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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 25




Chapitre 25 : Jamais tranquille

-Je n’ai vraiment pas compris sa réaction, se troubla Morgane. Elle s’est jetée sur Antoine et l’a baisée en sachant pertinemment qu’il s’agissait de son fils. Ils ont joui ensemble et c’est seulement à ce moment-là qu’elle a pété un câble. Mmh ! Doucement, mon Simon.

-Excuse-moi, j’ai tellement soif, répondit ce dernier en lançant un regard avide par-dessus la croupe de la jeune femme.

Morgane était à quatre pattes sur son lit et se faisait brouter le minou par un Simon surexcité qui ne lésinait pas sur les coups de langue. Il pourléchait toute la fente de Morgane et recueillait le précieux nectar qui en suintait généreusement.

-Et quand je l’ai rejoint dans son lit par la suite, elle a dit que tout était de ma faute. Elle s’est transformée en vrai furie et ma crié dessus pour que je parte. Mmh Vas-y Simon, boit-moi. Oh comme j’avais envie de la baiser quand elle m’a dit ça ! Oh, oui Son dos tout couvert de mon foutre était collé à mon ventre et ma queue reposait presque entre ses deux fesses entrouvertes et elle me dit de partir ! J’ai dû me faire violence pour ne pas lui sauter dessus sur le champ ! Mmh ! Tu m’écoutes au moins ?

Simon était très attentif mais tout son corps réclamait le précieux nectar vaginale de Morgane. Comme il ne voulait pas perdre une seule goutte de cette délicieuse liqueur, il fit une petite tape sur les fesses de Morgane pour lui faire signe de poursuivre.

-Oh ! Sourit coquinement la jeune femme. Enfin bref, il faut que je retourne chez elle demain parce que j’ai besoin de cet argent. Sans ça, je ne sais pas comment on va faire Et aussi, je ne supporte pas qu’on me résiste ! Toi, Simon, tu ne sais pas ce qui a pu se passer dans la tête de cette pauvre femme ? Tu penses que c’est de ma faute ?

Simon aspira bruyamment la chatte de Morgane avant de relever la tête. Il avait la bouche barbouillée de mouille et les yeux humides comme un athlète qui vient de boire tout son soûl après une course intensive. Sa queue était en érection et pointait en direction de la vulve de la jeune femme. C’est tout naturellement qu’il commença à caresser les lèvres humides de Morgane à l’aide de son sexe.

-Non, gémit cette dernière, pas aujourd’hui

Simon fut étonné par ce refus. L’excitation de la jeune femme avait pourtant l’air d’être à son comble

-Aujourd’hui, poursuivit-elle sournoisement, j’ai envie de me faire sodomiser !

-Je me disais aussi Sourit le scientifique en plaçant son membre gonflé contre l’anus déjà tout moite de la jeune femme. En ce qui concerne Isabella, j’avoue que je n’en sais rien

Il planta sa queue dans le cul de Morgane.

-Aah, souffla-t-elle, il y avait longtemps J’avais presque oublié combien c’est bon d’avoir une bite dans le derrière !

Simon fit quelques allers-retours et l’anus de Morgane fut entièrement lubrifié par cette étrange substance que seul son anus sécrétait. La queue du jeune homme glissait en elle avec facilité et un délice inégalable si bien pour elle que pour lui. Les larges hanches de Morgane permettaient au jeune scientifique qu’il s’y accroche afin qu’il donne plus de puissance à ses coups de boutoirs.

-Oh ! Vas-y, mon Simon. Prends-moi comme j’aurais dû prendre Isabella ! Mmh !

-T’aimes ça, hein ! Haleta Simon en admonestant des claques sur les fesses de la jeune femme.

-Mmh, oui !

-Tu sais, réfléchit Simon, j’ai quand même une hypothèse pour Isabella mais ce n’est pas scientifique, cela relève plutôt du domaine psychologique

-Je Mmh Je t’écoute.

-Eh bien Oh putain, ton cul, Morgane ! Il est incroyable !

-Oui, oui Mmh je sais. Vas-y je t’écoute.

Alors que Morgane se faisait ramoner le cul en gémissant de bonheur, ledit ramoneur débuta l’explication de son hypothèse :

-Quand tu m’as parlé d’elle, Isabella m’a semblé être une femme très prude et un peu mise de côté par son mari. Elle fait ce qu’on lui dit de faire sans jamais se plaindre et je me demande même si elle ne va pas à la messe tous les dimanches Quoiqu’il en soit, ce n’est pas le genre de femme à se faire prendre à tous les coins de rues. Ensuite, toi tu débarques avec ta grosse queue et ton parfum auquel aucune femme ne résiste et fatalement, Isabella ne résiste pas. Jusque-là, tu me suis ?

-Oui, oui, n’arrêtes pas de m’enculer, mon Simon !

-Bon, je pense que, quand Isabella a commencé à être excitée par toi, sa personnalité s’est scindé en deux : une prude et une salope. La Isabella prude refusait catégoriquement d’avoir une relation avec toi, c’était une chose totalement inconcevable pour elle. Alors la Isabella salope a pris le relai et c’est elle que tu as niquer.

-C’est pas Mmh bête, avoua Morgane. Mais ça n’explique Mmh pas pourquoi elle est revenue par la suite Oh putain pour baiser son propre fils

Les gémissements de Morganes et le claquement de hanches de Simon sur les fesses de cette dernière furent pendant un instant les seuls sons à résonner dans la chambre tandis que le jeune homme réfléchissait.

-Probablement que la Isabella salope ne s’en va pas tant qu’elle n’a pas joui D’après ce que tu m’as dit, elle n’a été que sodomisée, comme toi pour l’instant. Elle voulait juste baiser quelqu’un pour se soulager et la première personne sur laquelle elle est tombée bah, ça a été son fils.

-C’est une hypothèse ouah très pertinente, avoua Morgane. Surtout qu’elle ne se souvenait pas que je l’avais sodomisé dans ses toilettes Tout ce dont elle se rappelait, c’est qu’elle avait taillé une pipe à son mari.

-Son mari t’a vu en train de la niquer ? S’ébahit Simon.

-Non, non, la porte était contre N’arrête pas de me trouer, mon Simon !

Le jeune scientifique avait été tellement étonné qu’il en avait cessé tous mouvements. Il sortit malgré tout sa queue du petit trou humide et passa un rapide coup de langue sur toute la longueur de la raie. Il recueillit ainsi une grande quantité de cyprine qui gouttait abondement du vagin détrempé de Morgane. Il remit ensuite prestement sa queue dans son chaud fourreau anal et reprit ses va-et-vient.

-Cela concorde donc avec mon hypothèse, poursuivit Simon. C’est normal qu’elle ne se rappelle que d’avoir eu une liaison avec son mari étant donné que c’était, à ce moment, Isabella prude qui lui taillait une pipe. Et comme tu l’enculais en même temps, Elle a dû effacé cela de son cerveau. C’est la mémoire sélective. Mmh Morgane, ton cul est trop bon, je ne vais pas tarder à jouir !

-Oh oui ! Non attends ! Tout cette excitation m’a donné faim, lime-moi la chatte, maintenant !

-À t’es ordres, obéit gaiement Simon.

Il sortit son sexe de l’anus tout ouvert et l’enfonça derechef dans le vagin de Morgane qui cria de bonheur. Il s’agrippa fermement aux hanches de la jeune femme et la pilonna violemment.

-Ah putain, oui ! Que c’est bon ! S’écria Morgane, aux anges.

Elle se laissa tomber sur les coussins exposant davantage sa sublime croupe au regard du jeune scientifique en rut.

-Je peux éjaculer en toi ? Demanda ce dernier en ahanant comme un animal.

-Oui ! Oui ! Vas-y, putain, vas-y !

Morgane n’en pouvait plus. D’incroyables vagues de plaisirs parcouraient son corps au rythme des va-et-vient de la queue de Simon. Rapidement, un terrible orgasme la cueillit.

-Je jouiiiiii !

Simon se déchargea dans le jeune femme en poussant un râle de bonheur. Morgane, elle, fut parcourue par de violents spasmes qui, au bout de vingt bonnes secondes, la laissèrent pantelante sur le lit.

Morgane s’endormit presque instantanément. La journée avait été longue et forte en émotion et c’est à peine si elle se rendit compte que Simon se retirait de son vagin. Elle fit des rêves érotiques pendant toute la nuit et lorsqu’elle se réveilla, elle eut l’heureuse surprise de constater que sa queue était profondément enfouie entre les lèvres de sa jeune élève, Juliette. Les deux femmes se sourirent mutuellement et la jeune fille reprit son travail avec plus d’ardeur encore, enfonçant deux doigts dans le trou d’amour de Morgane.

Celle-ci regarda l’heure : elle n’avait dormi que trois heures Pourtant, elle était encore excitée. Il n’était pas toujours facile de vivre avec trois femmes avides de sexe Juliette lâcha la queue et vint chuchoter à l’oreille de Morgane :

-Je peux dormir avec toi cette nuit ?

Morgane sourit, les yeux toujours fermés à cause du sommeil :

-Bien sûr, mon petit cul préféré.

Juliette arbora un sourire plein de fierté, elle adorait quand on l’appelait comme cela. Elle se mit à califourchon sur la jeune femme et plaça l’énorme sexe devant l’entrée de son petit cul. Avec un plaisir évident, elle descendit sur ce pilier de chair. Son anus s’ouvrit presque de lui-même et enlaça amoureusement la hampe humide de Morgane.

-Mmh ! Gémit cette dernière. Oh, ton cul, ma Juliette ! Va tout au fond, c’est si bon

-Oui Morgane. Mmh je te sens.

Le gland finit par buter tout au fond de Juliette.

-Oh, ta queue m’avait manqué ! Gémit celle-ci.

Morgane se laissa faire tandis que la jeune adolescente lui limait la queue à l’aide de son petit cul serré. Juliette geignait comme une enfant en montant et descendant avidement sur ce sexe dressé. Elle prit appui sur le ventre de Morgane et s’empala plus ardemment encore sur ce tison de chair.

-Oh Morgane ! C’est bon ! C’est bon, putain !

-Vas-y, petit cul ! Plus vite !

Sous l’injonction de Morgane, Juliette accéléra davantage le rythme, faisant grincer le lit sur lequel elles étaient. Prise d’une subite frénésie sexuelle, Morgane prit les commandes. Elle saisit la jeune fille par les hanches et se mit à la pilonner sans retenue en ahanant follement. Juliette se laissa faire en mordant son poing de bonheur et en pressant l’un de ses seins dans le but d’endiguer les vagues de plaisir. Du lait maternel en jaillit en un fin jet immaculé et vint barbouiller la face illuminée de joie orgasmique de Morgane.

-Boit mon jus, gémit Juliette en pressant davantage son sein.

Morgane ne se fit pas prier et ouvrit grand la bouche pour recueillir l’onctueux nectar qui lui tombait dessus en une fine pluie nacrée. Une fois qu’elle eut goûté quelques gouttes, une sorte de soif insatiable s’empara d’elle. Elle attira brutalement la jeune fille à elle. Juliette poussa un cri de surprise en perdant l’équilibre et se retrouva à quatre pattes, le buste juste au-dessus de la tête de Morgane. Celle-ci mordit avidement le téton juteux qui se balançait devant elle et aspira à grandes goulées bruyantes le doux lait maternel. Pas une seule fois elle ne cessa de sodomiser le sublime cul de l’adolescente.

-Oh ! Gémit cette dernière. Doucement Morgane ! Mmh oooh Morgane, aspire moins fort Mmh

Mais alors qu’elle suppliait cela, sa main se cala à l’arrière de la nuque de la jeune femme et pressa sa tête contre son sein comme pour l’implorer de boire plus encore. Morgane déglutissait avidement alors que son énorme sexe pénétrait encore et encore dans l’anus insatiable de la jeune fille en rut.

-Oooh ouiii ! Morgane, tu bois trop ! Plus fort ! Aah Mon cul ! Il est en feu !

Le lait s’écoulait dans la gorge de Morgane en un bouillonnant et crémeux torrent aux effluves mammaires. La main de la jeune femme glissa jusqu’au petit trou gluant de mouille de Juliette et y inséra deux doigts. L’adolescente jouit instantanément.

-Aaaah Ouii ! Putain, ouiii ! Eructa une Juliette prise de frénésie.

Ses mouvements étaient maintenant désordonnés comme si elle était une marionnette à qui l’on venait de trancher les fils. Morgane sentit sa queue enserrée par les contractions anales de la jeune fille et elle se mit à éjaculer dans ses chauds tréfonds. Elle arrosa d’un puissant jet de foutre la cavité anale de la jeune fille en criant de plaisir.

Les deux corps entrelacés et glissant de sueur se contractèrent sous la violence de l’orgasme. Le cul de Juliette ne cessait de se remplir de la semence de Morgane. Toutes deux étaient aux anges.

Lorsqu’enfin les vagues de jouissances s’arrêtèrent, les deux femmes étaient couchées sur le lit en position cuillère et le sexe devenu mou de Morgane dormait paisiblement dans la chaude et gluante caverne de Juliette.

Un sourire bienheureux flottait sur leurs lèvres à toutes les deux

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