Hélène et le garçon 6

Après ma toilette, jai mis les mêmes habits que la veille au soir et en particulier les dessous quil ma offerts. Par contre, je nai pas mis de culotte et ça mexcite terriblement. Ma robe moule parfaitement mon corps, je supporte les bas même si il fait encore un peu chaud ce soir.

Quand jouvre la porte de la salle de bain, Eric est attablé, face à son ordinateur et fait défiler des photos de moi !

Je mapproche et me penche sur son épaule en y écrasant mon sein.

Surpris, il veut cacher son écran, mais je lui dis dun ton complice:

« Fais moi voir çà !».

Je me penche encore plus, je suis pratiquement affalée sur lui pour manipuler le clavier et découvrir toute une collection de clichés que jignorais. Il y en a même où je suis endormie dans mon lit.

« Ben dis donc, tu es un sacré voyeur ! Tu nas pas honte ! »

En disant cela, jai glissé ma main entre ses jambes et bien entendu, il est raide comme du fer.

Penaud, il écarte toutefois les cuisses et me laisse lui caresser les testicules. Il bredouille enfin :

«Tu sais, ça fait longtemps que je taime maman ! »

« Bon, aller, va te laver. Tu es encore plein de sable ! Quand tu auras fini, je souhaite que tu ne mettes que ton short, et rien dessous »

Je finis de regarder les photos et tout compte fait, je ne me trouve pas si mal que ça !

Je dresse la table et maffaire au repas, la petite bouteille de champagne nest pas encore fraîche, mais ça peut attendre encore un peu.

Quand Eric ressort, il est embarrassé avec son sexe qui déborde sur le coté de son short, il essaie de le remettre en place mais rien à faire, lobjet retombe sur sa cuisse. Je men amuse :

« Laisse le comme ça mon chéri, mais si tu es gêné tu peux enlever ton short ! »

« Tu veux que je sois tout nu ? »

« Fais comme tu veux, moi ça ne me gêne pas ! »

Et le voilà nu comme un ver devant sa mère qui lui dit :

« Hum, cest bien joli tout ça, tourne toi Jolies petites fesses, hum ! »

« Et toi, tu restes habillée ? »

« Et bien, enlève ma robe » dis-je en me retournant pour lui présenter mon dos.

Il sactive et ma robe glisse au sol rapidement. Il constate alors que je ne porte pas de culotte, et malicieuse, je lui prends la main pour la poser sur une de mes fesses. Il me caresse avec douceur le fessier de ses deux mains. A sa respiration, je comprends que son excitation va crescendo. Il se colle à moi et à petits pas, je mapproche de la table pour prendre appui, penchée en avant, toujours en lui tournant le dos. Jattrape son membre pour le guider vers ma chatte et me pénètre. Inutile de lui expliquer plus, il est déjà profondément enfoncé quand il me tient le bassin. Et il va lentement, très lentement pour coulisser en moi. Je lui crie presque :

« Vas-y, défonce moi mon chéri ! Baise moi fort ! »

Je ne me reconnais pas dans ces mots, mais mon corps demande de la sauvagerie.

Il hésite, mais je continue à lencourager :

« Oui, plus fort ! Plus fort ! Oui comme ça !Cest bon ! »

Au bout dun moment, je ne puis plus parler. Il a glissé sa main et me titille le clitoris. Ses coups de butoirs se répercutent dans tout mon corps et je sens ma jouissance prendre le dessus. Je tremble de partout et fini par crier de bonheur.

Après avoir recouvré mes esprits, et alors quil glisse lentement en moi, je suis saisie dune forte envie de moccuper de lui pour le finir. Je me retourne et magenouille devant lui. Après quelques coups de langue, de succion et dune poigne serrée sur sa hampe, je sens quil est prêt. Je présente ma bouche ouverte devant son méat et quand il éjacule, je peux recueillir une bonne dose de sa crème.

Après avoir avalé, je lui demande :

« Alors mon amour, ça ta plu ? »

« Oh oui maman, euh Hélène et toi ? »

« Je vais te dire quelque chose, mais, dabord on va sinstaller pour lapéritif »

Je marche jusquau frigo avec difficulté, jai le vagin en feu pour la première fois. Je le dissuade de remettre son short et viens masseoir près de lui sur le canapé.

Je nous sers du champagne dans un verre inapproprié, lui prends la main et déclare :

« Ecoute Eric, je vais te confier quelque chose qui doit rester totalement entre nous, daccord ? »

« Bien sûr ! Cest promis, juré ! »

« Et bien voilà » Jhésite, mais reprends :

« Et bien, tu es très doué ! Tu as un sexe extraordinaire et tu sais bien ten servir ! Je nai jamais éprouvé autant de plaisir quavec toi ! »

Il se redresse, fier comme un coq !

« Mais avec papa  ? »

Je fais une moue suffisamment expressive pour quil comprenne que je ne suis pas satisfaite.

« Je te le répète, tu mas donné plaisir comme jamais ! Et puis, si tu retrouves la forme, tout à lheure, jaimerais faire quelque chose que je ne connais pas, ça sera une découverte pour nous deux ! »

« Cest quoi ? »

« Tu verras ça plus tard On passe à table ? »

Je suis toujours en sous-vêtements et lui tout nu pour notre repas. Une sacrée complicité sest instaurée, même sil cherche à savoir ce que je lui réserve.

Nous débarrassons et je le laisse faire le lit pendant que je vais me changer, javais trop chaud dans ces sous-vêtements. Je ne porte que ma nuisette quand je me couche près de lui, déjà allongé sur le lit et jouant avec son membre. Il ne bande pas encore, mais ça ne saurait tarder.

Il approche son visage du mien et notre baiser et totalement fusionnel. Il sait sy prendre pour me faire frissonner. Sa main parcourt mes seins et gêné par le tissu, il entreprend denlever ma nuisette. Je laide au mieux pour quil revienne vite me caresser la poitrine. Il fait rouler sa paume sur mon téton quand je lui souffle à loreille :

« Pince moi »

Il presse doucement, délicatement, mais je veux souffrir, je me sens masochiste ce soir. Je veux être dominée.

« Pince plus fort ! »

Jarrache un cri de douleur et souffle pour laisser passer la vague dexcitation qui vient de me traverser le corps. Il a retiré sa main, mais je la remets sur mon autre sein. Tremblante dappréhension, je lui souffle à nouveau :

« Vas y, recommence ! »

Il y va plus sauvagement et la douleur est intense. Je ne sais pas si la souffrance prédomine sur le plaisir ressenti. En tout cas, jai jeté ma tête en arrière en criant. Pour se faire pardonner, il prend linitiative de me suçoter les mamelons et la douleur qui en irradiait sestompe.

Ouh là là, comme cest bon !

Il me chevauche et écarte mes jambes pour me pénétrer, mais je lui dis :

« Non pas comme ça ! Je veux essayer une chose que je nai jamais faite et je veux que tu sois le premier ! »

Il me regarde interrogateur et je lui glisse à loreille, un peu hésitante quand même :

« Prends moi par derrière, prends moi lanus ! »

Je saisis un tube de lubrifiant acheté plus tôt à la pharmacie et le lui tends. Je me retourne et place les deux oreillers sous mon ventre.

« Tu vas me préparer avant, mais rappelle toi que je suis vierge de cet endroit, alors sois doux »

Il se met à genou près de moi et son sexe est gonflé dexcitation. Quand je le regarde, je me dis que je suis folle de vouloir une telle chose en moi, mais je me souviens de ma cousine qui me disait adorer ça. Et puis, je veux me lâcher, oublier mes tabous et frustrations, découvrir dautres choses et avec mon fils, jai lamant idéal.

Je sens son doigt effleurer doucement ma corolle, puis linstant que je redoutais arrive. Il sinsinue en moi, ce qui me fait avoir une contraction involontaire, mais je lencourage à poursuivre tout en taquinant son sexe dune main.

« Continue mon chéri, mets en beaucoupCa doit suffire. Vas-y, maintenant, essaie ! »

Il vient au dessus de moi et je le sens buter à la porte, il force et ça me fait terriblement mal.

« Remets en un peu au bord, sil te plaît ». Il sexécute et revient à la charge et force mon illet qui souvre sous la pression. Je cherche à repousser son invasion, jécarte les fesses au maximum, je souffle, geint, crie de douleur par moment mais finis par lencourager à continuer.

Chaque centimètre de sa progression mécartèle, méclate lintérieur, me déchire mais cette pénétration me procure de nouvelles sensations.

Quand il arrive à tout faire rentrer, je lui murmure :

« Vas-y mon chéri, vas-y fort ! Viole moi ! »

Pas la peine de lui répéter, son instinct animal prend le dessus. Ses doigts ont trouvé mes tétons et il les martyrise tout en mexplosant le cul. Je ne suis quune douleur intense. Il délaisse mes seins et mappuie sur les épaules avant de sallonger sur moi.

« Bourre-moi, dis moi que je suis une garce, une salope ! »

Il nose pas parler au début et puis il entre dans le jeu

« Prends ça salope ! »

Et cest un déferlement dinsultes dont je ne le croyais pas capable de dire, surtout à sa mère.

Toute cette stimulation me chavire la tête et je sens lorgasme monter, monter inexorablement. Je jouis si fort quil éjacule en moi alors que je suis encore au septième ciel.

Il se retire lentement alors que je reste encore toute pantelante. Mon anus reste ouvert, je le sens béant après cette intromission ravageuse.

Il sallonge près de moi et me caresse les cheveux, inquiet.

« Ca va maman ? »

« Oh oui mon chéri, cétait fantastique »

« Mais tu mavais dit quil fallait toujours être doux avec une femme et là »

« Cest vrai, mais des fois, il ne faut pas. Je navais jamais fait ça avant et ce soir javais envie de cette brutalité ! »

Il me couvre la nuque de petites bises et me demande, un peu inquiet :

« Quand nous serons rentrés à la maison, on pourra continuer ? »

« Tu sais, tu es en âge davoir une petite copine. Et puis, tu nas plus dexcuses, tu sais tout ou presque, le reste tu pourras le découvrir plus tard »

« Oui, mais Nous deux ? »

« Il faudra être prudents, mais je serai toujours là pour toi, mon amour»

« Je taime Hélène »

« Je taime Eric ».

FIN

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