ta mère et ta soeur ont pris un café au lait de jus de couilles. Elles nous ont pompé et on a giclé dans leur deux bols. On était sept, quatre pour ta mère et trois pour ta soeur. Elles ont tout bu. Pas une goutte n’est restée…
Akim se leva alors soulevant ma mère toujours enculé sur sa grosse bite. Un autre mec se leva et la prise dans la chatte. Ma mère était prise en sandwich avec une bite dans la chatte et l’autre dans le cul. Ils la ramonaient avec leurs grosses queues. Ma mère hurlait :
— Ouuuuui, encore… oui……………..
Ils ont joui ensemble dans ses deux trous.
Moi, pour ma part, j’avais toute les peines pour ne pas jouir dans mon pyjama. Aaaah quel supplice !
Akim poussa la couverture de mon lit. J’ai été surpris et très gêné qu’il me voit en train de bander.
— Regarde salope, tu fais même bander ton fils, t’a pas honte ? fit Akim. Tu vas pas le laisser comme ça !
Cela été très rapide, je n’ai pas eu le temps de réagir. En fait, j’étais immobilisé dans mon lit. Ma mère a baissé mon pyjama et s’est mise à me sucer la bite. J’ai joui dans sa bouche quand ma sour est entrée dans la chambre accompagné par un autre mec.
— Alors, fit Akim, ils étaient bon les quatre petits vieux ?
— Tu parles, répondit le mec qui l’accompagnait, ils se sont vidangés les couilles dans ses trous.
Ma sour ouvrit la bouche devant Akim. Elle était pleine de sperme. Puis, elle avala.
— C’est bien, tu es une bonne fille, fit Akim, en lui donnant une violente claque sur les fesses. Va aider ta mère.
C’est ainsi que ma mère et ma sour, de l’autre côté du lit, me pompait la bite tandis que les mecs les baisaient ou enculaient à tour de rôle. J’ai joui une seconde fois, cette fois dans la bouche de ma sour.
Quand ils ont fini de jouir dans le cul ou la chatte de ma mère ou de ma sour, Akim fit pencher ma mère en avant. Ma mère, avec ses deux mains, ouvrait en grand sa chatte et son cul qui étaient plein de sperme. Ma sour est alors venue et lui a nettoyé la chatte et le cul avec sa langue vorace. Maman a joui à nouveau sous les coups de langue de ma sour. Puis, ma sour s’est mise dans la même position et ma mère la lécha. Je voyais sa langue qui récupérait le sperme gluant. Je me suis remis à bander une nouvelle fois. Elle ne fut pas longue à lui nettoyer les trous.
Ma mère, ayant vu que je rebandais, repris ma bite dans sa bouche. C’était trop et j’ai tout balancé à nouveau dans sa bouche vorace.
Akim décida qu’il était temps de repartir. Ma mère remit ses gros nichons en place. Quelques instants plus tard, la chambre se vida entièrement.
Alice, le visage rouge, se branlant à mort, me dit :
— Ouah ! Ta mère et ta sour sont de vrais salopes.
Moi, j’étais un peu gêné par la situation. L’excitation redescendue, j’ai eu vraiment honte de la situation.
***
La porte de la chambre s’ouvrit à nouveau. Une infirmière entra. Elle alla ouvrir en grand la fenêtre. Elle commença à nous engueuler copieusement en disant que c’était un hôpital et non pas un bordel et que désormais elle leur interdisait l’accès à la chambre. Cela a été un moment pénible mais elle avait raison.
C’est alors que mon père entra à son tour. Il avait la tête des mauvais jours. J’avoue que j’ai eu peur. La seule fois où j’ai vu mon père dans cet état, il avait détruit tout ce qu’il y avait dans la maison. Il ne se maîtrisait plus. Il était comme fou.
Mais, à ma grande surprise, il n’ai pas venu vers moi mais s’est dirigé vers le lit d’Alice. L’infirmière essaya de l’arrêter mais il l’envoya balancer contre mon lit.
— Quelle conne ! Quelle conne ! hurlait-il. Tu as tout gâché…
— Mais, monsieur, ce n’est pas ma faute… répondit Alice en essayant de se protéger des paires de claques que mon père lui balançaient.
Mon père connaissait Alice. Qu’est-ce que tout cela voulait dire ?
(A suivre)